n° 01391 | Fiche technique | 8580 caractères | 8580 1542 Temps de lecture estimé : 7 mn |
28/11/00 |
Résumé: Un cours particulier hors normes...
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Critères: #fantastique ff fmast intermast cunnilingu fdanus | ||||
Auteur : Wilco (Jeune homme, 25 ans, rêveur dans l'âme...) |
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LES BONHEURS DE SOPHIE
(3e Partie)
Pour les petits retardataires: Je m’appelle Sophie, 23 ans, étudiante en économie. De puis ce matin, j’ai changé de vie en découvrant ma muse sexuelle, Léa, sorte d’ange gardien en beaucoup moins coincée, qui n’est réelle que pour moi. En quelques heures seulement j’ai déjà à mon actif de m’être masturbée en plein cours et le viol d’un parfait inconnu dans les toilettes de la fac. Maintenant, elle me propose un cours particulier, et même si je ne suis pas sûre d’avoir très bien compris, j’ai hâte de voir ça !.
’On va chez toi, ça sera plus pratique’ dit Léa
J’habitais un petit studio en centre ville, pas le luxe, mais bien aménagé. J’adorais cet endroit.
J’ai pris le bus, accompagnée par Léa, qui bien sûr n’avait pas à acheter de tickets. Je commençais à me dire que ça avait pas mal d’avantages d’être une muse !
’Je t’ai entendue penser ! Fit-elle. Tu n’as aucun secret pour moi comme je te l’ai dit. Effectivement, j’ai pas mal de chance.’
Sur quoi elle disparut. Soudain, l’homme qui se trouvait en face de moi prit une drôle de tête et commença à regarder dans toutes les directions d’un air perdu.
Je remarquais une bosse qui ne cessait de croître sur son pantalon, il se retourna subitement pour se coller à la vitre du bus.
’Tu as vu sa tête ?’ dit Léa qui venait de réapparaître.
’Qu’est-ce que tu lui a fait ?’
’Je ne peux jamais résister à un beau mâle bien doté.’ dit-elle en riant.
’Alors tout à l’heure c’est toi qui m’a forcé la main dans les toilettes ?"
"Ne t’énerve pas, au début seulement, après tu n’as pas eu besoin d’aide si je peux me permettre !’
’C’est vrai, je reconnais. mais à l’avenir j’aimerais que les choses viennent de moi seule.’
’Justement, c’est le but de ma présence à tes côtés !’
Le bus venait d’arriver à la gare, à deux pas de mon studio. Je montais les six étages sans ascenseur qui font le charme de nos vieux immeubles, admettant définitivement que Léa avait de la chance d’échapper à certains devoirs d’ordre physique. Elle m’attendait nue sur le canapé.
Je pus voir son corps dans toute sa douceur, ses seins en poire si parfaits, ses lignes dessinées d’une main de maître, et son pubis posé telle une cerise sur un appétissant bateau.
’La vache !" lâchais-je.
’Ma foi, bien que je n’ai aucune parenté avec Io, je n’ai pas à me plaindre ! Allez, en piste pour la leçon suivante : je vais t’apprendre à connaître ton corps.’
Je m’asseyais près d’elle et posais mes affaires.
’Ca ça peut aller, répondis-je.’
’C’est ce que tu crois ma grande ! Mais il y a encore pas mal de travail.’
’Je te signale que je ne t’ai pas attendue pour me masturber, et je sais très bien me faire jouir toute seule !’
’Comme ce matin dans l’amphi ? Tu parles, du travail bâclé oui !’
’Comment ?’
’Déshabilles toi et laisses moi te montrer.’
Blessée dans ma fierté, j’obéissais:
’Qu’est-ce que tu veux dire par pas mal de travail ?’
J’enlevais mon jean et mon tee-shirt.
’Tu sais te faire jouir, mais tu n’as pas encore le sens de la mesure, celle du vrai plaisir.’
J’ôtais mes sous vêtements, du moins mon soutien-gorge, vu que j’avais perdu ma culotte la matin même (NDA : voir épisode 1)
’Et tu vas m’apprendre quoi ? Tu ne peux même pas me toucher !’
’On parie ?’
Elle attrapa un de mes seins en un éclair et exerça une légère pression dessus.
’mhhhh..’
’Réactive hein ? Bien, c’est parfait, laisse moi faire et donnes moi ta main.’
L’idée de faire l’amour avec une fille ne m’avait jamais effleurée, mais j’avais beaucoup à apprendre d’elle. Et puis sincèrement, elle aurait fait mouiller une none.
Elle guida mes doigts sur mes seins gonflés d’envie, leur faisant décrire de petits cercles autour de mes tétons tout dardés.
Sa tête descendit sur mon nombril et elle me taquina de sa langue, laissant d’infimes frissons parcourir mon corps. Elle prit mon autre main qu’elle mit sur mon sexe qui portait encore les séquelles d’une rude matinée. Mes lèvres étaient turgescentes et luisaient de mouille. Je glissais un doigt entre mes lèvres, mais elle me retint.
’Non! Voilà l’erreur ! Tu vas trop vite en besogne, laisse ton plaisir monter au compte goutte, plus longue est l’ascension, plus grande est la victoire !’
Elle léchait et embrassait mes épaules, mes seins, suçait leur pointe en les mordillant. Elle fit glisser ma main gauche le long de mon entrecuisse, caressant mes fesses, et me fit enserrer mes globes d’amour de l’autre main.
Je sentais un suintement entre mes fesses, que j’étalais d’un doigt en effleurant mon anus.
’J’ai trop envie !’ fis-je.
’Non mademoiselle, il faut le mériter. Continue de caresser ton corps, pendant ce temps je te montre ce qu’il faut faire.
Ses lèvres parcoururent mon ventre, l’enveloppant d’un souffle chaud qui se perdit dans mon pubis. J’esquissais un cri alors qu’elle frappa mon clitoris du bout de sa langue et je la vit sourire à belle dents, du vice et de la tendresse dans le regard.
Ses doigts dessinaient le contour de mon sexe, comme pour en protéger l’entrée.
’Ohhh. tu me rends barje, fais quelque chose ou je vais en mourir!’
Je fus récompensée de mon attente par un de ses doigts qui vint s’occuper de mon petit trou. Inondé par ma mouille, il n’offrit aucune résistance lorsqu’elle y enfonça une phalange.
Mon vagin criait pitié. Je pétrissais mes seins de rage et ouvrais mes cuisses en grand comme pour la supplier.
Elle se décida enfin à baiser mon clitoris à l’agonie du bout des lèvres. Sa langue le flattait de bas en haut, de haut en bas, provoquant un ras de marée entre mes lèvres. Son doigt sortit de mon anus, luttant contre le flot de sucs et vint se perdre avec affection dans mon sexe. J’ai bien cru que je jouissais, mais elle retira sa bouche et cessa les mouvement de son doigt.
’Ahhh. Tu veux ma mort ?’
’Non, je veux ton bien, au contraire. Tu comprends maintenant, si j’avais continué tu aurais joui tout simplement. Mais tu peux repousser le moment pour prendre encore plus de plaisir que tu ne peux l’imaginer ! Essaie de te détendre un peu maintenant.’
Elle en avait de bonnes. me détendre alors que j’aurais fais n’importe quoi pour jouir! J’essayais tout de même de calmer ma respiration, et au bout d’une minute de calme je sentis son doigt qui remuait de nouveau dans ma chatte. C’est comme si elle m’avait jetée en l’air pour me rattraper avant que je ne retombe.
’Tu sens que ça reviens ? Tu sens que ça va être encore meilleur ?’
’Oui, continues, montres moi !’
Je me remis à parcourir mon corps, m’attardant sur mon ventre et mes seins, et je pris sa tête entre mes mains. Ses cheveux étaient comme une soie rare qui échappait aux doigts.
Elle fendit mon sexe de la pointe de sa langue et enfonça son doigt en moi aussi profondément qu’elle pouvait. Elle tourna sa main, et je compris qu’elle me connaissait vraiment sur le bout des doigts: elle trouva mon point g du premier coup! Elle le massait en petits cercles tout en lapant mon clitoris, avalant mes sécrétions d’amour sans en perdre une goutte.
’Tu as un goût délicieux tu sais !’
Elle m’offrit son doigt que je dégustais avec application, puis elle replongea en moi mais avec deux doigts cette fois-ci. Je remontais mes genoux pour m’offrir en entier, ce qui lui permit d’aller plus profond. Je tremblais comme une hystérique et poussais des gémissements consentis.
’Mon dieu, mon dieu.’
’Je ne suis que ta muse, mais je suis très flattée!’ plaisanta-t-elle.
J’aurais bien ri aussi mais mon orgasme naissant occupait tout mon être.
Elle s’arrêta brusquement, moi au bord de la falaise.
’Qu’est-ce que tu fais ?’
’Tu vas découvrir le vrai pouvoir du sexe mon enfant.’
Elle resta immobile un instant. Je coulais en continu dans sa main en agrippant mes seins. Ces secondes parurent interminable, puis elle fit pivoter sa main en écrasant mon point g tout en avalant goulûment mon clitoris.
J’ai alors compris le sens de l’expression "septième ciel" :
J’ai joui sans voix, sans bouger, mais tout tremblait autour de moi. Je ne respirais plus, j’étais la jouissance qui parcourait tout mon corps épanoui comme une fleur qui s’étire. J’ai explosé sur sa main et dans mon semi-coma, je l’ai aperçue se pourléchant de ma mouille avec délice.
C’est comme si je n’avais jamais joui.
J’ai flotté ainsi pendant un temps indéterminé avant de reprendre peu à peu conscience.
Léa était en train de boire une tasse de thé sur le balcon, et moi j’étais toujours nue, les cuisses trempées, liquéfiée sur le canapé. Bien que consciente je ne pouvais plus bouger.
’Tu es remise ? Lança-t-elle sans se retourner’
’Je crois oui. Dis-moi, j’ai perdu tellement de temps.’
’Ne t’inquiète pas mon amour, nous allons rattraper ça. Dès ce soir !’
(A SUIVRE.)