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Temps de lecture estimé : 5 mn
21/01/01
Résumé:  Vaincre la timidité n'est pas chose facile
Critères:  ff fbi fépilée bain voir exhib
Auteur : Marie  (Femme de 42 ans qui profite d'une nouvelle sexualité)

Série : Rencontre avec la sensualité faite femme

Chapitre 02 / 04
Rencontre avec la sensualité faite femme (suite)



La journée suivante m’apporta son lot de surprises et de frustrations.


Au réveil, ma première pensée fut pour Cristy. Je fermais les yeux à nouveau et son visage m’apparut dans toute sa beauté, sa rondeur, sa finesse. La seule chose qui fit me lever fut la pensée qu’elle serait dans la salle à manger principale pour le rituel petit-déjeuner collectif. Une heure après, tout était prêt et j’accueillais mes premiers convives. Comme la veille, Cristy arriva la dernière. Et, comme la veille, elle était vêtue de son seul peignoir blanc. Elle me sourit, puis porta son attention sur les jeunes gens déjà attablés et leurs souhaita un bon appétit. Elle s’installa au milieu d’eux et prit tout de suite part à la conversation. Elle était resplendissante. Ses yeux brillaient de malice. Ses lèvres légèrement humides me donnaient envie d’y glisser ma langue pour en apprécier le goût et la douceur. Par moments son peignoir s’entrouvrait et laissait voir la naissance d’un sein, la courbe d’une épaule. Je ne touchais plus terre. Mais, hélas, mon assistante me ramena à la dure réalité. Deux des cinq tracteurs spécialisés de l’exploitation était hors service et le contremaître pensait ne pas pouvoir faire sans. Je quittais donc, à regrets, la salle à manger en jetant un dernier regard en arrière. Elle ne me regardait pas. Je me rendis compte alors que tout le monde n’avait d’yeux que pour elle et ses sourires charmeurs. La petite peste !


Il n’y a rien de plus terrible que d’être séparée de la personne qui habite vos pensées. Chaque tâche devient alors une souffrance, un calvaire dont vous ne voyez pas le bout. J’essayais de me convaincre qu’il m’aurait été impossible de la suivre dans toute sa journée, mais mon envie d’elle était plus forte. Chaque heure qui passait me remplissait de désespoir. Quand enfin le problème sembla se résoudre, je m’éclipsais, laissant mon mari terminer le travail. Où étaient-ils tous passés ? Où était-elle ? Il était déjà presque 16h00. Le programme de la journée me revint. Pour ceux qui le désiraient, une promenade sur le coteau de Grettas était organisée. Accompagnés d’un historien, nos visiteurs pouvaient ainsi découvrir les traces visibles de notre très lointain passé : grotte, reste de sépulture, emplacement de foyer… Cristy n’était sans doute pas partie avec eux ! Essayant de contrôler mon excitation, je me précipitais au château. Personne ! Aux dires de mon assistante, ils étaient tous partis en promenade. L’excitation fit place à l’énervement. Le coteau n’était qu’à vingt minutes à pieds, cinq en voiture. Je me décidais pour la voiture en espérant qu’ils choisiraient de rentrer en coupant par la route. Mais je ne croisais personne. Arrivée sur place, je ne savais où les chercher. Au bout d’un moment à tourner en rond sans pouvoir me décider à choisir une direction, je vis arriver deux de nos pensionnaires : Sophia et un jeune homme dont je ne me souviens plus le prénom. Ils étaient fatigués. Ils rentraient. Selon eux, le groupe était toujours en contrebas, au niveau des maisons troglodytiques abandonnées, mais Cristy n’était pas avec eux. Elle avait disparue au bout d’une heure, et tout le monde avait pensé qu’elle était retournée au château. La seule explication était, qu’elle ait décidé de revenir en se promenant. Pour pouvoir suivre son cheminement jusqu’au château, je leur confiais ma voiture et décidais de me rendre au dernier endroit où ils l’avaient vu. Je fis la distance au pas de course. Personne.


A court d’idée, Je repartais dans l’autre sens en empruntant un chemin plus abrupt, taillé dans les ronces, qui descendait le long du coteau. Arrivée en bas, je longeais la rivière jusqu’au guet. Toujours personne. J’allais me résigner et remonter vers la propriété, quand j’entendis le bruit d’une éclaboussure en amont. Elle était là ! J’en étais sûre ! Je me faufilais le long de la berge en essayant de voir sans être vue. Oui, elle était là ! Elle nageait nue dans une piscine naturelle en contrebas d’un gros rocher. Ses cheveux plaqués par l’eau dessinaient parfaitement les courbes de sa tête et renforçaient la grâce de son cou. Son corps légèrement bronzé prenait, à la lumière du jour, une teinte plus pâle, plus fragile. La transparence de l’eau laissait percevoir nettement l’espace secret niché au creux de ses fesses qui à chaque mouvement de ses cuisses s’ouvrait et se refermait pour mon plus grand bonheur. Troublée, je m’assis tant bien que mal au couvert de branches basses. Cristy se mit sur le dos et fit la planche. Dans cette position, malgré la distance qui me séparait d’elle, je pus découvrir chaque détail de son sexe et, visiblement, elle en prenait soin. Le buisson brun que j’avais aperçu la nuit dernière ne recouvrait qu’un petit rectangle à la base de son pubis. Le reste était épilé avec soin. Elle devait souvent s’offrir ce genre de bain de soleil, car son sexe portait le même léger bronzage que le reste de son corps. Juste au-dessus de la surface de l’eau, son capuchon rose pâle devenait plus sombre en descendant vers ses petites lèvres entre ouvertes. Avec les clapotis qui venaient caresser son sexe, l’eau se troublait ne me laissant aucune vue sur la naissance de ses fesses et peut-être sur son anneau secret. Mon désir était à son paroxysme. Et alors que je me torturais en demandant si le moment n’était pas venu de lui montrer mon trouble envers elle, une légère gerbe d’eau vint éclabousser mon ondine. " Arrête de me taquiner ! Viens plutôt te baigner ! " Dit-elle en se retournant vers la rive opposée. Mon regard suivit le sien et je vis qu’elle n’était pas seule. Partiellement cachée par un groupe d’arbuste, apparaissait une silhouette féminine en robe claire. J’étais stupéfaite. Mon cœur semblait s’être arrêter de battre. En une seconde, je ressentis plus d’amour pour Cristy que durant ces dernières 24 heures. Et cet amour prenait la forme d’une douleur intense, d’un vide immense, d’une solitude indescriptible. Même si cela peut paraître stupide, je prenais conscience que je n’étais pas la seule personne dans sa vie. Quelles que soient les raisons de la présence de cette femme, Cristy n’était plus seule avec comme unique compagnon mon regard de voyeuse. Et, plus que tout, j’aurai voulu être cette femme qui n’avait pas à ce cacher pour la regarder.


Cristy se mit debout et commença à lui jeter de l’eau. " Viens ! Si tu ne viens pas, je vais entièrement t’arroser, et je ne sais pas comment tu pourras expliquer ça ! " La femme avait reculé. Cristy cessa ses jets d’eau. " Je vais rentrer " dit la silhouette. Je crus reconnaître la voix de Juliette, une autre de nos pensionnaires. " Attends moi, je sors ". Elle se dirigea vers la berge, puis s’arrêta un instant pour bien lisser ses cheveux dans son dos. Lorsqu’elle leva les bras, son corps se courba, tout en creusant ses reins, relevant ses fesses et dressant ses seins : j’étais à nouveau à elle.