Une Histoire sur http://revebebe.free.fr/
n° 01682Fiche technique23972 caractères23972
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Temps de lecture estimé : 18 mn
22/01/01
corrigé 19/07/07
Résumé:  Jeanette s'est vue offert une formation à Paris par sa compagnie. Mais comment va-t-elle profiter de ces 3 jours de temps libre ?
Critères:  grp fbi hbi hagé asie religion grossexe sales toilettes collection hsoumis facial fellation cunnilingu anulingus pénétratio fdanus fsodo hdanus uro fouetfesse init humour -perles
Auteur : Jeanette  (Jeanette... et tous les autres.)

Série : Jeanette se déchaîne

Chapitre 01 / 02
Jeanette se déchaîne (1)

C’est totalement par hasard que j’ai découvert le site Revebebe. Je m’y suis vite attachée. Il y a si longtemps que je n’avais plus lu de textes érotiques en français ! Je décidai d’envoyer mes propres histoires, et je commençai à lire celles des autres. Que de découvertes ! Un texte sublime (Merci, mon démon - 1253). D’autres chefs d’œuvres comme La vendeuse de chaussures - 924 ou Philippe et Marie (La rencontre) - 1101.

Bien sûr, il y a aussi des trucs nuls, glauques, ou dérangeants…


Je tombai par hasard sur la 1491, Anthologie des meilleures citations, et cela me fit bien rire ! C’est sans doute à cause de cela que je résolus de lire toutes les histoires, du début à la fin. En chemin, je réunis ma propre anthologie de trucs marrants (Ah, ces Canadiens !), d’expressions imagées, et de phrases choquantes.


L’autre soir, je relisais ma petite anthologie (qui commençait à s’allonger), et il me vint une idée baroque : pourquoi ne pas réunir toutes ces citations dans une seule histoire, dont je serais l’héroïne ? Le résultat promettait d’être dément, décousu, aberrant… Et inclure TOUTES ces citations, cela n’allait pas être de la tarte !


Voici le résultat… J’ai ajouté le numéro d’histoire à chaque phrase empruntée…






La compagnie ne m’a vraiment pas fait une fleur en m’envoyant donner ce cours à Paris, sous prétexte que je parle français ! Bien sûr, le français est ma langue maternelle, mais pour moi les termes techniques ont toujours été en anglais ! Donner ce cours a été une torture ! Heureusement qu’il y avait le restaurant chaque soir ! J’ai finalement pu bouffer des trucs civilisés, préparés par d’autres que moi, ce qui ne m’était plus arrivé depuis bien des années ! Ah, les moules au vin blanc, accompagnées de VRAIES pommes frites ! Ah, les croquettes de volailles ! Ah, la choucroute garnie, le steak au poivre, le boudin ! Le foie de veau, les croquettes de crevettes grises, les huîtres ! J’ai sûrement pris cinq kilos, mais je m’en branle ! Jean-Charles m’aime rondouillarde, il va être servi !


Et en parlant de se branler, bien sûr, je me suis mas-tur-bée chaque jour. Mais je suis sevrée de quéquette ! Jean-Charles, où est ta queue ??? Ma chatte et mon cul sont en manque ! Ma langue cherche ton sperme sur mes lèvres, sans rien y trouver !


La compagnie m’a généreusement donné trois jours de décompression, comme ils appellent cela, après la fin du cours. Trois jours de plus sans la queue de Jean-Charles ! Que faire ? La grande bouffe et prendre cinq kilos de plus ? Monter en Belgique où je ne connais plus personne ? Il me vient une idée perverse et excitante : pourquoi ne pas m’enfoncer dans le stupre et la fornication, comme disait Brassens ? Me faire ramoner tous les trous par des inconnus, des tarés, des crados ? Plonger dans la débauche la plus démente ? Me faire "gang-banger" ? Ma résolution est prise. Je quitte mon hôtel de luxe (il faut préserver la réputation de la compagnie), et en trouver un autre. Plus grand, moins cher, plus anonyme.


Il me faut maintenant recruter mon "gang-bang team". Comment faire ? Je veux des inconnus, de l’inattendu, de la surprise… Je mouille rien que d’y penser. L’endroit idéal ? Les TOILETTES, bien sûr. Tous les pédés vous le diront. Le problème, c’est qu’étant femme, je ne puis me permettre de m’installer devant une pissotière et de recruter les queues qui passent… Une petite ruse s’impose. Je me plante donc à la sortie des toilettes "Hommes", un bloc à écrire et un stylo à la main. Les quatre premiers qui sortent de là, QUI QU’ILS SOIENT, je les emballe ! SUSPENSE !


La porte s’ouvre… et un petit vieux apparaît… Merde ! Il doit bien avoir 75 ans ! Ridé comme une vieille pomme, le cheveu rare, un costume noir fripé et une cravate grise tachée. Sa lèvre supérieure s’orne d’une moustache blanche anémique. Et pour le reste, il est mal rasé, en plus ! Il tient un petit sachet qui semble contenir une cassette vidéo. Je l’accoste, et ses petits yeux vicieux semblent hypnotisés par ma poitrine.



Un grand prêtre en soutane, près d’1m90, 25 ans à tout casser, les cheveux plaqués de brillantine, essaye d’entrer dans les toilettes. Le petit vieux se précipite…



La porte s’ouvre à nouveau. Un grand mec crado. Pas rasé depuis trois jours. 1m85, mais probablement plus de 120 kilos. Il est habillé d’une salopette qui a été bleue dans un passé reculé. Il porte une grosse boîte à outils et un mégot trempé lui pend aux lèvres. Un visage ingrat et un peu bestial.



Ses yeux matent mes seins et il répond :



Sur ces entrefaites, la porte s’ouvre et je vois sortir un petit Japonais. L’air efféminé, le traditionnel costume bleu électrique, un chapeau sur la tête… Le petit vieux le tire par la manche.



Je les fixe alors avec mes yeux cochons (263*) :



Le vieillard sourit d’une façon lubrique. Le plombier émet un :



Mais le curé se rebiffe :



Il est temps de passer à l’action. Je lui file une grosse papouille bien mouillée et lui mets la main à la bite. Pendant que nous nous embrassions, j’ai senti son petit pain devenir baguette (xxx). Il se dégage et balbutie, avec un fort accent canadien :



Le curé ressort presque immédiatement et commente :



Nous nous dirigeons vers l’ascenseur. Le petit Japonais suit sans piper mot. Sitôt arrivé dans la chambre, le plombier s’exclame :



Je me fous à poil sans fioritures.



Le plombier regarde ma poitrine :



Et il s’avance les mains en avant.



Le plombier se recule en grommelant.



Et il brandit fièrement une cassette intitulée : Lesbiennes en rut.


Je pousse le curé sur le lit. Lui relève la jupe… pardon ! la soutane, et lui enlève la culotte et le caleçon. Je laisse la soutane, c’est plus excitant. Je découvre une queue d’une honorable dimension. Et en effet, il est vraiment bandé très dur !



Je glissai alors sa bite dans ma bouche et lui fis une fellation de la mort (234*). J’appelle cette technique "La pipe qui tue", car aucun homme ne résiste bien longtemps à un tel traitement (574). De temps à autre, j’abandonne sa banane pour me concentrer sur ses prunes (280*). Alors que j’étais en train de sucer, je sens un doigt me titiller l’anus. J’essaye de voir, mais je suis emberlificotée dans la soutane.



Mon curé a complètement oublié ses résolutions pieuses. Il me crie :



Il éjacule une quantité exceptionnelle de sperme. Je l’encourage dans sa langue natale :



J’émerge toute ébouriffée de la soutane, et regarde autour de moi. Le petit Japonais est assis dans un fauteuil, le chapeau toujours sur la tête, et se masse la bite, qu’il doit avoir bien petite, car on ne voit même pas de bosse. Mais son entrejambe est mouillé, il doit déjà avoir déchargé ! Le vieux et le plombier matent les lesbiennes sur l’écran : des déterrées avec des gueules de con, des truies avec des culs énormes, des boutons juteux, des vieilles défraîchies, des gamines insipides (148). Le vieux a allumé un joint, et ça pue la maudite drogue (435*).


Je me couche sur le dos, ouvre les jambes, et lui dis :



Le curé adopte tout naturellement la position du missionnaire. Il ne se sent plus. Il divague :



Je l’encourage :



L’abbé fout au diable ses dispositions œcuméniques. Il rugit :



Tout d’un coup, l’orgasme me prend et je beugle :



L’abbé s’exécute, puis sa queue ramollie glisse hors de ma chatte.



Il va s’agenouiller dans un coin et tombe en prières. Le petit vieux se lève et arbore son regard lubrique :



Et d’une légère poussée, il renvoie le vieux cadavre valdinguer dans son fauteuil.


Il se déshabille en moins de deux. Poilu comme un gorille ! Son sexe à moitié durci dodeline dans son caleçon (209*). Après s’être masturbé quelques secondes avec délectation, il exhibe une queue géante. Comme il a l’air d’hésiter un peu, je le pousse :



Je le pousse sur le lit où il s’affale, au grand dam du sommier. Je me positionne, la tête au-dessus de son membre, et frotte sur sa figure ma chatte toute dégoulinante d’un sperme sanctifié par l’Église. Je commence à le sucer vigoureusement. Il s’écarte de ma chatte, mais me pousse un doigt dans le cul. Je l’encourage :



Mais il ne l’entend pas de cette oreille :



Celle-là, je la trouve mauvaise !



Et je serre les mâchoires tout en compressant ses noisettes. Il a vite compris et obtempère. Je le suce sans pitié.



Je sens que la décharge n’est pas loin, et en effet :



Mais il ne sera pas dit que je subirai la domination de ce crado Néandertalien ! J’écrase l’urètre à la base de sa pine, et lui file un coup sur le plexus solaire.



Mon coup de poing a dû faire de l’effet, car il vide ses poumons dans mon cul, ce qui déclenche chez moi une pétarade des plus spectaculaires. Je me retourne sous lui comme une anguille.



Je place sa verge entre mes deux poires (280). Il semble reprendre du poil de la bête :



Je ne le contredis pas :



Ce qu’il fait illico, marmonnant :



Et il s’écroule, épuisé, haletant. Je le regarde avec mépris.



Je prends une pose obscène, les jambes ouvertes, la chatte écartée à deux mains.



Il en devient enragé :



Il s’enfonce brutalement. Je lui réponds, cherchant à l’exaspérer :



Je le sens éjaculer pour la énième fois (j’ai perdu le compte).



Je me jette sur lui et le chevauche sans pitié. Il se réveille, et accompagne mes mouvements, de plus en plus fort. Je sens la sensation monter.



Je m’écroule dans ses poils. Le plombier me passe la main sur la chatte, puis m’en frotte la bouche.



Je le fais, je m’en délecte sans vergogne.


Nous sommes affalés l’un sur l’autre. Il pue, mais je m’en fous. Nous étions prêts de nous endormir quand la voix du vieux crabe nous ramène dans la réalité :



Le plombier rugit :



Contrairement à mon attente, je vois son membre énorme se dresser vers le ciel. Il me l’enfonce sans aucun ménagement. Je couine !



La douleur m’étrangle, mais étrangement, je sens la chaleur monter.



Il triomphe !



La jouissance envahit mes tripes. Je crie :



Je perds contrôle, mais il continue à me pistonner l’anus.



Je ne suis plus maintenant qu’une chienne en chaleur. Je beugle :



J’explose en dix mille morceaux, je gicle par tous les trous, je jaillis, je gerbe, je chie, je bave, je jouis, je jouis, je jouis… (682*).


Je reprends conscience et regarde autour de moi. L’abbé est toujours absorbé dans ses prières. Le plombier ronfle dans un fauteuil. Le Japonais me sourit du bout des lèvres, d’une façon très sensuelle. Le chapeau toujours sur la tête, la main toujours massant son entrecuisse, le pantalon de plus en plus taché. Le générique de fin des Lesbiennes en rut se déroule sur la TV. Le vieillard est debout et regarde ma nudité baveuse.



Là, je suis plutôt ébahie, mais après tout, chacun son truc… Je le fixe alors avec mes yeux cochons (263bis*), et lui baisse la culotte. Le salopard ne porte pas de caleçon, et son hygiène me semble douteuse. Il a une pauvre petite quéquette toute recroquevillée. Je le couche sur mes genoux et le fesse gentiment, de peur de le casser.



C’est sans doute ce qu’il entend par "volupté" ? Ben j’y vais plus fort, plus fort, et plus fort encore. À ma stupéfaction, je sens quelque chose durcir contre ma cuisse. Son pauvre petit cul osseux est rouge brique.



Je donne quelques coups de plus, pour qu’il atteigne bien la volupté qu’il recherche. Il se relève et dévoile une érection des plus étonnantes. Ce petit vieux avait un pénis pas long, mais gros en maudit. (619*)


Mathusalem semble maintenant en pleine forme. Il se caresse avec admiration, comme s’il venait de découvrir un nouveau jouet. Visiblement, il s’aime, tout plein tout plein.



Cela dit, il s’assied sur mon ventre et commence à se masturber vigoureusement. J’observe avec curiosité. Le départ était frénétique, mais il ne peut maintenir la cadence, et ses mouvements deviennent plus lents et plus saccadés. Le petit Japonais se lève et vient observer de près. Le pauvre petit Steve n’arrive même plus à se décalotter. Mais le Japonais prend la chose en main. Tout en me regardant droit dans les yeux, il passe sa main sur ma chatte (toujours dégoulinante du sperme du plombier) et lubrifie l’énorme gland. Il le triture sans pitié, pendant que son autre main masse ses roubinettes. Sans doute alerté par des réactions favorables, il lâche le gland et les noisettes, et branle la courte tige entre le pouce et l’index, pendant qu’un doigt de son autre main s’introduit dans l’anus gériatrique.



Trois petites gouttes me tombent sur le nombril. Généreuse, je les ramasse du bout des doigts et me les frotte sur la joue. Steve est aux anges.



Il récupère son pantalon et sort d’une poche une longue cordelette. Il lie mes pieds aux pieds du lit. Il se relève, pour me lier les mains, mais un signal d’alarme retentit dans ma tête.



Il a l’air désolé. Entre temps, le Japonais est retourné dans son fauteuil et le plombier est venu aux nouvelles.


Steve effleure mes poils du bout de la langue, puis s’arrête, l’air désolé.



Je sursaute.



Il me plaque sur le lit. Le petit vieux se précipite vers la salle de bain et en revient avec une petite pochette étiquetée « Shaving kit for travellers ». Il en sort un rasoir Bic mal aiguisé et se met à me racler la toison. Je hurle :



Le Japonais s’est levé. Mais le prêtre le devance.



Et il arrache le rasoir de la main de Steve, qui devient mielleux :



Steve exulte :



Le plombier et l’abbé me tiennent solidement. Mes jambes sont liées. Steve se précipite sur la corbeille à fruits, et revient triomphant avec une longue banane bien verte qu’il m’enfonce brutalement dans l’anus. Je hurle :



Le Japonais se lève et profère d’une voix de fausset :



Le plombier se met à rigoler :



Le curé me lâche :



Et il s’avance, menaçant. Le Japonais arrache son chapeau et une longue chevelure noire déferle sur son dos. Sa jambe gauche se lève comme l’éclair et son petit soulier écrase les couilles de l’abbé, qui ne le se fait pas dire deux fois et prend la porte.


Le Japonais… la Japonaise ! saisit l’ami Steve par les cheveux et le jette en bas du lit. Le plombier me lâche. Avant qu’il ait eu le temps de se jeter sur elle, je mets toute ma force dans un atémi sur sa pomme d’Adam. Il s’effondre en hoquetant, et lui aussi prend la porte.


Nous sommes seules avec Steve, qui n’a plus l’air de fantasmer. La Japonaise lui fait faire le tour de la chambre à quatre pattes en le tirant par les cheveux, puis lui enfonce une banane dans le cul et le jette dehors.


Je titube vers la salle de bain et m’assieds sur le WC. Me voilà, la bouche pleine de foutre, la chatte dégarnie et le cul plein de merde. Mais finalement tout va bien (284*). Je me sens putain, mais je me sens bien (612*).


La Japonaise me donne un léger baiser sur les lèvres. Fait couler la douche. Lave la merde de mon cul et le foutre de mon corps. Je me laisse faire comme une poupée morte. Elle me souffle à l’oreille :



Elle m’aide à me rhabiller.


BANG BANG BANG BANG BANG !

La porte retentit.



Nous nous enfuyons par l’escalier d’incendie…




À suivre…


Bisous, Jeanette.






Note du site Revebebe : Les numéros de textes suivis d’un astérisque ont été supprimés du site pour des raisons diverses.