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n° 01712Fiche technique13807 caractères13807
Temps de lecture estimé : 11 mn
27/01/01
corrigé 17/10/23
Résumé:  La suite des rencontres entre Bernard et Odile dans les collines. Dans cet épisode, Odile qui prend des leçons de conduite emprunte le volant de la voiture de son amant.
Critères:  fh grosseins campagne voiture voir photofilm fmast hmast intermast entreseins pénétratio -initiat -extraconj
Auteur : Bernard_Photographe  (Bernard - Photographe amateur)      

Série : Les collines d'Odile

Chapitre 03 / 06
L'Accident (Les Collines d'Odile -3-)

« L’Accident » (Les Collines d’Odile – 3 –)



Sans hésiter ni réfléchir, je me retrouve sur Odile, frottant mon corps doucement sur le sien… Un délice !

La chaleur du soleil dans mon dos, l’odeur des pins, le bonheur ! Je l’embrasse à pleine bouche, elle me serre fort dans ses bras et ses cuisses se relèvent… Je me souviens encore m’être soulevé pour ne pas l’écraser, et d’un coup, sans qu’on fasse quoi que ce soit, je sens mon sexe entrer dans le sien. Tout doucement, comme dans un rêve, ses chairs les plus tendres s’ouvrent et m’accueillent dans leur intimité brûlante et mouillée. Elle pousse un gros soupir, me regarde avec des yeux troubles et me dit tout simplement qu’elle a envie de jouir ! Je suis très troublé moi aussi de voir cette miniature enfin sous moi, depuis tout ce temps à la chercher !

Je fais à peine quelques va-et-vient qu’elle s’accroche à mon cou et bouge son bassin en criant plusieurs fois mon prénom. Je ne peux résister… je me vide en elle, un plaisir immense. Je n’arrête pas de jouir et elle aussi tremble de partout. On reste l’un dans l’autre ainsi un moment, je me soulève pour la contempler… Elle pleure, mais me dit vite :



Il faut hélas arrêter, se séparer difficilement, rentrer, mais avec la promesse d’un rendez-vous prochain !


Une semaine plus tard en fait, avec la précaution d’un rendez-vous dans une rue proche, n’ayant pas envie de me retrouver dans un placard… Insolite, mais difficile à vivre !


Je la vois arriver en pantalon et avec un petit haut visiblement sans soutien-gorge, car ça ballotte fort devant. Cette fois, je la filme en 8 mm (que je regarde encore avec une nostalgie très forte).


Elle me sourit et m’embrasse, on part très vite en discutant en direction de mes collines préférées. J’apprends qu’elle va passer le permis, tout au moins suit-elle des cours. Elle me demande, ou plutôt je lui propose de conduire ma voiture. Elle roule au ralenti puis prend un peu d’assurance, trop sans doute : une descente, un virage pris trop vite, et on frôle la catastrophe, la voiture venant s’arrêter contre un bosquet à un mètre cinquante de la piste. Sous le bosquet se trouvent quarante mètres de forte pente ! Paniquée, moi aussi, elle se met à pleurer. J’essaie de la rassurer, reprends la piste et me gare à l’ombre où il y a des tables de pique-nique… ouf ! On se ressaisit, on s’embrasse, je la cajole et lui montre les photos, elle les trouve si bien que je lui en refais tout de suite… On oublie qu’on a failli mourir en s’embrassant comme des fous, elle assise, moi debout… Je lui dénoue les bretelles de son petit haut, l’enlève et le jette au bout de la table… Elle me regarde en se cachant la poitrine :



Je la vois rougir. Elle baisse les yeux, ses mains s’écartent, mais curieusement, innocemment, elle les laisse de chaque côté et pousse un peu ses seins l’un contre l’autre : vision sublime !


J’ai envie de la provoquer, de lui faire faire des trucs qu’on ne lui a sans doute jamais demandés… Je recule et lui propose de se caresser un peu les seins. Elle le fait gauchement, mais elle le fait, ça me surprend et m’encourage à faire plus. Elle a toujours les yeux baissés et regarde ses seins qui se déforment sous ses mains, c’est dingue et très excitant… Je sors mon sexe sans qu’elle le voie et me masturbe lentement…



Je la vois regarder mon sexe dans ma main, puis ses yeux me fixant, elle me dit « Je suis contente de te faire bander » avec son petit accent si particulier, c’est chavirant, peut-être le seul mot osé qu’elle connaît ? Je n’ai jamais dit à personne que j’aimais me branler, pourquoi le dis-je à elle en particulier ? Sa réponse me reste gravée :



Curieux, je m’approche d’elle, lui demande comment et où elle s’était caressée :



La masturbation féminine m’a toujours fasciné et je lui dis que ça me plaît beaucoup qu’elle le fasse en pensant à moi, puis je me penche pour l’embrasser ; elle a toujours les seins dans ses mains et se triture les tétons, assise sur le banc ; j’approche alors mon sexe de sa poitrine et le glisse entre ses deux jolis globes ! Surprise, elle me regarde :



Elle s’applique, reprend mieux ses seins et les écrase sur ma queue… Je fais des va-et-vient et ça l’amuse de voir mon « bout » apparaître :



Elle se lève, je lui déboutonne le pantalon, le fait glisser, mais elle tient sa culotte… J’insiste, je veux l’enlever !



Je proteste, elle rougit, ne veut pas, mais finalement ça m’amuse, je n’ai jamais fait l’amour avec une culotte ! Je l’enlace, on s’embrasse comme des amoureux fous, frottant nos bustes. Je me débarrasse vite de mes vêtements et place une grande serviette sur la table. Je l’entraîne vers le bout de la table, sa main me serre très fort, elle respire vite, on ne dit plus rien. Je la tourne et incline son buste vers la table, ses seins s’y écrasent, son joli visage est tourné, ses yeux fermés.


Je lui caresse le dos, ses seins débordent ; elle a les bras écartés, tenant les bords de la table, totalement offerte, prête à me recevoir, mais je fais durer le plaisir. Je caresse ses fesses sur la culotte, ses cuisses où je frotte mon sexe que je promène partout, c’est un délice : mon gland entre le haut de ses cuisses et contre l’entrejambe de sa culotte… mes ongles sur son dos la font trembler. Puis, je me mets à genoux et lui embrasse les cuisses, les fesses… Je sens son odeur de femelle et écarte sa culotte, j’ai à peine le temps de passer ma langue le long de son sillon fessier qu’elle me repousse le visage en me disant de « la mettre ». Je n’en peux plus, je me redresse, écarte le tissu et glisse un doigt curieux, elle pousse un petit cri, elle est trempée, je fais quelques va-et-vient, elle se cramponne à la table et me demande à nouveau de « la mettre ». Je ne résiste plus, mon gland remplace mon doigt, elle halète déjà, je pousse mon sexe en elle, c’est brûlant dedans et je m’enfonce totalement. J’ai déjà envie de jouir, je ne bouge pas, savourant cette chaleur, cette brûlure, mais elle bouge sous moi, se redresse un peu, se tenant toujours sur les côtés. Je saisis ses seins, les pétris, durcissant les tétons entre mes doigts, puis on glisse l’un dans l’autre comme dans un rêve, la culotte frotte sur mon sexe et décuple mon plaisir.


Je me redresse pour ne pas l’écraser et aussitôt elle se pousse sur moi avec ses bras. Je ne bouge plus, c’est elle qui fait tout et je l’encourage :



Quel contraste que de la voir bouger comme une habituée alors que son visage rougissait quelques instants plutôt ! En haletant, elle me demande :



J’en profite pour écarter sa culotte et regarder sa « raie », je vois ses poils soyeux et son petit trou qui se contracte, on explose dans la même seconde ! Elle respire comme une femme qui accouche, s’affale sur la table tandis que je me vide en elle. Quel bonheur !

On reste ainsi « emboîtés » en reprenant nos souffles, et à peine je me dégage qu’elle se retourne, m’enlace et me tend ses lèvres en me disant :



Oublié « l’accident », heureusement ! On range les photos, je lui en fais quelques-unes, puis, je sors ma caméra, et alors qu’elle est rhabillée, je lui propose de faire l’inverse. Elle finit par accepter, je vois réapparaître ses superbes seins, sa culotte, et elle finit par l’enlever, mais en cachant sa minette ! C’est dingue, ça ! Puis j’installe la caméra sur un pied - j’avais tout prévu - et un déclencheur à distance. Je la caresse, puis la mets en route : elle est de profil, moi de face, je lui tripote les seins et pose sa main droite sur mon sexe qui renaît.

Ma main droite lui caresse les fesses, je suce un téton puis on s’embrasse. Elle me branle maladroitement, je lui montre, elle s’applique en bon élève, contente de voir qu’elle se raidit encore.



Elle débite ça très vite, les yeux baissés comme pour s’en débarrasser. Je l’embrasse et lui demande bêtement si elle préfère ce qu’on fait. C’est un grand OUI tout de suite et j’en suis ravi, mais combien désolé pour elle, mariée à un imbécile qui ne sait pas qu’il a un bijou, une perle à ses côtés et ne sait pas l’apprécier.

Je lui demande de « me faire un bisou » sur le sexe, elle ne veut pas. J’insiste et elle finit par y poser ses lèvres sans vraiment sucer, mais c’est un début ! Tout à faire, et ça me plaît ! Puis elle me masturbe de mieux en mieux et ne veut plus que je la touche pour mieux me faire jouir, fasciné par mon gland qui apparaît et disparaît sous ses va-et-vient. Je lui annonce que ça « monte », que je vais partir, elle m’encourage de la voix, et quand soudain je gicle, elle est surprise que ça aille aussi loin et qu’il y en ait encore avec ce que je lui ai déjà donné tout à l’heure… Quel divin plaisir !


Après-midi sublime (malgré le début !) personne ne nous a dérangés pendant nos ébats et nous regagnons la voiture, nus tous les deux sous le soleil, elle-même reconnaît qu’elle est bien ainsi ! Je la persuade de rester nue dans la voiture pour reprendre la piste, elle met sa culotte, c’est déjà formidable (j’avais remis mon slip aussi !), car je lui caresse la poitrine sans arrêt et elle aime cette situation.


On pense déjà à un autre rendez-vous et, une semaine plus tard, nous repartons dans nos collines, un peu déçus qu’elle soit indisposée, mais cela nous permet de découvrir d’autres plaisirs : en premier, après avoir bien flirté dans la voiture, je lui demande si elle veut bien me montrer comment elle se caresse en pensant à moi. Elle finit par accepter si je fais pareil.


On préfère se mettre dehors et, pour plus de confort, je sors le siège de ma Simca 1100 (certains se souviennent ?). Je me déshabille, elle reste dans sa petite robe dont je descends les bretelles pour sortir ses seins du soutien-gorge. Je les lui caresse et ME caresse le premier pour l’inciter à commencer… elle regarde mon sexe, puis sa main disparaît sous sa robe pour toucher son entrecuisse. Pour l’exciter, je lui dis que je me branle souvent entre nos deux rendez-vous :



Elle s’arrête !



Après :



Je la remercie de me dire tout ça, puis je lui relève la robe lentement… sa main est sous la culotte et s’agite, c’est superbe ! Je ne dis plus rien, on se regarde le sexe mutuellement… elle respire fort. Elle est déjà tendue, je pense à autre chose pour ne pas jouir. Odile sent monter son plaisir et, d’un coup, je suis surpris qu’elle baisse sa culotte, l’enlève très vite, écarte ses cuisses à demi renversées sur le siège, elle halète en frottant très vite son index sur son bouton… Je vois la ficelle blanche en dessous et je l’encourage à continuer à jouir sans honte. Elle pousse un petit cri, prononce mon prénom plusieurs fois en jouissant et en serrant très fort ses cuisses.


Elle reprend ses esprits, me regarde, les yeux mouillés !



Je ne dis rien, lui enlève la robe, mais laisse le soutien-gorge en place, puis je glisse mon sexe en dessous, c’est une sensation incroyable, mais ça frotte. Je l’enlève et je presse mon sexe entre ses seins. Elle regarde, je lui incline la tête, elle me branle elle-même et, naturellement, sa langue touche mon gland ! Je n’en reviens pas de voir ça et, bien qu’ayant une envie folle de jouir, je fais durer le plaisir. Je garderais toujours cette vision en moi : elle, assise sur ce siège de voiture, moi à califourchon sur elle, mon sexe prisonnier de ses globes qu’elle serre fort de ses mains, et ce petit bout de langue qui touche mon gland à chaque fois ! Inoubliable !

C’en est trop, je lui dis que je vais partir, que ça vient. Tout en lui caressant les cheveux, je lui tiens un peu la tête quand ma première giclée lui part entre les lèvres ! Elle a un mouvement de recul et ferme la bouche où mon sperme se répand (à l’époque, je n’avais pas fait ça souvent, je pense même pas du tout). Je lui fais mes excuses :



Je la vois déglutir ma giclée et je lui nettoie la bouche…



On se met à rire comme des gosses, mais j’en profite pour lui dire que si ce n’est pas mauvais, on pourra recommencer et elle ne dit pas non.



Nous venions de faire un grand pas dans le plaisir et, comme il nous restait encore du temps, on s'est promèné à poil dans cette belle nature en se remerciant mutuellement pour ces moments formidables.

Hélas, l’été arrivant, les vacances nous séparèrent ! Sans rendez-vous précis, je viendrais taper à sa porte…


À suivre, donc…