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n° 01731Fiche technique19670 caractères19670
Temps de lecture estimé : 11 mn
28/01/01
Résumé:  Suite du premier épisode...
Critères:  fh religion amour intermast fellation cunnilingu 69 pénétratio init
Auteur : Tylodine  (Ca m'est vraiment arrivé... ou ça aurait pu ??)            Envoi mini-message

Série : Soeur Cécile

Chapitre 02 / 03
Soeur Cécile - l'Orgue n°2



Sœur Cécile - l’orgue - n°2


Sérieuse comme une papesse, quoique les joues rouges, et la respiration plutôt rapide, Cécile s’était remise au clavier, entamant avec un entrain quelque peu inhabituel un choral de Bach.

Me faisant tout petit dans mon coin, j’observais avec amusement les regards interrogateurs lancés par les religieuses dans la direction du buffet d’orgue, de façon détournée évidemment, celui-ci se trouvant dans leur dos.

Entre temps, l’interprète avait repris un rythme plus mesuré et, lorsque la mère supérieure fit son entrée tout était revenu à la normale.


Lorsque l’office se termina, la supérieure vint nous voir à la tribune, accompagnée des deux autres novices.



J’étais sur des charbons ardents, partagé entre la crainte de voir notre subterfuge percé à jour par la supérieure dont le regard bleu me paraissait d’une perspicacité redoutable et la crainte d’être contraint d’abandonner en si bon chemin mon idylle avec Cécile.


Détaillant la religieuse sans trop en avoir l’air, je réalisais tout à coup qu’elle ressemblait beaucoup à sa nièce. Agée d’environ 45 ans, c’était encore une grande et belle femme dont l’uniforme parvenait assez mal à dissimuler quelques rondeurs, ma foi, bien placées.


Le dialogue entamé entre nous trois me semblait en plus, tellement équivoque, que je craignais que la tante ne soit pas dupe de notre manège.

Dupe ou non, Mère Maria, c’était son nom, ne fit aucune difficulté pour m’accorder la prolongation sollicitée, nous demandant simplement de la faire appeler sitôt le travail achevé.

Elle partit ensuite dignement, escorté de ses deux jeunes acolytes.


Nous reprîmes aussitôt nos activités interrompues par l’office, Cécile exécutant à l’orgue une série d’exercices, gammes et passages de musique liturgique, et moi jouant avec les réglages de l’instrument, simulant sans vergogne les défauts les plus divers.


Lorsque nous eûmes suffisamment de matière musicale en mémoire, Cécile remit en marche automatique (et aléatoire) l’appareil… vive le progrès !


Au fur et à mesure de l’avancement de nos manigances, je sentais une fébrilité croissante se manifester…

Une certaine rougeur des joues, un léger tremblement des mains, matérialisé par quelques fausses notes retentissantes chez Cécile.

Je n’étais pas en reste…le cœur battant, le sexe tellement raidi que j’en étais gêné pour marcher et que je voyais venir le moment ou il allait dépasser de ma ceinture, j’étais dans un état d’excitation que je maîtrisais à grand peine.


Nous reprîmes sans un mot le chemin de notre tour. Je suivais des yeux la robe bleue de Cécile qui semblait voler de marche en marche.


Lorsque la porte se referma sur nous, essoufflée, elle s’y adossa, semblant soudain hésiter.

Le jour allait se terminer et, dans la demi-pénombree qui s’installait, je voyais sa main comprimer les mouvements de sa poitrine haletante.

Je caressais doucement sa joue veloutée, et posais un léger baiser sur ses lèvres.

Je sentis sa bouche fondre sous la mienne, sa langue au goût de fruit s’y insinua doucement, puis plus hardiment, tandis que son corps se collait contre le mien.


Dans les dernières lueurs du soleil couchant, Cécile, debout, se mit à ôter sans même une hésitation l’espèce de grossier corsage qui lui comprimait la poitrine.


Et soudain, elle fut là, nue jusqu’à la ceinture, sa cornette et son voile encore sur la tête, rougissante, tentant de cacher sans trop y croire sa poitrine aux mamelons dressés vers moi.

La prenant dans mes bras, je sentais leur pointe me caresser le torse à travers la chemise.

Je voulus dégrafer sa robe de bure bleue, mais elle me prit les mains et, les mettant autour de son cou, elle entreprit d’ôter ma chemise, presque brutalement, deux boutons sautèrent au passage.

Nous étions tous deux torse nu et le contact de nos corps semblaient générer un véritable champ électrique.

Revenant à la charge, je fis glisser jupe et culotte sans qu’elle réagisse autrement qu’en enjambant le petit tas de tissu tombé à ses pieds.

Son corps s’offrait à moi, impudique, le bleu de ses bas et de son voile mettant en valeur la blancheur nacrée de sa peau, à peine éclairé par la douce lumière du jour finissant.

Le chapelet à gros grains de buis qu’elle portait autour de la taille était resté en place, le crucifix se promenant curieusement à côté de la blonde et clairsemée toison qui folâtrait entre ses jambes.


Pétrifié par cette vision, je n’osais même plus la toucher, ce fut elle qui fit le premier mouvement, soudain, comme libérée par sa nudité.



Elle prit un grand pique-cierge, encore muni de sa chandelle de cire et l’alluma, faisant naître une douce lueur jaune.


S’agenouillant devant moi, elle défit ma ceinture et la fermeture de mon jean, révélant du même coup l’érection qui faisait dépasser, ô combien, ma verge, de la ceinture du slip…

Elle hésita un court instant, se pencha pour déposer y un baiser, puis, s’enhardissant, elle fit descendre pantalon et slip jusqu’au bas des pieds.

Mettant ses bras autour de mes cuisses, elle appuya sa tête contre mon vit, frottant doucement sa joue contre la tige de chair rigide. Je sentais la douceur de sa peau et le contact soyeux de ses cheveux, et je ne tardais pas à atteindre un état d’excitation tel que je vis venir le moment ou il me serait impossible de tenir !

Me débarrassant de mon jean, je fis se relever Cécile et, la prenant dans mes bras, j’allais la déposer sur l’amas de rideaux formant une sorte de couche.

Je m’agenouillais à ses côtés, et fis courir ma main sur son corps, épousant la courbe du cou, le contour des seins, évitant les mamelons trop sensibles, je descendais autour du nombril sur lequel, me penchant, je fis glisser ma langue, provoquant chez ma partenaire de petits gloussements de bon augure.

Cécile avait inconsciemment serré les jambes sur le triangle doré soulignant plus qu’il ne cachait la naissance de son sexe.

Promenant mes doigts dans les poils frisottés, je soufflais doucement sur la douce toison, reposant ma joue sur une cuisse que je sentis se décontracter sous la caresse.

Profitant de ce léger relâchement, ma main partit en exploration un peu plus bas, à la jonction des cuisses, qui, progressivement, s’écartaient, comme pour me permettre d’accéder à la rondeur d’une motte qui vint bientôt se nicher au creux de ma main, ronde et veloutée comme une pêche.


Cécile n’osait guère bouger ; toutefois sa main droite me caressait le dos, descendant jusqu’à la naissance des fesses, pianotant le long de ma colonne vertébrale et le cou.


Remontant doucement ma main vers son ventre, je caressais, comme par inadvertance, d’un majeur délicat, la fente qui petit à petit s’ouvrait à mon contact, tiède et incontestablement humide.


Un gémissement à peine audible s’échappait maintenant en continu des lèvres de la jeune fille, tandis que la caresse de sa main se faisait moins légère, et que de son autre main elle caressait les mamelons rigides de sa poitrine.

J’accentuais petit à petit la pression de mon doigt, montant et descendant le long des lèvres gonflées desquelles suintait maintenant une humidité de plus en plus abondante.

Lorsque soudain je sentis sous mon doigt le bouton turgescent du clitoris, pointant hors de son petit capuchon de peau, Cécile se cabra en poussant un petit cri et planta pratiquement ses ongles dans ma peau.

Elle remonta ses jambes comme pour protéger cette zone si sensible, ce qui eut pour effet …de m’en faciliter l’accès par-dessous. Saisissant sa jambe droite, je la fis passer par-dessus mon épaule et vins appliquer mes lèvres à l’endroit même ou mon doigt venait d’allumer l’incendie.

L’odeur suave et délicate qui se dégageait de son sexe emplit mes narines et m’enivra au point que j’en perdis toute inhibition.

Reculant un peu ma tête, je contemplais enfin de près l’objet de mes fantasmes d’adolescent, écartant délicatement de mes doigts les deux grandes lèvres, je pus enfin apercevoir, surmontée du bourgeon incarnat du clitoris, l’entrée étroite du vagin, bordée de ses deux petites lèvres, luisantes et gonflées.


Je promenais ma langue à l’entrée de cette grotte encore inviolée, la sondant de plus en plus profondément, buvant avec avidité la liqueur qui en sourdait abondamment, tandis que le corps de Cécile se tordait sous mon baiser.

Une suite de mots entrecoupés de cris de plus en plus rapprochés m’encourageait dans mes explorations et soudain, alors que j’agaçais du bout de la langue et des dents le petit sexe fièrement dressé hors de sa cachette, un premier orgasme la secoua, nous faisant presque basculer au sol.



Je me redressais, exhibant devant ses yeux ébahis un phallus triomphant, pointé vers le plafond et tellement rigide que j’en avais mal.



Un peu hésitante au début, elle prit vite de l’assurance, suivant du bout du doigt la grosse veine qui palpitait le long de ma verge, elle arriva aux bourses qu’elle se mit à caresser et à soupeser.

Posant ses lèvres sur le gland écarlate, elle déposa un premier baiser, puis un second un peu plus appuyé, entrouvrant timidement la bouche.

La langue ne tarda pas à être de la partie, déposant un filet de salive sur le frein et provoquant chez moi une onde de plaisir qui me mit au bord de l’éjaculation.



Reprenant mon vit dans sa bouche gourmande, elle entama une fellation, laquelle, sans être d’une grande technique, devenait de plus en plus efficace, transformant ma tentative de maîtrise en un véritable supplice.

Je sentais sa chatte humide et ses seins fermes se frotter contre ma jambe, accentuant encore mon excitation et…ce qui devait arriver arriva…un spasme que je ne pus maîtriser me serra les couilles et poussant un cri d’avertissement, j’éjaculais dans sa bouche, manquant de l’étouffer !

La coquine, pour une novice, avait de la ressource, avalant mon foutre chaud comme une chatte déguste son lait, avec de vrais ronrons de plaisir, elle accentua encore sa caresse, engloutissant mon chibre jusqu’à la racine et le ressortant, gluant du sperme qui giclait encore par saccades et lui coulait de chaque côté de la bouche.

Lorsque la fontaine se tarit, elle fit consciencieusement la toilette de ma queue toujours raide ; le spectacle de cette douce jeune fille en pleine folie érotique m’empêchant de débander malgré ma récente prestation !



Tout en parlant d’un air apparemment détaché, nous nous étions étendus sur notre couche improvisée, sans cesser de nous regarder, de nous toucher, de nous caresser.

Loin de nous avoir épuisés, cette première passe d’armes nous avait électrisés. Je sentais de nouveau cette tension, cette douleur s’accumuler entre mes jambes, la vue et l’odeur de la chatte que Cécile promenait impudiquement sous mon nez me rendait fou.

Allongée sur le côté, une jambe relevée pour me permettre un accès plus facile, elle avait les yeux fixés sur mon vit congestionné.

Nous fumes rapidement, l’un et l’autre en possession de l’objet de notre convoitise, moi, la tête entre ses jambes, explorant de la langue et des doigts les moindres replis de son corps ; Elle, mordillant doucement le gland violacé encore luisant de foutre.

Introduisant doucement le majeur dans l’entrée de sa grotte virginale, j’en sondais l’étroite et veloutée

profondeur, facilité dans ma progression par les abondantes secrétions qui continuaient à suinter de ses parois.

Cécile, tout en continuant de sa langue agile la toilette de ma queue, releva encore d’avantage sa jambe pour m’en faciliter l’accès, ce dont je ne manquais pas de profiter, massant de mon doigt la membrane fragile de l’hymen dont je pouvais sentir la présence.

Jouant tantôt de la langue, tantôt du doigt, je forçais légèrement le passage, provoquant chez Cécile des ondes de plaisir qui se traduisaient par des contractions de tout le corps, accompagnés de halètements et de petits cris.

J’eus bientôt l’impression d’avoir un peu agrandi l’orifice, mon index rejoignant son compère le majeur dans ce semblant de coït digital qui se traduisit par un nouvel orgasme de ma partenaire, inondant ma main de sa cyprine.

Elle s’était de nouveau jetée sur mon dard, l’engloutissant jusqu’à la racine, puis le ressortant, avant de l’aspirer de nouveau, faisant buter le gland au fond de sa gorge.

Nous nous acheminions rapidement vers une nouvelle explosion, et je dus prendre sur moi pour en retarder la venue, abandonnant ma position, je m’allongeais sur le dos et fis installer Cécile à califourchon sur mes cuisses, ma verge dressée venant buter contre son ventre.


S’allongeant sur moi de tout son long, elle vint m’offrir ses lèvres et nous échangeâmes un long et profond baiser, épicé à souhait des parfums (lubriques !) que chacun avait volé à l’autre.

Je sentais la douce toison et les lèvres de son sexe frotter le long du mien, tandis qu’une plainte à peine audible sortait de sa bouche entrouverte.

Cécile montait et descendait doucement sur la verge rendue bien glissante, jusqu’à l’instant ou son mouvement ayant pris de l’ampleur, celle-ci vint buter à l’entrée du vagin, le gland y pénétrant d’un coup de quelques centimètres.

Craignant de lui faire mal, je n’osais faire un mouvement ; Cécile, se redressant un peu, les deux mains serrant mes épaules, ondulait doucement du bassin, poussant la tige de chair à l’intérieur de l’étroit orifice.

L’hymen, rendu plus malléable par nos précédents ébats, céda d’un seul coup, et je m’enfonçais en elle pratiquement jusqu’aux couilles, tandis qu’elle poussait un " aaooh ! " de douleur d’abord et de ce qui ressemblait fort à de la satisfaction.

Elle s’abattit sur ma poitrine en tremblant, nichant sa tête au creux de mon cou tandis que des larmes ruisselaient le long de son visage.

J’étais là comme un idiot, ne sachant quelle attitude prendre, je me contentais de rester planté en elle, plus dur que jamais, lui caressant le dos et les cheveux tout en séchant ses larmes par de petits baisers.

Le sexe n’exclut pas la tendresse et, à cet instant je compris que, malgré notre fringale érotique, le don que Cécile venait de me faire de sa virginité resterait, quoique la vie puisse faire de nous dans le futur, gravé dans ma mémoire.

Ces digressions philosophiques ne durèrent que l’espace d’un instant…se redressant au-dessus de moi, sa petite langue humectant ses lèvres, la nouvelle femme qui venait de naître commença, oubliant la douleur, à bouger sur ma queue prisonnière.

Les mains toujours appuyées sur mes épaules, les seins oscillant d’un mouvement synchronisé avec ceux de sa croupe, elle monta doucement, amenant mon gland juste à l’entrée du con, puis se laissa redescendre jusqu’au moment ou celui-ci buta carrément au fond du vagin, mes couilles caressant ses fesses.

Le mouvement s’accéléra rapidement, rythmé par le ballet, ô combien érotique, des seins au bouts érigés et, au moment ou Cécile poussait un nouveau cri de jouissance, tandis que son miel ruisselait sur mon ventre, je me vidais en elle en longs jets brûlants, ma verge si gonflée et sensible que j’eus l’impression qu’elle allait éclater sous la pression.

Nous ne nous arrêtâmes pas de suite, continuant notre chevauchée jusqu’au moment où, épuisés, nous nous effondrâmes l’un contre l’autre, sur notre lit improvisé et dévasté…

Le cierge était presque entièrement consumé, comme le peu de temps que nous avions pour être ensemble.

Cécile, blottie contre moi ne disait rien, se contentant de serrer entre ses cuisses luisantes de sperme, avec de ci, de là, quelques filaments de sang, seuls témoins de sa virginité envolée, mon sexe revenu à une dimension plus réduite.

Une odeur douceâtre flottait dans notre réduit, mélange pas désagréable, de cire, d’encens et de sperme, un peu incongru dans ces lieux décidément voués au culte (*)…


C’est à ce moment que, reprenant mes esprits, je constatais deux choses inquiétantes…

Plus aucune musique ne nous parvenait de la chapelle voisine, et…


Fin du deuxième épisode…


La suite des aventures d’Hervé et Cécile… dans quelque temps…


(*) pardon pour le culte, je n’ai pas pu m’en empêcher !