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Temps de lecture estimé : 7 mn
05/05/02
Résumé:  Soeur Maria les découvre en flagrant délit... Comment va-t-elle réagir ?
Critères:  ffh fbi couplus religion intermast fellation cunnilingu 69 pénétratio
Auteur : Tylodine            Envoi mini-message

Série : Soeur Cécile

Chapitre 03 / 03
Soeur Cécile, troisième épisode... une étrange rencontre

III - UNE ETRANGE RENCONTRE



…et…les rideaux masquant la porte d’entrée de notre refuge bougeaient !


Cécile, soudainement consciente de ce changement de climat, suivit mon regard, se redressant à demi sur la couche dévastée, pas encore vraiment inquiète, jusqu’au moment ou…


Les lourdes tentures écarlates s’écartèrent lentement, laissant apparaître dans la lueur vacillante du cierge, la silhouette impressionnante d’une religieuse…



Prise d’une soudaine panique, elle se plaqua contre mon dos comme pour se protéger, je sentais la pointe de ses seins trembler, provoquant malgré le côté dramatique de la situation, une onde de plaisir dans mon bas ventre.


D’un pas lent, la mère supérieure s’avança vers nous, sans prononcer un mot, tandis que Cécile se serrait de plus en plus contre moi, enfonçant ses ongles dans ma peau. J’aurais du, moi aussi, ressentir une certaine panique, et pourtant, curieusement, il n’en était rien.


Mère Maria était maintenant tout prés de notre couche, elle s’immobilisa, tournant vers nous son beau visage mis en valeur par la coiffe de lin blanc. Contrairement à ce que semblait redouter sœur Cécile, elle n’avait pas l’air en colère, ses beaux yeux d’un bleu presque violet fixés sur nous ne lançaient pas les éclairs qu’on aurait pu attendre. Bien au contraire, c’étaient des larmes qui roulaient, brillantes, le long de ses joues pâles.



L’ombre d’un sourire se dessina sur les lèvres au dessin parfait de la mère supérieure. Mon Dieu, qu’elle est belle, pensais-je… Confus, je sentais, qu’échappant à mon contrôle, mon diable de sexe se redressait par à-coups, sa tête rubiconde pointant insolemment en direction de la religieuse ! Paralysé par la honte, je vis le sourire de Mère Maria s’accentuer, tandis qu’elle se rapprochait encore.



De quoi parlait-elle donc ? Etait-ce de Cécile qui venait d’avouer sa responsabilité, ou de mon sexe qui manifestait sans pudeur aucune, son intérêt pour l’arrivante ?


Calmement, elle s’assit prés de nous, promenant sa main sur la cuisse découverte de mon amante, elle cueillit du bout de son index une perle de sperme mêlé d’un filet de sang, preuve non équivoque de ce qui venait de se passer.



Tout en parlant de sa voix harmonieuse, elle avait avancé son autre main vers moi et promenait distraitement ses doigts fins sur la peau sensible de ma verge. Fascinée, sœur Cécile regardait sa supérieure nous caresser l’un et l’autre, sa main gauche maintenant posée sur son buisson doré, englué de sperme, tandis que la droite entourait mon membre palpitant.



Fascinés, nous regardions la transformation qui s’opérait chez cette femme d’apparence si impassible. Ses joues avaient pris une teinte incarnat, ses yeux brillaient et je voyais sa poitrine se soulever à un rythme de plus en plus rapide sous la bure de sa robe.


N’y tenant plus, je posais la main sur le sein à ma portée, il était d’une étonnante fermeté et, malgré l’espèce de corset qui l’emprisonnait, je pouvais en sentir le mamelon durcir sous mes doigts.


Prise d’une subite inspiration, Cécile avait adroitement détaché les attaches du voile de Mère Maria, libérant son serre-tête compliqué et libérant une courte chevelure blonde. Je pus, pour la première fois admirer la courbe parfaite de son visage, et me penchant, promener mes lèvres sur la peau douce de son cou de cygne, couverte d’un fin duvet doré.



Je regardais Cécile qui, sa première appréhension envolée, semblait pleinement appréhender la situation.


Nous échangeâmes un coup d’œil complice et, tandis que de son côté elle commençait à défaire la robe de sa supérieure, je déplaçais mes lèvres du cou vers le visage, glissant au passage ma langue dans une oreille finement ourlée, ce qui lui fit pousser un petit cri.


Tournant son visage vers moi elle entrouvrit légèrement les lèvres, un petit bout de langue caressant leur commissure délicate, et impulsivement, plaqua sa bouche sur la mienne, dardant sa langue en petites avancées rapides.


Sa main abandonna ma verge un bref instant pour permettre à Cécile d’ ôter complètement sa longue robe qui tomba d’un seul coup sur le sol dallé. Se levant d’un seul mouvement, elle nous apparut dans toute sa plénitude de femme de quarante ans. Un long corps svelte, aux hanches à peine empâtées, juste vêtue d’une bande de tissu comprimant ses seins et d’un inattendu short de soie, petit privilège un tantinet profane que Cécile constata d’un bref sourire !


Tandis que ma complice déroulait le « cache-seins », j’entrepris de faire descendre le short, agenouillé aux pieds de la religieuse.


Caressant doucement la peau satinée sous le nombril, je découvrais petit à petit des poils plonds, doux et peu fournis descendant progressivement vers la moiteur du sexe dont je pouvais déjà sentir l’odeur un peu musquée. Levant les yeux, j’aperçus au-dessus de moi, les globes orgueilleux de ses seins enfin libérés de leur prison.


Je vis aussi… les mains de Cécile les caresser, emprisonnant les mamelons dressés entre ses doigts, ce qui arracha un gémissement de bonheur à Maria. Les deux femmes tombèrent dans les bras l’une de l’autre, s’étreignant poitrine contre poitrine, leurs bouches jointes dans un baiser passionné.


Je finis de descendre la culotte de soie, la tête emprisonnée entre deux ventres brûlants, ivre d’odeurs et de sensations encore jamais ressenties. Ouvrant de mes deux mains l’abricot rebondi de la supérieure, je caressais du bout de ma langue le petit capuchon de peau dissimulant la perle précieuse de son clitoris. Je sentis aussitôt son ventre se contracter tandis qu’elle poussait son bassin en avant, réclamant davantage de caresses. Ma langue descendit progressivement, sondant l’entrée du vagin d’ou sourdait un liquide épais au goût un peu salé, mais plutôt agréable.


Maria écarta les jambes en grognant, m’invitant à pénétrer plus profondément, ce que je ne manquais pas de faire, faisant papillonner ma langue au plus profond de l’étroite caverne. Les deux femmes, emportées par le tourbillon du désir se laissèrent tomber sur la couche, enlacées, me laissant admirer ce spectacle d’un érotisme à couper le souffle.


La supérieure s’allongeant au-dessus de Cécile, se lança dans un « 69 » torride, poussant des gémissements de plus en plus rapprochés.


Placé derrière elle, je pouvais voir la tête de Cécile s’agiter entre ses cuisses, la langue enfoncée dans sa vulve aux lèvres gonflées. Un peu plus haut, le petit œillet brun de son anus semblait palpiter, animé d’une vie propre comme s’il m’appelait, tentateur muet, mais ô combien expressif ! Je ne pouvais me contenter du rôle de spectateur passif, et le spectacle de ces deux femmes en chaleur s’agitant sous mes yeux était plus que je n’en pouvais supporter. Je m’approchai des fesses tendues vers moi et caressai du bout de ma langue le sillon allant de la vulve à l’anus, entremèlant ma salive avec celle de Cécile qui s’agitait juste en dessous.


S’écartant un peu, elle me laissa soudain le champ libre en me faisant un petit clin d’œil. Mettant à profit cette complicité, je saisis d’une main ferme ma queue tendue, et l’introduisis sans plus attendre dans le vagin brûlant, glissant d’un seul coup jusqu’au fond. Le fourreau était bien étroit, mais tellement lubrifié que je sentis le bout de mon gland heurter le col de l’utérus. La bonne sœur poussa un cri de surprise et aussitôt recula les fesses essayant d’en faire rentrer encore plus !


Essayant de retenir au maximum la montée du sperme que je sentais pulser dans mes reins, je me retirai brusquement et repartis de plus belle en avant, tandis que la langue de Cécile accompagnait le mouvement par dessous, glissant de ma hampe à mes testicules, rendant encore plus difficile le contrôle de l’éruption imminente !


Il faut croire que la tension qui m’étreignait les couilles n’était pas isolée… la religieuse, sans doute privée de sexe depuis longtemps, perdait rapidement toute retenue, je sentais son vagin se resserrer autour de ma pine congestionnée en une série de contractions qui s’accélérèrent soudain tandis qu’elle poussait un cri étranglé et lâchait un flot de liquide tellement abondant que je crus un instant que c’était sa vessie qui se vidait !


Avant même d’avoir réalisé ce dont il s’agissait, toute ma résistance s’effondra et une puissante giclée de foutre s’échappa de moi, se mêlant aux sécrétions vaginales de Mère Maria. Un véritable déluge inondait son vagin, s’écoulant le long de ses cuisses et sur le visage de Cécile qui n’en perdait pas une goutte et nous accompagna dans un orgasme dévastateur.



Se retournant sur le côté, gardant mon sexe prisonnier, elle prit Cécile dans ses bras et la couvrit de baisers, rayonnant d’un bonheur tel que le peu de culpabilité que nous aurions pu ressentir nous abandonna sur le champ.


Je sentais mon dard à peine ramolli, bien au chaud dans le velours brûlant de cette chatte si accueillante, et les bras de Cécile qui me maintenaient contre le dos de la mère supérieure.


Alléluia, alléluia ! murmura la nonne…


Dans la sacristie dévastée le dernier cierge venait de s’éteindre, seule la lueur de la lune filtrant à travers les vitraux poussiéreux projetait sur les corps emmêlés de curieux dessins polychromes, soulignant fesses, seins et sexes, tandis qu’un fumet de cire, d’encens, de sueur et de foutre montait vers le plafond voûté.


Ite missa est…


Nul doute que les jours qui allaient suivre promettaient d’être fertiles en cérémonies d’une liturgie toute païenne !


Mais ceci est une autre histoire…