Une Histoire sur http://revebebe.free.fr/
n° 01789Fiche technique11925 caractères11925
Temps de lecture estimé : 8 mn
11/02/01
Résumé:  Hélène a senti que Michelle l'avait observée se caressant. Elle sort de sa case...
Critères:  ff bateau voir intermast cunnilingu fdanus
Auteur : Yourka      

Série : La Tentation des Caraïbes

Chapitre 03 / 04
La Tentation des Caraïbes (3)



Hélène tourne et tourne encore dans son lit, ne dort pas. Elle a aperçu Michelle tout à l’heure et se demande si elle l’a observée longtemps. Elle a soif, se lève et enroule une serviette autour de la taille puis va boire un peu d’eau fraîche. Le bateau est silencieux, quelques craquements lorsqu’il roule un peu au mouillage. La porte de Michelle est juste entrebaîllée. Une envie de se glisser à l’intérieur, de voir si cette tendre voyeuse dort vraiment. Elle ne devrait pas entrer et risquer de froisser son amie mais le désir est trop fort. Elle pousse doucement la porte et pénètre à l’intérieur. Le petit ventilateur brasse la chaleur de la nuit. Michelle est couchée sur le côté, le drap en désordre laisse voir son dos et la naissance des reins. Plus bas, une jambe dépasse, un pied au bord du matelas. Les bras sont glissés sous l’oreiller. Hélène reste debout près de ce lit, assez haut pour n’avoir qu’à allonger la main vers ce dos bien en chair. Elle hésite et lentement, s’assoit tout au bord. Michelle fait un léger mouvement et le drap glisse sur ses cuisses. Une jambe se replie Ses fesses apparaissent entières, offrant à Hélène la vision irrésistible d’un sexe brun et touffu, d’un entre fesses à la peau très blanche, sinon l’ombre d’un joli petit cercle rond, bien clos. Le visage tout près d’une hanche, Hélène sent cette odeur de nuit si particulière, de moiteur un peu âcre. Sa main effleure le haut de la cuisse, du bout des doigts, elle a peur de se tromper, de gâcher ces années d’amitié. Michelle ! Pourquoi son crétin de mari n’est-il pas là ? Elle n’aurait alors même pas imaginé se retrouver là, à crever d’envie de s’engouffrer dans ces jambes, d’enfouir son visage dans ces fesses rondes, à vouloir les embrasser, les lécher, les manger… Hélène a chaud, son esprit se perd dans des oui non pour ce désir qu’elle tente de refouler. Impossible de lutter encore. Elle défait la serviette, enjambe le corps de Michelle et sans lui donner une chance de se sauver, elle s’allonge entièrement sur elle, la saisissant aux épaules et se plaquant dans son dos, ouvrant ses lèvres dans ce cou endormi où elle dépose un premier long baiser. Ses jambes, ses cuisses se mélangent à celles de Michelle, son sexe vient se coller sur le haut des fesses et y trouve une délicieuse fraîcheur.


Michelle s’éveille et voudrait se tourner mais ne parvient qu’à croiser le regard d’Hélène qui ne lui permet aucun mouvement de fuite.



Elle voudrait refermer ses jambes mais la cuisse d’Hélène est plaquée entre elles, réveillant déjà des sensations affolantes.



Hélène parle doucement et ses mots renvoient Michelle à ces images si sensuelles, si émouvantes. Elle sent les mains d’Hélène serrer ses seins, les coudes contre ses flancs, tout son corps couvert par cette amante d’une audace incroyable.

Hélène se détache un peu et de ses lèvres, descend le long du dos, déposant ses baisers mouillés sur cette peau tremblante, au grain un peu dur sous le stress de ces préliminaires sulfureux. Michelle pourrait maintenant s’échapper, reprendre le contrôle, son amie ne la tient plus mais ses baisers et ses caresses sont encore plus paralysantes que son étreinte passée.

Hélène s’est assise sur elle, sur ses fesses. Toujours ce sexe collé à elle, sans jamais relâcher son contact humide. Les caresses se font massage, appliqué de façon symétrique à tout le dos, les doigts s’enfoncent, remontent toute la colonne en soulevant la peau, presque douloureusement lorsqu’ils arrivent au niveau du cou. Michelle sent les jambes d’Hélène qui enserrent ses cuisses, ce sexe qui ne se détache plus de ses fesses, attend les prochaines caresses, impatiente, excitée par ce contact inhabituel. Et les doigts d’Hélène qui se caresse maintenant sur elle viennent effleurer ses fesses, elle sent le sexe mouillé de son amie s’ouvrir contre elle, le dessus de la main qui passe entre ses fesses. Elle veut se caresser aussi et ose enfin glisser sa propre main sous son ventre, rejoignant les doigts d’Hélène, ne sachant plus laquelle fouille l’autre. Hélène s’échappe un peu et se laisse descendre, allongée derrière son amie. La vue de cette chatte trempée, de ces fesses ouvertes, elle ne résiste pas et prend les hanches de Michelle, ouvre encore ces cuisses rondes et enfouit son visage dans cette croupe où sa langue débute une danse hystérique. Happant et léchant chaque recoin de ce sexe, le nez plongé dans ce cul qu’elle écarte de ses mains. Michelle est ouverte, se sent couler dans cette bouche qui la mange comme un fruit très mûr. Elle relève ses reins très hauts, veux sentir cette langue entrer plus loin. Ses mains à plat sur le lit, elle baisse la tête et regarde par-dessous son amie la lécher, se sent brûler de plaisir quand cette langue s’enfonce dans ses fesses. Une langue dure et longue qui semble se régaler tant elle s’agite et salive en elle. Et des doigts qui viennent ajouter au délice, ce pouce qui pénètre sa chatte, tournant sur lui-même puis ressort pour mieux revenir encore.



L’ordre est sans appel et Michelle n’a pas loisir de répondre. Elle sent ce sexe mouillé qui vient couvrir sa bouche, révélant un parfum assez fort. Hélène bouge lentement, cherchant elle-même le meilleur contact sur cette bouche timide, inexpérimentée. Alors, pour aider son amie à oser ce baiser, elle descend vers le sexe de Michelle, ses doigts en ouvrent la toison épaisse et sans plus attendre, y glisse sa langue, trouvant un clitoris déjà excité et dur, émergeant de lèvres roses et trempées. Les mains glissées sous les fesses, elle lèche Michelle comme aucun homme ne le lui a jamais fait. Elle connaît le chemin du Plaisir, sait comment agacer, énerver, s’interrompre, recommencer plus fort, accentuer la pression de sa langue, le pincement de ses lèvres. Michelle lui rend enfin son baiser, s’aventure dans cette chatte qui l’implore, les mains plaquées contre des fesses ouvertes à tous les outrages, elle comprend ce qui rend les hommes dingues, pourquoi ils aiment tant se noyer dans une telle offrande. Les deux femmes se donnent totalement l’une à l’autre, Michelle regarde ce cul aller et venir jusqu’à cogner son nez, elle se décide à approcher ses doigts, à les ajouter aux caresses de sa langue. Mais Hélène la précède et elle sent un pouce entrer dans ses fesses, elle se contracte sous la caresse, serrant ce doigt en elle comme pour le retenir et rend à son amie la pareille, étonnée de glisser si aisément dans ces reins impudiques. Elle n’a plus aucune retenue, léchant et pénétrant Hélène, le visage couvert de son jus odorant et épais, guettant ses soupirs et voulant retenir les siens. Les doigts d’Hélène s’agitent dans sa chatte, elle ne contrôle plus rien, elle se voit écartée, ouverte et en sueur, sa peau et son sexe dégoulinent de chaleur, son esprit lui échappe et elle se sent partir, veut retarder son orgasme mais n’en est plus capable. Tout son corps est en transe, elle se sent possédée et s’entend crier sa jouissance, soulevant ses reins vers la langue déchaînée d’Hélène qui la baise si bien. Hélène veut jouir aussi et ses doigts s’immiscent entre sa chatte et la bouche de Michelle. Ses mouvements sont violents, elle se pénètre de plus en plus vite, ses cuisses plaquées contre la tête de Michelle qui la lèche encore et encore, décidée à lui donner le plaisir qu’elle réclame. Et elle vient, se frottant comme une folle à la bouche qui la suce, presque assise maintenant, elle passe sa main entre ses fesses et ses doigts achèvent de l’emporter, jouissant dans un râle interminable. Hélène se laisse tomber en avant, le visage dans les cuisses de Michelle. Plus aucun mouvement, juste des respirations saccadées, La cabine est surchauffée, les corps épuisés. Michelle caresse le dos de son amie, lui murmure des mercis et redoute un peu son triomphe. Mais non, pas de gloire à brandir, Hélène reste douce et dépose un dernier baiser sur son ventre. La nuit est très avancée, le jour va se lever bientôt sur d’autres voyages. Elles peuvent alors s’endormir, apaisées.


A suivre, en fonction de ma paresse toute tropicale…