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Temps de lecture estimé : 10 mn
17/05/23
corrigé 17/05/23
Résumé:  Lucien est rentré à la maison... Chris lui rend visite à l’improviste...
Critères:  fh fépilée amour noculotte fellation cunnilingu 69 préservati pénétratio
Auteur : Etranges Délires      Envoi mini-message

Série : Chris, la dragueuse

Chapitre 05 / 05
A la maison

Résumé de l’épisode précédent

Lucien va pouvoir enfin quitter l’hôpital. Il était temps, car Chris avec toutes ses frasques était en train de lui tailler une sacrée réputation parmi le personnel hospitalier…




J’étais donc rentré à la maison, sans beaucoup d’enthousiasme, je dois l’avouer. J’avais encore au minimum quinze jours de convalescence et j’allais me faire chier, c’est certain… Ce qui ne manqua pas d’ailleurs d’arriver…

Ma mère était omniprésente, l’atmosphère devint rapidement étouffante et je priais de toutes mes forces pour retourner bientôt au travail. La première semaine me parut interminable. Chris m’appelait de temps en temps, en général le soir, lorsqu’elle était au bureau, mais ma mère était toujours là, derrière mon dos à essayer d’écouter ce que nous étions en train de nous dire, pas grand-chose à vrai dire… moi, déjà coincé en temps ordinaire, rien de tel pour me rendre muet comme une carpe et décourager la plus enthousiaste de mes correspondantes.


La semaine suivante, Chris apparut à l’improviste. Toujours très décontractée, même en présence de mon aïeule. « Bisous bisous, smac smac », elle fut accueillie à bras ouverts. En la regardant, je me demandais ce que ma mère pouvait bien lui trouver. Elle eut même droit à la consécration, la mémorable cérémonie du thé : Thé et petits boudoirs, l’ambiance était à croquer. Et le pire c’est que Chris, sous ses airs de rebelle, était tout à fait adaptée à cette nouvelle situation, je pense même qu’elle était capable de s’adapter avec aisance à n’importe quelle situation, une facilité déconcertante pour singer les singes et les mettre dans sa poche…


Ma mère était séduite, ça se voyait. Sous ses airs radieux, elle exultait, elle avait trouvé la bru la plus exquise de l’univers. Elle ne tarissait pas de compliments à son égard, et moi, dans tout ça, je n’avais plus qu’à compter les points.

Au bout d’un certain temps, sans pour autant manifester aucun signe d’impatience, Chris fit comprendre à sa « belle-mère » qu’il était temps de passer à autre chose et qu’elle apprécierait de rester seule quelque temps avec moi. Et pourquoi pas aller dans ma chambre, ma mère trouva que c’était une excellente idée. Comme cela, elle pourrait se rendre compte du cadre dans lequel j’avais été élevé, et tout et tout, j’étais vert…


C’est ainsi que nous sommes montés tous les deux à l’étage. Au passage, j’ai eu droit à un « Fais bien attention en montant l’escalier ». Désormais, j’y étais habitué, j’y avais droit cinq fois par jour au bas mot. Un dernier petit geste d’amitié à ma mère de la part de Chris. Et, la porte à peine refermée derrière nous, Chris m’a plaqué contre la porte pour me rouler un patin du tonnerre, le genre de truc qui vous cloue sur place. Elle n’en avait apparemment rien à foutre de tous mes vieux souvenirs, elle avait des demandes beaucoup plus urgentes, des envies pressantes, comme celle de se faire baiser, ici, chez moi, dans ma piaule, avec ma mère à deux pas.


À quoi bon essayer d’être raisonnable, après une telle pelle, on ne peut qu’être partant pour aller n’importe où, et lorsque mes mains glissèrent sous son t-shirt, son corps était déjà brûlant d’un désir moite. Cette fois, elle avait mis un soutien-gorge, sans doute en jugeant que ce serait plus présentable vis-à-vis de ma génitrice, et tandis que je me débattais tant bien que mal pour essayer de le lui dégrafer, elle éclata d’un rire franc et massif :



J’étais rouge brique, honteux de tant d’ignorance, mais apparemment elle s’en foutait. L’ignorance a parfois aussi son charme…


Je parvins donc à libérer ses gros seins de leur entrave après qu’elle eut retiré son t-shirt. Je me demandais un peu si ma mère n’allait pas débouler ici comme une folle pour voir ce qui se passait, puis je me dis que non, elle était trop bien élevée, de toute façon elle frapperait et demanderait l’autorisation avant d’entrer, le temps pour nous de revenir à une situation un peu plus normale…

Ses seins à nouveau à l’air, je me mis en devoir de m’occuper d’eux, avec un plaisir évident, il est vrai. J’étais fasciné par ses gros nichons blancs et oblongs depuis le premier jour. J’en rêvais même certaines nuits. Alors, pour une fois que je les avais à portée de la main, autant en profiter. Au rythme soutenu de mes caresses, ils ne tardèrent pas à durcir. Plus que jamais encore, Chris avait l’air bougrement excitée. N’y tenant plus, pendant que je la tétais, elle envoya même valdinguer ses baskets à l’autre bout de la chambre. L’instant d’après, elle se débarrassa de son survêtement, elle n’avait toujours pas de culotte et la chatte était toujours aussi lisse que l’autre jour à l’hôpital. Elle avait dû s’épiler le matin même cette coquine.


Elle me poussa lentement, mais fermement vers le lit, complètement nue, avec son corps d’une blancheur éclatante. Elle me fit basculer à la renverse, envoya valdinguer mes chaussons et dégrafa la ceinture de mon pantalon, visiblement bien décidée à me déshabiller entièrement. Elle agrippa mon pantalon et mon slip en même temps, j’eus à peine à l’aider en soulevant les fesses. Et très adroitement, elle baissa mon futal. Je me retrouvai donc bientôt fesses à l’air et bite en avant, allongé sur le lit devant elle.

Ensuite, elle me demanda d’ôter ma chemisette tandis qu’elle se penchait entre mes cuisses vers l’objet de son désir. La simple vue de ses gros nichons et de son corps blanc me faisait gonfler d’envie. Quelques caresses de plus de sa part, savamment dosées, suffirent donc à me donner une érection respectable.


Elle se retourna et vint se mettre en 69 juste au-dessus de moi en me présentant ses fesses, assez grosses, mais surtout très rebondies, et d’une blancheur toujours aussi fascinante. Sa chatte juteuse juste au-dessus de ma bouche… Invitation à se faire dévorer à nouveau. Manger, dévorer et branler en même temps tandis qu’elle s’occupait de ma bite en l’engloutissant avec une exceptionnelle voracité. Un 69 qui nous conduisit déjà presque au bord de l’orgasme, tout du moins en ce qui me concerne, mais elle sut s’arrêter juste à temps… avant qu’il ne soit trop tard.

Elle se redressa, attrapa prestement une boîte de préservatifs dans la poche de son jogging et toujours avec une dextérité inégalable, elle entreprit de me revêtir la queue avec la capote. Douce et précise, elle ne fit vraiment aucun geste de travers afin d’éviter de me voir débander. Je savais, pour avoir déjà essayé avec une autre fille, que c’était loin d’être évident… mais avec elle, aucun problème.


Et sitôt coiffé, sitôt empalée. Elle vint se mettre à cheval face à moi, s’assit sur ma queue et l’embrocha sans plus attendre. Je sentis mon membre glisser sans peine tout au fond d’elle-même, dans son con juteux, et elle entreprit un lent mouvement de va-et-vient, de bas en haut, en me regardant avec un plaisir évident. Elle allait ainsi le long de ma tige en y mettant à chaque passage un peu plus de force. Je la sentais de plus en plus chaude, de plus en plus juteuse, de plus en plus fiévreuse et elle accélérait sans cesse la cadence…

Désormais, elle se caressait les seins tout en s’embrochant, elle s’étirait même sauvagement les bouts comme pour se faire mal, mais avec un plaisir évident. Ses mouvements se firent peu à peu plus imprécis, plus saccadés, plus violents aussi. Elle était en train de perdre le contrôle des opérations, elle avait envie que j’explose, elle avait envie de jouir également. De plus en plus vite, je sentais moi aussi la sève monter très fort dans ma verge. Au fur et à mesure que son excitation croissait, la mienne également s’amplifiait, j’étais désormais à nouveau au bord de l’explosion, je me sentais venir, venir et encore venir…


Elle a crié, elle a hurlé, je veux dire, elle a aboyé sa jouissance sans aucune retenue. J’aurais voulu la faire taire, mais au lieu de cela je me suis mis à juter à mon tour, j’ai explosé à fond en elle, dans la capote, bien entendu, mais j’avais l’impression de la remplir, elle, de me vider de tout mon foutre dans son ventre blanc… Mais elle continuait à jouir et, ce faisant, à crier sa jouissance…


Lorsque je repris mes esprits, j’ai tout de suite compris que quelque chose n’allait pas, qu’elle avait vraiment fait trop de bruit, que ma mère allait venir voir ce qui se passait, mais j’eus toutes les peines du monde à l’arrêter et à lui faire prendre conscience de ce qui se passait. Elle était toujours embrochée sur ma queue et semblait jouir à répétition sans pouvoir s’arrêter. Ce n’est qu’au tout dernier moment qu’elle s’est calmée, mais il était trop tard. Ma mère frappait vigoureusement à la porte et nous demandait si tout allait bien…


Nous n’avions évidemment rien préparé pour envisager ce cas précis et notre premier réflexe fut celui de nous cacher… tous les deux entièrement nus sous les draps. Il ne nous fallut qu’une fraction de seconde pour nous y glisser, mais cette gourde de Chris, croyant sans doute que nous étions ainsi sauvés, crut bon d’ajouter :



Inutile de préciser que ma mère n’attendait que ça pour satisfaire sa curiosité. Je pense que si nous n’avions rien dit, elle serait restée sagement à la porte… mais là Chris lui permettait de satisfaire son péché mignon…


Lorsque la porte s’ouvrit, elle tomba bien entendu sur un véritable spectacle de désolation, nos vêtements éparpillés pêle-mêle à travers la pièce et vos deux tourtereaux blottis complètement nus sous les draps.



Chris avait même un de ses seins à l’air, c’est vous dire ! Ensuite, elle a sagement fait demi-tour pour ne pas nous déranger, en refermant soigneusement la porte derrière elle.


Du coup, ça m’avait tout coupé. Chris, de son côté, aurait été partante pour continuer, mais moi, c’était beaucoup trop pour moi, me sentir ainsi épié par ma propre mère n’avait vraiment rien de bandant. Nous nous sommes quand même roulé une ou deux pelles en nous caressant sous les draps et en faisant un gros câlin, puis je me suis levé et je me suis rhabillé. Chris, après un instant d’hésitation, a fait de même, certainement un peu déçue que tout s’arrête ainsi en si bon chemin…


Un peu plus tard, nous sommes redescendus bien sagement tous les deux au salon. Ma mère nous y attendait. En présence de Chris, elle n’a pas fait de commentaire. L’atmosphère n’était d’ailleurs même pas plus tendue que d’habitude, contrairement à ce que j’aurais pu craindre. Les deux femmes s’étaient remises à papoter, comme si de rien n’était, comme deux vieilles copines qui ont toujours quelque chose à se raconter. Chris était apparemment toujours la meilleure belle fille qu’elle puisse imaginer…


Les choses se sont gâtées lorsque Chris est partie. Ma mère a dit :



Et dans sa bouche, ces mots voulaient tout dire, mais nous ne pouvions pas parler tous les deux puisqu’elle parlait toujours toute seule. Elle parlait et moi j’écoutais. Sous-entendu que j’étais toujours forcément d’accord avec tout ce qu’elle disait !


Alors tout y passa. Il fallait que je me pose des questions sur mes rapports avec ma petite amie. Apparemment, nous étions allés très loin, d’après ce qu’elle avait pu constater, ce devait donc être du sérieux, et dans ce cas, il fallait donc peut-être envisager le mariage. Chris avait l’air d’une jeune fille sérieuse et, apparemment, elle était très amoureuse de moi, mais moi, étais-je aussi amoureux d’elle, est-ce que j’étais prêt à faire ma vie avec elle… ? Et tout un tas de conneries du même acabit, je vous en passe et des meilleures. Et il me fallait toujours tout écouter et tout subir, cela faisait déjà 23 ans que c’était ainsi, et cela allait encore durer toute une vie…


Les jours qui suivirent furent pour cette raison encore plus durs que les précédents. J’avais vraiment hâte de retourner au boulot, histoire de changer un peu d’air. En plus, ma mère tannait le médecin de famille pour qu’il m’accorde un arrêt supplémentaire. Mais, en ce qui me concerne, je n’en avais surtout pas envie. Il me fallut jouer de finesse et user de diplomatie pour arriver à mes fins et retourner travailler au plus vite.

Le dernier week-end avant la reprise fut un réel calvaire. Mon père et ma mère s’étaient disputés, une fois de plus, et le paternel avait claqué la porte en emmenant ses cannes à pêche. Dans un cas comme ça, il en avait pour la journée. Du coup, j’eus ma mère sur le dos toute la journée. Elle s’était mise en tête que je devais appeler Chris de temps en temps parce que c’était toujours elle qui appelait et qui faisait les premiers pas, mais comment lui expliquer que je ne connaissais même pas son numéro de téléphone (ni même son adresse), elle m’appelait en numéro masqué. Inutile d’essayer, d’ailleurs, je n’aurais fait qu’envenimer un peu plus les choses… La seule solution était pour moi de passer pour un égoïste et un ingrat. D’ailleurs, ma mère était persuadée de mon ingratitude et elle avait de multiples exemples à me donner pour accréditer cette thèse. Bon dimanche en famille, je vous dis !



Ce sont les raisons pour lesquelles ce fut véritablement avec un réel bonheur que je pris la direction de mon entreprise le lundi suivant. J’étais tout guilleret, j’exultais… mais je ne savais pas encore ce qui m’y attendait.