n° 01095 | Fiche technique | 17386 caractères | 17386Temps de lecture estimé : 13 mn | 29/09/00 corrigé 17/05/23 |
Résumé: Chris lui téléphone de temps en temps à l’hôpital, quand l’envie lui en prend, le laissant le reste du temps dans l’expectative... | ||||
Critères: fh médical grosseins fépilée telnet amour noculotte fmast hmast cunnilingu | ||||
Auteur : Etranges Délires Envoi mini-message |
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Résumé de l’épisode précédent :
Chris s’est présentée aux parents de Lucien comme sa nouvelle petite amie, gonflée la nana ! Elle vient même masturber son soi-disant amant dans sa chambre d’hôpital…
Le soir même, je reçois un coup de téléphone à l’hôpital. C’est Chris. Elle est dans le petit local, tout près de la machine à café. Quelques secondes lui suffisent pour me dire qu’elle me trouve très excitant, qu’elle a envie de moi, qu’elle n’attend qu’une chose, c’est de pouvoir me retrouver pour me chevaucher… Comme d’habitude, je ne peux pas en placer une et elle raccroche en me laissant pantois.
Du coup, de vilaines pensées me reviennent en mémoire… Mais c’est qui ce mec ? C’est son mari ? C’est son amant ? C’est son Jules ? Force est de constater que je suis jaloux comme un tigre, tant et si bien que je n’en ferme pas l’œil de la nuit.
Les jours qui suivent sont ternes et moroses. C’est le week-end, pas de nouvelles de Chris ! Ce qui tendrait à prouver qu’elle est bien sagement en famille, ou pire, en train de se faire sauter par un mec sévèrement membré. Je commence à en avoir assez de l’hôpital. En plus, toute ma famille défile : mes parents, évidemment, un oncle, une tante, deux ou trois cousins, ça n’arrête pas.
Mon seul rayon de soleil de la journée, c’est la visite de la petite infirmière de l’autre jour. Blonde comme les blés, belle comme un cœur, elle a un visage très doux et câlin et je suis aux anges lorsqu’elle s’occupe de mon pansement. J’ai presque envie de bander… D’ailleurs, je bande sous le drap, à quelques centimètres de ses mains qui s’activent sur ma cuisse. Je ne sais pas si elle s’en rend compte, mais elle m’excite bougrement, j’aimerais tant qu’elle soit comme Chris et qu’elle se jette sur moi pour me violer… Toujours son petit sourire en coin, depuis l’autre jour il ne la quitte plus. Je ne sais pas ce qu’elle pense : certainement que je sors avec une moche parce que j’aime les filles très salopes. Et alors ! Il ne tient après tout qu’à elle de la remplacer, dans mon cœur et surtout dans mon lit. Si je suis avec Chris, c’est aussi parce qu’aucune autre ne s’est déclarée, à part elle… et je ne fais pas grand cas de nos rapports tumultueux, surtout depuis que je sais qu’il y a un autre mec.
Le lundi soir, nouvel appel. Je viens juste de terminer mon repas… on mange à l’heure des poules dans cette boîte. Avant dîner, j’ai eu toutes les difficultés du monde à me débarrasser de ma mère qui me demandait avec insistance des nouvelles de ma petite amie.
Comme d’habitude, elle ne me laisse pas le temps d’en placer une ! Et, de toute façon, je ne trouve rien à dire.
Elle prend le combiné et le place entre ses cuisses. J’entends distinctement le flic flac de sa chatte poisseuse… Je l’imagine. Malgré moi, je suis très excité.
Sans rien lui dire, je commence moi aussi à me branler, très excité à l’idée que cette foldingue est en train de se fouiller le con dans mon bureau en pensant…
Et ce n’est pas du toc : elle râle, elle gémit, elle glousse de plaisir, cette salope, et tout ceci contribue à faire durcir ma bite. Nouveau bruit de flic flac, encore plus juteux, elle doit être archi trempée, cette excitée… ! Nouveaux gémissements encore plus profonds, encore plus incontrôlables. Elle y va de bon cœur et moi je l’imite avec ma queue…
En ce qui me concerne, quelques « Humm » timides sortent également de ma bouche. Je suis très excité moi aussi et je sens que si elle continue je vais finir par décharger tout mon foutre.
Elle ne s’arrête pas en si bon chemin, elle continue de plus belle, elle a vraiment envie de jouir, cette garce. Elle est vraiment partie, elle crie à moitié, elle couine, elle gémit. Je l’imagine très bien en train de se tordre, fesses à l’air sur mon fauteuil, et je m’astique la queue de bon cœur. Je me sens venir peu à peu, au fur et à mesure que je la sens monter…
Elle va exploser… et moi aussi… Ouiiii, ça vient, ça y est, je jute sans retenue dans les draps en l’entendant beugler comme une vache à l’autre bout du fil…
Elle gémit encore au moins pendant dix minutes avant de se calmer progressivement. Elle dégouline de mouille, me dit-elle. Compte tenu de ce que j’ai entendu, je la crois volontiers, ça doit être une véritable fontaine…
Encore quelques minutes, puis elle raccroche à la hâte, elle vient d’entendre des bruits dans le couloir… J’espère qu’il ne s’agit pas d’un collègue attiré par les bruits de sa jouissance, elle serait capable de lui sauter dessus et de s’offrir entièrement à lui…
Je compose mon numéro, mais à cette heure-là je tombe sur le standard. Le gardien n’a pas l’air trop au courant de la procédure à suivre pour passer l’appel. Le temps qu’il se décide, il n’y a plus personne à mon poste. Je laisse sonner une dizaine de fois avant de raccrocher, férocement jaloux de ce qui pourrait se passer en mon absence…
Dix minutes plus tard, la porte s’ouvre et la petite infirmière rentre… Je l’avais complètement oubliée, celle-là… Elle vient refaire mon pansement. Quelle honte ! Les draps sont tout poisseux, luisants de foutre gras. Je vais avoir le plus grand mal à lui cacher tout ça, ça doit en plus sentir horriblement le sperme dans la chambre, mais elle ne dit rien, elle ne fait aucune remarque à ce sujet. Elle se contente de faire soigneusement son travail, toujours avec son sourire énigmatique aux lèvres. Quand bien même elle en aurait vu d’autres, elle doit tout de même bien se demander pourquoi et surtout pour qui je me suis branlé.
Peut-être croit-elle même que c’est en fantasmant sur elle ! Oui, c’est cela, c’est certain, elle doit croire que je me suis astiqué en imaginant qu’elle allait venir me refaire mon pansement et qu’elle allait en profiter pour se jeter sur ma bite comme une furie.
Maintenant, je suis tout penaud parce que j’ai honte de mes envies cachées. Il est vraiment temps qu’elle en finisse parce que toutes ces idées commencent vraiment à s’entrechoquer dans ma tête, et elle est si proche que je me remets à moitié à bander…
Elle se relève, me sourit gentiment et me souhaite une bonne nuit. J’aurais préféré que nous la passions ensemble.
Deux ou trois jours plus tard, les médecins commencent à sérieusement envisager ma prochaine libération. L’obstacle principal était jusqu’à présent cette vilaine blessure à la cuisse qui avait mis plus longtemps que prévu à cicatriser, c’était la raison pour laquelle on avait décidé de me garder, disait-on. Toujours est-il que, désormais, c’est en bonne voie de guérison et que je vais bientôt avoir mon autorisation de sortie. Je suis à la fois content et inquiet à cette idée, inquiet de me retrouver de longues journées chez moi en tête-à-tête avec ma mère, et c’est vrai que cela a quelque part un côté effrayant. Mon père lui-même ne la supporte plus depuis bien longtemps et c’est aussi la raison pour laquelle il est si souvent absent. Une femme comme ma mère, on ne peut la supporter qu’à petites doses, passé ce cap, cela devient véritablement insupportable. Une convalescence à la maison, c’est le meilleur moyen de retomber malade et de ne jamais m’en remettre. De plus, mon bras dans le plâtre lui donne une justification supplémentaire pour tout faire à ma place et ça va être sans doute un enfer. Je m’imagine très bien allongé sur le divan du salon pendant de longues journées, devant la télé, obligé d’écouter ses émissions favorites et de suivre le flot ininterrompu de ses commentaires.
Sur le coup de midi, on m’annonce une visite. Je suis un peu surpris parce que précisément ce jour-là, ma mère doit aller à Paris pour faire des examens. Peut-être un cousin ou un collègue de travail. Presque toutes mes connaissances sont venues au moins une fois, ainsi que la plupart des membres éminents de notre grande famille. Midi, en plus, c’est un peu tôt pour les visites, alors ils hésitent, en bas, à laisser passer les visiteurs… Mais, après tout, pourquoi pas, cela ne me dérange pas, je n’ai rien d’autre à faire de toute façon et il n’y a pas d’heure pour les braves.
La porte s’ouvre, c’est Chris. Comment ne m’en suis-je pas douté, il n’y a qu’elle pour ne rien faire comme tout le monde. Toujours en baskets et pantalon de survêtement, mais cette fois elle porte un grand t-shirt avec un dragon crachant du feu bien en évidence, et si j’en crois le balancement de sa grosse poitrine, elle ne doit pas être maintenue dessous. Une femme avec de gros nichons qui ne porte pas de soutif, forcément, ça se remarque.
Si son accoutrement est toujours le même, son look, lui, a changé. Ses cheveux ont repoussé un peu et elle s’est teint deux ou trois mèches en vert. C’est également la première fois que je la vois maquillée, certes de façon assez sommaire, juste un semblant de rouge à lèvres et un peu de noir sur les yeux, mais c’est vrai qu’elle a fait un effort. Elle ne porte plus non plus son espèce de bijou dans le nez qui lui donnait un look zarbi, et elle a troqué ses deux petites boucles d’oreille pour des bijoux plus conséquents qui pendent le long de ses joues.
Finalement, tout ceci lui va plutôt pas trop mal, un peu plus femme, un peu moins étrange, un peu plus attirante, presque bandante. Justement très bandante, car ses deux seins qui ballottent ont tôt fait de me revigorer…
Elle est à peine arrivée que déjà une fille de salle rentre dans la chambre avec le plateau-repas. C’est dégueulasse, comme toujours, rien à voir avec les bons petits plats de maman.
Immédiatement, et de façon la plus naturelle qui soit, Chris branche la nana. Elles se connaissent à moitié, ou plutôt, elles se sont déjà rencontrées… en boîte. Et quand l’autre femme demande des nouvelles de Xavier, cela me rappelle de très mauvais souvenirs… Je fulmine, certainement l’autre grand con qui l’attendait dans la voiture. Je vais le démolir, ce connard.
Elles continuent à papoter un instant toutes les deux, à évoquer de vieux souvenirs, tandis que moi je suis, comme une cocotte-minute sous pression, prêt à exploser.
Quand l’aide-soignante nous laisse enfin, mon regard méchant en dit long sur ma rancœur. Chris me regarde, amusée, sans rien dire. Sans me demander mon avis, elle ouvre la fenêtre et s’allume une cigarette. C’est interdit de fumer dans l’hôpital, mais elle s’en fiche, bien évidemment. Je continue quelques instants à bouillonner dans mon coin, puis j’éclate :
Sur ce, elle balance négligemment son mégot par la fenêtre et se retourne vers moi. Sans même attendre ma réponse, ou plutôt pour couper court à cette discussion, elle retire d’un coup son t-shirt, dévoilant par là même sa grosse poitrine laiteuse devant mes yeux ébahis…
Elle prend ses seins entre ses mains et fait mine de les masser sans pour autant s’approcher, toujours debout devant la fenêtre entrouverte. N’importe qui se promenant dans le parc pourrait la remarquer et reluquer ses fabuleux appas.
Les discours, ça n’a jamais été mon fort, en amour encore moins qu’ailleurs. Au bout d’un certain temps de réflexion, le temps que mon esprit se mette en route, je lui dis quand même :
Alors elle s’approche, déplace le plateau-repas qui nous encombre plus qu’autre chose et s’assoit sur le lit, près de moi. Ses deux obus d’une blancheur immaculée trônent face à moi. Sa poitrine ne devait pas avoir vu souvent le soleil, sans doute jamais d’ailleurs, tellement elle est blanche et laiteuse… Je suis véritablement fasciné par de si jolis appâts. L’instant d’après, mes mains sont posées sur ses mamelles et les caressent fiévreusement. Elle s’est rejetée en arrière et se tient sur ses bras, poitrine bien en avant, totalement offerte à tous mes attouchements.
Je les malaxe, je les pétris, je les soupèse, je titille ses pointes. Celles-ci sont très sensibles et elles n’ont aucun mal à durcir, et ce faisant elles doublent presque de volume.
Une fois bien excitée et les nichons gonflés de désir, elle change de position et se met à quatre pattes en travers du lit, les nichons pendants juste au-dessus de ma tête, m’invitant à cette occasion à les sucer. Inutile de dire que j’en ai bigrement envie et que je me mets à téter ses mamelles avec un grand plaisir. Je l’aspire fiévreusement, et apparemment elle adore ça. Les bouts deviennent d’une dureté incroyable et elle gémit de plaisir chaque fois que je les grignote, elle est presque en train de jouir par les tétons.
Ensuite, elle se relève et, d’un coup de pied, balance ses deux chaussures sous le lit. L’instant d’après, elle retire son jogging et, pour la première fois, me dévoile son corps entièrement nu. Elle n’a pas de jolies jambes, elles sont toutes couvertes de cicatrices, ses jambes ainsi que ses cuisses. C’est sans doute la raison pour laquelle elle préfère porter des pantalons. Suivant mon regard, elle dit :
Comme quoi il existe toujours une explication à chaque chose ! Sinon son bassin est attirant, des hanches larges, mais sans exagération et… madame est entièrement épilée, de larges lèvres épaisses, sans l’ombre d’un poil, qui ne demandent qu’à être dévorées… et toujours ce corps blanc, immaculé, laiteux et appétissant.
Sans plus attendre, elle vient sur moi… Pas sur ma queue, et pourtant je bande comme un ours… non, à cheval sur ma bouche, entièrement nue au-dessus de moi, sa chatte imberbe à hauteur de ma langue, juste disponible pour bien se faire bouffer. Puis, saisissant ses lèvres à pleines mains, elle les écarte…
J’entame alors un savant cunnilingus en y mettant tout mon cœur. Cette furie est déchaînée et toute trempée à l’intérieur. J’aspire voracement toute sa mouille. Son odeur forte et acide m’enchante. Ma langue va et vient en elle, entre ses lèvres, dans son vagin poisseux, s’arrêtant de temps en temps pour s’occuper de son bouton d’amour qui est lui aussi tout dur. Complètement excitée, la voilà qui se frotte comme une chienne sur ma bouche. Je la mange au rythme de ses coups de reins et elle s’attarde un peu plus quand ma langue passe sur son clito.
À ce rythme-là, elle ne tarde pas à partir en se laissant totalement aller et en déversant un flot de cyprine sur mon visage. Elle dégouline, cette cochonne ! Elle crie sa jouissance en continuant de se frotter contre ma bouche, elle n’arrête plus de jouir, le corps entièrement secoué de spasmes frénétiques. Elle en veut encore et encore…
C’est à ce moment que la porte s’ouvre à nouveau, la fille de salle revient chercher le plateau. Je vous laisse imaginer le tableau qu’elle trouve en rentrant. Et comme elle est rentrée négligemment sans vraiment faire gaffe, c’est presque au milieu de la salle qu’elle prend conscience de la situation. Elle reste pétrifiée, ne sachant plus que faire. Chris s’est retournée vers elle et se mord les lèvres, assaillie par un dernier spasme de jouissance.
L’instant d’après, elle se retire de ma bouche et, en quelques secondes, elle a de nouveau enfilé son jogging et récupéré son t-shirt.
La fille de salle la regarde sans rien dire. Pour détendre un peu l’atmosphère, c’est Chris qui prend la parole. Il n’y a rien de grave, comme d’habitude, tout est toujours si naturel avec elle…
Devant la fille toujours immobile, elle me roule carrément une pelle, puis elle l’entraîne tranquillement dehors et me laisse seul avec mes pensées.
Je vais avoir une sacrée réputation dans tout l’établissement ! Heureusement que je m’en vais bientôt.
Lorsque quelque temps plus tard la fille de salle revient récupérer son plateau-repas, j’ai presque l’impression qu’elle va se déshabiller devant moi et me demander de la bouffer à son tour. Ses yeux sont vitreux et concupiscents, mais évidemment elle n’ose pas et nous en restons là.
Quelques heures plus tard, mon autorisation de sortie est enfin signée et mon père vient me chercher à l’hosto…