n° 02169 | Fiche technique | 26187 caractères | 26187 4131 Temps de lecture estimé : 17 mn |
30/04/01 |
Résumé: Albert Finley, détective privé, a rendez-vous avec madame de Courson... | ||||
Critères: #policier fh grp asie caférestau douche voir noculotte photofilm fellation cunnilingu préservati pénétratio fsodo | ||||
Auteur : Vincent |
DEBUT de la série | Série : Brouillard au pont de Levallois Chapitre 01 / 03 | Épisode suivant |
Brouillard au pont de Levallois.
Nous sommes au début du mois d’avril. Il fait plutôt doux aujourd’hui sur la capitale. Et j’ai décidé de vous raconter ma dernière aventure.
Je m’appelle Albert Finley. Enfin, pas vraiment. C’est un pseudo que j’ai choisi un peu par hasard il y a un an environ. Mon vrai nom, c’est Jacques Lézard. Pas folichon, surtout quand à 33 ans on décide de changer de vie et de job en devenant détective privé.
Et oui, je suis détective privé. À Paris. Les bureaux de la société " Finley et associés " sont installés dans une arrière-cour, rue de Tocqueville, dans le 17ème arrondissement de Paris. En réalité, la société Finley et associés, c’est moi, … et moi seul. J’ai juste décidé que ça faisait moins minable et que ça convaincrait plus facilement des clients. Et en fait de bureaux, il s’agit d’un vieil appartement de deux pièces que j’ai arrangé comme j’ai pu en y créant un bureau et une pièce où je peux dormir quand j’y passe la nuit. Situé au 4ème étage sans ascenseur, ce bureau a pour seul avantage d’être très lumineux.
Ça fait maintenant un an que je me suis installé comme privé. Je travaillais avant comme assistant chez un producteur de cinéma. Après un cuisant échec, la société de production a dû licencier et j’ai été volontaire pour partir et bénéficier d’une prime de licenciement conséquente. C’est avec ce petit pécule en poche, que j’ai décidé de changer de vie. Je me suis renseigné sur l’acquisition d’une licence de détective privé. Et j’ai franchi le pas.
Malheureusement tout n’a pas démarré comme je l’espérais et très vite je me suis aperçu qu’il fallait se faire connaître très largement pour avoir une chance d’être contacté. Grâce à des amis, j’ai obtenu quelques petites affaires, pour la plupart sans intérêt : essentiellement des problèmes d’adultère. Je vivotais. Jusqu’à ce fameux jour …
Je suis attablé dans le restaurant chinois où j’ai mes habitudes, en bas de mon bureau. Il est 13h20 environ, lorsque mon portable sonne.
En fait je fais semblant : pas besoin d’agenda en ce moment, je suis libre comme l’air, pas la moindre petite affaire en cours ! Mais il ne faut pas qu’elle le sache, sinon elle va se dire que je ne vaux pas un kopeck !
Je raccroche, lorsqu’une jeune serveuse asiatique, qui travaille depuis peu de temps dans ce restaurant, s’approche de moi les bras chargés pour servir la table à côté. Un faux mouvement de l’un des hommes attablés provoque une mini-catastrophe et je me retrouve avec du bœuf aux champignons plein le pantalon. La patronne et un serveur se précipitent.
La serveuse est rouge de confusion. Elle ne sait plus où se mettre. C’est la première fois que je la regarde vraiment. Elle est charmante : les cheveux noirs mi-longs, des yeux d’un noir profond, une poitrine qui semble petite mais ferme.
Elle me précède pour m’entraîner vers la salle d’eau du personnel. Je peux alors admirer ses admirables petites fesses. Nous traversons la cuisine où s’affairent le cuisto et son aide. Nous entrons dans une petite pièce qui sert de vestiaire aux employés et où se trouve un lavabo.
Mais elle ne me laisse pas faire, et avant que j’ai pu dire ouf, Li se trouve à genoux pour essuyer mon pantalon avec une serviette humide. Ses gestes sont précis, mais elle se rapproche doucement de mon entre-jambe, et ses attouchements ne me laissent pas indifférent. Elle ne peut pas ne pas s’en apercevoir. Je me demande comment elle va réagir, lorsque soudain elle baisse ma braguette et glisse une main dans mon pantalon. Je reste silencieux et ferme les yeux. Elle sort alors mon sexe à demi-bandé et commence à le branler doucement. Elle glisse de petits coups de langue sur mon sexe qui durcit à vue d’œil. Elle finit par l’emboucher et le contact de ses lèvres me fait tressaillir. Combien de temps vais-je résister ? Elle poursuite cette pipe savante : quelques coups de langue le long de ma hampe, et elle l’avale à nouveau.
Je l’aide à se relever. Je ne veux pas jouir tout de suite. Je glisse une main sous sa jupe. Sa culotte est humide. Je glisse deux doigts dans sa petite chatte.
Elle se tourne et s’appuie au lavabo. Je me glisse à ses pieds et plonge ma tête sous sa jupe. Ma langue trouve vite le chemin de sa chatte humide. Je glisse un doigt dans son petit trou qui ne semble pas avoir subit d’outrage jusqu’à aujourd’hui. Mon sexe me fait mal tellement il est dur, mais je continue à la lécher. Elle pousse de petits gémissements. Je n’en peux plus. Je me redresse, enfile une capote et glisse mon sexe dans sa chatte : je rentre facilement. Je m’immobilise quelques instants et je commence de petits va-et-vient lent et régulier. Notre plaisir monte progressivement. Li semble de plus en plus réceptive à mes coups de butoir. Je sens que je ne vais pas tarder à jouir. Je veux jouir en même temps qu’elle, mais je ne vais pas tenir. Soudain, je la sens prête à jouir, alors je ne me retiens plus : mon premier jet remplit ma capote, les suivants lui arrosent les fesses. Le contact de mon liquide chaud sur ses fesses provoque son orgasme. Elle se mord la lèvre pour ne pas crier trop fort de peur que l’on nous entende. Nous reprenons peu à peu notre souffle et notre calme. Nous rajustons nos vêtements quand l’autre serveur rentre dans la pièce. Un sourire malicieux peut se lire sur son visage : pas de doute il a compris ce qu’il vient de se passer !
Je quitte rapidement le restaurant pour monter me changer dans mon bureau. Puis il ne me reste plus qu’à prendre mon mal en patience en attendant 18h30. Il est 18h10 et j’ai maintenant pris position à la terrasse en face de l’immeuble de mon bureau. J’ai décidé de voir ma cliente discrètement dès son arrivée dans ma rue. Ça fait 15 minutes seulement que j’attends, lorsque je vois arriver un superbe coupé Mercedes gris métallisé qui se gare juste devant l’entrée de mon immeuble. Une superbe femme brune d’une trentaine d’année en descend. Vêtue d’un tailleur bleu marine, les cheveux mi-longs, elle porte une paire de lunette de soleil qui masque ses yeux : mais aucun doute, cette femme est vraiment belle. Je ne suis d’ailleurs pas le seul à la regarder chercher son chemin. Je réalise alors qu’elle entre dans la cour de mon immeuble. Ce serait donc ma cliente mystérieuse ? J’attends encore un peu et lorsque je juge qu’elle m’a assez attendu, je me dirige calmement vers mon bureau. Arrivé au 4ème étage, je la découvre debout devant la porte de mon bureau. Elle me tourne le dos et je peux donc détailler sa silhouette, ses fesses légèrement rebondies que sa jupe met parfaitement en valeur. Lorsqu’elle m’entend, elle se retourne et je peux alors découvrir ses petits yeux d’un noir profond.
Je m’éclipse dans la deuxième pièce de mon bureau et mets en route la machine à café. Rapidement je reviens avec deux tasses remplies de café chaud.
Sur ce, elle se lève et se dirige vers la porte. Je la devance pour lui ouvrir la porte. Elle me quitte sans un regard. Je referme la porte et tente de réunir toutes les informations dont je dispose. Mais la question qui prend le dessus sur toutes les autres, c’est : pourquoi moi ? Pourquoi une femme de son style vient demander à un petit détective sans réputation, de s’occuper d’une affaire aussi sérieuse. Serait-ce la chance de ma vie ?
Pour fêter le gros chèque que je viens de recevoir, je décide d’appeler mon vieux pote Hervé pour aller fêter ça quelque part. Vers une heure du matin, nous sommes attablés au comptoir du ? ? ? où Hervé, qui bossent toujours dans le cinéma chez Warner, a retrouvé deux charmantes jeunes filles qui travaillent avec lui. Hervé propose alors que nous allions prendre un dernier verre chez lui. Nous réglons nos dernières consommations et nous partons tous les quatre bras dessus - bras dessous. Du coin de l’œil, je vois Hervé qui embrasse Catherine dans le cou en lui murmurant quelques mots que je ne comprends pas. Elisabeth se serre un peu plus contre moi. Elle est charmante : blonde, âgée de 25 ans environ, elle a une poitrine superbe qui donne envie de plonger dedans la tête la première. Une fois chez Hervé, celui-ci nous sert un petit Glenfidish et nous nous affalons tous les quatre sur le canapé. Elisabeth est assise sur mes genoux. Je peux ainsi voir qu’elle porte un joli porte-jarretelles blanc. Cette vision ne me laisse pas sans effet et je commence à bander. Elisabeth doit le sentir et elle commence doucement à onduler sur mes cuisses. Je glisse alors une main le long de sa jambe. En face de nous, Catherine et Hervé s’embrassent à pleine bouche et je peux voir les mains d’Hervé qui s’activent sous la jupe de Catherine.
Pour ne pas être en reste, je glisse une main sous la jupe d’Elisabeth qui se retourne instantanément pour m’embrasser. Notre baiser n’en finit pas. Puis elle s’arrête et entreprend d’ouvrir ma braguette pour en sortir ma queue déjà dure. Elle s’agenouille à mes pieds et entreprend une fellation experte. En face de moi, Hervé a maintenant la tête entre les jambes de Catherine qui se caresse les seins en me regardant. Elle passe langoureusement sa langue sur ses lèvres. Elle a les yeux pétillants. Le contraste entre elle et Elisabeth et saisissant : autant Elisabeth est blonde et a les yeux bleus, autant Catherine est d’un roux flamboyant avec des yeux en amande d’un vert éclatant.
Hervé s’est relevé doucement. Il enfile rapidement un préservatif. Je peux voir sa queue dressée qui s’approche de la chatte trempée de Catherine. Il va la pénétrer. Catherine ferme les yeux et glisse ses mains sur les fesses de son amant pour accélérer les mouvements.
Je fais signe à Elisabeth :
Elisabeth est maintenant debout devant moi, elle a fait tomber sa jupe et sa culotte à terre. Les effluves de sa petite chatte rasée arrivent jusqu’à mes narines. Je ferme les yeux pour m’en imprégner. Huummmm…
Elle attrape ma queue pour la couvrir d’une capote avec dextérité. Elle se rapproche de moi et se baisse lentement sur ma queue. D’une main elle écarte les lèvres de sa chatte, de l’autre elle tient ma queue bien dressée verticalement. Pour ne pas rester complètement inactif je soulève son chemisier et je caresse ses deux seins à pleines mains. Les tétons durcissent et je les titille avec la langue. Je commence à m’enfoncer dans son intimité humide… Elle s’immobilise un instant lorsque ma queue est complètement en elle. Je suis au comble de l’excitation. J’ai envie de la sentir bouger. Je commence à remuer doucement. Sentant mon impatience, elle commence de légers mouvements du bassin. Je ne vois plus Catherine et Hervé masqués par Elisabeth, mais je peux entendre les cris de plus en plus forts de Catherine dont le plaisir monte. Elisabeth aussi doit les entendre. Son excitation doit s’en ressentir car je la sens de plus en plus réceptive. Elle accélère soudain ses mouvements, elle monte et descend de plus en plus vite sur ma queue tendue. Je tente de me retenir le plus longtemps possible, mais je sens bien que ça va être dur. Elle halète de plus en plus fort. Ces cris répondent en écho à ceux de Catherine. Soudain j’entends Hervé qui pousse un cri de plaisir. Sa jouissance provoque celle de Catherine. Elisabeth accélère encore pour faire coïncider sa jouissance avec celle de sa copine. Mais je ne résiste pas et je jouis à mon tour. Ma jouissance provoque celle de ma partenaire qui s’écroule sur moi.
Nous reprenons doucement notre souffle. Catherine est la première à se relever. Elle se dirige vers la salle de bains. J’émerge à mon tour doucement. Elisabeth s’est endormie. Je la dépose doucement sur le canapé et la couvre d’une couverture pour qu’elle n’attrape pas froid. Hervé a l’air épuisé lui aussi. Il semble endormi. Je me lève doucement et attrapant mes vêtements je me dirige moi aussi vers la salle de bain d’où me parvient un bruit de douche. Je pousse la porte et je découvre la silhouette de Catherine derrière le rideau de douche. Je tire le rideau et me glisse derrière Catherine qui ne semble pas m’avoir entendu. Je glisse une main dans son dos. Elle sursaute.
J’attrape un gant et lui frotte le dos doucement. Je descends petit à petit vers ces fesses qui me tendent les bras. J’abandonne le gant pour la caresser à mains nues. Elle ne semble pas s’en offusquer. Je glisse maintenant un doigt dans la raie de ses fesses. Elle ne réagit pas. Mon autre main s’est maintenant glisser sur l’un de ses seins. Je me remets doucement à bander. Elle doit sentir ma queue coller à ses fesses. Elle est toujours sans réaction. J’ai envie de la prendre maintenant par son petit œillet. Je glisse un premier doigt qui rentre sans aucun problème. Elle ne doit pas être vierge par ce petit trou. Je glisse un deuxième doigt. Sa seule réaction consiste à écarter un peu plus les jambes. Mon troisième doigt la fait gémir légèrement. Je commence un léger mouvement de rotation de mes doigts. Elle semble apprécier ce traitement. Je bande maintenant complètement. Je décide alors de remplacer mes doigts par ma queue tendue. Elle me tend ses fesses. Je peux voir son œillet palpiter. J’approche mon sexe. Lorsqu’elle le sent contre sa rondelle, elle se détend. Je force le passage étroit. Je m’enfonce doucement. Je m’immobilise lorsque je suis complètement enfoncé en elle. Mais très vite, je la sens bouger. Je commence alors de lent va-et-vient dans son joli cul. Ma jouissance précédente me permet de ne pas jouir trop vite. Je la laboure en rythme, doucement, en accélérant petit à petit le mouvement. Elle commence à pousser de petits cris de plaisir. Elle a glissé une main entre ses cuisses et se caresse le bouton. Je m’agrippe bien à ses hanches et je décide d’accélérer la cadence, je la bourre de plus en plus violemment. Ses cris sont de plus en plus forts. Nous n’allons pas tarder à jouir. Soudain elle pousse un cri plus fort et elle jouit en se contractant sur ma queue. Je ne peux pas résister et je me répands en elle. Nous restons quelques instants immobiles, collés l’un à l’autre. Nous émergeons lentement de notre torpeur. Nous reprenons notre douche comme si de rien n’était. Je sors le premier et me rhabille. Lorsque j’attrape ma montre, je constate qu’il est plus de trois heures du matin. Je quitte la salle de bains et en arrivant dans le salon je vois Hervé qui émerge doucement.
Je récupère toutes mes affaires et m’éclipse rapidement, non sans avoir embrassé Elisabeth une dernière fois.
Vers 9 heures, mon réveil sonne et me tire de mon sommeil. Je suis rapidement sous la douche pour me réveiller complètement. Les souvenirs de ma nuit me reviennent et je pense à Hervé qui ne doit pas s’ennuyer avec ses deux copines !
A 10h15, je suis devant l’immeuble de Caroline de Courson.
A 10h25, je vois apparaître Mme de Courson. Elle est vêtue d’une très jolie robe à fleur dans les tons de rouge-orangé. Elle est chaussée d’escarpins rouges sombre aux talons mi-haut qui renforce son allure élancée. À un mot, elle est superbe. Nous rentrons dans l’immeuble et elle me précède dans la cage d’escalier. Je peux ainsi voir ses jambes de plus près et détailler leur galbe parfait. Je laisse ainsi mon esprit vagabonder vers des cieux enchanteurs où Mme de Courson cède à mes avances.
Nous sommes arrivés au 3ème étage. Mme de Courson ouvre la porte et entre la première dans l’appartement de sa sœur. Il s’agit d’un petit deux pièces avec cuisine séparée. Je commence une inspection minutieuse de la cuisine : les placards, le frigo dont se dégage une odeur plutôt nauséabonde. Vu l’état de moisissure dans lequel se trouvent les légumes, il y a au moins un mois que personne n’est venu ici. Je passe dans le salon où je trouve Mme de Courson assise sur le canapé qui tripote nerveusement ses lunettes de soleil. Je me dirige vers la chambre de Caroline de Courson.
Je découvre une chambre d’étudiante où règne un bazar indescriptible. Je commence par le lit. Rien sous le matelas, rien dans les draps. Je m’attaque au livre de la bibliothèque : je les prends tous un par un pour les feuilleter. Soudain deux photos tombent de l’un des livres : sur l’une je découvre Caroline de Courson nue, allongée sur un lit en train de se masturber. Sur l’autre, on voit un sexe d’homme en train de forcer l’œillet d’une jeune fille blonde si l’on en juge par la chevelure que je peux apercevoir. Tout me laisse à penser qu’il s’agit également de Caroline de Courson. Je glisse les deux photos dans une poche de ma veste. Je ne préfère pas les montrer tout de suite. Je poursuis ma fouille de la chambre. Il me reste le placard. J’y découvre une garde-robe bien fournie, des dessous affriolants, une preuve de plus que Caroline de Courson aime le sexe.
Je termine ma fouille, et je me rends compte qu’à part les deux photos, je ne suis pas beaucoup plus avancé. Je jette un dernier coup d’œil à cette pièce lorsque je remarque que je peux parfaitement voir Mme de Courson dans le miroir. Or celle-ci ne se sachant pas vue, à décroiser les jambes. Je peux ainsi parfaitement apercevoir ses cuisses. Et là, j’ai une surprise : on dirait qu’elle n’a pas de culotte. Je n’en crois pas mes yeux. Je me dirige vers le salon. Mon entrée dans la pièce la surprend, et elle se redresse dans le canapé tout en croisant les jambes.
J’ouvre le placard qui ne contient que de la vaisselle. Sans intérêt. Je reviens dans le salon et m’assois dans un fauteuil pour réfléchir. Je scrute les murs de la pièce. Soudain, une intuition. Le mur de séparation entre la chambre et l’entrée me paraît plus large que ne laisse croire les deux placards. Et si… je me précipite dans la chambre. Je tâte le fond du placard. J’avais raison, ça sonne creux. Je cherche un moyen d’ouvrir ce placard caché. J’aperçois alors un petit trou dans le fond. Je peux y glisser un doigt et tirer. Il s’ouvre, et je découvre une collection de casettes vidéo sans jacquette. J’ouvre une première boîte où la seule indication est une date : 04-10-99.
Mme de Courson entre dans la chambre.
Nous quittons l’appartement après que j’ai soigneusement embarqué toutes les cassettes : il y en a environ 25. Je me précipite à mon bureau et glisse la première dans le magnétoscope. Trois minutes de noir, puis je découvre une pièce assez sombre, où je ne vois qu’une table et une chaise. Il n’y a pas de son semble-t-il. Un couple entre. Ils se déshabillent. La femme s’agenouille et commence à sucer son partenaire. J’accélère le défilement. L’homme prend la femme allongée sur la table. Je suis toujours en avance rapide. Je vois deux hommes entrés dans la pièce. La femme se redresse. Elle semble avoir peur et repousse l’homme qui la pénètre. Je remets en marche normale. L’un des deux nouveaux se précipite pour la maintenir allongée. L’autre remplace le premier homme et la pénètre brutalement. La femme se débat et tente de résister aux assauts de cet homme. Sans succès. Il se retire alors précipitamment et éjacule sur son visage. La femme ne se débat plus. L’homme qui la tenait la lâche et le pénètre à son tour. À un moment donné, il ressort complètement et, lui soulevant les jambes, il s’enfonce dans son anus. La femme réagit à peine. Elle tente mollement de repousser son assaillant. Elle a perdu toute volonté de résister. Lorsque le dernier assaillant se retire, elle est secouée de spasmes. Elle a joui à son tour. Les trois hommes la portent alors et sortent de la pièce.
Je m’interroge sur ce que je viens de voir. S’agit-il d’un film amateur ? D’un viol filmé ? Qui sont ces gens ? Et surtout comment Caroline de Courson s’est-elle retrouvé en possession de cette cassette ? Cela a-t-il un rapport avec sa disparition ?
(à suivre… si vous me le demander !)