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n° 02219Fiche technique20633 caractères20633
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Temps de lecture estimé : 15 mn
11/05/01
Résumé:  Cette fois-ci, c'est le le mari de Caroline Finley qui prend contact avec lui
Critères:  #policier fh fhh photofilm intermast fellation cunnilingu pénétratio fsodo
Auteur : Vincent      

Série : Brouillard au pont de Levallois

Chapitre 02 / 03
Brouillard au pont de Levallois - 2



(Suite)


Je décide de regarder une deuxième cassette. Le contenu est à peu près comparable. Je les visionne toutes. Toutes contiennent des scènes ressemblant à la première, dans au moins trois lieux différents. J’ai identifié cinq hommes différents. Chaque cassette concerne une fille différente. Toutes ont moins de 30 ans. Aucune ne semble être Caroline de Courson. Je suis de plus en plus mal à l’aise. Que vais-je dire à ma cliente ? J’ai de plus en plus le sentiment que ce que j’ai vu est le résultat de viols, peut-être pour rendre docile ces pauvres filles. Ce qui me ramène à ma question principale : comment Caroline de Courson s’est-elle procurée ces cassettes. Je suis interrompu dans mes réflexions par le téléphone.



Je raccroche, perplexe. Qu’est-ce qui me vaut l’honneur de cette visite ? L’homme n’a pas l’air facile. Je range mon bureau et en particulier la série de cassettes découvertes chez Caroline de Courson.


On sonne à la porte.



J’avoue que je suis sonné par ce que j’apprends. Ainsi ma cliente me fait-elle faire une enquête pour retrouver une morte !



Je reste sans voix.



J’avoue ne pas bien comprendre ce qu’il se passe. Tant pis. Pour l’instant je ne vois qu’une chose : le gros chèque qui va me permettre de régler un certain nombre de factures en retard.

Il est 19h passé. Je commence à avoir faim. Je vais me faire un bon petit resto. Et réfléchir à toute cette histoire.


Nous sommes lundi. Il est 7h30. je suis déjà sur le pied de guerre. J’ai décidé de ne pas suivre tout à fait les recommandations de M. de Courson. Et pour commencer j’ai bien envie d’en savoir plus sur ce brave homme et sa femme. À 9h, j’appelle la préfecture de police de Paris et je demande à parler à Séverine, la copine d’une copine, qui a un poste aux archives.



J’adore sa voix chaude et suave.



Le soir venu, Séverine arrive vers 19h30.



Je retourne à mes fourneaux. Une fois que tout est prêt, je vais tenir compagnie à Séverine qui fidèle à son habitude s’est mise à l’aise. Elle n’est plus vêtue que de ses bas, son porte-jarretelles et son soutien-gorge. Elle est langoureusement allongée sur mon canapé. Cette vision excitante me fait instantanément bander.



Je me rapproche d’elle, et je m’agenouille entre ses cuisses. Elle est toute mouillée d’excitation. Je glisse ma langue dans les replis de sa chatte imberbe. Je titille son clito gonflé. Elle glisse une main dans mes cheveux pour orienter mes coups de langue. Je bande de plus en plus. Je la sens prête à jouir sous mes coups de langue. Je me redresse et finis de me déshabiller.



Je m’approche d’elle et caresse ses petites lèvres avec le bout de mon gland. Elle gémit doucement et lance son bassin en avant pour me forcer à la pénétrer.



Je me décide à la satisfaire. Je m’enfonce doucement dans sa petite chatte accueillante. Elle soupire d’aise. Je commence de lents va-et-vient. Elle a les yeux mi-clos, elle glisse une main vers mes fesses pendant que l’autre s’affaire sur ses seins. J’accélère lentement la cadence. Son souffle s’accélère. Notre plaisir monte simultanément. Je vais bientôt jouir. Elle ne doit pas en être loin non plus. Soudain elle enfonce un doigt dans mon œillet. Je jouis instantanément dans sa chatte accueillante, provoquant du même coup son orgasme. Je m’écroule sur elle. Je lui butine la pointe de seins. Nous reprenons peu à peu notre souffle.



Nous nous dirigeons vers la cuisine où la table est déjà mise et où nous n’avons plus qu’à sortir les plats du four.



Nous commençons en silence. Je sens soudain un pied qui me caresse l’entrejambe.



Elle ne parle plus. Elle ferme les yeux pendant que je la branle doucement avec mon gros orteil. De son côté, elle continue à me masser la queue avec son pied. Je commence à retrouver une forme présentable.



Elle se lève et présente sa chatte humide au-dessus de mon sexe dressé. Elle s’enfonce petit à petit.



J’obéis docilement et tête la pointe de son sein droit. Le téton est vraiment dur, je joue avec ma langue pendant qu’elle continue à me chevaucher en rythme. Je sens mon plaisir monté doucement. Elle continue à monter et descendre le long de ma hampe. C’est divin. Elle a les yeux fermés. Des rictus de plaisir déforment légèrement son visage. Elle est belle. Elle accélère petit à petit. Je la sens au bord de l’orgasme. Je glisse un doigt dans son œillet. Elle ouvre les yeux et me regarde fixement. Elle ralentit ses mouvements pour retarder notre jouissance. Puis elle s’arrête complètement et sort ma queue complètement. Elle me regarde toujours fixement dans les yeux et dirige mon sexe vers son petit trou. C’est étroit, mais il est bien lubrifié et je le sens qui entre doucement dans cette gaine chaude. Elle continue à descendre doucement. Elle pousse un petit cri lorsque je butte dans son fondement. Ma queue est serrée. C’est un vrai régal. Elle reste immobile pour s’habituer à cette intromission. Et elle commence de lents mouvements pour monter et descendre. Je suis tellement serré que je sens que je ne vais pas résister longtemps. Je le lui souffle à l’oreille. Elle accélère ses mouvements et se jette en arrière en s’accrochant à mon coup. Je sens qu’elle est, elle aussi, prête à jouir. Je tente de me retenir le plus longtemps possible. Mais soudain, mon premier jet fuse dans son cul. Elle s’immobilise et mon jus déclenche son orgasme. Je suis épuisé. Elle se blottit dans mes bras.



Je la soulève et l’emmène dans le salon. Je la pose délicatement sur une couverture près de la cheminée. Je rajoute une bûche et je vais chercher nos verres et la bouteille de Châteauneuf-du-Pape que l’on avait ouvert pour le repas. Je m’assois à ses côtés. Elle glisse sa tête sur mes cuisses.



La soirée se termine calmement. Nous continuons nos bavardages devant la cheminée. Vers minuit, Séverine décide qu’il est temps pour elle de prendre congés. Je lui demande de rester, car je n’ai pas envie de dormir seul cette nuit. Elle accepte sans trop de problème et nous allons nous coucher. Je me réveille en pleine nuit. Séverine dort tranquillement à mes côtés. Je ne peux m’empêcher de penser à mon enquête : que me cache-t-on ? Il est sept heures : ce n’est plus la peine de me rendormir. Je me lève doucement pour aller mettre la cafetière en route. J’enfile un pantalon et une chemise en quatrième vitesse pour aller chercher des croissants à la boulangerie du quartier. Je reviens 10 minutes après. J’entends du bruit dans la salle de bain. Séverine est sous la douche. Je range un peu le bazar que nous avons laissé la veille. L’eau de la douche s’arrête et je vois Séverine sortir emballée dans une grande serviette.



Nous finissons de petit-déjeuner en discutant. Il est environ huit heures et quart. Séverine doit partir.



Un dernier baiser et Séverine s’éclipse. Je file rapidement sous la douche et quitte mon appartement vers neuf heures moins le quart.


J’ai rendez-vous à 10 heures avec Alain, un ami qui est médecin à l’hôpital Necker. Il doit me mettre en rapport avec un de ces copains de promos qui bossent sur Marseille. Comme je préfère ne pas alerter M. de Courson sur la poursuite de mon enquête, j’espère obtenir une copie du certificat de décès par ce toubib marseillais.


Lorsque j’arrive à Necker, la secrétaire du service de cardio où bosse Alain m’apprend qu’il est en pleine intervention d’urgence et qu’elle ne sait pas du tout quand il sortira du bloc. Je lui laisse mon numéro de portable pour qu’elle me prévienne dès qu’il sort.

Une heure plus tard, c’est Alain qui m’appelle.



J’arrive au café où je retrouve Alain plongé dans la lecture de l’Equipe.



Nous nous séparons et filons chacun de notre côté. Je décide d’appeler tout de suite Jean Pezet.



La journée se termine dans la routine : une personne m’a contacté pour une histoire d’adultère. M. Givors soupçonne sa femme de le tromper avec son meilleur ami : un classique du genre. Il se trouve qu’elle profite paraît-il du mercredi, jour où Monsieur est en province, pour le retrouver chez lui.

Je vais donc aller espionner cette jeune femme dès demain, et essayer de prendre quelques photos compromettantes.

Le soir même je suis au pied de l’immeuble de l’ami pour repérer les lieux. Je m’introduis discrètement dans le vieil immeuble en face et décide de monter sur le toit pour voir si je peux trouver une bonne planque. Par chance (il en faut vraiment dans ce métier), je trouve la cachette idéale où je pourrai m’installer avec mon téléobjectif.


Le lendemain à 10 heures, je suis en place. Vers 10h30, je reconnais Delphine Givors qui se présente devant l’immeuble. Elle sonne et entre sans hésitation. Cinq minutes après je perçois du mouvement dans l’appartement de l’ami. Par chance (encore une fois), les rideaux du salon ne sont pas tirés. Je peux donc parfaitement voir Mme Givors et son amant. Ou plus exactement ses amants. Car je peux maintenant clairement apercevoir deux hommes qui entourent Delphine Givors. Ce n’est donc pas seulement le meilleur ami qui est l’amant. Je commence dès maintenant à prendre quelques clichés. Très vite la jeune femme se retrouve les seins nus. Chacun de ses amants lui tète un sein. Elle semble apprécier ce traitement si j’en crois l’expression de son visage, les yeux fermés et la bouche ouverte. L’un des deux hommes abandonne alors sa poitrine pour s’agenouiller en glisser sans tête sous sa jupe. Elle écarte un peu plus les jambes et appuie sur la tête de son lécheur. Il doit être efficace car elle le repousse soudain probablement pour ne pas jouir tout de suite. Il se relève est commence à se déshabiller. Son compère en fait de même. Ils sont maintenant nus, la verge bien droite. Delphine Givors s’agenouille entre eux et commence à les caresser et à les lécher. Elle alterne, passant d’une queue à l’autre, s’attaquant aux testicules ou au gland quelle lèche avec délectation. Les deux hommes ne bougent pas. Il laisse faire l’artiste ! Et moi qui commence à bander devant ce spectacle, je continue à mitrailler. Je pourrais m’arrêter là car je pense qu’il y en a assez pour son mari. Mais le spectacle me plaît alors je continue. Pas de doutes, certaines photos iront s’ajouter à ma collection particulière.


Delphine Givors s’est maintenant allongée sur le canapé du salon. L’un des hommes lui écartant approche sa queue tendue de cette jolie chatte brune. L’autre se masturbe doucement en regardant le spectacle et en attendant son tour. Delphine Givors se caresse les seins, étirent les pointes, pendant que la queue vigoureuse de son amant la pénètre. Il commence de lent va-et-vient. Mais ce traitement, ajouter précédemment à celui de la langue experte de sa maîtresse, ne tarde pas à jouir. Il éjacule en elle une première fois et se retire vite pour lui arroser les seins et le ventre. Delphine Givors étale cette crème sur son corps et se lèche les doigts. Elle ne semble pas avoir joui et demande à son deuxième amant de vite prendre le relais. Celui s’approche. Sa queue est un peu plus grosse. Il s’enfonce sans problème dans cette chatte accueillante. Il relève les jambes de Delphine Givors et les pose sur ses épaules. Il la pistonne de plus en plus vite. Soudain il s’arrête, et pré sente sa queue à l’entrée de son petit trou. Elle écarte elle-même ses fesses avec ses deux mains. Il glisse sa queue lentement dans cet étroit conduit. Je continue à prendre des clichés, tous plus hard les uns que les autres. Mais ma bite est trop dure et je commence à me branler. Je ne suis pas long à jouir devant ce spectacle. Le deuxième amant paraît plus endurant que le premier, il continue à la pistonner. Mme Givors est en train de jouir, bruyamment semble-t-il. Comme son amant n’a pas joui, elle provoque sa jouissance en lui glissant un doigt dans l’anus. L’homme semble apprécier et ne tarde pas à se répandre.


Je décide qu’il est tant que je quitte mon poste d’observation. Je prendrai contact avec M. Givors la semaine prochaine. Il est tant que je prépare mon périple marseillais.


(à suivre… si la suite vous intéresse !)