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Temps de lecture estimé : 10 mn
16/09/01
Résumé:  Il n'a de celle que celle de retrouver Sylvie...
Critères:  fh extracon volupté intermast cunnilingu pénétratio
Auteur : Pierre42  (Pierre, 42 ans)      

Série : Sylvie.

Chapitre 02 / 02
Rencontre inespérée au club informatique 2



Un volcan dans l’âme, je regagne mon domicile, la vitre grand ouverte craignant que ma femme sente le parfum de Sylvie. Un peu comme un enfant qui vient de fumer sa première cigarette et qui craint que ses parents sentent le tabac. Je ne prête guerre d’importance au regard plein de reproche que m’adresse ma femme. Elle se replonge dans je ne sais qu’elle émission débile. Dans ma tête tout bouillonne ! Comment faire pour se retrouver ?.Quelle raison trouver ? A ma grande surprise, je n’éprouve aucun remord à l’idée de la tromper. N’ai pas rencontré la complice dont je rêve depuis tant enfermement conjugal ! Le lendemain malgré mon coucher tardif, je me retrouve très tôt dans le garage pour réparer mon vélo. Puis joyeux. Je me rends sur la place acheter du pain. Le week-end s’annonce magnifique. À cette heure matinale, il fait bon, un bistro ouvre ses portes. Comme tout le monde dort à la maison je m’accorde un café au comptoir tout en échafaudant des plans pour nos retrouvailles. Deux baguettes et des croissants chauds sous le bras je reviens pédalant joyeusement dans le petit matin frais. Les enfants m’accueillent joyeusement en riant tandis que leur mère ronchonne, ce n’est pas nouveau, de notre joyeux vacarme. Après les courses du matin, la journée passe très vite et le soir pendant la promenade du chien, je compose le numéro de Sylvie sur le portable. Mon cœur bat a tout rompre dans ma poitrine. Une sonnerie, deux sonneries. Une voix féminine.



Je me sens heureux, amoureux et j’aurai presque envie de gambader comme un adolescent qui va se rendre à une soirée.

Le lendemain midi après le repas ; je hasarde :



Si elle bouge, ce sera pour traîner dans ces abominables centres commerciaux où se mélange foule, bruit et odeur de tabac !



De loin, j’aperçois sa frêle silhouette. Elle m’attend assise sur sa selle. Un charmant chemisier à fleur. Un corsaire noir qui moule ses jolies jambes et sa superbe chute de rein. Lorsque qu’elle se penche, je devine que ses seins sont encore libres sous son vêtement. Ce sont ceux d’une jeune femme. en un tournemain, son vélo rejoint le mien dans le vaste habitacle



Elle pose un baiser sur ma bouche. Nous roulons un petit moment dans la campagne. Les mains posées sur le volant, j’échange des sourires. d une voix un peu sourde et émue Sylvie m’avoue



sortant de ces considérations nostalgiques ma complice s’exclame



Nous sommes à l’unissons, tout de suite sur la même longueur d’onde. Il semble que chacun devine les pensées de l’autre. ! Nos vélos nous attendent contre un arbre pendant que nous échangeons un fougueux baiser. Ici loin de nos maisons. Nous pouvons savourer ce moment nous étreindre loin des regards indiscrets et jaloux. L’odeur de son corps, ses cheveux bouclées, la pointe de ses seins que je sens contre mon poitrail m’enivre toujours plus collée à moi., elle ne peut que percevoir le désir qui éclot sous mon short. nos corps se sépare pour reprendre notre bicyclette



Comment pourrait-il en être autrement !



Elle me sourit d’un air canaille et amusé tout en enfourchant son vélo. Nous flânons sous la chaleur de l’après midi s’amusant à accélérer puis ralentir. Son rire frais est un appel. Les regards qu’elle me lance une invitation. Je me sens léger, heureux ! Elle soudain démarre soudain en trombe pour s’arrêter à l’entrée d’un bosquet en plein champ où elle m’attend debout les mains sur ses hanches. Faisant ressortir ses seins que j’imagine dressés sous son chemisier.



Elle pénètre dans le sous bois, le soleil fait des taches mouvantes sur le sol. Le calme est seulement troublé par le bruit incessant des insectes, par une légère brise qui caresse la cime des arbres. Sylvie marche devant moi, chaque regard qu’elle m’adresse est un appel. J’imagine ses courbes délicieusement féminines. Devant nous, sur une tache de soleil un douillet nid d’herbes sauvages s’offre à nous. Sylvie extrait un plaid de son petit sac à dos, l’étale sur l’herbe faisant fuir une myriade de sauterelles et d’insectes. Son regard plonge dans le mien. Nous sommes seuls au monde. Maintenant, langoureusement allongée devant mes yeux, le regard brûlant d’envie elle murmure d’une petite voix douce :



Les jambes flageolantes je m’écroule à ses cotés. Nos lèvres se mêlent dans un charmant méli-mélo. Lorsque je me redresse, mon regard s’attarde un moment sur son chemisier



Délicatement sans quitter ses yeux j’ôte un à un les boutons de son chemisier. Puis ma main part à la découverte des jolis fruits défendus ; mes doigts rencontrent un mamelon. Sylvie ferme les yeux. Finissant d’ouvrir son chemisier. Mes yeux émerveillés découvrent enfin son corps, ses jolis seins ronds ; sa divine peau de brune, si douce, si satinée, son ventre plat. Le tendre et régulier mouvement de sa respiration. Je suis subjugué ! Ebloui ! Doucement comme s’il s’agissait du plus beau des joyaux mes mains caressent chaque centimètre de sa peau. Elle frémit et son corps se tend sous mes doigts. Ses yeux sont toujours clos et un sourire illumine son visage. N’y tenant plus je me penche pour embrasser chaque parcelle de sa peau.

Sylvie m’encourage en posant sa main dans ma chevelure. Sa respiration devient de plus en plus rapide



Ma langue s’est mise à pétrir ses mamelons tendus par le désir. J’use de tout mon art des caresses afin d’être à la hauteur de ses attentes



Le visage l’un contre l’autre ; je sens la main de Sylvie qui ouvre ma chemise



C’est à mon tour de frissonner de plaisir lorsque la pointe durcie de ses seins effleurent mon épiderme. Mes doigts se perdent dans ses cheveux bouclés puis nous roulons l’un sur l’autre. Maintenant allongé dans l’herbe c’est à mon tour d’être à sa merci. Elle me sourit tout en approchant son visage du mien. Nos lèvres s’unissent. Mes doigts abandonnent ses cheveux pour découvrir son dos



Le joli chemisier quitte ses épaules. À cet instant. Ses cheveux chatouillent mon visage, le doux contact de ses seins fermes, qui se pressent sur ma poitrine odeur, me rend de plus en plus fou de désir.

Mes mains descendent vers ses reins s’attardent sur la douce courbures de ses hanches. Sylvie semble beaucoup aimer mes caresses car je la sens frissonner de bien-être sous mes doigts :



Sylvie est de nouveau allongée dans le soleil. Les bras repliés sous sa tête. Une jambe tendue, l’autre à demi pliée délicatement. Mes mains se posent sur sa gorge, s’attardent sur ses seins pour terminer sur son ventre tiède. Ce que je veux : que Sylvie redécouvre le bien-être des longs préliminaires. Mes yeux ne quittent son visage scrutant cette douce montée du plaisir, ayant enfin cajolé, embrassé chaque parcelle de sa peau. Mes doigts s’enhardissent sous son corsaire, ils y découvrent une culotte de dentelle et enfin la moiteur de sa tranchée intime. Mes doigts se plongent dans son intimité ruisselante puis ressortent de leur cachette tout englués de son nectar. Ma bouche se régale de la cyprine déposée de mes doigts :



Sylvie soupire d’aise lorsque son corsaire glisse le long de ses jambes. Il va rejoindre ma chemisette, le joli chemisier à fleurs dans l’herbe verte. Mon cœur bat à tout rompre. elle est quasi nue. Seule sa fine culotte à dentelle masque sa toison



Le dernier rempart à mon envie suit le même itinéraire. Je découvre son minou sombre soigneusement entretenu. Je pose ma tête sur son ventre tiède afin de la faire languir encore quelques instants. Je sais par expérience que plus les préliminaires se prolongent plus l’extase finale est intense. Mais maintenant, l’attente pour elle comme pour moi a assez duré. Je me redresse. Ouvrant ses jambes, Sylvie ouvre ses jambes m’offrant l’image de son abricot déjà entrouvert. J’hume un instant ce sexe avant de glisser ma langue dans son sillon intime. Je découvre peu à peu le goût tendrement salé de son nectar intime et au fur et à mesure que ma langue devient plus hardie. Sylvie se tord, gémit. Puis ses pieds se crispent sur mon dos craignant sûrement que j’interrompe ce plus bel hommage que lui puisse offrir à une femme



Je continue d’explorer chaque recoin de son sexe. Sa liqueur au goût toujours si tendre et salé inonde mon palais, radieux je la sens couler au fond de ma gorge. Puis je remonte à la recherche de son clitoris tendu d’excitation. Ma langue tourne autour tandis que mes mains remontent vers ses seins. Mes doigts jouent avec les pointes.



C’est le moment de lui offrir cette extase que je sens si proche. Je titille maintenant son bouton d’amour. Sa respiration se précipite puis, suprême récompense ! Son plaisir éclate ! Elle crie, se cambre, se tord à nouveau. La maintenant avec mes mains, je continue mon petit manège. Le plaisir continue de parcourir son corps en vagues successives puis peu à peu son corps s’apaise



De mon côté, je me sens soulagé, heureux d’avoir pu offert à ma partenaire ce qui lui manquait depuis si longtemps. À nouveau je pose ma tête sur son ventre accueillant. Sylvie rayonne de bonheur. Ses doigts viennent tendrement caresser mes cheveux. Puis un long baiser nous unit. Nos langues se mêlent… elle doit sentir le goût salé de sa propre cyprine sa main descend vers mon short dégrafe le bouton. Sa main douce a saisi mon sexe. Ses doigts glissent le long de ma tige, joue avec le prépuce. Elle me sourit d’un air canaille

Je lui murmure :



Rassuré, je plante mon sexe dans son fourreau tiède et déjà ses jambes m’enlacent. D’abord lentement, je vais et viens en elle scrutant sur son visage une nouvelle montée du plaisir. Son visage rayonne toujours autant. Elle ferme les yeux et très vite un autre orgasme secoue son corps. Enserre mon sexe planté en elle puis roulant à demi elle prend la direction des opérations, faisant glisser ses seins sur mon poitrail.



Je m’exécute ravi. Parfois je me redresse à nouveau tentant de saisir avec ma bouche les mamelons tendus d’excitation elle glisse sur mon membre bien au chaud dans le velours de son fourreau. À ce rythme, je sens que je ne vais plus tenir très longtemps !



Pour toute réponse. Elle amplifie le mouvement sur mon sexe. Déterminé à lui offrir une autre extase. Je me concentre pour ne pas me répandre en elle à cet instant. La pointe durcie de ses seins glisse plus vite sur mon torse. Soudain le plaisir la surprend empalée sur moi, ses deux mains sur mon torse. Son ventre se contracte séquestrant mon sexe dans sa grotte brûlante. Sous mes doigts, son corps frémit sous l’extase. À mon tour, je la rejoins dans son plaisir inondant son vagin de ma semence. Comblée, Sylvie s’écroule sur moi. Son cœur bat la chamade. Elle reprend ses esprits. Puis s’assoupit à demi sur ma chair sa tête blottie contre mon épaule. Les reins caressés par le soleil. Tendrement mes doigts effleurent son épiderme. Là haut dans le ciel, de petits nuages blancs galopent dans le ciel bleu. J’aimerais rester là très longtemps, dans le velours de sa grotte tiède et humide, sentir ses seins, la douce pression de son corps contre mon épiderme en cette le chaud soleil de cette après midi de fin d’été.

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pierre42ans@netcourrier.com


J’espère que notre histoire vous a plu. Que si vous êtes une femme, vous auriez apprécié d’être aimée de cette façon. Si vous êtes un homme que vous auriez apprécié une parenthèse de ce style dans votre vie. J’attends vos commentaires, vos impressions et bien sûr vos critiques


Amicalement


PIERRE