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n° 02872Fiche technique12627 caractères12627
Temps de lecture estimé : 8 mn
21/09/01
Résumé:  Une séance de photos à l'argile qui s'est terminée en tornade sexuelle
Critères:   fh ff ffh photofilm intermast pénétratio ecriv_f
Auteur : Raphaelle  (Raphaelle (ex) modèle photo, un peu bizarre, parfois !)      
Photos d'argile



Photos d’argile


Je suis modèle dans la photo. En fait c’est mon métier. Et malgré que je n’aie jamais l’habitude de mêler mes histoires de chair à mon travail, cette fois-ci je ne pouvais faire autrement que de saisir l’occasion. Elle était trop délicieuse.


Je m’en souviens encore, c’était un jeudi. Un ami avait besoin de mes services, mais aussi de ceux de ma copine ( elle est aussi modèle). Nous nous étions rendu rapidement en hâte de savoir ce en quoi allait consister son projet, puisqu’il n’avait pas voulu nous le divulguer. Ce n’est qu’une fois au studio qu’il nous le dit. Il nous fallait tout simplement jouer les femmes sauvages et ce, recouvertes d’argile. Voilà une idée bien agréable! Nous nous empressâmes donc d’accepter pour filer vers une petite salle adjacente pour se dévêtir et se couvrir de cette matière grise qu’il avait tout spécialement fait détremper pour la bonne cause.


J’avoue qu’au départ, j’avais bien loin en tête l’idée d’en profiter. Mais ce qui se produisit dans cette petite pièce alluma en moi un brasier qui ne pu s’éteindre.


C’est que s’enduire d’argile fut chose bien facile pour les bras, le ventre et les jambes… mais pour le dos, il nous fallait bien un peu d’aide. Alors nous nous donnâmes mutuellement un coup de main. D’abord tel un jeu qui fit éclabousser la substance froide et lisse, cela tourna en réelle scène chaude entre moi et elle. Dans de lestes mouvements, nos doigts puis nos mains entières filèrent de notre dos au ventre, creusant du pouce nos hanches au passage, puis, d’un sourire en coin, faire dresser nos seins transis par la froideur et la douceur de l’argile. Une main sur la joue, geste coulant jusqu’à la gorge, jusqu’à ce que nos bouches se collent sans vouloir se quitter. Alors nos doigts boueux s’agrippèrent aux cheveux de l’autre, les salissant du même coup. Ah! C’était tout à fait divin nos deux corps ainsi enduits se frôlant pour créer un étrange bruit humide. Cela m’en fit totalement perdre la tête, dévorant la bouche de ma copine tel un fruit juteux.


Malheureusement, la voix impatientée de notre employeur vint rapidement mettre un frein à nos idées de pousser le tout plus loin encore. Nous devions nous presser un peu. Alors, un peu piteuses, mais surtout affamées, nous quittâmes la pièce. Et quand ses yeux nous croisèrent, ce fut pour s’agrandir comme jamais. Ses épaules en tombèrent comme sa mâchoire. Ça y est…j’avais le doigt sur un point faible de sa part. Comment pouvais-je laisser passer une telle chance? Je suis trop joueuse pour m’y refuser. Mais je préférai attendre le bon moment.


S’enchaîna à la suite de cela tout un rouleau de demande, d’idée, d’approbation et d’insatisfaction. Les flashs éclataient dans le studio selon le caprice de nos pauses et de notre photographe ravi. Le rôle à jouer était divin. Je l’adorais… prendre un regard cruel et sans pitié, mais encore combien pervers et sensuel.


Finalement, ce qui ne devait être que le travail tourna au jeu que je mijotais avec grande joie. Et comble de bonheur, sans même que j’aie besoin d’en souffler un mot, ma copine se fit ma sublime complice.


De plus en plus, nous commençâmes à faire à notre tête, n’écoutant plus ses demandes. Nous nous frôlions impudemment sous ses yeux, lui lançant au travers de la lentille de l’appareil nos regards les plus brûlants. Et si autant il a su adorer… autant il en était tourmenté. C’était évident. Il était passablement nerveux, adoptant de plus en plus de petits tics tout à fait charmants. Et cela n’eut d’autre effet que de m’encourager bien sûr. Alors nos mains s’approprièrent le corps de l’autre, effritant au passage, d’une caresse passionnée, l’argile séchant rapidement. Nos joues de touchèrent tout comme à peine nos lèvres. Puis les baisers dont nous avions dû mettre fin s’enchaînèrent et ce malgré le goût terreux qui nous envahi la bouche. Ce n’était plus qu’une simple passion, s’était un véritable délire presque dangereux.


Les flashs cessèrent. Plus un bruit. Vainqueur, je me retournai alors vers lui, plongeant aussitôt mon regard dans ses pauvres yeux perdus et alors lui sourire des plus vilainement.


" Tu le fais exprès, avoue…" gémit-il en essayant malgré tout de garder toute sa tête.


Lui qui me connaissait pour avoir déjà été un de mes amants, il était loin d’avoir tord.


"Bien sur que je le fais exprès, mon joli", lui-ai souri avant d’embrasser encore fougueusement ma copine qui me quémandait ce baiser.


Puis, je lui fit signe de s’approcher. Je le voulais.


Son sang froid n’a pas duré plus longtemps. L’appareil s’est doucement posé au sol. D’un pas décidé, il s’est avancé jusqu’à nous, l’œil brillant, espérant sans doute une bien belle gâterie après avoir tant souffert à mon petit jeu. Et cette gâterie, il l’eut bien assez vite, car aussitôt qu’il fut bien assez prêt de moi, je m’empressai de l’attraper par son chandail et de l’attirer vers moi. Son corps entra en collision avec le mien dans une brutalité enivrante. Et aussitôt, ma bouche se blottit contre la sienne. Sans plus de gêne que je pus en avoir, ses mains bondirent sur moi, frottant avec vigueur l’argile pour se donner plus de chemin libre pour ses futurs baisers. Et moi, je le laissai faire, m’en délectant, m’imprégnant de sa voracité délicieuse qui me malmenait. Son impatience me rendait folle de joie, mais aussi me donnait un appétit plus grand.


Soudain, quelque chose m’égratigna violemment le dos. Des ongles, il ne fallait pas en douter. Je ne pouvais donc pas prendre mon plaisir comme bon me le semblait ? Alors c’est courroucée que je jetai un regard par-dessus mon épaule pendant que mon amant me dévorait la gorge et la poitrine.


Ma copine me lança aussitôt un regard aussi cruel, mais aussi oh combien jaloux. Ah! Si elle en voulait aussi, elle allait en avoir ! Je poussai donc mon ami qui sembla rien y comprendre pour l’attraper elle. Et à mon tour je la malmena un peu. C’était comme une sorte de petite vengeance pas très vilaine… puisqu’elle aimait cela. Je la couvris de baisers auxquels je lui laissai aucune chance de participer, creusant sa chair de mes doigts. Ses jambes en ramollirent. Je dû donc la tenir plus fort contre moi encore. Alors, j’en profitai pour plonger ma tête dans son cou. Ce petit coin sensible, je le chatouillai de ma langue, le creusai pour finalement le mordiller avec grande joie. Aussitôt, elle se mit à roucouler joliment, ramollissant, tout prêt de l’évanouissement. Puis, entre deux morsures, je me retournai et soufflai:


" Tu aimes ce que tu vois, chéri?" " J’adore…" " Et tu la voudrais pour toi, ce joli petit trésor?"


Après une hésitation, il me fit signe que oui. Je savais qu’il la désirait, cette belle enfant. Il me l’avait déjà avoué. D’un dernier baiser pour elle, je la lui laissai gentiment en lui conseillant de la garder hors d’esprit… car elle est dure d’approche sinon. Et heureux, il laissa passer sur elle le fruit son désir. Moi, je les regardai, excitée de plus en plus à les voir s’enflammer, les enviant presque, mais me préservant le meilleur pour la fin. En fait, je ne faisais que caresser doucement ma copine telle une protectrice.


Ce petit jeu entre leur deux dura un certain temps… celui que prit mon ami à se lasser de l’embrasser et de passer disons aux choses sérieuses. La débarrassant de sa petite culotte irrécupérable, il l’étendit sur le dos. Son chandail s’élançant dans les airs alors que déjà il essayait de ses défaire de son pantalon. Et cet empressement ne put faire autrement que de me faire sourire. Les cuisses de ma copine s’écartèrent sous la volonté de ses mains. Alors plana jusqu’à nos nez sa fine odeur alléchante de toute jeune femme. Mon ami en fut des plus enchantés. C’est alors que, l’eau à la bouche, il colla ses doigts sur cette petite fleur rose dont le nectar déjà coulait à grands flots. Des caresses subtiles s’en suivirent. Ma copine cambra le dos en soupirant et en tournant l’œil. Sa beauté ainsi était sans pareil. Je m’empressai alors de poser ma bouche sur la sienne. Je n’en pouvais plus de ne rien faire outre que languir.


Soudain, je la vis ouvrir grand les yeux, cessant du même coup de participer à mes embrassades. Curieuse je regardai pourquoi. L’audace et le désir de mon ami l’avaient à présent poussé à enfouir en elle le membre gonflé qui l’honorait. Il le faisait avec lenteur, se délectant de chaque centimètre gagné en elle, dans cet étroit passage d’une grande chaleur. Il en râlait de bonheur à chaque petit coup de bassin donné. Puis doucement, il se laissa sortir d’elle. Cependant, quand il voulut l’envahir une seconde fois, mais de tout son délire et sa gaucherie d’homme, ma copine se dressa comme une bête pour se jeter vers son épaule et le mordre violemment… Hum… peut-être aurais-je dû lui dire qu’elle n’aime pas baiser avec des hommes… }:) Et puis non! Car maintenant, je pouvais aller le consoler de son affreuse découverte.


À 4 pattes, je filai lentement jusqu’à lui assis au sol, l’air hagarde. Doucement, je l’enjambai après avoir retiré seule ma propre culotte. Maintenant assise sur lui, je pris ses mains pour les poser un peu partout sur mon corps comme si je lui apprenais à me caresser, et ce tout en embrassant gentiment la marque rouge. Puis, se fut plus fort que moi, je redéposai mes dents sur sa morsure pour attendre une réaction qui ne se fit pas attendre. D’un air mauvais, il se retourna vivement vers moi, mais plutôt que de lui laisser le temps de placer un mot de sa colère, je plaquai brusquement ma bouche contre la sienne. Cette frustration et ce désir aussitôt explosèrent, lui redonnant toute la vigueur qu’il avait pu avoir, puisque son sexe déjà cherchait à conquérir le mien bien humide. Et cette fougue, nous la partageâmes dans un jeu sexuel presque dangereux. Il m’empala sur son membre avec une détermination éblouissante, ce qui me ravi et me fit doublement soupirer. Et aussitôt, puisque j’étais au-dessus, j’implantai un rythme effréné à la hauteur de ma rage et ma passion. C’est à peine si nous nous laissions le temps de reprendre notre souffle. Nos mains pétrissaient la chair de l’autre avec ardeur. C’était enflammant et divin ! Puis, d’autres mains vinrent secrètement s’accrocher à mes hanches, celle de ma chère petite Cassy. Et bientôt, sa joue se colla dans mon dos comme ses lèvres. J’en fut des plus heureuse encore alors que mon ami dû s’en prendre à mes seins au lieu de mes hanches. Et de cette étreinte, elle décida elle-même de nous obliger un rythme plus calme que le nôtre de toute évidence. Elle me fit bouger le bassin, rouler les hanche et creuser le dos, réussissant ainsi à me placer de manière à sentir davantage tout le plaisir que pouvait me procurer l’engin de mon présent amant, mais surtout à me faire atteindre un orgasme qui me foudroya l’échine. J’y perdit totalement l’esprit, ayant presque les larmes aux yeux.


" Viens sur elle…" souffla la faible voix de ma copine à l’égard de ce pauvre garçon y prenant grand plaisir.


Et comme elle le lui avait demandé, quand il sentit monter en lui ses propres frissons, il s’empressa se jaillir de mon sexe pour laisser filer dans les airs les giclés de son sperme. Celui-ci retomba impudemment sur mon ventre et mes seins. Et satisfait de cette gâterie, il laissa choir sa tête contre mon épaule, le souffle court, le front en sueur.


Pendant ce temps, ma chère Cassy laissa glisser son doigt curieux dans ce qui glissait sur moi en un agréable chatouillis pour le mettre dans sa bouche et aussitôt m’embrasser, comme si elle voulait ainsi partager sa découverte.


Suite à ceci, mon ami ramassa son matériel tout comme ses vêtements alors que nous allâmes nous doucher ensemble sans pouvoir faire autrement qu’échanger encore quelques indiscrètes caresses entre elle et moi.


Raphaelle.