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Temps de lecture estimé : 5 mn
21/09/01
Résumé:  Ce jour-là, j'avais rendez-vous avec Emmanuel au magasin, à l'heure de la fermeture. Je ne savais ce qu'il avait imaginé et j'étais très émoustillé
Critères:  fh lingerie intermast cunnilingu pénétratio fsodo
Auteur : Rigodon      

Série : Lingerie

Chapitre 03 / 03
Lingerie 3



Lingerie 3


Ce jour-là, j’avais rendez-vous avec Emmanuel au magasin, à l’heure de la fermeture. Je ne savais ce qu’il avait imaginé et j’étais très émoustillé. Je m’étais préparé comme une jeune mariée ! et habillé comme il le souhaitait. Rien que de très discret, rien de surprenant si ce n’est que je portais, sous un jean moulant, un slip blanc lacé devant et en dentelle extensible sur les côtés. Lorsque j’arrivai je vis de loin que le store était à demi baissé; il m’attendait.


Mais lorsque je passai la porte, je me trouvai face à une jolie femme brune aux yeux verts, cheveux mi-longs, taille fine, une beauté en robe légère noire, très courte, très stricte aussi. C’était sa femme, Valérie, que j’avais vue sur quelques photos sans vraiment y prêter attention.



J’étais un peu intimidé face à une si belle fille et flatté aussi par là même qu’Emmanuel soit devenu mon amant.



Elle semblait décontractée et se déplaçait avec élégance, féminité; ce que jamais aucun homme ne pourrait imiter… tant de grâce et de beauté naturelle me surprend toujours. Elle m’invita à attendre dans le petit salon aménagé au fond du magasin. Il y avait là la table sur laquelle Emmanuel et moi avions fait l’amour - le savait-elle ? - et puis des rayonnages avec des cartons bien rangés et des cartons au sol aussi. Et nous nous retrouvâmes assis, l’un en face de l’autre, un verre à la main au milieu du désordre et de quelques miroirs encore qui multipliaient notre image. Elle parlait avec des gestes très souples et ne faisait rien pour descendre sa robe qui remontait sur ses cuisses et je pouvais voir la couleur tendre de sa peau et le triangle clair de sa culotte. Je bandais et je crois qu’elle fixait parfois ma braguette gonflée… Il me semble que cela dura une éternité, je me laissais bercer par sa voix, acquiesçais de temps à autre sans vraiment suivre.



J’entendis la fermeture Eclair de sa robe, le glissement doux de ses vêtements sur le sol puis un léger bruit d’élastique plus sec. Je n’osai bouger et puis je vis glisser à terre sa petite culotte, près de mon fauteuil, une culotte simple, blanche en coton imprimé de minuscules fleurs bleues et mauve pâle.



Je me penchai donc…et pris entre mes doigts ces quelques grammes de douceur chaude et humide à l’entrejambe et ne pus m’empêcher de humer subrepticement son parfum.

Puis elle revint pieds nus dans une robe tout ample et légère, une robe d’été champêtre. J’étais toujours aussi intimidé et fasciné par sa beauté. Elle le devinait je pense. Mes yeux s’affolaient sur le tendre de sa peau halée, son profond décolleté, les attaches si fines de ses bras… Et de nouveau, je vis ses jambes, le haut de ses cuisses, le triangle blanc de sa petite culotte dont je devinais le laçage - nous portions la même - J’avais une terrible envie de la prendre dans mes bras et je restais paralysé… stupide, béat et muet. Elle me sauva de cette léthargie… "Viens", dit-elle simplement d’une voix peu assurée.


Je me levai, elle se leva. Je sentis ses seins tendus contre ma poitrine, fis glisser les bretelles de sa robe qui tomba au sol sans un bruit. Elle se trouvait ainsi en culotte, face à moi. Je me dégageai un peu, arrachai mes vêtements. Nous étions l’un et l’autre dans la même tenue ! et elle rit gentiment. Alors je l’embrassai goulûment… avalai sa langue, ses yeux, sa bouche… Je bandai dur et mon gland comprimé me faisait mal… j’arrachai tout, lui ôtai sa culotte aussi en saisissant l’entrejambe tout mouillé… elle m’aida… je l’assis sur la table et lui suçai la chatte, aspirai son clito … longuement, la suçais. J’étais comme fou de son parfum, de sa fente… et mes doigts couraient sur son corps, ses seins aux aréoles gonflées, tendues, ses lèvres agitées… Mains affolées, je la pris sous les fesses et l’enfournai violemment. C’était doux et chaud, trempé de douceur, vraiment, d’éternité… Elle gémissait… elle chantait ! et je devinais ses mots plus que je ne les entendais… "Viens, viens… au profond… viens…" et puis des râles plus longs. Elle partait en cascade… en cris… en gémissements saccadés. Ma queue , toute mouillée, la labourait ; mes couilles battaient ses fesses que je pouvais presque tenir, chacune, dans une seule main… Puis elle se dégagea et se plaça brusquement sur le ventre en écartant les jambes.



Mais je m’insinuai d’abord dans sa chatte gluante, écartai ses fesses, découvris son petit trou plissé que je mouillai de salive et dans lequel je glissai un doigt, puis deux… et enfin mon chibre qu’elle guida et qu’elle reçut comme une folle en tortillant le cul tandis que mes mains retrouvaient sa fente juteuse et son clitoris en érection… J’étais en elle, je la branlais… j’explosai… tout mon foutre la traversa en jets puissants… elle gémit… se tut…

Il nous avait fallu cette déraison pour faire connaissance, cette bestialité pour trouver enfin la tendresse… le repos…

Nous nous sommes encore embrassés avec de petits baisers pointus, doux et coquins puis habillés sans aucune toilette en échangeant malicieusement nos dessous… Valérie laissa un message à Emmanuel pour lui demander de nous rejoindre chez eux.


Son cul était plein de mon foutre, ma bite encore engluée de sa mouille. Je portais sa culotte, elle, la mienne. Elle signa le mot et ajouta " Je t’aime " et après un temps d’arrêt : " On t’aime ", puis mon prénom. J’étais encore un peu hébété, je ne savais plus que penser.


( À suivre peut-être… )