n° 02746 | Fiche technique | 21327 caractères | 21327Temps de lecture estimé : 13 mn | 26/08/01 |
Résumé: Emmanuel le rappelle et lui demande de passer chez lui sans oublier sa petite culotte... | ||||
Critères: hh exhib lingerie travesti intermast rasage fellation préservati hsodo | ||||
Auteur : Rigodon (Sensuel toujours !) |
Épisode précédent | Série : Lingerie Chapitre 02 / 03 | Épisode suivant |
Lingerie 2
Tôt, un matin, alors que j’étais plongé dans un roman de Le Clézio, à mille lieues de tout, la sonnerie du téléphone retentit. C’était lui, Emmanuel. Il me demandait de passer chez lui. Sa femme était absente jusqu’au lendemain. Je ne devais pas perdre de temps, me laver bien sûr et me faire beau ! Il me voulait dans la petite culotte qu’il m’avait offerte et que je la mette sous mon jean. Sa voix était troublante, je bandais et je lui dis de se taire s’il ne voulait pas que je jouisse déjà… Il ajouta tout de même qu’il espérait que je banderais comme un fou à l’idée de notre rencontre et que la petite culotte en question serait bien humide au moment où il me l’ôterait. Je raccrochai précipitamment et suivis ses instructions. Il se faisait un film extraordinaire et je souhaitais être à la hauteur du rôle qu’il m’attribuait, heureux d’être l’objet de ses fantasmes les plus débridés. J’étais émoustillé comme une petite salope lors de son premier rendez-vous. J’avais vraiment envie de me faire mettre !
Dans la rue j’éprouvais une sensation étrange de me savoir ainsi accoutré ; ma peau de citadin en cachait une autre plus perverse et j’imaginais la surprise des secouristes qui auraient dû me dévêtir si j’avais eu un accident. Les filles qui ne portent pas de culotte sous leur jupe doivent ressentir le même genre d’excitation, de malaise paradoxalement savoureux. J’étais bien dans ma gaine de coton blanc : fleur de mai dans la douceur du matin ! Le soleil nous promettait déjà une belle journée et les passants, le long de la corniche, semblaient heureux de vivre. Au vallon des Auffes, l’air parfumé d’embruns se mêlait aux senteurs plus subtiles du mimosa, du chèvrefeuille et des glycines qui couraient le long des murs. J’arrivai enfin au numéro 7. Je me trouvai face à une porte de bois plein, bleu Gauloise, percée dans un mur surmonté d’une grille dans laquelle s’enchevêtraient lierre, vigne et glycine. Son nom était écrit au-dessous d’un bouton noir campé au cœur d’une applique de porcelaine blanche d’un autre temps. Le lieu me plaisait. Je sonnai.
La porte s’ouvrit sur un grand type d’une trentaine d’années dégoulinant de sueur et habillé d’un débardeur et d’un short marine qui lui collaient à la peau.
Le jardin était étroit comme la façade de la maison, sept à huit mètres au plus, mais il semblait profond, le double peut-être, resserré entre deux murs où s’étiraient des poiriers en espalier. Une allée centrale menait à une terrasse à demi couverte par une treille encore chétive à cette époque de l’année ; de part et d’autre poussaient deux cerisiers au centre d’un carré de pelouse. Sur la partie ensoleillée de la terrasse une table de jardin était dressée. La radio diffusait le stabat mater de Rossini : mélange étonnant de religiosité et de plaisir. J’étais aux anges, séduit.
Daniel qui s’était éclipsé un instant revint avec une cafetière fumante et des croissants tout chauds qui embaumèrent la terrasse. J’entendis l’eau de la douche s’arrêter et une voix qui nous cria de commencer. Le soleil tapait fort et Daniel ôta son maillot et le mit à sécher sur un fil tendu le long de la treille. Son buste bronzé, presque noir, luisait de transpiration. Il avait un corps de sportif, de coureur, avec des muscles longs, saillants, lisses et dorés, de petites fesses rebondies, bien marquées. Il vint s’asseoir, s’adossa au mur gorgé de lumière, jambes écartées et ses grosses couilles rondes, son sexe en virgule indécente me troublèrent.
Emmanuel ne parle que de toi… je ne sais pas ce que tu lui as fait, il est amoureux… j’en suis jaloux. Mais ne crains rien de moi, nous ne sommes plus amants si ce n’est que nous partageons parfois nos proies, me dit-il en souriant. Justement voici notre homme, notre marchand de rêves, d’entrejambes délicieux…
Il était là, devant moi, dans un maillot de bain bleu et noir, lui aussi, bien hâlé beau et solide. Il me mit la main sur l’épaule et me caressa la joue furtivement en guise de bienvenue.
Je balbutiai que je n’avais pas prévu de maillot. Il le savait et semblait prendre un plaisir malin à me décontenancer. Il pénétra alors dans la maison par la fenêtre ouverte de la chambre et me montra un joli string rouge éclatant.
Je sautai à mon tour par la fenêtre. Il m’entraîna dans un coin sombre et m’embrassa avidement dans un long baiser mouillé au goût de café. Il bandait très fort comme moi mais se détacha vite en me disant doucement que notre fête serait pour bientôt. Il rejoignit Daniel pendant que je me changeais en laissant en évidence mes affaires étalées : la petite culotte blanche déployée sur le couvre-lit bleu, humide en un certain endroit ! Le maillot me moulait bien le cul et les couilles. Je le vis dans la glace de l’armoire mais ne m’attardai pas dans ma contemplation et retournai sur la terrasse.
La discussion s’éternisa. J’appris que Daniel vivait seul depuis peu ; sa femme s’était lassée de le voir s’intéresser plus aux garçons qu’à elle-même, elle venait pourtant encore très souvent lui rendre visite. Lui s’était amouraché d’un jeune homme avec lequel il avait rendez-vous cet après-midi-là et il espérait qu’il serait rasé comme promis : Dominique portait la barbe à merveille, mais, rasé, il avait un visage de fille comme en témoignaient plusieurs photographies nous dit-il. Daniel était impatient de pouvoir prendre ses joues dans ses mains, de le découvrir vraiment nu. Il ajouta aussi qu’il me ressemblait. La conversation ne fut que désirs avoués, désirs masqués, allusions sensuelles. Emmanuel nous observait plus qu’il ne parlait. Ses yeux pétillaient, Daniel le remarqua.
Il fut convenu que nous appellerions dans la soirée. Daniel enfila son débardeur et nous quitta. Dès que la porte de la rue se fut refermée, Emmanuel m’entraîna dans la chambre.
Il déplaça religieusement mes vêtements abandonnés sur le lit, les plaça sur une chaise, petite culotte au-dessus, délicatement posée…et arrêta la musique… ferma les persiennes à claire-voie. Nous nous retrouvâmes ainsi enlacés dans un rectangle d’ombre et de soleil, nos corps rayés de stries lumineuses reflétés dans le vaste miroir de l’armoire. Nos maillots glissèrent, ses mains affolées me dévoraient… Sa belle queue toute lisse pressait mon chibre tendu… et ses couilles rondes… sa bite entre mes lèvres… sa douce trique dans ma gorge profonde … son trou offert… ma rondelle mouillée de sa langue fébrile… ma raie écartelée… son pieu qui me pénètre… violent puis savoureux délice de son membre chaud qui glisse… et je m’accroche à son cou et il me trique et nos bouches s’emmêlent, s’aspirent, crient quand le foutre brusquement jaillit et nous baigne brûlant…
Nous restâmes ainsi longtemps allongés dans la fragrance de nos corps enchevêtrés, collés l’un à l’autre, sommeillant un peu. Puis Emmanuel m’entraîna dans la salle de bain et nos jeux amoureux se poursuivirent sous la douche. Je bandai aussitôt en le voyant ainsi nu, le corps totalement imberbe, lisse, ruisselant. Excité, il me demanda crûment de lui défoncer le cul. Il s’appuya alors contre le mur en ouvrant les jambes et je lui enfilai ma bite savonnée sans plus réfléchir aux conséquences possibles.
Il délirait de plaisir… Je tordais du cul pour qu’il me sente bien en lui… Mes couilles battaient ses fesses rebondies… Il gémissait… L’eau qui coulait toujours me suffoquait par moments ; je pus ainsi garder la tête froide et l’astiquer longuement. Mais sa position était difficile à tenir, il se plia alors sur le bord de la large baignoire, les bras ballants. Je le suivis dans son mouvement, m’affaissai sur lui et l’inondai de mon jus… au plus profond de son trou. J’étais un peu dépité qu’il n’ait pas joui ; il le vit et me dit malicieusement qu’il se réservait pour plus tard, qu’il me ferait exploser, qu’il me fendrait en deux, mais avant il voulait me métamorphoser et me demanda de le suivre.
Il étendit une grande serviette jaune sur le lit et me dit de m’allonger en l’attendant. Bientôt il revint avec une bassine d’eau fumante, des ciseaux, un rasoir et une bombe de mousse. J’avais compris son intention mais nous ne dîmes pas un mot. Avec les ciseaux il commença par couper tous les poils longs puis il m’enduisit de mousse délicatement de la paume de la main et s’arma du rasoir. La lame crissait sur mon corps alangui. Il la rinçait d’un geste rapide puis poursuivait avec application : la poitrine… le nombril… le pubis, lentement, consciencieusement. J’étais aux anges ! La mousse mentholée me produisait une sensation étrange de bien-être, de fraîcheur. Nos regards se croisaient, il me souriait amoureusement. Je ne me posais aucune question, j’étais bien, j’avais confiance. Nous bandions en silence sachant que le temps était avec nous et que la joie la plus intense était à venir. Il me rasa côté face, les couilles et la bite… l’entrejambe puis je me retournai et il entreprit le rasage de ma raie. "Côté face, j’efface ; côté pile, j’épile ! " D’une main, il écartait une fesse, de l’autre il rasait avec application. La lame bruissait un peu sur la peau puis j’entendais le clapotis de l’eau agitée et ce travail se poursuivit entre crissement sec et agitation mouillée, projection de gouttelettes sur mon corps émoustillé, détendu… Il termina par le haut des cuisses à hauteur de bas imaginaires… Je me rinçai sous la douche, seuls bras et jambes étaient encore couverts de leurs poils : étrange spectacle que ces fils noirs dans le ruissellement de l’eau. Je décidai d’en finir, je les rasai moi-même… Je m’enduisis de crème pour couper le feu de la lame. J’étais lisse, totalement lisse !
Ensuite ce fut un repas léger, et le lent écoulement du temps partagé dans une douceur enivrante : café, bain de soleil sur la terrasse, lecture, farniente… mots simples dits dans une parfaite complicité. Nous attendions " plus tard ", l’heure des folies, les yeux pétillants, tout à nos fantasmes… Et l’instant des métamorphoses arriva.
Dans la chambre je trouvai des vêtements noirs alignés sur le lit, tous noirs, bien ordonnés, sans oubli, de la petite culotte Lou au blazer. Mais je mis d’abord la perruque brune qui trônait sur le chevet. Des cheveux aux longues boucles caressaient mes épaules et cachaient le front un peu dégarni. J’observais ma transformation dans l’immense miroir ; j’observais l’autre au sexe tendu, une autre bientôt ! Et j’enfilai le slip de dentelles, le porte-jarretelles, les bas ajourés et le soutien-gorge qui contenait deux coques légères, une poitrine de gamine ! J’étais devenu une fille fluette, longue et musclée, vulgaire sans doute, racoleuse avec son air décidé. Emmanuel me rejoignit dans un costume léger très clair, crème : un " mac ".
Ma peau était si mate que je me contentai d’un rouge à lèvres très vif, rouge comme l’écharpe de soie qui me cacha la glotte. Enfin je mis un corsage à manches longues, une jupe courte évasée, des chaussures vernies à talon plat et le blazer. J’étais autre. J’étais prête ! Je ressemblais à une jeune fille qui part en boîte et espère danser le rock, tourbillonner et dévoiler ses cuisses, montrer sa petite culotte, son cul !
Quand j’arrivai sur la terrasse la sonnette retentit. La porte s’ouvrit sur un couple tout de bleu vêtu. Lui, Daniel, dans un ensemble en jean ; elle, une grande blonde aux cheveux longs, dans une tenue identique à la mienne mais indigo telle la couleur de ses yeux. Dominique était belle, seule sa voix grave révélait le travesti. Il fut décidé de nous taire, de laisser parler les hommes ! Emmanuel sortit un appareil photo Polaroïd qui ne nous quitterait plus de la soirée et chacun eut les images des autres et de lui-même dans toutes les situations inventées !
Les présentations faites, il fut arrêté que nous prendrions l’apéritif en ville puis dînerions chez Daniel. Je me retrouvai ainsi à l’arrière de la voiture avec Dom, nos jupes relevées pour ne pas les froisser et je pus voir ses jarretelles blanches comme sa petite culotte en dentelle… Je ne me cachais pas plus et les garçons se moquèrent de nous et de nos manigances de filles en chaleur. Emmanuel dévoila qu’il m’avait rasé et que mon petit cul lisse, rougi au soleil, n’attendait plus qu’une grosse bite qui le ferait grimper aux murs, au septième ciel. Daniel se proposa mais Dominique dit qu’il aimerait bien me " gouiner " avant.
Les rires fusèrent… Et je lançai ma main brusquement entre les cuisses de Dom. Elle " bandait " comme une folle et me sourit, angélique.
Arrivés dans le bar où d’autres travestis se pavanaient, des regards intéressés nous déshabillaient par moments puis nous quittaient pour d’autres clients… Nous nous assîmes en carré, chacun face à sa chacune. Daniel près de moi collait sa cuisse contre la mienne tandis que ma main effleurait son sexe. Emmanuel glissa un genou entre mes jambes et Dom devait trafiquer quelque chose aussi sous la table malgré son air désinvolte. Quatre chibres tendus vers le ciel allumaient les étoiles de nos yeux ! et l’alcool me tournait la tête.
Nous avions fait sensation dans le bar et de nombreux mecs n’avaient cessé de mater nos jambes, nos cuisses et les dessous que nous dévoilions avec malice. Tel fut le sujet de conversation du retour. Les hommes nous imaginaient déjà rue Curiol faisant le tapin ! Dom avoua que l’idée l’enchantait et qu’elle aimerait bien s’enfiler et comparer plusieurs chibres dans une même journée !
La soirée se prolongea chez Daniel et après un repas rapide puis le café pris sur la terrasse, nous passâmes dans un vaste salon, fenêtres ouverts, persiennes closes. Débuta alors une folle séance de photos. Dom et moi prenions des poses tandis que les garçons nous tournaient autour, appareil en main. J’enlaçai Dominique contre le mur dans un long baiser au goût de rouge à lèvres puis nous nous déshabillâmes lentement avec des gestes de comédie pour la prise de vue : strip - tease sur papier… moues, mines effarouchées, gros plan sur une épaule qui se dénude, une hanche, des dessous blancs et noirs, une main sur une fesse à la lisière d’une petite culotte qui glisse… un cul mignon, deux doigts qui s’immiscent dans le trou plus sombre, des lèvres qui se tendent dans une raie profonde, une queue avalée…
Nous bandions tous comme des fous, comme des ânes. Les mecs s’étaient déshabillés, hampe tendue. J’étais très excité, le slip dans la raie, le cul en feu, bien projeté en arrière comme un appel au viol ! Je me penchai sur la table basse où étaient étalées les photos, toutes délicieusement érotiques, vulgaires et provocantes certaines. Et je sentis une grosse queue contre mes fesses. Ma culotte glissa, je l’aidai un peu. Je me retrouvai à genoux sur la table et le dard encapuchonné me fora le fion. Deux mains solides me serraient les hanches , je m’agrippai à celles d’Emmanuel qui s’était placé devant moi et le suçai sans retenue alors que Dom était venu entre mes jambes et me lécher le gland. Pour la première fois j’étais pris par tous les bouts. Je frémissais de plaisir à demi étouffé, ouvert tout entier. L’odeur de sexe m’enivrait ; je voulais retenir ces belles et longues queues qui me transperçaient… j’aspirais l’une et je serrais le cul… rondelle dilatée puis contractée, férocement possessive… tandis qu’une langue mouillée, une bouche goulue, s’emparait de mon sexe puis le quittait, suivant son balancement, à la cadence imposée par celle qui m’astiquai le trou… Délice ! Et je jouis, et Emmanuel déversa son sperme chaud au profond de ma gorge et Daniel m’inclina sur la table, le cul bien en l’air, me prit à fond en m’arrachant les cuisses et s’abattit sur moi en de longs gémissements…
Nous étions épuisés. Seule Dom qui n’avait pas eu son compte venait se frotter contre nous, passant de l’un à l’autre en tortillant les fesses pour voler un baiser. Nous allâmes nous allonger un moment sur les chaises longues de la terrasse sous le ciel étoilé et je somnolais quand je sentis une langue mouillée m’ouvrir les lèvres. Je gardai les yeux fermés et me tassai dans la chaise en laissant une petite place. Je reconnus alors le corps imberbe de Dom toujours à demi habillé qui se lova contre moi en me roulant une pelle. Je trouvai la lisière de son slip et y glissai une main caressante ; ses fesses fermes frémirent et son trou sans aucun poil m’excita. Je lui mis deux doigts bien à fond, sa queue se durcit encore. Il tremblait de désir, retira son slip et m’enjamba. Cambré, il se frottait la raie contre mon sexe puis il le prit dans une main, le protégea et se l’enfila dans le trou sans difficulté. Ma queue glissait parfaitement dans son cul lubrifié habitué à un plus gros chibre et je le branlais avec frénésie tandis que nos deux complices nous observaient… Bientôt Daniel s’approcha, glissa sa langue entre les lèvres ouvertes de Dom, le prit à bras le corps, le souleva et l’emporta, empalé sur son sexe énorme. Emmanuel, lui, ôta la capote qui me protégeait et remplaça Dom me chevauchant. Sa rondelle était plus resserrée et je le sentais mieux. Puis nous roulâmes ainsi l’un dans l’autre et je me retrouvai sur lui, ses jambes autour du cou. J’arrêtai un instant mon mouvement et, bien au fond de son trou, je caressai de mes mains fébriles nos deux paires de couilles humides et chaudes réunies mes paumes, belles prunes rondes et lisses que j’aurais aimé lécher puis avaler toutes entières, fruits de ma passion ! Lui remuait les fesses comme une danseuse excitée, je repris alors ma course frénétique au rythme du bruit mat de mes grelots contre son adorable cul. Son sperme gicla en plusieurs jets sur son ventre et une goutte même roula sur sa joue… Je la recueillis du bout de la langue tandis que je l’inondai de mon jus brûlant. Il gémit et me retint longtemps contre lui, l’un à l’autre collés.
Plus tard nous retrouvâmes Daniel et Dominique endormis sur le lit, exténués eux aussi. Et il fallut nous quitter. Je remis la petite culotte qui plaisait tant à Emmanuel mais repris par ailleurs mon air de garçon. Je partis un peu las mais heureux et avec la certitude que nous allions vivre bientôt des aventures aussi folles.
( A suivre peut-être… )