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Temps de lecture estimé : 4 mn
23/09/01
corrigé 30/05/21
Résumé:  Un nouveau rêve "érotico-choral" plutôt mouvementé.
Critères:  fhhh grossexe contrainte revede fellation pénétratio fdanus fantastiqu -journal -fantastiq -groupes
Auteur : Candice Barboux  (Jeune femme spirituelle)      

Série : Un amour de fantôme

Chapitre 03 / 04
Un amour de fantôme 3

Le 19 avril


Cher Journal

Il est très tard et je ne peux pas dormir. Toujours cette impression de ne pas être seule dans ma chambre. Dès que je ferme mes yeux, je n’arrête pas de faire des cauchemars, et je n’ai pas envie de me rendormir. Heureusement que tu es là, toi… Je serai certainement fatiguée demain mais j’en profiterai pour rattraper mon sommeil au boulot avec un petit somme, entre midi et deux. Peut-être qu’en plein jour mes rêves ne seront pas aussi noirs.


La nuit dernière, dans mon dernier rêve, j’allais nue à travers bois près d’un lac et un vent très fort tournoyait autour de moi comme si plusieurs personnes que je ne pouvais apercevoir me tournaient autour ?! Un vent chaud et puissant. À une vingtaine de pas, devant moi, il y avait cet homme dont je ne distinguais toujours pas le visage. Il me tendait ces grosses mains rugueuses. Le vent continuait à souffler autour de moi, il m’enveloppait. Malgré moi, malgré la peur qu’il m’inspirait, je continuais de m’approcher de lui. Il m’a dit :



Je voulais lui dire qu’il ne m’impressionnait pas, que j’allais rentrer chez moi mais je ne pouvais articuler un seul mot ! Puis il a levé les pouces et le vent est tombé.


Tout est devenu silencieux. J’ai pensé qu’il me laisserait partir parce qu’il pouvait lire dans mes pensées. Maintenant qu’il avait arrêté le vent avec ses pouces, j’allais pouvoir me réveiller. Puis j’ai dû baisser les yeux parce que je sentais cette chaleur entre les jambes. Toujours la même : irrésistible, irrépressible, incroyablement forte. Cette chaleur me brûlait, me forçait à écarter les jambes. Ça brûlait moins comme ça mais voilà qu’elles se mettaient à s’écarter toutes seules, à s’écarter comme si elles allaient s’arracher de mon corps. L’homme me regardait, me souriait et gardait les pouces en l’air. J’avais envie de m’en aller, je frissonnais, il y avait de nouveau ce vent fort mais qui était devenu glacial.


L’homme a fait signe de ne pas me laisser partir. Mon entrejambe était toujours fermement maintenue, j’étais tour à tour brûlante, glacée. Je me mettais à "mouiller", mon clitoris était électrisé, la cyprine dégoulinait le long de mes cuisses comme un signal, le feu vert aux exactions de cet homme ou de ces hommes… Je ne savais plus ce qui se passait. On me prenait par les jambes et les bras, mille mains s’affairaient autour de moi. L’homme sans visage venait d’ordonner qu’on me prenne. Une main invisible m’attrapait par les cheveux et me faisait baisser la tête. Plusieurs sexes énormes s’engouffraient dans ma bouche, déformée qu’elle était par autant de veines et de puissance. J’essayais de me défaire de ces liens invisibles, de dégager ma bouche harponnée par ces membres mystérieux qui, s’ils étaient sur le point de m’étouffer, me faisaient gémir comme une hystérique ! Toutes ces mains me retenaient par un endroit de mon corps. Elles étaient tellement nombreuses : peut-être huit, neuf, je ne sais plus… Des bouches mordillaient mes seins, mes fesses, des doigts visitaient mon vagin, d’autres se baladaient autour de mon œillet, j’étais ivre de caresses, de baisers, de pincements ; et ces glands énormes qui cognaient toujours au fond de ma gorge.


Soudain, je me retrouvai suspendue dans les airs, flottant à l’horizontale comme par magie… J’étais en apesanteur, écartelée, tenue par "ces" forces invisibles tandis que les premiers coups de boutoirs commençaient à enflammer mon intimité. Je devenais folle, demandant qu’on me prenne comme la chienne que j’étais devenue. Mon bassin allait au-devant de ces coups de pines majestueux, implacables, j’en voulais toujours plus ! Je ne pouvais même plus compter les bites qui se succédaient. Ainsi positionnée et exposée dans une horizontalité parfaite, les membres inférieurs incroyablement et douloureusement écartés, mes seins semblaient se détacher sous la secousse orchestrée par la "tournante" invisible. D’autres mains venues de nulle part m’écartaient encore plus largement les cuisses comme pour chercher un meilleur appui, la position ultime…


Ce rêve semblait durer une éternité. Ma position "spatiale" me livrait totalement et m’interdisait tout répit devant ce "tsunami" de bites qui me faisaient gueuler de plaisir ! Totalement à leur "merci", pendant qu’on me défonçait sans relâche, on me "visitait" digitalement le petit trou sans vergogne, naturellement dilaté par ces "marteaux-piqueurs" redoutables de précision et de puissance. Je n’étais pas loin d’une "overdose" de surexcitation lorsque l’homme sans visage baissa les pouces…


Tout s’était arrêté. L’homme s’approchait de moi. Plus il avançait, moins je le distinguais. Allongée sur le sol, les jambes écartées, la région pubienne anesthésiée, je ne distinguais que son sexe ÉNORME qui commençait à déverser de longs jets de spermes. Dense, épaisse, précise, l’éjaculation abondante se déversait sur mon corps comme l’écume fait son lit dans la rivière. J’étais recouverte de foutre, commençant même à me noyer dedans. J’étouffais, ayant l’impression d’avaler la totalité de cette semence qui ressemblait fort à l’accumulation des huit ou neufs érections qui m’avaient précédemment besognée. Je suffoquais maintenant.


Je me suis réveillée nue, en croix dans mon lit, le coussin enfoncé au fond de ma gorge, le bas ventre trempé. Des fois, quand je rêve, je me sens prisonnière de mon rêve, et j’ai terriblement peur. Mais à présent que j’écris ce que je viens rêver, cela ne me paraît pas si terrifiant. Peut-être vais-je noter tous mes rêves maintenant et qu’ainsi ils ne m’effraieront plus ?!


Bonne nuit. J’espère.