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n° 03062Fiche technique10033 caractères10033
Temps de lecture estimé : 7 mn
04/11/01
Résumé:  Bernard et Maud se revoient sur la plage. Ils ont pris goût à venir y manger des cerises, mais aussi à y pratiquer des choses beaucoup plus coquines
Critères:  fh plage voiture exhib photofilm intermast fellation cunnilingu pénétratio uro
Auteur : Bernard_Photographe  (Bernard - Photographe amateur)      

Série : Maud la prof

Chapitre 02 / 06
Revue danoise



Revue danoise (Maud la prof - 2)


Pour notre rendez-vous suivant, le temps était superbe, et j’allais voir Maud, un midi à son lycée, nous devions être début juin ou fin mai, les vacances se sentaient déjà dans la chaleur, l’odeur des pins…

Je la vois arriver avec une collègue, cette fois, elle l’abandonne, traverse la rue, elle était en robe serrée à la taille et évasée vers le bas, au-dessus du genou, un ravissement… Grand sourire, elle se penche par ma fenêtre de voiture ouverte et après quelques paroles m’embrasse à pleine bouche. Puis, je lui dis :



On démarre pour retourner dans le coin tranquille où il pleuvait la fois d’avant. J’étais déjà très excité de voir ses cuisses à demi nues, Je le lui dis :



Je lui caresse les cuisses :



Elle relève sa robe et une fine culotte blanche apparaît. Je la touche, lui écarte ses cuisses tout en roulant, lui touche la poitrine et nous arrivons.

J’avais pris une grande rabanne et une serviette, elle s’y allonge aussitôt sur le dos, les genoux relevés. Sa robe glisse laissant voir sa culotte, mais je n’avais pas d’appareil aujourd’hui, hélas !

Je sors un kilo de cerises pour déjeuner et les photos de son pipi dans l’herbe mouillée. Ça la fait rire :



Je la remercie, lui mets quelques cerises dans la bouche et commence à caresser ses cuisses, les parcours de baisers, et ma bouche arrive sur sa culotte. Elle allonge ses jambes, les écarte en grand :



Je lèche son entre cuisse, sentant son odeur intime, puis j’enlève ma chemise et mon pantalon car il fait chaud et je m’installe à plat ventre entre ses cuisses. J’écarte petit à petit sa culotte, retrouvant sa fente rose et ses petits poils blonds, je la fouille de ma langue, goûtant son nectar, mes doigts découvrent son clito pour mieux le sucer. Elle apprécie beaucoup ça à entendre ses gémissements presque continue, puis elle me fait arrêter pour enlever sa robe :



Je l’aide, on la range proprement dans la voiture et tandis qu’elle est penchée vers l’intérieur, je descends sa culotte et lui léchouille les fesses ! Elle a un cul superbe et je le lui dis, lui prouve en l’embrassant.

Elle finit par se retrouver un genou sur la banquette arrière, l’autre sur le dossier, donc très ouverte. Je la lèche encore puis elle me demande de la prendre. Mon slip vole, mon sexe tendu s’approche, je la frotte le long de la fente, moment magique, parce que juste " avant " elle gigote, me disant " d’y aller ". Je présente mon gland contre ses pétales roses entre lesquelles je me glisse lentement. Elle a comme un hoquet, retiens son souffle et quand je suis à fond dedans, elle pousse un gros soupir, puis elle se pousse vers moi disant que c’est bon !

On fera ça pendant quelques minutes, mais c’est inconfortable pour elle et on se remet sur la serviette, où quand même on grignote les cerises, se les passant de bouche en bouche. Je lui sors les seins du soutien-gorge, lui lèche les tétons, je lui enlève ensuite.

On est nu au soleil, c’est un régal et elle me caresse partout, puis me masturbe et me prend dans sa bouche, un délice de douceur. Et d’un coup, je me souviens avoir amené quelque chose pour elle :



Je vais dans mon coffre et reviens avec une grande enveloppe :



Elle ouvre et découvre une revue danoise carrément porno :



Au précédent rendez-vous elle m’avait dit avoir trouvé dans les affaires de son fils de dix-sept ans, une petite revue porno, et ça l’avait un peu choquée de voir des images aussi explicite, bien que n’étant pas " arriérée ", mais c’était peu courant à l’époque. Elle m’avait dit qu’elle l’avait remise à sa place, mais qu’au fil de la journée, elle avait eu la curiosité de la reprendre, de la détailler, de la ranger à nouveau. Mais dans l’après midi ne faisant qu’y penser, elle alla la chercher, s’installa sur son canapé et s’excita toute seule en regardant les photos ! Je lui avais dit :



Elle commence à feuilleter cette revue inconnue, à plat ventre, son superbe cul bien cambré :



Il s’agit d’un couple qui flirte, puis commence à faire l’amour, mais un ami du mari arrive à l’improviste. Les photos sont très bonnes, la fille mignonne, avec des seins assez gros, elle est encore en soutien-gorge quand l’ami arrive et est mal caché par un peignoir. On comprend qu’ils expliquent ce qu’ils faisaient à l’ami que la situation excite et bientôt la fille aussi se prend au jeu. Cela se termine par une partie trio et une double pénétration après sodomie par les deux gars !

Pendant qu’elle regarde avidement tout ça, je me suis allongé sur elle, la caresse, l’embrasse dans le cou, les oreilles.

Je commente les photos au fur et à mesure, elle aussi du genre :



Ou :



Elle répond que de temps en temps, elle ne refuse pas, mais ça fait mal. Moi :



Mais le temps passe, je la caresse partout, l’excite encore alors elle contemple toujours les photos, puis elle murmure :



Elle se met alors en levrette, très cambré, le visage sur la revue et me laisse faire. Sa vulve est superbe, ma langue la parcourt du clito au petit trou. Elle respire fort, gémit, je lui tiens les fesses écartées au maximum et tout en suçant son clito, je lui titille l’œillet d’un bout de doigt et je lui enfonce doucement en insistant sur le clito et elle jouit en poussant de petits cris rapprochés et je l’entends encore me dire :



Je ne dis rien savourant son plaisir, mais je me place derrière elle, mon sexe contre sa fente, je la caresse avec, l’humecte de son jus, puis le présente à nouveau entre ses pétales gonflés et cette fois j’y entre d’un coup de rein ! Elle pousse un gros " OUF " et commence à se tortiller superbement disant que c’est bon d’être prise ainsi. Je la tiens par les hanches, m’active, comme elle d’ailleurs qui se pousse et on jouit superbement. Je me vide en elle par saccades, on se calme, on se désunit, et elle me dit :



Je la lui tends, elle l’enfile vite :



Jamais je n’avais entendu ça !


La fois suivante fut brève : je viens la chercher un soir pour lui éviter le car et l’emmène à la gare. Elle fut donc un peu en avance. On resta à discuter dans la voiture. J’appris quelle quittait à telle date l’établissement et me demanda si un midi je pourrais venir l’aider à charger sa voiture et j’acceptais évidemment.

Puis d’un coup, elle me dit :



Je suis surpris, je lui fais quelques bises, elle tourne la tête et sa bouche s’empare de la mienne, goulûment !

Je repère où doivent être ses élèves, car un des deux regarde et visiblement fait signe à l’autre de regarder ! Je l’embrasse de plus belle, mais elle regarde l’heure :



Elle sort de la voiture, rayonnante et disparaît dans la gare !

Décidément le hasard fait très bien es choses si on le bouscule un peu !


A suivre !


Bernard