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n° 03211Fiche technique16559 caractères16559
Temps de lecture estimé : 10 mn
30/11/01
Résumé:  Maud changeant d'affectation demande à bernard de l'aider à déménager ses affaires de prof ! Ils se donnent rendez-vous devant l'établissement, puis pénètrent dans la classe vide...
Critères:  fh profélève école intermast fellation cunnilingu pénétratio
Auteur : Bernard_Photographe  (Bernard - Photographe amateur)      

Série : Maud la prof

Chapitre 03 / 06
Un élève nommé Bernard



Un élève nommé Bernard (Maud la prof - 3)


La saison avançait, il faisait de plus en plus chaud et cette liaison entre cette prof coquine et moi était aussi de plus en plus chaude…

J’avais la permission de lui téléphoner chez elle le mercredi, et un jour elle m’annonça que c’était fini pour elle ce remplacement, qu’elle avait un poste plus proche de son domicile, ce qui était mieux pour moi également. Elle avait la date de son dernier cours, un matin, et me demanda un service :



J’acceptais, ce serait un midi, elle m’offre même le restau pour la peine !

On ne put se rencontrer avant, et le jour dit à midi, j’étais devant l’établissement. Elle vint me chercher, vêtue d’une robe un peu ample, en tissu léger, décolleté carré, blanc cassé. En s’approchant de moi, je compris qu’elle n’avait pas de soutien-gorge et un oeil exercé pouvait deviner les petites aréoles… ça me surprit… Elle se penche par la portière, m’embrasse à pleine bouche puis me dit qu’elle est heureuse que ce soit fini ici. Je sors de la voiture :



On se dirige vers sa classe, en fait des " préfabriqués " ajoutés vers l’entrée. Tout est désert, élèves et profs partis ou à la cantine de l’autre côté du bâtiment en dur. Elle a garé sa 504 devant, ouvre le coffre et les portes et on pénètre dans cette classe après trois marches larges. J’ai toujours une émotion en entrant dans une classe, une certaine odeur, des souvenirs lointains et pas tous désagréables. Elle me montre plusieurs cartons empilés au fond, je ne pensais pas qu’il fallait tant de choses. On s’embrasse un peu avant de déménager et je lui dis que j’aurais voulu être un de ses élèves ce matin pour la voir évoluer dans cette robe et deviner ses seins, surtout qu’elle se pencha sur un carton, je voyais la moitié de sa poitrine !



Je passais une main par le décolleté, saisissant un sein à pleine main…



Ça m’excite d’entendre tout ça, mais on range d’abord ses affaires dans la voiture, j’en profite pour la toucher un peu partout, en regardant bien, on devine aussi sa culotte blanche, bref, quand on a fini, je suis super excité et ce qui est bien c’est que nous sommes absolument seuls ! Je l’embrasse contre le bureau, une main sous la robe, elle est aussi très chaude, très câline, me laisse faire et répond à mes caresses. Puis, je lui dis :



Elle me montre :



Je vais m’y asseoir.



Elle va s’asseoir au bureau :



(Je crois que c’était le prénom, mais…)



Elle joue l’effrontée :



Elle descend une bretelle, toujours assise et le sein gauche apparaît.



Elle fait le geste idem et les deux seins sont presque posés sur son bureau !



Ça c’était vrai, on dominait la cour. Je me lève, faisant le timide et je me mets à côté, debout :



Je me piquais au jeu, c’était curieux car on jetait des regards au dehors au cas où, et elle jouait la comédie :



Et j’avance une main comme si c’était la première fois, j’effleure sa peau, son téton, puis je m’enhardis, le prend à pleines mains :



Puis je passe derrière sa chaise, lui caresse les épaules et mes deux mains descendent vers sa poitrine. Je la vois respirer plus fort, je la sens troublée.



Elle se lève, écarte la chaise et face à la cour, relève sa robe sur ses fesses, moi je suis derrière.



Elle se tourne et montre son ventre. La culotte est opaque au milieu avec les bords transparents, très sexy.



J’allais me mettre à genoux, mais elle me fait signe de venir derrière le bureau, en fait sur le côté pour qu’elle se place face à la cour, le bas caché par le meuble et je mets à genoux entre elle et le bureau et on reprend notre jeu :



D’une main elle tient sa robe à la taille et de l’autre elle écarte la culotte.



Elle descend alors le fin tissu sur le devant et montre toute sa toison.



J’approche mon nez, touche sa toison et la hume, puis lui fait des bises sur le ventre en mettant mes mains sur les cuisses. Je la sens réagir et l’entends respirer fort :



Je fais glisser le tissu, je lui enlève, le respire.



Elle va prendre la chaise, la place aussi sur le côté du bureau, s’y assoit la robe relevée et cuisses grandes ouvertes, elle garde ainsi la vue sur la cour. Je m’agenouille face à elle, caresse ses cuisses, puis touche ses poils que j’écarte.



Je commence à peine à la toucher qu’elle pousse un gros soupir et ne dit plus rien ! Je lui caresse la fente et touche son clito :



Elle me force la tête, s’ouvrant totalement, je sens sa mouille, un régal.



Secouée de soubresauts, elle fait craquer la chaise et ses cuisses me serraient fortement.



Elle se lève.



J’ouvre ma braguette et sort mon sexe.



Elle avance une main, l’apprécie.



Je m’exécute mais elle le prend en main :



Elle me branle pendant que je lui caresse les fesses tournées vers la cour.



Comme elle adorait cela aussi, elle me le démontre et me suce avec un grand plaisir réciproque puis se relève.



La robe relevée à la taille, elle m’offre son superbe postérieur ! Je m’approche de sa fente, regarde autour de moi, je ne rêve pas, je suis dans une classe avec la prof qui se donne, la porte est ouverte, sa voiture pleine de cartons devant, le chaud soleil éclabousse la cour déserte.


Je n’avais imaginé faire ça un jour et pourtant !


J’ai une envie folle de la faire jouir, je présente mon gland et pousse doucement, elle gémit en soupirant et bientôt, je suis en elle totalement. Je sens sa chatte palpiter, c’est chaud et trempé, je glisse mes mains sous ses seins que je dénude pour qu’elle se sente encore plus perverse. À part la robe à la taille son corps est nu, plié en deux sur son propre bureau. Elle me dit que c’est trop bon, qu’elle va jouir encore, que je la prenne fort… on perd la notion du temps, on jouit ensemble comme des bêtes, je n’en finis plus de me vider en elle, une merveille !


Puis à regret on se sépare, je ramasse sa culotte, lui passe au pied et la remonte, sachant qu’elle adore ça maintenant ! Elle descend sa robe et remonte le haut puis on s’enlace :



Et on part avec ma voiture vers le village, tout heureux d’avoir vécu ça. En tout, cela n’a duré que vingt minutes en fait et sans être dérangé du tout, une aubaine qu’effectivement je n’ai jamais revécu.

Mais on fera bien d’autres choses ensemble sur plusieurs années de fréquentations. Quand deux coquins se rencontrent, tout est possible surtout qu’elle était un peu délaissée par son mari.

Il y eut une suite immédiate après le retour où l’on a parlé beaucoup de ce qu’on venait de faire et du futur de nos relations facilitées par la proximité. Puis en la raccompagnant, on fit vraiment l’école buissonnière, un petit détour par la colline juste pour s’isoler car on ne trouva pas d’herbes assez douces, on remit ça dans la voiture. Elle voulut "me remercier" en faisant tout : fellation d’abord, puis elle se mit sur moi sans la robe mais AVEC sa culotte trempée ! C’est la première femme que je connu aimant garder assez souvent sa culotte en se faisant prendre. Et j’avoue trouver ça très excitant !


D’autres lecteurs ont-ils vécus la même chose ? En tous cas, merci à tous ceux (et celles) qui m’apprécient !


Avec mes complices amitiés.


Bernard


(c)Bernard photographe 11/01