n° 03398 | Fiche technique | 28008 caractères | 28008Temps de lecture estimé : 16 mn | 07/01/02 |
Résumé: Première partie d'un court séjour à Kinshasa; le vol révèlera déjà des surprises. | ||||
Critères: fh hplusag couleurs inconnu avion intermast fellation cunnilingu fgode préservati pénétratio | ||||
Auteur : Elbe (Voyageur de par ma profession, j'ai 46 ans et je suis séparé) |
DEBUT de la série | Série : Le Memling Chapitre 01 / 02 | Épisode suivant |
Le Memling
L’introduction est peut-être un peu longue, mais j’ai voulu rendre hommage à l’équipage qui aujourd’hui doit se retrouver dans la tourmente suite à la faillite de la Sabena. Et puis ce vol restera pour moi un souvenir inoubliable.
1. Le voyage
Je dois me rendre au Congo (ex Zaïre) et comme la Sabena est la seule compagnie à encore desservir cette escale au départ de l’Europe, je me retrouve sur le vol Bruxelles - Douala - Kinshasa.
Je m’assieds en classe touriste, dans un avion bien rempli. D’habitude, je voyage en classe affaire, mais la politique de la maison a changé; on n’y a droit que si on travaille le jour du voyage. Je suis installé à côté du hublot et ma voisine se trouve être un ravissante Camerounaise d’environ 30 ans. Nous échangeons quelques banalités en attendant le départ. Peu après le décollage, le personnel de cabine commence à nous servir l’apéro, rapidement suivi d’un repas tout à fait correct. Dans l’ensemble, l’équipage a plutôt l’air sympa sans que l’on ne puisse dire que les hôtesses soient du genre top modèle.
Nous sommes en vol depuis moins de deux heures que déjà l’on baisse les caches devant les hublots pour débuter la projection du film. Cela ne m’intéresse pas du tout et de plus avec ma taille (1m90) j’ai besoin de me dégourdir les jambes. J’ai toujours été attiré par l’aviation, et croisant le chef de cabine, je lui remets ma carte de visite.
Quelques instant plus tard.
Ce n’est pas la première fois que j’ai l’occasion de pénétrer dans le saint des saints, mais c’est un plaisir toujours renouvelé. Une hôtesse vient finalement me chercher pour me guider vers l’avant de l’appareil et on fait les présentations : Pascal X., le commandant, Esméralda Y., le premier officier et moi c’est Luc.
C’est par contre ma première visite de poste en Airbus et je suis surpris par l’absence des commandes de vol.
Et de me montrer un gros moignon situé sur une console à sa gauche. Esméralda m’indique qu’elle a le même objet phallique à sa disposition, à droite. J’en profite pour me pencher un peu et détailler notre ravissante co-pilote. Grande, probablement 1m75, de beaux yeux marrons et une longue chevelure châtain qui flotte librement. Mais surtout une superbe paire de seins - au moins du 95D - presque à l’étroit dans sa chemise blanche réglementaire. Je me mets déjà à fantasmer quand le commandant engage la conversation.
Esméralda qui était plutôt occupée à surveiller le vol et répondre au control aérien intervient alors.
Nous continuons à bavarder boulot, politique, voyages. Je suis fasciné par leur métier - par leur passion devrais-je dire. Tout en étant très décontractés, je sens un grand professionnalisme dans leur attitude et j’en aurai la preuve plus tard. De plus Pascal et Esméralda sont très accueillant, répondant à mes nombreuses questions, détaillant les différents systèmes, apaisant mes craintes de néophyte en cas de panne.
Les grandes vitres offrent une vue splendide sur la Sierra Nevada et un peu plus loin, sur le détroit de Gibraltar.
Esméralda quitte son siège pour aller se dégourdir les jambes et je la suis d’un regard concupiscent. Pascal se met à me tutoyer :
2. Le Club
Esméralda revient au cockpit et sans hésitation, marque son accord d’un franc sourire. Cette belle fille est un véritable pousse au crime. Enfin je regagne ma place avec la promesse que l’on viendra me chercher juste avant d’entamer la descente.
Je traîne un peu dans la cuisine, bavardant avec une hôtesse et un steward. Je me délecte de cet accent belge savoureux ; je me rend compte que la plupart parlent entre eux en flamand, un dialecte proche du hollandais. Enfin je retourne à ma place; ma jolie Camerounaise s’est assise près du hublot pendant mon absence.
De fait, elle a légèrement réouvert le hublot, laissant filtrer une lumière vive.
Les sièges sont tellement étroits que nos bras se frôlent; le sien est nu, tandis que moi je porte une chemise légère. Je l’observe du coin de l’œil; au lieu de porter le traditionnel boubou des voyageuses Africaines, elle est vêtue d’une jupe de cuir noir qui lui arrive mi-cuisses. Ses jambes sont nues et elle a déchaussé ses escarpins laissant libres ses pieds fins aux ongles soignés et vernis de nacre. Un chemisier blanc, coupé aux épaules dissimule mal sa poitrine généreuse. Un foulard rouge et de nombreux bijoux en or complète sa parure. Son visage est rieur; de belles lèvres délicatement ourlées, un petit nez légèrement épaté et de beaux yeux noirs en amande. Je ne reste pas indifférent à son charme, d’autant que la promiscuité me fait profiter de son parfum cuivré.
Quelques secousses brutales la font un peu paniquer et instinctivement elle pose sa main sur ma cuisse. S’y agrippant devrais-je préciser.
Le secousses se calment, mais sa main est toujours là, moins crispée, d’un contact très agréable.
Pendant toute notre conversation - qui se poursuit un peu par les banalités habituelles - nous n’arrêtons pas de nous frôler, de nous toucher, chacun recherchant inconsciemment le contact de l’autre, des fils ténus nous relient. Un doux frisson parcours mon gland et je sens un afflux de sang grossir mon sexe. Nos phéromones doivent se mélanger puissamment car ses tétons pointent outrageusement à travers son chemisier. À cette vue, je me laisse aller, je bande sans retenue aucune. Je me sens comme sur un petit nuage, j’ai envie de la prendre là, tout de suite, mais elle mérite mieux. Je veux donner autant que recevoir. Nos regards se croisent, nos phrases sont ponctuées de petits rire nerveux. Nous jouons, pleinement insouciants de la pente savonneuses sur la quelle nous nous engageons. Notre bavardage devient moins anodin.
Là, les choses se sont enchaînées; j’ai continué à caresser son bras, imperceptiblement, ses doigts sont un peu remontés le long de ma cuisse, nos yeux se sont rivés l’un à l’autre. Je me suis penché pour occulter le hublot, ma bouche a effleuré sa joue, nos lèvres se sont soudées et nos langues se sont mélangées dans une valse lente. Je ne sais toujours pas ce qui m’a pris. J’aime le sexe, j’aime l’imprévu, mais là c’était aussi soudain qu’inattendu. De plus, je n’ai pas l’initiative, cela me perturbe et elle de continuer; elle relève l’accoudoir qui nous sépare. Il fait heureusement très sombre, la seule lumière provenant des écrans individuels scintillants au gré du film qui passe. Sa main remonte encore un peu, se pose ma verge tendue, la cajole à travers le tissus. Un doux frisson m’électrise.
Comme une invite, elle ouvre un peu ses jambes; mes doigts remontent l’intérieur de sa cuisse, le long de cette chair si délicate et se posent sur le tissus humide. J’appuie un peu, les lèvres s’entrouvrent, libérant un flot délicieux, achevant de détrempé la cotonnade. Elle laisse échapper un long gémissement discret alors que je caresse sa vulve. Je retire mes doigts pour les porter à mon nez; son fumet est fort et enivrant, j’ai hâte de le boire! Elle saisit ma main, suçant goulûment mes doigts.
A l’aide d’une couverture, j’essaye de dissimuler nos ébats naissants. Elle en profite pour ouvrir ma braguette et libérer mon pénis de son carcan. Elle entoure mon membre de ses longs doigts, décalotte le gland et titille le frein avec un ongle. Elle recueille une petite goutte qu’elle s’empresse de déguster. Ma main est repartie à l’assaut de son intimité; j’écarte un peu le tissus, remonte le long de sa fente à la découverte d’un clitoris déjà bien gorgé de désir.
Je me lève, pars à la recherche de mon veston. J’ai toujours en réserve deux préservatifs au fond d’une poche - au cas où - secrétaire en chaleur, cliente nymphomane, ou tout simplement une pulsion, une rencontre agréable… mais je n’ai jamais imaginé que cela allait me servir un jour en avion.
Elle me suit et arrivés devant les toilettes, une passagère attend son tour. C’est à ce moment que j’aperçois une autre porte avec un signe "Interdit" ’CREW ONLY’. Je lui chuchote:
La voie est enfin libre, personne ne nous voit; par miracle la porte n’est pas verrouillée, je l’ouvre sur un petit escalier très raide. Elle descend quelques marches et je referme derrière nous, nous plongeant dans le noir absolu. J’entrevois un petit panneau lumineux, tâtonne un peu, hésite de peur de déclencher une alarme et finalement, j’enclenche un faible éclairage. Je la rejoins au pied de l’escalier, la pièce est assez petite, basse de plafond aussi; impossible pour moi de me tenir autrement que courbé. Il y a 6 couchettes individuelles - certaines superposées - munies d’un rideau de courtoisie ainsi que d’une quantité de coussins et de couvertures. C’est bien insonorisé!
Je la prends par la main, la guide vers le bord d’une couchette; celle-ci est à mi-hauteur. Un dernier regard droit dans les yeux, presque une interrogation; j’y lis en grand: OUI, VIENS. J’embrasse son visage, ses joues, son cou et puis ses lèvres qui s’entrouvrent, m’aspirent goulûment. Elle me rend mes baisers avec fougue pendant que mes mains caressent ses seins, faisant darder ses tétons à travers le tissus. Je déboutonne son chemisier, fait glisser les bretelles de son soutien-gorge en dentelle délicate libérant une belle grosse poitrine souple. Les larges aréoles noires sont fripées de désir et surmontées de gros mamelons durs qui ne demandent qu’à être pincés, sucés, mordillés. Je remonte vers son visage, la couvrant de baisers pendant que je me débarrasse de ma chemise. Elle a une main dans mon entre jambe, qui malaxe ma verge à travers le tissus. De l’autre elle s’escrime avec la ceinture et les boutons. Notre souffle devient plus court, nos doigts plus empressés.
Nos habits valsent l’un après l’autre; il ne lui reste plus que son string!
Ma bouche redescend, aspire un mamelon, pendant que j’empaume son autre sein. Mes doigts jouent avec son téton si dur, si gorgé de désir. Je la devine très sensible, réceptive à mes baisers. Ses mains caressent ma nuque, mes cheveux, guident ma tête. Je continue ma descente et mon exploration de cette peau soyeuse. Je suis maintenant à genoux devant elle; mes mains sur le haut de ses fesses charnues, je saisis délicatement l’élastique de son string pour le faire glisser le long de ses jambes. Je découvre son minou; les grandes lèvres sont épilées, seul reste un petit triangle de poils courts et frisés. J’entreprends de sucer les petites lèvres qui ressortent largement, je remonte ensuite darder son bouton d’amour de petit coup de langues, lui arrachant des gémissements de plus en plus forts, de plus en plus rapprochés.
Pour mieux s’ouvrir à moi, elle trouve un appui pour poser un pied. Du plat de la langue, j’agace ses chaires si délicates, puis je plonge dans son coquillage rose. Je fait tourner ma langue dans son vagin, allant le plus profondément possible. Son nectar vient par vagues successives, je le bois avidement. Son goût salé et son odeur sont puissants. Des cris rauques s’échappent maintenant de sa gorge, accompagnés par de petits tremblements de ses jambes. Son bassin ondule doucement, alors qu’elle relève un peu ma tête pour plaquer ma bouche sur son clitoris. Celui-ci est tout décapuchonné et je le suce comme si je faisais une fellation à un pénis miniature. Je pénètre deux doigts dans sa grotte, déclenchant une marée de cyprine qui vient s’écouler le long de mon poignet. Ses hanches se font convulsives, ses doigts dans mes cheveux frénétiques:
Puis un grand râle de plaisir, des spasmes rapprochés enserrent mes doigts toujours fichés dans sa chatte. Il est là son orgasme, la secouant de toute sa puissance, sans retenue, sans limite jusqu’à ce que ne subsistent que quelques petits tremblements convulsifs.
Je me redresse, l’embrasse longuement, nos langues paresseuses, nos mains caressant langoureusement le dos, la nuque, les épaules. Le feu qui dévorait ses entrailles s’apaise doucement tandis que ma verge piaffe de désir. Elle sent mon membre impatient cogner contre son ventre. Je glisse une cuisse entre ses jambes et j’entreprends de masser ainsi son mont de venus. Elle me souffle à l’oreille:
Et elle va s’allonger sur une couchette pendant que je prépare un préservatif. Je m’approche, j’éclate de rire; la couchette est tellement étroite et l’espace libre entre le matelas et le plafond, tellement faible que nous sommes mûrs pour une chute. Je m’empresse de rassembler tous les coussins et les couvertures pour nous confectionner un petit nid à même le sol. Elle - je ne connais toujours pas son prénom - vient me rejoindre par terre et nous recommençons nos caresses, plus lentement, découvrant l’autre avec délicatesse. Je me couche sur le dos, je m’offre à elle, à ses doigts fins et délicats qui courent sur tout mon corps, s’attardent sur mes tétons en les pinçant fort. Sa bouche part en exploration, ses lèvres glissent sur mon torse, ses dents mordillent mes petits mamelons pendant qu’elle me masturbe lentement; faisant coulisser sa main le long de la hampe, elle remonte jusqu’à entièrement recouvrir le prépuce. Puis elle serre bien fort gorgeant mon gland à le faire éclater. Je frissonne de plaisir, je sens un fin filet suinter de mon orifice qui la pousse à me gober. Elle m’aspire, joue avec sa langue tout autour de ce gland violacé qui ne demande plus qu’à lui cracher son trop plein d’excitation.
Je suis au bord de l’explosion quand elle relâche la pression, descendant le long du mat pour avaler mes testicules. Un doigt glisse le long du périnée, son ongle excite ma rosette, m’arrache de doux gémissement. Comme une maîtresse courtisane, elle m’encapuchonne le préservatif, le déroulant sur tout mon phallus tout en continuant à me sucer divinement. Puis elle vient me prendre à califourchon; d’une main elle guide ma verge à l’entrée de son puits d’amour et d’un seul coup elle s’empale au plus profond. J’essaie de faire quelques petits va-et-vient, mais elle m’en empêche. En lieu et place elle fait onduler son bassin, faisant littéralement tournoyer mon vit dans ses entrailles. Chaque fois qu’elle me sent trop proche de l’orgasme libérateur, elle temporise, ralentit, me gardant à la limite du supportable. Je caresse ses seins, jouant avec ses mamelons congestionnés; mes doigts partent à la recherche de son clitoris, confortablement coincé entre nos deux pubis. Son plaisir monte graduellement, je sens d’imperceptible contractions vaginales; son souffle s’accélère, devient rauque. Elle se penche un peu, m’offrant un sein à téter, libérant mon bassin. Je me mets à coulisser en elle de plus en plus vite, je ne peux plus m’arrêter, des frissons parcourent tout mon corps; je la sens trembler sur moi. Une vague énorme nous prend; toute cette semence accumulée, jaillit brutalement par saccade alors que je m’enfonce jusqu’à la garde. Elle me suit de près d’un long râle de plaisir qui ne semble vouloir s’estomper. Puis elle s’écroule complètement sur moi, sa bouche collée à mon oreille, murmurant des mots doux dans une langue inconnue.
Vaincus par nos orgasmes, nous avons quelque peu somnolé…
Des petites turbulences nous ont réveillé; avons-nous dormi longtemps? Je ne le sais; ma verge a glissé hors de sa chatte et mon jus a coulé entre mon membre débandé et le latex maintenant inutile. Je caresse son dos, lui rappèle doucement où nous sommes, je l’embrasse longuement tout en tapotant sur ses fesses.
A regrets, nous nous rhabillons, non sans s’échanger caresses et baisers. Enfin nous voilà décents et je passe devant pour monter les quelques marches. J’entrouvre la porte, personne en vue, je la fais sortir rapidement et je referme rapidement derrière moi pour tomber nez à nez avec une hôtesse.
Heureusement un passager l’interpelle pour lui demander une boisson et nous filons à nos places sans demander notre reste. Un long silence post coïtum s’installe, chacun perdu dans son bonheur. Puis la parole nous revient, nous échangeons nos cartes de visite avec la promesse hypothétique: - Je t’enverrai un mail.
3. Douala
Nous sommes à une demi-heure de notre première destination quand un jeune steward vient me chercher. J’hésite à abandonner aussi lâchement ma jolie princesse d’ébène, mais je ne peux pas résister à l’envie de voir un atterrissage du poste de pilotage.
Je bredouille une excuse et je pars sans me retourner.
On m’installe dans le cockpit, m’aide à boucler les ceintures de sécurités alors que Pascal me donne les consignes à respecter. Il m’indique une paire d’écouteurs et me branche sur la radio. La vue est splendide, le soleil déjà bas sur l’horizon éclaire quelques énormes nuages en forme de champignons. Loin devant, un peu sur notre droite j’aperçois une montagne imposante.
De fait à notre approche, la lumière rasante du soleil illumine tout le paysage ; la pluie a nettoyé l’air et on voit tout à 50 km à la ronde. J’ai les écouteurs sur les oreilles, je me tais, j’observe, j’entends les conversations avec la tour de contrôle - je ne comprends rien à ce jargon, malgré que cela soie en français - nos pilotes sont occupés aux vérifications préparatoires à l’atterrissage. À deux ils examinent les cartes une dernière fois, décident qui fait quoi, les échappatoires en cas d’avarie, etc. … . Je perçois une grande concentration, il y a beaucoup de choses à dire et beaucoup d’actions à faire en très peu de temps Puis Esméralda regarde vers la droite et annonce.
Moi je ne vois rien du tout ; enfin si, la ville, l’océan, la mangrove, la rivière mais point d’aéroport. Voyant que je ne regarde pas au bon endroit, Pascal me donne un repère et enfin je vois le petit ruban de béton sur lequel ils vont poser l’oiseau.
L’avion bascule sur l’aile, j’ai l’impression que l’on est tout près du sol, j’aperçois une route et quelques baraques de tôle ondulée ; puis la piste est là devant nous et j’ai le sentiment qu’elle tangue.
Le bout de béton grandit, mais tangue toujours ; je me crispe un peu dans mon siège. Esméralda a une main sur les manettes, de l’autre elle tient délicatement le joystick, apportant constamment de petites corrections. Pascal observe calmement en annonçant des valeurs les unes après les autres et l’avion se pose avec une infinie douceur. Je reste sans voix pendant qu’ils arrêtent l’avion, quittent la piste et nous conduisent au parking. Là les dernières actions achevées, ils coupent les réacteurs.
Esméralda rosit sous le compliment et reçoit les félicitations de Pascal qui rajoute à mon intention :
A suivre…