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Temps de lecture estimé : 10 mn
16/01/02
Résumé:  Suite des aventures de Al Finley, détective de son état...
Critères:  fh médical préservati pénétratio policier
Auteur : Vincent      

Série : Brouillard au pont de Levallois

Chapitre 03 / 03
Brouillard au pont de Levallois (suite)



(voici enfin la suite des aventures de Al Finley, détective de son état. Merci à tous ceux qui m’ont écrit pour me demander la suite et m’encourager. Promis l’épisode 4 mettra moins longtemps à arriver !!!)


Je suis dans le tgv pour Marseille. Je fais le point sur tous les éléments dont je dispose. Le puzzle est encore loin d’être complet !!! J’espère que ce séjour à Marseille va m’apporter quelques éléments de réponses.

J’arrive à 17h37 à la gare Saint-Charles. Je prends un taxi pour me rendre à l’hôpital Nord dans lequel travaille Jean Pezet. J’arrive à l’hôpital 35 minutes plus tard. Il y a pas mal de monde dans le hall. Je me dirige vers l’accueil :



Je me dirige vers les ascenseurs et monte au 6ème étage. Je trouve vite le secrétariat où je suis accueilli par une charmante aide-soignante.



L’aide-soignante (qui s’appelle Josy, si j’en crois le petit badge qui orne sa poitrine), décroche son téléphone.



Elle raccroche et se tourne vers moi :



Je prends la direction des toilettes pour me rafraîchir. En sortant, je jette un œil par une porte entrouverte. Je découvre un petit vestibule vide. Ma curiosité me pousse à entrer pour voir ce qu’il y a dans la pièce voisine. Je suis arrêté dans mon élan par du bruit provenant de la pièce en question. Je tends l’oreille. Il me semble entendre des petits gémissements. Je m’approche silencieusement pour découvrir un spectacle des plus intéressants. Une infirmière est allongée sur une table d’auscultation, la blouse ouverte, les jambes pendant dans le vide. Un homme, lui aussi en blouse blanche, a la tête entre ses jambes. Le traitement qu’il impose à sa partenaire semble avoir de l’effet si j’en juge par les mouvements de l’infirmière qui accompagne les mouvements de langue. Elle se caresse la poitrine d’une main, étirant les pointes de ses seins qui semblent déjà bien dures. Je peux parfaitement entendre les bruits de succion de l’homme. Ne restant pas insensible devant un tel spectacle, je me retrouve vite avec le sexe gonflé dans mon jeans. Soudain la femme se redresse et demande à l’homme de se relever.



L’homme défait sa blouse, défait son pantalon et sort son sexe tendu. Elle est plutôt grosse. Elle me paraît même énorme, 25-26 cm de long à vue de nez !!! Il attire l’infirmière vers lui et glisse sa queue sur sa chatte humide. Il la caresse avec son sexe. Elle gémit doucement en le suppliant. Il fait traîner les choses. Soudain sans la prévenir, il s’enfonce d’un seul coup en elle. L’infirmière en a le souffle coupé. Il s’immobilise pour laisser à sa partenaire le temps de reprendre son souffle. Il s’allonge sur elle et lui tête un sein. Elle commence à bouger doucement le bassin pour sentir cet engin monstrueux remuer en elle. Pour lui c’est le signal. Il commence ses mouvements de va-et-vient. L’infirmière halète de plus en plus fort. Elle ne semble plus se contrôler au fur et à mesure que le plaisir monte. Et d’un seul coup elle pousse un cri de jouissance. L’homme n’arrête pas pour autant ses mouvements, il accélère même la cadence. Soudain il se retire et s’agenouille au-dessus de la poitrine de sa partenaire pour lui gicler sur les seins et le visage. Elle glisse sa langue sur ses lèvres pour récupérer quelques gouttes du précieux liquide et semble s’en délecter.

Il reprenne doucement une respiration normale. J’en profite pour l’éclipser discrètement et regagner le secrétariat. Quelques instants plus tard, le téléphone sonne et Josy me signale que le docteur Pezet m’attend dans son bureau.

Je me dirige vers le bureau du docteur. Dans le couloir, je croise la charmante infirmière que j’ai pu admirer tout à l’heure. Elle me sourit. Je lui rends son sourire. Elle ne peut pas se douter que je viens de la voir se faire prendre vigoureusement il y a quelques minutes !


J’arrive devant la porte du bureau du docteur. Je frappe.



J’ouvre la porte et entre dans un petit bureau. Un médecin se trouve debout en face de moi qui me tend la main. Et je rigole bêtement en lui rendant sa poignée de main.



Il éclate de rire.



Jean attrape ses affaires et nous quittons l’hôpital. Nous rejoignons un bistrot sur une petite place près du Vieux-Port. Je dresse un rapide exposé des faits qui m’ont conduit à Marseille, sans en dire trop bien évidemment. Jean m’apprend que son copain pompier, Jacques, pourra me voir demain matin :



Il est huit heures et demi quand j’émerge doucement de ma torpeur. J’ai un peu mal aux cheveux : il faut dire que la soirée avec Jean a été des plus arrosée.

A neuf heures et demi je suis assis à la terrasse du Samaritain sur le Vieux-Port. Je tente de clarifier et noter tout ce que m’a appris Jean hier soir. Dix minutes après, Jacques arrive. Nous entrons vite dans le vif du sujet :



Je règle nos consommations et quitte le bar. Je décide d’aller voir Jean pour savoir s’il a pu se procurer le certificat de décès.


J’arrive à l’hôpital vers 13h. Je monte directement au 6ème dans le service de Jean. Il n’y a personne à l’accueil. Je me dirige vers le bureau de Jean. Je frappe mais personne ne répond. Lorsque je me retourne je me trouve nez à nez avec Hélène la charmante infirmière que j’ai vu la veille avec Jean.



Hélène m’ouvre le bureau de Jean et me précède. Je peux détailler sa silouhette et en particulier ses fesses de rêve. Cette vision me rappelle la scène que j’ai découverte la veille. Je commence à bander rien qu’en y repensant.



J’ai à peine terminer ma phrase qu’Hélène a fait glisser sa blouse sur le sol. Elle ne porte rien d’autres dessous qu’un très joli porte-jarretelles en soie. Hélène est des plus excitantes.



Elle commence à titiller la pointe de ses seins. Elle les étire. Son autre main glisse lentement sur sa peau, descendant doucement vers sa jolie chatte rasée. Je commence à mon tour à me déshabiller. Je dégrafe mon pantalon et le fait tomber sur mes chevilles. Hélène se rapproche de moi, et m’aide à me déshabiller. Elle glisse une main dans mon caleçon, et caresse doucement ma queue tendue. Ses caresses sont tendres. En même temps, elle couvre mon torse de baisers. Ses lèvres remontent doucement dans mon cou, puis elle m’embrasse passionnément. Je glisse une main dans son dos, je descends doucement vers ses jolies fesses. Un doigt s’insère dans son sillon. Je sens son anus palpiter. Elle s’écarte de moi pour aller s’allonger sur le bureau de Jean :



J’attrape une chaise, je la rapproche du bureau et je m’assois. Je glisse les jambes d’Hélène de part et d’autre de ma tête et je plonge dans son entrejambe humide. Je donne de petits coups de langue pour boire sa mouille et titiller son clito turgescent. Elle ne semble pas insensible à ce traitement si j’en crois les petits gémissements que j’entends. De mon côté, je bande de plus en plus. Lorsque je n’en peux vraiment plus, je me lève, enfile une capote et j’approche ma queue gonflée de sa jolie chatte humide. Elle tend le bassin en avant pour m’indiquer son désir… Je ne m’attarde pas et je m’enfonce dans sa cavité chaude et humide. Je suis totalement enfoncé en elle. Je reste immobile quelques instants pour savourer ce plaisir. Je bouge doucement, donnant de petits coups de butoir. J’attrape l’un de ses seins pour le malaxer fermement. Les yeux fermés, elle se laisse aller à son plaisir. J’accélère mes mouvements pour faire coïncider nos deux jouissances. Elle halète de plus en plus fort, mon désir est à son paroxysme… Je ne vais pas tarder à jouir… mon regard capte un reflet dans la vitre : j’ai alors la surprise d’apercevoir Josy, la charmante infirmière qui m’a accueillie hier, en train de se caresser un main entre les jambes dans l’embrasure de la porte. S’en est trop pour moi, et je me répands dans ma capote tout en fixant le reflet de Josy dans la vitre. Ma jouissance provoque alors celle de ma partenaire, qui ne s’est pas aperçue que nous étions observés…


(la suite très bientôt)