n° 03704 | Fiche technique | 12567 caractères | 12567Temps de lecture estimé : 8 mn | 06/03/02 |
Résumé: Claire réussit à me faire vaincre tous mes blocages. | ||||
Critères: fh fplusag volupté cunnilingu pénétratio | ||||
Auteur : Kyssmeagain (Epris de la vie.) |
Épisode précédent | Série : Claire, mon initiatrice Chapitre 02 / 02 | FIN de la série |
Claire… mon initiatrice 2 de 2.
Claire m’emmena dans un restaurant proche, du genre brasserie sans intimité mais où la nourriture dépassait le cadre. Elle avait remis ses vêtements, maintenant bien secs après la pluie et moi, tout simplement, j’avais enfilé un pull et un pantalon sport.
J’étais un peu gêné de me laisser inviter comme cela car nous faisions plus un couple mère et fils que maitresse et amant.
Dans le brouhaha du restaurant, on nous a placé à une table assez calme et Claire, en femme du monde s’empara de la décision du choix des plats. Elle me demanda si une croquette aux crevettes suivies par un tartare maison me plaisait. Elle y joignit une bouteille de Patache d’Aux. La conversation entre elle et moi est restée très anodine, nous parlions vraiment de tout et de rien et, surtout pas de ce qui venait de se passer. De mon côté, j’étais quant même un peu coincé car j’avais des appréhensions sur ma capacité d’assurer le suivi de la nuit.Malgré une première réussite due, en ordre principal, à l’expérience de ma compagne, il me faudra maintenant affronter la réalisation d’un acte beaucoup plus complet. Cela me sera-t-il possible ?
Je dois dire que Claire, dans sa formation pédagogique, avait certes trouvé la bonne formule pour me tranquilliser. Pendant le repas, plusieurs fois elle a mis sa main sur la mienne, dans un geste soit apaisant, soit sensuel. Le choix devait visiblement venir de moi.
Me rappelant les abandons de son corps cette après midi, j’ai moi-même fait le même geste et, mes doigts se sont mis à jouer avec les siens. Elle me regardait avec ses yeux lumineux et rieurs…. J’étais bien !
Le repas terminé, elle me dit simplement : « Viens, on rentre ». C’est bras dessus, bras dessous, que nous avons parcouru les 500 m qui séparaient le restaurant de mon petit appartement. Mon appréhension était à nouveau bien présente.
A peine rentrée chez moi, Claire me dit « fais vite ta toilette et met toi au lit. Je viendrai à la salle de bain après-toi. » C’étaient des propos de vieux couple !!
Inutile de dire que ma toilette a été plus rapide que d’habitude. Après avoir hésité, j’ai conservé mon caleçon et me suis introduit sous les draps. Claire s’est approchée de moi et m’a déposé un petit baiser mutin sur le bout du nez. Qu’elle est gentille !
Je l’ai ensuite entendue faire ses ablutions dans la salle de bain. Elle en est sortie en éteignant la lumière et, c’est au seul éclairage de la rue qui perçait les rideaux que je l’ai vue nue, venir vers le lit. Malgré l’érotisme de la situation je ne bandais pas. Tous mes nerfs étaient en pelote dans la crainte habituelle d’échouer dans l’acte.
Je sentais son corps chaud et nu à côté de moi dans le lit. C’était la toute première fois que j’allais passer une nuit entière dans un lit avec une femme et je n’osais prendre aucune initiative ….
C’est Claire elle-même qui est venue se blottir contre moi.
Aucun geste, mais simplement son corps contre le mien. C’était merveilleux. Ce n’est que longtemps après avoir prolongé ce contact que Claire a pris ma tête entre ses mains et a approché sa bouche de la mienne. Ce baiser, subtil et profond n’avait aucune fougue amoureuse. Il s’agissait simplement, je l’ai compris après, que de la prise de contact de deux êtres vers une finalité acceptée et voulue.
Sa bouche était douce sur la mienne et sa langue, très doucement jouait avec la mienne comme si nous avions toute la vie devant nous.
Ses mains, détachées de mon visage explorait délicatement mon corps et se sont posé en corolle sur mon slip, entre mes jambes. Aucune remarque sur le fait que je ne bandais pas encore. Cette prise de position délicate de mon sexe l’a fait doucement gonfler bien qu’aucun mouvement ne venait des mains de ma gentille compagne.
Elle dit à l’oreille : « caresse--moi, j’ai envie de toi… de tes mains sur moi. » Je m’enhardis et, recommençant à l’embrasser avec plus de fougue cette fois, je me suis emparé de ses seins, m’attardant sur les pointes bien dressées, malaxant cette chair douce et ferme à la fois.
J’ai senti que Claire me retirait le slip et, relevant le bassin, je l’ai aidée dans son mouvement. C’était maintenant ma verge nue et bien dressée qui était l’objet de ses préoccupations manuelles. Elle ne parlait quasi pas, sauf pour me demander de bien la caresser… Mes doigts se faufilèrent vers son entre jambes où j’ai trouvé une abondante humidité, témoignage de son envie. Encore malhabile ou craintif, je me suis cependant mis à explorer toute cette zone, trouvant vite son bouton d’amour et m’en occupant en me rendant compte du plaisir que cela lui donnait. Lorsque mes doigts s’infiltraient dans cet antre béant, je ressentais comme un contact animal. Son fourreau vibrait et ses muscles intérieurs réagissaient C’était nouveau pour moi, mes petites copines étant plutôt non réactives.
Tout doucement, Claire avait progressivement ouvert ses cuisses pour me faciliter mes explorations tandis que ses mains de fées virevoltaient autour de mon sexe qui n’avait jamais été à une telle fête.
Me sentant prêt, Claire sans mot dire, mais avec des gestes doux, me fit comprendre qu’elle me voulait en elle. Moi-même j’ai bien senti que le moment était venu et, me retournant, je me suis glissé dans la fourche de ses cuisses. Claire a très habilement guidé ma verge vers elle et c’est tout naturellement que je l’ai pénétrée.
Ma compagne me caressait alors les cheveux et le visage et me murmurait à l’oreille « Oh oui, mon petit… comme c’est bon.. Vas-y doucement et prend ton plaisir.. que c’est bon de te sentir en moi, continue ainsi … » Habilement, elle me tranquillisait par des gestes et paroles.
Bien en elle, j’ai commencé un va-et-vient lent au début et dont j’ai augmenté le rythme au fur et à mesure de la montée de mon plaisir. Claire me disait : « Pense à toi.. jouis quand tu veux… » J’ai senti que la phase de non-retour était arrivée et que cette fois j’allais vaincre. Ma compagne sentant aussi que le moment arrivait, s’est mise à, de son bassin, accompagner mes mouvements. C’est ainsi qu’ensemble, au même rythme de nos corps, nous sommes arrivés à l’explosion. J’avais jouis en elle, peut-être un peu vite….
J’ai cru devoir lui dire : « Sorry, j’ai été rapide.. tu as été merveilleuse. Pardonne-moi »
Elle m’a répondu : « Mais non, mon grand fou… tu as très bien fait cela. Mais, avec moi, il faut repasser les plats et on va bien voir comment tu vas t’en tirer les prochaines fois » Tout cela dit avec un large sourire et des yeux confiants…
Cette première victoire me donna des ailes et c’est tout à fait libéré que je me suis mis à jouer avec tous les secrets du corps de Claire. J’avais repoussé les draps bien loin et j’avais allumé la lampe de chevet. Rapidement ma bouche devenue gourmande s’est mise à boire aux lèvres vaginales de mon initiatrice. Ce goût merveilleux qu’à la femme après l’amour me grisait. Ma langue se glissait dans ce fourreau où il y a peu de temps encore, ma verge se promenait. Je mordillais doucement le clitoris, faisant pousser de petits cris à ma compagne qui, visiblement, appréciait ce contact. Sa main dans mes cheveux m ’indiquait bien qu’elle voulait que je continue ainsi. Il n’a pas fallu longtemps pour que son bassin se soit animé d’une houle, que sa respiration s’accélère et que ses murmures s’amplifient pour se terminer par un long râle. Ma figure a été inondée par sa jouissance.
Claire, comprenant que maintenant, au moins avec elle, je n’avais plus de blocage, ne pris plus de précaution et libéra son corps… elle prit en bouche ma verge bien dure et méthodiquement, se mit à en parcourir la hampe, a faire jaillir le gland de sa protection, à tenter d’introduire son bout de langue dans le méat. Ses mains caressaient mes testicules, les soupesant et jouant comme avec deux fruits délicats.
Je faisais enfin l’amour avec une femme.
Je ne sais comment, à un certain moment elle s’est mise à genoux sur le lit, le corps courbé en avant, m’offrant sa croupe. Ses seins pendaient sous elle et sa tête ballottait comme pour un appel. Je me doutais bien de ce qu’elle voulait et c’est par derrière que j’ai introduis ma queue. Bien agrippé à ses hanches confortables, je soutenais un rythme vif dans son vagin, ayant totalement oublié toutes mes appréhensions de mauvaise érection…. J’étais devenu un mâle bien en possession de mes moyens. Claire ne me laissa pas jouir ainsi et après un certain temps elle dit : « Viens sur moi.. je voudrais te voir jouir.. » Je suis resté figé en elle et par un mouvement synchrone de nos corps nous sommes parvenus, sans nous séparer, à nous retrouver, moi sur le dos et elle me chevauchant. Claire, les yeux grands ouverts, me regardait pendant que nous cherchions un rythme unique pour arriver ensemble. Dans son regard, je croyais voir du désir bien sûr, de la sensualité évidemment, mais aussi un éclair de victoire. Elle devait se dire qu’elle était parvenue à vaincre mon blocage psychologique et devait en être fière.
Fièrement assise sur mon sexe, elle tordait son bassin, l’élevait pour mieux me sentir en elle. Elle haletait … Mes mains s’occupaient de ses seins. Je les sentais vibrer sous mes doigts… Tout d’un coup, j’ai senti ma cavalière accélérer sa chevauchée et pousser un feulement venu du fond des âges. Elle jouissait !!!
J’ai su me retenir et rester en elle malgré ses mouvements désordonnés. Me sentant encore bien dure dans son fourreau elle s’est courbée vers moi et m’a fait un long baiser et puis, la prenant par les hanches, je l’ai renversée avec précaution, pour la mettre sur le dos. J’étais bien ainsi à la prendre entre ses cuisses largement ouvertes. Pour mieux encore me sentir, elle ramena ses jambes sur mes épaules. Tous deux nous étions à la fête…. Nos corps s’épousaient en un même mouvement de recherche d’un plaisir intense…. Cela a été long et puis, sans rien dire… les mots étaient inutiles… je me suis répandu en elle au moment même où de son coté, la même jouissance arrivait.
Jamais je n’avais jouis aussi longtemps…. Mes jets sortaient par saccades…..
Repus, nous nous sommes enlacés dans le lit. Claire m’a dit « Mon petit chéri, il faut dormir maintenant, car demain boulot boulot !!! » Que diraient mes élèves si elles me voyaient sortir de chez toi comme une épave, les yeux cernés !!! »
La nuit, déjà bien entamée, s’est passée dans les bras l’un de l’autre et, au petit matin, sentant que j’avais un réveil triomphant, je me suis glissé entre les cuisses de ma compagne. S’éveillant à moitié, elle s’est ouverte et c’est très calmement, qu’en elle, je suis arrivé une nouvelle fois à un plaisir conjoint. Nos corps se sentaient en parfaite harmonie.
Nous avons échangé un très long baiser, plein d’amour, de sensualité et surtout de confiance réciproque. C’était plus que sexuel !
Après cela vite vite une douche (commune… mais cela devient la partie privée de nos ébats !) et vite vite habillé pour ne pas être en retard à nos occupations.
Claire en me quittant, me dit « A ce soir, mon chéri adoré… mon mari ne revient que demain ! »
Notre liaison a duré quelques mois, c’est à dire jusqu’à la fin de l’année scolaire et puis la vie nous a séparé. Pour moi, Claire restera, tout au long de mes jours, celle par laquelle je suis arrivé à avoir une vie sexuelle pleine et épanouie. Cela ne s’oublie pas !!
Au lycée, ma réputation a maintenant bien changé car j’ai pu faire honneur à mon sexe et mes copines d’un soir en ont fait circuler l’info !! Quant à Lucie, un peu amoureuse de moi (voir 1 de 2) quant même, je la fais languir !!!
Kyssmeagain.