Une Histoire sur http://revebebe.free.fr/
n° 03707Fiche technique14372 caractères14372
Temps de lecture estimé : 10 mn
06/03/02
Résumé:  Suite de cette liaison brûlante avec une anecdote domestique et une autre très... vibrante.
Critères:  fh grosseins plage sexshop voiture voir exhib photofilm fmast intermast fellation fgode
Auteur : Bernard_Photographe  (Bernard - Photographe amateur)      

Série : Maud la prof

Chapitre 05 / 06
Chez Maud, suivi du petit vibro


Je vais continuer mon récit " Maud " avec plusieurs petites anecdotes car on s’est vu souvent et tout n’est pas resté dans ma mémoire.


Maud n’eut pas un poste dans sa ville tout de suite, ce qui était pratique pour la discrétion, moins pour moi, j’avais de la famille à côté de son établissement. Elle trouvait très piquant de me donner rendez-vous à l’arrière de son lycée lorsqu’elle avait une heure de libre. Court mais très intense. Je l’attendais, la voyais arriver en courant, toujours très classe en tailleur souvent et talons, on a dû faire ça trois ou quatre fois en tout.

Elle montait vite dans la voiture, toujours ravie d’oublier les soucis, les collègues et déjà excitée de prendre une heure de plaisir au lieu de discuter boulot devant un café. Son petit secret, quoi !


La première fois, un peu après la rentrée, on part vite vers un coin de colline que j’avais repéré avant à dix minutes de là, et tout de suite on flirte, elle adorait ça, moi aussi, longs baisers pendant lesquels nos mains s’activaient… Il faisait très bon à 10 h du matin, bientôt le corsage est déboutonné, je découvre un joli soutien blanc assez transparent et assez fin pour que ses tétons s’y impriment… Je les mets à l’air, les caresse, les suce, tandis qu’elle me tripote mon pantalon.


Je me souviens poser ma main sur ses genoux, puis la glisser sous sa jupe et je suis surpris de sentir des poils. Elle me regarde, me sourit vicieusement et dit :



Et tout ira très vite, elle sort mon sexe, me masturbe. Puis elle enlève sa jupe pour ne pas la tacher ou la froisser, écarte les jambes après qu’on ait allongé le siège et je viens sur elle, puis en elle.


Ce fut court mais très intense, excité par le temps limité peut-être ? On a joui ensemble et bien sûr, elle enfila très vite sa culotte pour garder ma semence en elle !


A 11 h 10 elle rejoignit son lycée et ses élèves comme si de rien n’était en me faisant un sourire malicieux.


On se vit deux ou trois fois puis ce fut l’hiver, mais à plusieurs reprises elle évoqua la possibilité que je vienne chez elle en l’absence du mari ce qu me troublait un peu, mais je finis par accepter vers le printemps.


Un mercredi de Mars, je sonnais chez elle, une villa avec un étage. J’avais pris soin de venir avec un cartable afin de passer pour un collègue en cas d’intrus quelconque.


Elle vint m’ouvrir en me serrant la main, je la suivis et à peine entré, je vis que l’intrus en fait était dedans, en la personne d’un petit-neveu imprévu ! Très gênant mais tant pis. On resta à parler en bas en sa présence, puis lorsqu’il fut bien tranquille, elle me fit visiter le haut, un grand séjour, cuisine, coin salon, salle de bain et leur chambre. Elle regarde en bas si le gamin est sage et elle m’enlace. Elle est en jupe avec un joli chemisier bleu, je devine son soutien-gorge, on s’embrasse sans bruit, on se caresse. Je lui dis que j’ai mon appareil dans le cartable et que je la trouve très sexy. Elle accepte de poser quelques vues, me montre son collant (hélas), son soutien-gorge… mais sans arrêt elle va voir le petit. Puis elle enlève le collant en minaudant, garde la culotte, et je la caresse. J’étais un peu gêné quand même, mais bon, le désir monte quand même car je vois qu’elle apprécie et elle me dit que ça l’excite de recevoir un amant chez elle et qu’ell!

e ne l’a jamais fait.


Mais prudents, on reste habillés quoique après avoir jeté un regard en bas, elle revient vers moi en sortant ses seins des bonnets pour une ou deux photos, puis s’installe dans un fauteuil en retroussant sa jupe, cuisses ouvertes… elle me tire par la main, je suis à genoux sur le tapis devant sa culotte… on se regarde et tout doucement sa main droite vient glisser sous sa culotte.


Je regarde ses yeux bleus, sa main au ralenti écarte la culotte et me révèle sa petite toison blonde… je la laisse faire… Elle passe un doigt le long de sa fente déjà humide, puis elle se soulève et ôte la culotte. Je la prends, la respire et puis je viens embrasser cette belle minette. Elle sursaute au premier contact et je retrouve le goût de son nectar intime… Tout cela en silence, en douceur, c’est délicieux. Elle respire fort, se place carrément au bord du fauteuil pour être plus ouverte, et je peux alors lui soulever les cuisses pour qu’elles soient sur les accoudoirs… Elle est obscène.


J’ai le souvenir de ses yeux pétillants et d’un geste de fausse pudeur quand elle se voila le visage, mes lèvres se posèrent sur sa fente, ma langue la parcourut, et elle me pressa la tête d’une main, très fort. On fit tout ça en silence bien sûr, guettant les bruits provenant du bas, elle avait la minette bouillante et très vite, elle eut envie de jouir. Autant j’aime prendre mon temps, autant les actes rapides comme ici me plaisent, c’est curieux. Maud referma les cuisses sous la jouissance, je m’étouffais, mais quel plaisir de sentir son corps frissonner !


Je l’écartais d’elle qui se relevait, ajustait ses vêtements pour aller voir le gamin qui geignait un peu. Elle descendit, je la suivis en parlant comme si de rien n’était et je fis bien car pour s’occuper de lui, elle s’accroupit et même si je venais de la voir ouverte, je me délectais de la vision de ses cuisses sous sa jupe surtout sans culotte ! On est voyeur ou on ne l’est pas, non ?


L’ayant calmé on remonte toujours en parlant et dès qu’on fut hors de sa vue, elle me prend par la main, m’attire vers le fauteuil où très vite je la vois relever sa jupe, se placer à genoux sur ce fauteuil en murmurant :



Comment résister à son joli postérieur impatient ? Je défais vite mon pantalon et slip, mon sexe est déjà raide d’impatience, je le promène le long de ses chairs les plus intimes, mais sa main me le prend vivement et le dirige vers un orifice bien mouillé ! D’elle-même, elle se pousse vers moi avec un gros soupir. J’adore cet instant ou d’un coup on se sent comme dans un doux cocon bien chaud ! En même pas une minute, on se mit à jouir follement secoués de spasmes. J’en garde un souvenir inoubliable.

Et puis hélas, le petit geigna encore ! Vite on se dégage, elle prend sa culotte, l’enfile, rajuste sa jupe et comme si de rien n’était, elle descend le voir.

En se séparant devant son portail, elle me dit :



On se vit peu dans l’hiver, une fois, puis deux encore chez elle avec rien de spécial à raconter, mais en juin un truc insolite !


A l’époque je me rendais souvent à Nice pour le boulot deux jours et le soir, je " traînais " partout y compris dans quelques sex-shop où j’achetais pour elle un vibro masseur mais elle ne fut pas la première à s’en servir, voilà pourquoi :


Le lendemain j’avais un rendez-vous à Saint-Tropez qui était mon premier lieu de chasse photo favori pour les seins nus sur les plages, plus Pampelonne, plus les tenues extravagantes. Je vais faire un tour sur la jetée avec une caméra huit millimètres car assez souvent des filles s’y baignent ou s’y font bronzer. La chance me sourit quand je vis un jeune couple dont la fille se mettait à l’eau lorsque j’arrivais. En maillot deux pièces, je la filme à la sauvette enlevant son haut et se jetant dans l’eau. Oh, pas un canon, un peu grosse, pas très jolie, mais de jolis seins. Et le gars lui dit un au revoir. Je ne me gênais plus pour la filmer barbotant à quelques mètres des rochers elle me vit et se laissa filmer en riant puis elle sortit de l’eau :



Elle prend une serviette, s’essuie, on parle un peu, elle semble assez délurée



D’un coup elle écarte son maillot et je vois sa vulve imberbe !



Comme dans un rêve je la vois descendre son maillot, au risque d’être vue, mais il n’y avait que quelques personnes à vingt mètres de là, la jetée nous cachait et quelques blocs de pierre. Je filme tout cela n’en perdant pas une miette, elle est grosse de partout mais bon, c’est la première de ma vie " en vrai "


Je la fais se tourner, elle s’essuie partout puis elle enfile une culotte même pas jolie non plus, tout en parlant. J’ai l’idée de lui proposer de faire des photos, pour cela je dois aller chercher ma voiture, elle accepte de m’attendre. Je pars vite et reviens dix minutes plus tard, à l’époque on se garait le long de la jetée. Je vois un petit attroupement, cinq à six personnes quand je passe en voiture à l’angle du port, je n’en crois pas mes yeux car c’est elle qui attire l’attention : elle est à genoux en culotte, les seins nus en train de se laver les cheveux devant un poste d’eau destiné aux bateaux ! Carrément presque nue sur le port !


Je me gare vite, prend mon appareil et je crois bien avoir fait une diapo de ça. Je lui dis de se cacher sous sa serviette pour ne pas avoir d’ennuis avec la police, c’est ce qu’elle fait en allant vers la voiture où elle s’essuie les cheveux. Puis on part de là, direction Ramatuelle où je connais une carrière désaffectée, un coin tranquille. Mais on est pris dans la circulation, on parle sans tabou de sexe évidemment et comme elle n’a rien sur elle que sa serviette, ses habits étant dans un sac, je lui touche les seins sous la serviette. Sans gêne aucune elle me dit qu’elle adore qu’on lui pelote et pose une main sur ma braguette !


On roule au ralenti, on s’arrête, on repart sans arrêt, je lui suce le sein de mon côté, puis j’ai l’idée (prémédité) de lui parler du vibro.



Je lui dis que j’ai acheté ça hier pour une amie, je l’avais mis sur le siège arrière encore dans sa boite et je le lui montre.

Elle l’ouvre et tout de suite, je la vois écarter sa culotte et se caresser avec ! Incroyable de voir ça, elle le met en route et commence une masturbation folle vu la situation. Je me souviens lui avoir allongé le siège pour éviter d’être trop vue, en fait, elle s’en foutait complètement, mais allongée, ça me permettait de la peloter partout. Je malaxais ses seins et elle se mit à jouir avec le vibro enfoncée au maximum (c’était un petit modèle vibrant)


Elle resta comme étourdie disant que c’était vraiment bon, et après deux minutes elle recommence ! Il nous restait quelques kilomètres encore à faire toujours dans les embouteillages. Cette fois je lui touche la fente pendant qu’elle titille son clito. Et elle se met à jouir à nouveau ! A l’époque j’avais peu d’expériences et la masturbation féminine me fascinait ! Je l’encourageais en le lui disant. Réponse :



Et je la vois à nouveau se titiller ! Je lui tire la culotte pour qu’elle soit mieux, voyant la vibro entrer et sortir de sa fente bien mouillée ! Elle jouira une troisième fois juste avant de sortir de la circulation et quelques minutes plus tard nous étions dans la carrière.


Je lui fais tout de suite quelques photos, mais il y a un fort mistral gênant, poussières etc… On trouve un coin un peu abrité où elle s’allonge sur une rabanne écartant les cuisses mais elle me dit :



En fait ça ne me dérangeait pas, je " négociais " pour qu’elle me branle aussi, elle fut d’accord. Mais en attendant à nouveau je vois le vibro entre ses cuisses aller et venir ! Je me déshabille alors, le sexe raide et je me place au-dessus d’elle debout et je me masturbe en la regardant



Moi aussi ça m’excite de voir ce qu’elle fait, d’autant qu’elle s’envoie en l’air une fois de plus ! Après avoir dit combien elle aimait ça elle se redresse, se met à genoux devant moi, et me branle, je préfère qu’elle le fasse, et d’un coup je l’entends encore dire avec son petit accent :



Sur ce, elle avance sa bouche et me fait une délicieuse fellation qui se terminera par mon éjaculation sur le sol !


Tout ça, peut-être grâce à Maud, mais je ne lui dirais pas !


Bernard Photographe - Février 2002