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n° 03472Fiche technique18301 caractères18301
Temps de lecture estimé : 12 mn
18/01/02
Résumé:  Bernard et Maud se retrouvent après les vacances. Maud évoque ses vacances en Grèce, puis ils se livrent à une petite séance photo plutôt coquine.
Critères:  fh plage voir exhib photofilm intermast facial fellation cunnilingu uro
Auteur : Bernard_Photographe  (Bernard - Photographe amateur)      

Série : Maud la prof

Chapitre 04 / 06
Souvenirs de Grèce



Merci à tous les lecteurs qui apprécient mes récits et tous mes vœux pour 2002, surtout coquins, bien sûr !

Je tiens à préciser que ce sont des histoires vécues réellement, pas des fantasmes, je n’en sentirais pas l’intérêt.

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Souvenirs de Grèce (Maud la prof - 4)


Je poursuis donc avec Maud, cette sensuelle prof qui par cette mutation nous a permis de nous voir plus facilement.

Il y eut la longue coupure des vacances, mais en septembre, je me permis comme convenu de l’appeler un mercredi matin.

Je ne garanti pas l’exactitude des propos mais il y a l’esprit.

Je la rassurais, disant que j’attendais son retour avec impatience et que si elle était libre cet après midi, je l’étais aussi.

Ce fut spontané :



On convint d’un lieu de rendez-vous, non loin de chez elle, on s’y retrouve vers 15 heures, il faisait très beau, elle monte dans ma voiture et on part vite pour ne pas trop être vus, vers un coin de colline que j’avais repéré peu avant. Elle était vêtue d’une robe blanche, ample et boutonnée devant. On parle de nos vacances et surtout du plaisir qu’on a à se retrouver, on décide de continuer à se voir et elle me propose même de venir chez elle un jour !

Elle venait de passer quinze jours en Grèce avec son mari et me dit



Et tout en roulant, elle raconte, qu’un jour ils allèrent sur une petite plage déserte entourée de rocher, plantés verticalement dans le sable…



Elle posa la main sur le pantalon pour constater, alors qu’on arrivait dans un coin de colline tranquille et ou malgré l’éloignement il y avait un " cadavre " de machine à laver ! C’est triste de voir la nature rouillée par des imbéciles. Bref, elle trouve le coin bien quand même :



On sort de la voiture. Je prends un sac dans le coffre et le lui tends. Elle regarde, fouille un peu et sors un bas résille.



Je prépare mon appareil pendant qu’elle met cette tenue, je vois une jolie culotte blanche puis elle me dit :



Elle finit par accepter ! Je n’ai pas revu ce film depuis un moment mais je crois lui avoir dit de le faire en robe en baissant sa culotte, très naturellement, ce qu’elle fit.

Caméra au poing, je la visais, les cuisses bien ouvertes, mais un peu gênée quand même :



Soudain un petit jet coule, puis s’amplifie



Le jet épais maintenant s’écrasait par terre et coulait sur le sol en pente ! Je bandais de la voir s’exhiber ainsi et quand elle eut fini, je lui dis de rester ainsi en posant la caméra. Je m’approche d’elle en sortant mon sexe et lui tendit à sucer… Elle me suça sans hésitation mais s’arrêta vite :



Je l’aidais à se redresser, l’embrassais pour la remercier et elle alla enfiler les bas. J’enlevais mon pantalon et me branlais en la voyant faire, puis je la caressais en la traitant de coquine.

Elle adorait les caresses et me dit :



Et la voilà demandant quelle pose je voulais, quel endroit…

Je commençai à la faire s’appuyer contre un arbre, sa jupe un peu ouverte laissant voir le bas et un peu de cuisse… J’embrassai sa cuisse, la léchais. Puis elle ouvrit le haut montrant un soutien-gorge blanc presque transparent, je l’embrassais… Je lui fis sortir un téton que je suçais…



Je suce l’autre téton, elle soupire de plaisir… puis sa culotte apparaît, je l’embrasse encore… je lui fais écarter et je pose ma bouche sur ses poils et d’un coup elle presse mon visage contre son ventre



Tiens, elle était en manque ? Ma langue s’insinue dans son intimité, elle est encore debout, écarte les cuisses en avançant son pubis et le frotte à ma bouche



Je lui descends la culotte, lui enlève, écarte ses lèvres et aspire son clito… Elle chancelle et glisse lentement contre l’arbre en gémissant et se retrouve par terre. Je vais vite prendre une grande serviette, l’étale, elle s’y allonge, je ne sais ce qui se passe, elle qui d’habitude est active est cette fois alanguie, pâmée juste après quelques coups de langues ! Je lui sors les seins des bonnets, lui caresse, lui suce en la branlant, elle est trempée. Je laisse quelques boutons attachés à sa taille, c’est encore plus excitant…

J’enlève ma chemise, et à genoux à côté de son visage, je promène mon sexe près de sa bouche… Elle l’ouvre et me suce divinement. Je la branle de plus belle et elle me supplie de la sucer… Je me déplace, me mets devant sa chatte blonde, la tripote, glisse un ou deux doigts, puis je la soulève, tout son bassin, moi à genoux, ses fesses relevées contre mon buste ce qui fait qu’elle peut me regarder lui sucer la fente. Je maintiens sa chatte ouverte, je vois son trou béant, j’y enfonce ma langue tandis qu’elle gémit en disant :



Je titille aussi son anus tout en branlant son clito :



Elle se les pétrit tandis que son orgasme monte et soudain elle pousse un cri aigu, sa tête ballote, elle se met à trembler



Je me calme, la repose au sol, l’embrasse :



Aussitôt elle me prodigue plein de caresses, suce mes tétons, me branle, me malaxe les parties et bien sur sa bouche vient téter mon gland qui y disparaît bientôt. Un régal car elle le fait très bien et aime ça…

Je la regarde en la caressant et j’arrive à glisser mon pouce dans sa chatte trempée. Elle avait une manière de sucer très agréable, très douce, et ce n’est pas le cas de toutes les femmes. Elle faisait ça avec amour, sensuellement en branlant juste avec deux doigts et parfois lorsqu’elle était très excitée, elle arrivait à prendre tout le sexe dans sa bouche en " gorge profonde ". C’est la première d’ailleurs qui m’a fait connaître ce plaisir et ce fut ce jour là. C’est inoubliable et je n’avais pas compris car elle était un peu en travers de moi, j’avais les yeux fermés savourant cette fellation. Je sentais mon sexe envahit d’une douche chaleur, je pensais à la salive mais je me redressais et compris qu’elle m’avait entièrement dans sa bouche ! Jamais je n’avais eu une telle sensation, je savais que ça existait par un célèbre film (jamais vu d’ailleurs) Je lui dis :



Elle se dégage, se tourne vers moi tout en me branlant



Elle était toute fière, je la félicitais, puis elle ajoute :



En plus, on n’était à quelques kilomètres de chez elle, on ne sait jamais, des promeneurs… On va vers la voiture, on s’enlace, je la remercie pour cette sublime découverte et je lui dis que je voudrais lui faire une jolie série de photos de ça, elle fut d’accord : Puis je me retrouvais assis au bord du siège arrière, tandis qu’elle enlevait ses derniers vêtements en faisant un simulacre de strip-tease en me demandant de ME BRANLER car elle aimait me voir faire ça ! J’en profitais un peu en lui disant de se caresser les seins, la minette puis de se tourner pour montrer son superbe cul.

Elle fit mieux : Penchée en avant elle s’écarte les fesses, les bouge, je pensais qu’un jour il faudra essayer son petit trou, je la vois venir à reculons vers mon sexe… sa fente est superbe, peu de poils et blonds, son trou est ouvert, elle s’approche à me toucher, j’y frotte mon gland et… elle s’empale dessus en poussant un gémissement de plaisir ! Elle est hors de la voiture, moi dedans allongé… Elle commence à faire de va-et-vient sublimes. Je l’entends dire encore :



Puis comme ce n’est pas très commode, elle se dégage, se tourne, s’allonge sur moi, se frotte langoureusement, m’embrasse. Je me dis que la photo ça a du bon quand même, qui aurait dit en voyant cette femme au hasard de mes déplacements qu’elle me ferait tout cela ?

Puis elle se relève un peu, sa main passe entre nous, elle saisit mon sexe et le guide dans sa fente trempée et je suis au fond tout de suite ! Elle pousse comme un grognement de plaisir :



Soudain, on entendit des bruits sourds comme des vibrations qui s’amplifièrent, des bruits de branches agitées



Un vacarme incroyable, on resta pétrifié, j’arrivais à me redresser un peu pour voir défiler des chevaux ! Cinq ou six cavaliers et cavalières qui passèrent - en quelques secondes, heureusement - ! Je réalisais qu’en bas il y avait un ranch, la frayeur passée, on en rit.



Je bouge un peu en elle, elle se dégage.



Je tente de la rassurer, elle s’assied à côté de moi.



Elle ferme la porte.



Je fais contre mauvaise fortune bon cœur… je la fais allonger en travers de moi, sa tête vers la portière.. On était donc caché. Je lui ouvre les cuisses en grand ; sa chatte est ouverte, au moins deux centimètres de diamètre. Je le lui dis tout en mouillant deux doigts qui y disparaissent ! Encore ce grognement, puis :



Secouée de spasmes, elle reste pâmée quelques secondes puis d’un coup :



Elle se retourne, s’allonge, me prends dans sa bouche, la tête sur ma cuisse, la vision est sublime. Je lui dis que je vais vite venir, que ça monte, pour qu’elle se dégage, mais non, elle maintient la " pression " et je pars dans sa bouche. Je suis au paradis et je la contemple déglutissant ma semence.


FIN (provisoirement)


Bernard


(c) Bernard photographe 01/02