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Temps de lecture estimé : 7 mn
21/04/02
Résumé:  Julia visite sa cousine Léïla. Une visite bien agréable.
Critères:  ff cousins fmast intermast cunnilingu ecriv_f
Auteur : Julia      

Série : Moi, moi, et moi !

Chapitre 02 / 02
Chez ma cousine

Alors premièrement je voudrais remercier tout ceux qui m’ont donné leur avis, (même Niko qui m’a relativement cassée hihi mais chacun ses goûts je respecte sa désaprobation) et surtout Ludo avec son mail que j’ai beaucoup apprécié. Sachez que je fais de mon mieux alors soyez indulgents s’il vous plait :)



Je suis dans ma chambre, à m’empiffrer sur mon lit. Et vous savez ce que je mange ? Non ? vous vous en foutez ? Oui. Mais c’est pas grave je vous le dit quand même , c’est des trucs d’apéro en forme de bite . Cool non ? J’en était à avaler goulument un testicule quand mon portable sonna .



Alors là il faut que je fasse genre "je réfléchis, tu sais je suis une fille très demandée", comme ça elle croira que je suis populaire et elle ne se doutera pas que je suis une pauvre fille en train de manger des queues soufflées au fromage "pour un apéro réussi !" .



Tralalayouyou . Je vais dormir chez ma cousine . C’est cool. Bon faut que je surveille ma ligne alors les cochonneries direction poubelle et comme je veux resplendir au yeux de ma très chère cousine, il me faut du sommeil, dodo.


Je me mis au lit mais là, rions à gorge déployée devant l’originalité, je n’arrivais pas à dormir. Dans le noi, là, mon imagination prenait des détours peu catholiques… Je commençai à me caresser la poitrine à travers ma fine chemise de nuit . Presque instantanément, les pointes de mes seins se durcirent et je m’imaginais que c’était Léïla qui me faisait subir ce délicieux traitement. Je descendis ma main vers mon entrejambe trempé et commençait de lents va et viens. Je retirai mes doigts couverts de ma mouille et les portai à ma bouche. Exquis… je repris mes caresses et ma respiration ne tarda pas à s’accélérer. Je me voyais dans une étreinte torride avec ma cousine, l’orgasme n’allait pas tarder et je…



Non. Pas ça. Pas maintenant, PAS MA MERE ! Mais quelle emmerdeuse putain je peux même pas me branler tranquille !



Non va te faire foutre !



Je rabattis la couette sur moi et me cachais presque entièrement dessous .



Ma mère poussa la porte et la lumière du couloir m’éblouit pendant un très court moment, juste le temps que maman viennent placer ses 150 kg devant pour l’occulter complètement. Elle s’avança dans la chambre tandis que je tentais d’invoquer toutes les divinités que je connaissais pour la faire sortir (mais sa marche pesante avait quelque chose d’inexorable , genre un tank qui roule sur des fourmis).



Mais elle ne termina pas sa phrase car… en fait au moment ou elle prooçait le "ché" de "chérie", j’ai vu que l’emballage de mes queues soufflées au fomage traînait toujours par terre, bien en vue, alors j’ai voulu le ramasser discrètement mais mon pied s’est coincé dans le drap et je me suis étalée, sans la couette, avec mes gâteaux d’apéro dans la main et ma chemise de nuit trempée, juste devant ma mère et en plein dans le faisceau lumineux qui passait du couloir à ma chambre entre les deux troncs d’arbres qu’elles ose nommer "jambes". Bref, là, c’est la honte. J’ai envie de disparaître sous terre et me prépare à subir soit une engueulades, soit un fou rire. Mais non. Ma mère est restée quelques secondes devant moi le temps de tirer ses conclusions et m’a fait un sourire style "j’ai un os dans la gorge et du jus de citron dans la bouche", naturel quoi, et elle est partie (relativement) silencieusement en me laissant là, moi, Julia la clodo, par terre dans ma chambre et le feu aux joues. Expliquez moi juste une chose, pourquoi faut-il que quand ma vie prend une tournure sérieuse, profonde, genre orgasme en pensant à ma cousine avec ondes de plaisir qui me parcourent tout le corps, pourquoi faut-il qu’il m’arrive un truc ridicule ?



Je descendis du bus et trottinai allègrement jusqu’à la maison de ma cousine. Ça faisait un an qu’elle avait emmenagé dans cette baraque super que son père lui avait payé (cool un papa comme ça hein ? Comme cadeau d’annive, je préfère ça à un soutif immonde…). Je traversai le petit jardin adorable qu’elle entretenait avec amour disons… tout les 36 du mois, voire jamais, et sonnai à sa porte .



J’entrai et me dirigeai machinalement vers le salon décoré avec goût. Je décidai de lui raconter ma glorieuse mésaventure de la veille, histoire de lui faire comprendre que je serai ravie de reprendre ma masturbation tout de suite, là, maintenant.



N’empêche ça m’aurait fait bizarre si elle m’avait dit "oui ta mère m’a téléphoné je sais tout".



Ma cousine acquisça et me regarda pensivement, je crois qu’elle avait compris le message.



Mais qu’est ce qu’elle va foutre là-haut ? Oulala je le sens pas je vais encore me faire ridiculiser… pour faire genre, je pourrais aussi m’enfiler sur la tête l’emballage des bites soufflées et aller danser le tango à la boîte histoire de me faire une réputation. Je stoppai ma valorisante rêverie en voyant ma cousine réapparaître avec quelque chose derière le dos et un oeil coquin. Elle va me sortir quoi ? Un gode multi fonction ? un vibro ? Un pancake en forme de chatte ? Je suis ouverte à tout.



Je ne bougerai pas , hypnotisée par le quadruple membre XXL qui se dresse devant moi. Je le pris dans mes mains en me demandant quelle chatte pouvait accueillir un monstre pareil. Sottement, comme d’habitude, j’eus l’impression que ce gode m’observait. Complètement idiot hein ? Mais moi, dans mon délire, je lui sors :



Franchement la situation : je complimente un gode. Honnêtement j’ai l’air d’une clocharde qui se met a flatter son filet à provision troué comme du poisson pourri parce qu’elle a personne d’autre à qui parler…



Je sursautai. Ma cousine était revenue sans que je l’entende. Restait plus qu’à prier pour qu’elle ne m’ait pas entendu.



Léïla vint s’asseoir à côté de moi et comme ça, sans prévenir, se pencha et m’embrassa fougueusement. Surprise au début, je répondis vite à son étreinte. Nos langues, nos souffles et nos salives se mêlaient. Léïla mit les mains sous mon sweat large sous lequel je ne portais qu’un petit débardeur blanc sans soutien-gorge et commença à me pétrir la poitrine. Mes pointes entrèrent rapidement en érection sous son doigté expert. Quand je voulus lui rendre la pareille, elle me repoussa gentiment.



Je ne répondis pas, me demandant soudain ce que j’étais en train de faire. Peut-être qu’en fait j’en ai pas le cran, qu’en fait j’ai peur… eh merde tu vas pas te dégnfler maintenant Julia ? Je revins au moment présent, c’est à dire le moment où ma cousine est en train de m’enlever mon jean. Je l’aide un peu pour montrer que je suis quand même dans le coup mais elle me fait signe de m’allonger, j’obtempère. Elle commença à me branler par dessus ma culotte et je sentit bientôt ma chatte s’humidifier. Léïla m’embrassa sur le ventre en remontant doucement jusqu’à la poitrine, et des décharges de plaisir me parcoururent le corps. Elle se releva, et me fit signe d’enlever mes hauts, ce que je fis fébrilement. Je me laissai retomber sur le canapé, comme si je venais de courir un marathon. Léïla me suça les mamelons en traçant des cercles avec sa langue. Aucun mec ne m’avait jamais procuré autant de plaisir.


Entretemps, que ma cousine était revenue s’occuper de mon entrejambe. Je mouillais comme une folle. Elle fit glisser ma culotte le long de mes cuisses et sourit en découvrant mon sexe rasé. Elle agaça mon clitoris avec sa langue tout en lapant mon jus comme si c’était le plus délicieux des nectars… La figure pleine de ma mouille, elle revint m’embrasser, je lui lèchais le visage, dans une sorte d’état second où plus rien n’existait. Elle m’embrassa la poitrine puis, après m’avoir plusieurs fois refusé la jouissance en introduisant deux ou trois doigts dans mon vagin puis en les retirant au derier moment, elle attrapa le gode, et après l’avoir lubrifié de mon jus l’introduisit dans ma chatte tout en me malaxant les seins. C’en était trop, j’eus un orgasme d’une grande violence qui me laissa complètement vidée pendant plusieurs minutes. Entretemps, Léïla avait déplié le canapé lit. Je m’allongeai contre elle.



Je ne répondis pas et l’embrassai. Pendant longtemps, ce ne fut qu’étreintes et baisers, dans cette sorte de langueur qui prend souvent les gens après avoir fait l’amour.


Je comptemplais ma cousine endormie déjà depuis environ une heure, ses longs cheveux blonds ondulés ses seins en poire, sa silhouette mince. C’était étrange, j’avais joui , ressenti un plaisir immense, mais j’avais l’impression qu’il manquait quelque chose… Je compris soudain et me penchais vers Léïla pour l’éveiller d’un baiser.



A suivre (ou non ça dépend de vous)…


Julia.