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Temps de lecture estimé : 11 mn
15/06/02
Résumé:  Douceurs et surprises d'une après-midi
Critères:  f fh fépilée forêt amour voir noculotte fmast fellation
Auteur : Coyote      

Série : Potomac Hills

Chapitre 03 / 03
Potomac Hills (3 et Fin)

… Ses jambes s’écartèrent et nous vîmes ses doigts glisser puis remonter en creusant le tissu.


Elle recommença.

Nous étions fascinés.

Sa main remonta encore vers son ventre. Ses doigts soulevèrent l’élastique de la taille et s’infiltrèrent doucement à l’intérieur. La main disparut à l’intérieur de la culotte et les mouvements du tissu suggérèrent qu’elle caressait tour à tour ses lèvres, son clitoris et qu’elle venait flatter l’entrée de sa vulve. Sa main ressortit presque complètement et commença des mouvements rapides de travers.

Je commençais à trouver goût à la situation. Mon bras droit se posa sur les épaules de Kate pour l’attirer vers moi. J’attrapais sa main gauche et la posai sur mon sexe à travers le pantalon. La position ne lui convint pas et elle se tourna légèrement vers moi, sans quitter la jeune femme des yeux. Sa main droite trouva la forme de ma verge déjà dressée et commença à se déplacer sur elle de haut en bas en la serrant doucement.

La jeune femme avait remonté ses jambes pour pouvoir les écarter encore. La culotte avait glissé un peu sur ses cuisses mais ne lui permettait pas de donner suffisamment champ libre à sa main. Elle se redressa une seconde, se contorsionna un peu et d’un seul mouvement se débarassa de sa culotte.



C’était tout à fait inutile de le lui dire, compte tenu qu’elle ne perdait rien du spectacle.

Ma main droite était descendu sur les fesses de mon amie sans que je ne m’en apercoive et mes doigts glissaient déjà doucement vers son sexe.

Les doigts de la femme avait repris possession de son entre-jambes et passaient lentement sur les chairs de son sexe. Un doigt rentrait de temps en temps profondément à l’intérieur pour trois ou quatre mouvements puis sortait et remontait sur son clitoris pour le caresser pendant une dizaine de secondes.

Je sentais la main de Kate dans mon pantalon, infiltrée par la braguette dont je n’avais pas senti l’ouverture. Ses doigts jouaient déjà avec mon sexe, serrant mon gland à travers le prépuce, puis le faisant glisser, le pressant à nouveau . Mes doigts parcouraient son intimité dans tous les sens et lorsque mon gland sentit les siens qui le décallotaient, je poussai mon pouce à l’intérieur de son vagin pendant que mes autres doigts trouvèrent son clitoris que je me mis à gratter, pétrir, et rouler. Un soupir s’échappa de sa bouche. Ses lèvres se rapprochèrent des miennes et s’entrouvrirent pour un baiser. Je perdis de vue la jeune femme dont les fesses commençaient à se décoller du sol de plus en plus souvent. Le baiser de Kate m’arracha presque un cri tant il me fût agréable. Elle se tourna un peu plus vers moi et mes doigts s’échappèrent à regret de son sexe. Sa bouche quitta mes lèvres et descendit le long de mon torse. Elle s’accroupit devant moi, sortit ma verge de mon pantalon, me décalotta complètement en tirant la peau loin en arrière et m’engloutit entre ses lèvres. Je sentais la chaleur de sa bouche et sa langue commencer à tourner autour de mon gland. Je ne savais plus ce que je devais regarder, Kate m’embrassant ou la jeune femme se caressant. Celle-ci semblait avoir mis tous les doigts de sa main gauche dans son sexe, et sa main droite passait sur son clitoris à une vitesse folle. Elle était prête à jouir… Et moi pas loin.

Kate me décalottait de ses lèvres à chaque fois qu’elles descendaient sur ma verge et sa langue passait sous mon gland, là où il est le plus sensible. La position accroupie l’obligeait à écarter les genoux autour de mes jambes pour se maintenir en équilibre et sa robe était remontée et faisait apparaître sa toison rousse et ses lèvres entr’ouvertes. J’eus envie de descendre, de la pousser et happer son sexe de ma bouche, mais le courage me fit défaut, je ne voulais pas interrompre le baiser qu’elle était en train de me donner. Ses joues se gonflaient un peu à chaque fois qu’elle m’avalait pour se creuser à nouveau lorsqu’elle se retirait en m’aspirant délicieusement. Sa main droite remonta entre mes cuisses, trouva mes bourses à travers le tissu et les caressa en les griffant légèrement. Je la regardais avec une infinie reconnaissance pour ce qu’elle me faisait, pour avoir compris mon excitation de voir une autre femme se caresser devant moi et me laisser seul en jouir. Je voulais lui dire que je l’aimais… pour cela et pour tout le reste. Sa main m’avait saisi pour mieux me diriger dans sa bouche. Son coude s’appuya sur ma cuisse pour lui permettre un meilleur équilibre et sa main gauche descendit sur son sexe. Ses doigts séparèrent ses lèvres délicatement. Son index et son majeur réunis descendirent une fois vers sa vulve et remontèrent pour trouver son petit bouton rose qu’elle commença à caresser doucement. J’en oubliais la jeune femme tellement je trouvais Kate magnifique. Je levai néanmoins la tête pour voir où elle en était.

Elle avait allongé les jambes, ses deux mains écartaient les lèvres de son sexe et les deux index face à face jouaient avec son clitoris en le triturant, le coinçant, le pinçant. Un rayon de soleil lança un reflet d’or sur le rose humide de son intimité. L’envie me prit d’aller toucher son sexe dégoulinant, d’y perdre ma bouche, de le goûter, le sentir, le dévorer frénétiquement. J’avais l’impression que ma verge était énorme et que j’allais étouffer Kate, mais sa bouche continuait à m’aspirer puis se retirait comme une vague sur la grêve et recommençait. Quelquefois elle s’immobilisait, ses lèvres me serraient doucement pour m’empêcher de sortir et je sentais sa langue tourner autour de mon gland ou tenter de le pousser vers l’extérieur avec la pointe. Elle revenait et passait dessous, puis se plaquait sur le dessus de mon gland pour le recouvrir presque entièrement. Ses lèvres descendaient ensuite et je pouvais voir mon gland apparaître une seconde avant que sa bouche gourmande ne s’ouvre et m’avale à nouveau. J’avais l’impression de n’appartenir qu’à elle et que mon sexe était à elle, pour elle, rien que pour elle. Il est à toi, je te le donne, il est ton jouet, ta poupée, ton compagnon, ton serviteur, ton maître, ton amant. Il est aussi mon amour pour toi, mon désir de toi, ma boussole pour te chercher, mon meilleur moyen de te toucher, de te comprendre, de t’aimer, de te ressentir, de te connaître.

Les doigts de Kate tournaient autour de son clitoris. J’avais l’impression d’entendre leur glissement onctueux dans son sexe. J’aurais voulu qu’elle les glisse dans ma bouche pour en retrouver le goût, pour sentir son huile sucrée sur ma langue. Parfois elle leur faisait écarter complètement les lèvres pour sentir l’air rafraîchir son intérieur moite et brûlant. Son majeur s’introduisit dans son vagin, ressortit et remonta luisant vers son clitoris en lui arrachant un petite plainte étouffée.

Mes yeux passaient sans arrêt des mains de Kate à celles de la jeune femme, subjugués par leurs ballets, hypnotisés par l’humidité de leurs doigts, par ces sexes qui s’ouvraient, ces lèvres qu’ils repoussaient, écartaient et martyrisaient divinement.

Notre amie inconnue, partenaire involontaire de jouissance émit aussi un petit cri aigu qu’elle n’avait sans doute pas pu retenir : elle jouissait. Des halètements qui ressemblaient presque à des râles graves succédèrent au premier cri et ses fesses étaient décollées du sol de dix ou vingt centimètres. Elle était arc-boutée sur ses jambes et ses épaules. Un doigt entrait et ressortait de son sexe pendant que l’autre main était plaquée sur son clitoris. Elle poussa un autre petit cri. Kate l’entendit car sa bouche enveloppa mon sexe plus fermement et sa main se fit plus rapide sur son sexe. J’espérais qu’elle allait jouir aussi, qu’on allait tous jouir ensemble.

Je n’eus pas à attendre longtemps, ses doigts remuaient dans tous les sens dans son sexe, elle ne savait plus à quel endroit ils devaient passer ou rester. Ce que faisaient ses lèvres et sa langue sur mon gland tendait mon sexe comme jamais encore. Ses lèvres s’entrouvrirent, elle cessa un instant de respirer, mon sexe au fond de sa gorge. Sa main gauche semblait en pleine démence sur son sexe puis elle poussa un petit cri rauque, suivi d’un autre, sa respiration reprit, rapide, ses lèvres entourèrent mon gland et sa tête avança et recula sur moi vivement en m’aspirant, elle haletait et avait du mal à m’embrasser et respirer en même temps, sa main descendait et remontait sur sa fente, elle continuait à jouir. Je sentis soudain mon sperme monter à l’intérieur de moi, mon gland était prêt à exploser, ma main droite attrapa mon sexe et le sortit à regret de ses lèvres, elle émit un cri de surprise et de déception comme si je l’empêchais de finir ce qu’elle avait commencé, un jet de sperme jaillit en frôlant son oreille droite, puis un autre qui tomba sur son épaule, un troisième s’annonçait quand sa main me reprit pour conduire mon sexe vers sa bouche qui me happa, je sentis que je me vidai en elle. Une autre contraction fit tomber une goutte encore sur sa langue, je n’avais plus de jambes, la tête me tournait et ne désirais plus que me laisser tomber sur le sol. Mes mains s’étaient posées sur ses cheveux pour trouver un ancrage. Sa langue me donna encore un spasme de plaisir, j’entendais sa respiration rapide et désordonnée qu’elle ne parvenait toujours pas à maîtriser, j’étais merveilleusement heureux.

Sa bouche glissa sur mon sexe encore raide, m’arracha une plainte de plaisir, et le libéra. Elle se redressa et ses lèvres trouvèrent les miennes. Nos bouches s’ouvrirent et je sentis sa langue pousser vers moi un peu de crême au goût légèrement salé. Je m’attendais à ce qu’elle refermât ses lèvres et éloignât vivement sa bouche de moi, mais elle poursuivit notre baiser. Nos langues s’enroulèrent, se caressèrent, se goûtèrent pendant un long moment et s’échangèrent mon sperme. Deux de ses doigts forcèrent la barrière de nos lèvres et répandirent dans la caverne de notre baiser le goût du miel dont ils étaient encore recouverts. L’appel était trop fort pour y résister et ma main droite glissa de son dos, effleura sa taille, trouva la courbe de sa hanche et suivit l’aîne à travers le tissu de sa robe pour en trouver l’ourlet. Elle remonta en caressant l’intérieur de sa cuisse, sentit ses poils sur son dos, se retourna. Mes doigts cherchèrent le pli qui réunit ses lèvres, les séparèrent et purent enfin sentir la douce chaleur de sa petite boîte d’amour. J’avais la sensation de rentrer mes doigts dans une pêche chaude et bien mûre. Le contact la fit tréssaillir et arrêta sa langue un instant. Mes doigts descendirent entre le sillon de ses lèvres, l’un d’eux entra légèrement en elle et sa langue me rechercha à nouveau. Un élancement agréable se propagea à l’intérieur de mon sexe, mon autre main descendit sur ses fesses, retroussa sa robe et se mit à les caresser. Mon pouce passa doucement sur son clitoris et elle se mit à ronronner comme un petit chat. Sa main recalotta tendrement mon gland et joua un moment à faire monter et descendre ma peau. Nos langues épuisées mirent fin au baiser et elle posa sa tête sur mon épaule, sa bouche cachée dans mon cou. Je me sentais si bien. Je rouvris les yeux…

Elle était là, à cinq pas de nous, à nous regarder.

Les yeux de la jeune femme montrait qu’elle était aussi surprise que moi de cette rencontre. Kate sentit que quelque chose se passait car elle se raidit contre moi et cessa de me caresser. Elle ne bougea cependant pas la tête de peur de découvrir ce qu’elle devinait dèjà. L’inconnue posa les yeux sur les fesses découvertes de Kate, sur mon sexe toujours entre ses doigts, me regarda à nouveau, rougit violemment, regarda à nouveau le dos de Kate et tenta de trouver une contenance. Je voulus mettre fin à sa gêne et lui souris en mettant dans ce sourire autant d’absence de culpabilité et de quiétude que je pus. Elle esquissa un sourire bref et entendu pour montrer qu’elle avait compris que nous l’avions vue et que nous en avions profité pour nous donner du plaisir. Elle ouvrit les yeux plus grand et étira sa bouche en un sourire fataliste comme pour dire que les choses étaient bien ainsi.

Elle regarda le sol devant elle, descendit prudemment le talus et se dirigea vers nous en souriant. En parvenant à notre hauteur elle passa sa main droite sur les fesses de Kate en une caresse furtive et amicale puis, sans s’arrêter, posa sa main une seconde sur mon épaule. Elle continua et disparut de ma vue. Je ne bougeais pas et entendis ses pas s’éloigner. Kate redressa la tête doucement et la suivit des yeux par dessus mon épaule. La jeune femme s’arrêta, hésita, puis se retourna :



Ses mots se terminèrent sur un petit cri d’exclamation joyeuse et espiègle et elle poursuivit son chemin.

Elle n’avait pas mis longtemps à reprendre ses esprits !

Nous ne bougeâmes pas avant de ne plus entendre ses pas. Je relachais la robe qui retomba sur les fesses de Kate. Sa tête quitta mon épaule et nos yeux se rencontrèrent. Deux ou trois secondes passèrent pendant lesquels nos regards cherchaient sur quoi nos consciences allaient s’accorder. Nous éclatâmes de rire et nous nous serrâmes plus étroitement. C’était la seule façon de s’en sortir. Nous en reparlerions plus tard… Nous avions été voyeurs et lâches, mais nous ne le regrettions déjà plus.



Elle n’insista pas.



Cela ne la surprit pas, ma principale marotte après elle, c’est la bouffe ! Si un jour je préfère un plat de nouilles à la vue et au goût de son minou tout mouillé…



Je la rattrapai d’un grand pas et lui donnai un baiser dans le cou, pour me faire un peu pardonner… et pouvoir passer ma main sur ses fesses en soulevant largement sa robe.



Nous gagnâmes le premier restaurant qui lui plût… c’est à dire le cinquième que nous rencontrâmes et nous pûmes enfin nous asseoir et scruter le menu à la lueur d’une bougie rachitique. Le service était assuré par une jeune mexicaine d’une vingtaine d’années aussi grande que moi, ce qui est assez rare. Elle devait être de la deuxième ou troisième génération d’immigrés et avait passé son enfance dans les vitamines, le ketchup et le beurre de cacahuètes. Je me tournai vers Kate :



J’éclatai de rire de surprise.



J’adore la choquer, la voir rougir puis rechercher une contenance. L’idée, n’empêche, me plaisait bien. Je l’imaginais l’objet de nos plaisirs, toujours dans les bras de l’un ou de l’autre et passer ses jours et ses nuits à jouir et subir nos désirs. Ma main se posa sur sa cuisse et en caressa l’intérieur.



La serveuse me vit la fixer et se faufila jusqu’à notre table.



Alors qu’elle recherchait le nom du plat sur la carte, je me penchais vers elle et dis à voix basse :



Son visage se releva, tourna un peu sur la droite puis sur la gauche, elle semblait perdue, à la recherche de quelque chose à se raccrocher, ses yeux parcouraient les environs immédiats, elle devînt écarlate en une seconde et le regard qu’elle posa sur moi semblait dire : « Pourquoi cherches-tu à me faire souffrir comme cela ? ». Puis il dit sa tristesse et devant mon visage qui passa du sourire espiègle à la moue contrite des regrets, ses yeux s’agrandirent et ils me murmurèrent qu’elle m’aimait, qu’elle m’aimait malgré cela.

Elle serra ma main entre ses cuisses…



Fin.