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n° 05090Fiche technique20841 caractères20841
Temps de lecture estimé : 13 mn
31/10/02
Résumé:  Un matin comme les autres, un peu dans le pâté, et pourtant...
Critères:  fh jeunes douche hmast facial fellation cunnilingu pénétratio humour
Auteur : Gufti Shank  (Salut !!!)            Envoi mini-message

Série : A Beautiful Day

Chapitre 01 / 05
La tête dans le cul


D’aussi loin que je me souvienne, j’ai toujours été beaucoup portée sur le sexe. On pourrait même presque dire que je suis nymphomane. C’est vrai, j’adore baiser. J’ai toujours envie de baiser. J’adore le cul. Le seul problème, et il est de taille, c’est que je ne suis pas très belle… Ce n’est donc pas toujours facile de trouver des mecs. Et ceux que j’ai la chance d’avoir un soir partent le lendemain, juste contents d’avoir tiré leur crampe et de s’être vidées les burnes.


Mais j’en suis venue à me satisfaire de ce genre de rapports. J’ai quand même assez souvent quelqu’un avec qui me faire du bien, même si je sais qu’il n’y en aura rien d’autre à tirer. Quelques-uns de ces garçons m’ont dit que j’avais beaucoup de charme (c’est ce qu’on dit souvent d’une fille pas très jolie…), mais beaucoup d’entre eux m’ont fait des compliments sur mon corps. Sans doute uniquement car j’ai d’assez gros seins et que le reste n’est pas trop mal. Enfin c’est déjà ça… Pour le genre de relations que j’ai avec ces gars, c’est même bien assez. Tout ce qu’ils recherchent, c’est "une nana qui est bonne et qui fait le maximum de choses".


Je partage un appartement avec ma sœur, ma petite sœur. C’est assez dur à vivre, car elle est plutôt très mignonne, et parvient à vivre de belles choses avec des mecs supers qui en pincent vraiment pour elle. (Preuve s’il en fallait que la plupart des mecs ne marchent qu’au physique…)


Ce matin-là, je me levai comme tous les matins de semaine, pour aller à la fac (sans grande motivation, je dois l’avouer…). J’avais passé la nuit seule, comme presque toutes les nuits. Et comme tous les matins, j’avais la tête dans le cul. Après un petit tour aux toilettes, je me dirigeai au radar vers la salle de bains. C’est là que tout a commencé: le délire ! En ouvrant la porte, je me suis rendue compte que c’était allumé, et qu’il y avait du bruit: quelqu’un prenait une douche dans la baignoire. "C’est ma sœur, elle a encore oublié de fermer la porte à clefs !", pensai-je. J’ai levé les yeux pour l’engueuler, et là, surprise, il y a un mec dans la baignoire qui me regarde comme un con, regrettant un peu tard d’avoir oublié de fermer la porte à clefs. Mais la première chose que j’ai remarquée, ce n’est pas son regard con, mais c’est qu’il était en train de se masturber… Au moins ça m’a réveillée…


Au moment où je suis entrée, il tenait le pommeau de la douche dans une main, au-dessus de lui, et sa queue dans l’autre, et il se branlait tranquillement. J’ai rapidement deviné que c’était sans doute le mec du moment de ma sœur, mais je dois avouer m’être alors demandé pourquoi il se branlait, car ma sœur n’est pas du genre à prôner l’abstinence. En tout cas, il était vraiment pas mal. Mais bon, c’était quand même bien louche, ce qu’il était en train de faire. Je plaignis ma soeur.

Le temps que je pense à tout ça et le mec s’était cruellement ramolli, et avait entrepris de commencer à se planquer derrière une serviette de toilette, qui dévoilait encore légèrement une petite bosse au niveau de l’entrejambes.



Moi, je restais un peu sur le cul, quand même.



Il éluda tout aussi tranquillement ma question.



Il ne se présenta pas pour autant, mais s’installa, assis confortablement sur le rebord de la baignoire, prêt à entamer une grande discussion. Je coupai court à tout ce qu’il aurait pu imaginer me dire, en le virant gentiment.



Il se leva, et s’écarta un peu.



Je n’avais pas pu m’empêcher de le dire… Il me répondit du tac au tac:



J’étais désormais face à lui, attendant qu’il ne quitte la petite pièce pour fermer derrière lui. Il ne faisait cependant pas mine de partir pour autant. Je continuai de le chambrer:



Quelques fringues traînaient par terre, en boule.



Il y eut un blanc, pendant lequel il tentait de démêler ses frusques. Puis il me dit:



J’ai dû rougir un peu sans doute, en réalisant que la pauvre nuisette que j’avais sur le corps était d’une part bien trop ample et laissait en partie voir mes seins, et d’autre part très courte. En tout cas, lui ne fut pas du tout gêné de ma présence pour se rhabiller: il laissa tomber la serviette qui lui entourait la taille et entreprit de se revêtir de son caleçon. Sa queue pendait bêtement entre ses jambes. Je n’avais pas remarqué la première fois, mais il était pas mal monté en plus…



Ouaouh, il avait aussi un beau cul… Mais bon, il commençait à se faire tard, et j’allais vraiment être à la bourre si je ne me magnais pas un peu. Après tout je m’en foutais qu’il me voit un peu plus. Je retirai ma nuisette et entrai dans la baignoire en commençant de faire couler l’eau. Malgré le bruit de la flotte, j’entendis un sifflement débile, du style de celui que ferait un mec devant ses potes pour siffler une fille dans la rue. Evidemment il s’était retourné pour me mater. Je l’ignorai parfaitement, et commençai de me laver. Je l’entendais parler, mais ne comprenait pas ce qu’il me disait.



Devant cette curieuse réponse, je tournai les yeux vers lui. Il était appuyé le dos contre la porte, et devinez quoi: il se masturbait, en me regardant avec insistance, sans la moindre honte. Je ne perdis pas mon sang froid:



Il ne répondit rien. Il était plus concentré que jamais. Il se branlait d’un lent mouvement régulier, sans me quitter des yeux. J’étais un peu interloquée, un peu embarrassée, un peu énervée, un peu effrayée et un peu amusée aussi. Tous ces sentiments se succédaient en moi à toute vitesse.



Je me marrai doucement:



Il resta un instant silencieux, puis me dit, d’un air innocent:



Ce type était complètement dingue… Mais il n’avait pas l’air méchant ou mal intentionné… Je continuai à me laver, mais en le regardant maintenant régulièrement du coin de l’œil. Au moment où je me rinçais les seins, passant le jet sur ma poitrine, et y frottant doucement la main, je l’entendis qui se manifestait:



J’explosai presque de rire.



Il continuait, en plus. Je me tournai plus nettement vers lui, et l’admirai quelques secondes dans son ouvrage. Plus amusée qu’autre chose, je me mis alors à parcourir tout mon corps, doucement, avec le jet, et je passai mon autre main sur ma poitrine, puis sur mes hanches, presque sensuellement, le tout en le regardant malicieusement. Le pauvre bougre bouillonnait. Ses mouvements se firent plus vifs, et plus saccadés.



Je me suis inconsciemment prise à son jeu. J’ai fini par arrêter l’eau, mais j’ai quand même continué de passer mes mains tout le long de mon corps. Et quand l’une d’elles s’égarait entre mes cuisses, j’éprouvais en fait une solide envie de me toucher franchement. Tout cela sans cesser de le regarder droit dans les yeux. Je me passais aussi de temps en temps la langue sur les lèvres.


Cela avait l’air de l’exciter drôlement; ses yeux ne quittaient pas mon corps et il se branlait vraiment maintenant à toute vitesse. Face à lui, j’ouvris un peu plus grand mes cuisses. Il bavait presque. Lentement, très lentement, j’ai enfoncé un doigt dans mon sexe, sans le quitter du regard. Son rythme de masturbation s’accéléra encore. Mon doigt glissa une fois ou deux en moi, puis je l’extirpai et le portai à ma bouche, et le suçai un long moment. Le garçon ne résista pas: en un éclair il fut près de moi, et dans une sorte de hurlement, il se déchargea d’une dizaine de giclées de sperme qui vinrent s’échouer sur ma poitrine, mon ventre et mes jambes.


Moi qui venais de me laver ! Et du coup, c’était moi qui me retrouvais dans un état d’excitation hors du commun. Il restait devant moi, à presser encore vigoureusement son sexe encore tendu pour en extraire les dernières gouttelettes. Je n’ai écouté que mon instinct: d’une main j’ai attrapé sa queue, de l’autre ses couilles; elles étaient toutes dures. Et je me suis mise à le branler à mon tour; je voulais qu’il reste complètement raide, mais malgré toutes mes caresses, il avait déjà une petite tendance à se ramollir. Je me suis alors penchée légèrement en avant, ai ouvert la bouche et englouti une bonne moitié de son sexe. J’ai senti le goût du sperme encore frais.


Et comme les Shadoks, j’ai pompé, pompé. Mon excitation grimpait encore, et elle atteint son paroxysme lorsque je sentis sa queue se regonfler, et commencer de durcir de nouveau. J’ai continué de le sucer jusqu’à ce qu’il soit au garde-à-vous, aussi raide que du béton. Il se laissait faire, mais quand il se sentit prêt, il me fit sortir de la baignoire et m’installa debout, les cuisses légèrement écartées, penchée bien en avant, les mains appuyées sur le rebord de celle-ci, et se plaça derrière moi. Là, c’était moi qui me laissais guider. Je n’eus pas à attendre bien longtemps avant de sentir son sexe pointer à l’entrée du mien.


Il entra en moi comme dans du beurre, tant j’étais inondée de désir et d’excitation. Et il me défonça dans cette position pendant dix bonnes minutes, à un rythme effrayant. Il me faisait un bien fou, et je me retenais pour ne pas hurler pleinement mon bonheur. (Je ne voulais pas réveiller ma soeur, pour éviter qu’elle ne vienne nous trouver en pleine action.) Après cela, il se retira, et me guida dans une nouvelle position: je m’installai debout sur le rebord de la baignoire, et écartai les cuisses. Il se baissa légèrement, jusqu’à ce que sa tête se trouve à hauteur de mon sexe, et je sentis bientôt sa langue venir jouer autour et dans ma fente. Je pressai sa tête contre mon pubis, voulant qu’il ne s’en aille jamais tant il s’y prenait bien.


Et pendant qu’il me léchait, il se masturbait doucement, sans doute pour ne rien perdre de sa forme. Quel branleur, celui-là ! Au bout d’un instant beaucoup trop court, il s’assit entre mes jambes, sa queue pointant bien droit vers le ciel. Je vins m’installer à califourchon sur ses cuisses, tournée face à lui, les jambes dans la baignoire, et m’empalai doucement sur son membre tendu, qui glissa encore d’un seul coup tout au fond de mon corps. Cette fois, c’était moi qui dirigeai les opérations. Je montai et redescendais mon bassin au rythme qui me plaisait. Et j’accélérai doucement, insensiblement, jusqu’à atteindre au bout de dix nouvelles minutes de bonheur une vitesse effrayante.


C’était vraiment formidable, je prenais mon pied comme rarement cela m’était arrivé. De temps en temps je pensais à ma soeur, et puis à la fac qui m’attendait, mais je chassais ces images de mon esprit, pour me reconcentrer et savourer tout mon plaisir. En fait c’était très bien qu’il se soit branlé avant, comme ça cela durait très, très longtemps. Car même au bout de tout ce temps passé à baiser comme des furieux je le sentais toujours aussi dur, et toujours pas sur le point de jouir.


Je décidai de changer de position. Je me relevai et libérai son sexe, toujours tendu, son gland tout gonflé dressé vers moi. J’eus une irrésistible envie de sucer cette chose qui sortait de moi. Je m’agenouillai, m’emparai de l’engin et le portai jusqu’à ma bouche. Et je l’ai de nouveau sucé, doucement tout d’abord. Puis encouragée par ses soupirs et ses gémissements, j’accélérai, et le pompai de plus en plus vite et de plus en plus profond. Mais j’avais encore très envie de le sentir s’enfoncer en moi.


Je me relevai, pour revenir m’asseoir sur sa queue, mais cette fois-ci en lui tournant le dos. Et son corps repénétra de nouveau le mien, et le défonça encore facilement dix autres minutes. Jamais je n’avais été baisée si longtemps par un seul mec. C’était merveilleux, car malgré la durée, le plaisir était toujours aussi intense. Et cela semblait être la même chose pour lui, à l’entendre gémir et soupirer, à sentir son souffle chaud sur mes épaules. Il me pelotait presque violemment la poitrine pendant que son sexe faisait la fête avec le mien. J’éprouvais un bonheur physique vraiment impressionnant. Et je ne pensais plus à rien d’autre qu’à savourer ce plaisir.


Il finit par me faire relever, et s’agenouilla pour venir me lécher. Son nez flirtait avec mon cul tandis que sa langue parcourait ma raie. Le plaisir violent de l’interminable pénétration laissait la place à une douceur qui me redonnait une dose d’excitation. Sa queue tapotait mes mollets quand il se penchait en avant pour embrasser ma fente, et cela aussi m’excitait. Cette queue était dure comme du béton depuis pas loin de 45 minutes, en ayant déjà éjaculé une fois. C’était un mec comme ça qu’il me fallait.


Je restais debout tandis qu’il se relevait, derrière moi. Il s’empara de mes seins, un dans chaque main, et son sexe se coinça entre mes globes fessiers. Il se mit à se frotter contre moi, se masturber le long de mes fesses, tout en me massant fermement les seins. Je me cambrai au maximum, poussant ma poitrine en avant et mon cul en arrière, et je penchai la tête en arrière, cherchant le contact de ses lèvres sur les miennes.


Ses mains palpaient en fait tout mon corps, de mes seins jusqu’à ma fente en passant par mon clitoris. Il me caressait à tous les endroits sensibles. Et quand ses mains s’occupaient de mon bas-ventre, les miennes voguaient sur ma poitrine, la caressant doucement, et inversement, lorsqu’il me pelotait, je me caressais la fente. Et mes fesses branlaient toujours sa longue queue épaisse.


Il m’embrassait, et sa langue et ses lèvres avaient encore un peu le goût de mon sexe. J’aimais ce goût. Il m’excitait. Il dut le deviner car, sans cesser de se frotter à moi, il plongea presque aussitôt deux doigts dans ma chatte, me branla quelques secondes, puis les ressortit et me les présenta. Je me mis à les sucer comme si ça avait été une bite. Pendant que je dévorais ses doigts, de sa main libre, il dirigea sa queue vers mon sexe, et, debout derrière moi, me pénétra encore une fois. J’étais encore toute trempée, quand il entra de nouveau. Je ressentis toujours autant de plaisir à le sentir me défoncer, et je ne voulais pas lâcher ses doigts que je suçais encore. Sa main libre retourna me peloter les seins.


C’est dans cette nouvelle position que mon amant se révéla le plus impressionnant. Il me baisa comme un dieu. L’amplitude de ses mouvements était maximale: sa queue venait buter tout au fond de moi, puis reculait d’une bonne vingtaine de centimètres, jusqu’à ce que le gros gland tout gonflé ressorte presque entièrement de mon sexe, et enfin replongeait jusqu’au fond. Et son rythme alternait: deux ou trois minutes pendant lesquelles il me défonça à une vitesse hallucinante, et pendant lesquelles je mordais ses doigts pour me retenir de hurler, puis deux ou trois minutes où il me ramonait très doucement, mais toujours en puissance, et il finissait par réaccélérer jusqu’à retourner à son rythme maximal, et puis ça recommençait. C’était merveilleusement bon.


Facilement dix minutes passèrent encore ainsi, au bout desquelles, à ses gémissements et à ses gestes, je crus que ça allait se terminer. Je me préparais à l’explosion finale, quand je le sentis se retirer. Je me retournai vers lui. Il restait debout sans bouger, la queue toujours tendue vers moi qui oscillait légèrement de bas en haut. Je croyais qu’il allait se masturber un peu et tout m’envoyer sur le corps, comme il l’avait fait presque une heure auparavant. Mais il restait sans bouger, avec l’air concentré. Je le regardai, curieusement, puis il finit par s’exclamer :



Je souris, et exultai presque. J’avais encore envie de lui, en effet. Je voulais que cette baise dure tout le temps, tant c’était bon. Mon vagin était encore trempé. Encore une fois je m’agenouillai à ses pieds sans rien dire, et repompai sa queue toute raide. Mais très doucement, cette fois-ci, de peur que ça ne se finisse vraiment. Doucement, mais très profondément. J’engouffrais les trois-quarts de son sexe au fond de ma gorge, puis mes lèvres glissaient très lentement jusqu’à rejoindre son gland, que je caressai un instant avec la langue, et je recommençais. Lui avait posé ses mains sur ma tête, et il accompagnait tous mes mouvements, poussant légèrement ma tête dans un sens ou dans l’autre.


L’envie de le sentir en moi avait repris de plus belle; je me retournai à quatre pattes, mon derrière en l’air que je lui présentais. Il ne se fit pas prier, s’agenouilla derrière moi, m’attrapa les hanches et fit glisser son sexe jusqu’au mien le long de ma raie. Cette fois-ci je ne pus réprimer un long hurlement de jouissance lorsque sa queue entra en moi. J’avais l’impression qu’elle était encore plus épaisse qu’avant, et elle vint buter de nouveau à pleine puissance au fond de mon vagin. C’était merveilleux. Et mon amant était reparti à toute vitesse. Il me limait à fond, plus vite et plus fort que jamais.


Hélas, à ce rythme, cela ne dura plus très longtemps. Il se retira soudainement, et en gueulant à moitié, il me contourna à toute vitesse et en se masturbant pour venir se décharger sur mon visage. Quelques gouttes tièdes s’échouèrent sur mes joues et mes lèvres. Je passai ma langue et gouttai son sperme. À jeun, c’était assez bizarre, en fait.


Quand il se fut entièrement vidé, mon amant, content de lui, me repressa sa queue contre la bouche. Il voulait que je le suce encore, que j’extraie les dernières gouttes de sa queue, qui ne débandait toujours pas. J’ouvris la bouche suffisamment pour laisser entrer l’engin, et le pompai et le branlai encore un peu, avant qu’il ne commence enfin à se ramollir.