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n° 05105Fiche technique9380 caractères9380
Temps de lecture estimé : 6 mn
01/11/02
Résumé:  Personne ne me croit jamais lorsque je raconte mes histoires...
Critères:  fh grp jeunes voir intermast fellation humour
Auteur : Gufti Shank  (Salut !)            Envoi mini-message

Série : A Beautiful Day

Chapitre 02 / 05
Provocation


J’arrivai à la fac avec plus d’une heure de retard. J’entrai le plus discrètement possible, et retrouvai quelques amis qui, bien entendu, squattaient le dernier rang de l’amphi. Il y avait Cécile, ma meilleure copine à la fac, assise entre deux copains à nous. Je me frayai une place à côté de Greg, un des deux gars. Je n’avais qu’une envie, c’était de raconter à Cécile mon expérience de la matinée, qui m’avait tant enchantée. Mais ça me gênait avec ce garçon entre nous deux. À peine étais-je installée que ma copine me harcela de questions :



Je réfléchis rapidement. Ça faisait un peu violent de tout déballer ici, avec toutes les oreilles qui risquaient de m’entendre. "Oh, et puis je m’en fous" pensai-je.



Elle se pencha vers moi et je me penchai vers elle. Greg était plus ou moins forcé d’écouter ce que j’allais dire, et finalement, ça ne me faisait ni chaud ni froid.



J’acquiesçai en souriant mais sans rien dire. Un mec du rang de devant se retourna et me fit:



J’allais parler mais Greg me coupa la parole:



J’entendis de nouveau une dizaine de personnes autour de nous éclater de rire, et je ne pus m’empêcher de sourire moi-même. Puis je me mis à raconter dans les moindres détails ma petite histoire, Cécile m’écoutait bouche bée, et acquiesçait de temps en temps, ou demandait parfois des éclaircissements. Je me rendis compte aussi que le plus grand silence régnait autour de nous; tout le monde m’écoutait bien plus attentivement que le prof, et je crois qu’ils hallucinaient pas mal. Il y a même une fille, deux rangs devant moi, qui s’est retournée pour me regarder et voir si j’étais normale ou pas.


Quand j’eus terminé, le silence régnait toujours. Cécile me regardait, et hallucinait un peu elle-aussi. Ça m’excitait de faire ainsi halluciner tout le monde en parlant de ma vie sexuelle. Je la narguai alors encore un peu:



De nouveau quelques rires retentirent devant nous. Le mec se retourna encore et dit:



Je le regardai droit dans les yeux et lui lançai, à mon tour:



Il se trouva con, et se retourna sans rien ajouter. Cécile haussa les épaules, mais ne répondit rien. Je crus alors qu’elle doutait de mes paroles, et mon sentiment grandit encore quand le mec se retourna une troisième fois et me fit :



C’en était trop ! Personne ne me croyait, alors que ce n’était que la plus stricte vérité. J’ai réagi très rapidement, sans beaucoup réfléchir; j’allais leur prouver de quoi j’étais capable. Je me suis immédiatement penchée sur les cuisses de Greg, et ai commencé à le caresser à travers son jean, au niveau du sexe. Il ne s’y attendait pas du tout, et je l’ai senti se crisper un peu. Il m’a regardé, interrogatif, puis a tourné ce même regard vers Cécile, qui à son tour m’a lancé un regard curieux. Je n’ai rien dit et ai continué. Mon voisin s’est très vite détendu, prenant son parti de la situation, tandis que sur un autre plan, il se tendait de plus en plus. Je sentais durcir doucement son pantalon, et n’attendis pas le moins du monde avant de faire sauter quelques boutons de son jean. Je sortis sa queue aussitôt que possible. Elle ne bandait qu’à moitié, et n’était pas énorme. Je me mis à le pomper immédiatement, doucement et profondément, gobant presque toute sa queue encore un peu molle.



Cécile n’en croyait pas ses yeux. J’entendis aussi la voix du mec de devant qui croyait rêver:



Puis à l’adresse de Greg :



Ca m’encourageait à continuer. Je lui prodiguai mes meilleures attentions, laissant entrer son sexe maintenant presque tendu au plus profond de ma gorge, tandis que je le serrai d’une main à la base. Mes lèvres glissaient le long de sa queue, de ma main jusqu’à son gland. Quand il fut bien dur, je me redressai, et le branlai fermement quelques instants de la main gauche, tout en regardant alternativement Cécile et le mec de devant, toujours retourné. Ils restaient bouches bées, à m’observer, sans y croire. Au bout d’un long moment, Cécile finit par rompre le silence, et je vis la malice de nouveau briller dans ses yeux :



Le mec de devant, entendant ça, craqua complètement et se retourna en gueulant:



Je regardai Cécile, et on éclata de rire. Je continuais toujours de le branler, de plus en plus vite et fort.. Puis j’acquiesçai à la question de ma copine, et retournai à ma tâche première. Je le pompai encore deux ou trois minutes, là aussi de plus en plus vite, et toujours aussi profondément, puis me relevai de nouveau, et le branlai encore. Greg avait laissé aller sa tête en arrière et savourait tout cela sans rien dire, et Cécile me regardait toujours, mi-hallucinée, mi-bienveillante. Je sentais la queue se convulser légèrement sous ma main, et les couilles se durcir. Je ralentis le rythme de ma masturbation, et m’adressai à ma copine, suffisamment fort pour que le mec de devant entende :



Elle se marra, puis répondit:



Je lui souris, puis replongeai aussitôt car je sentis le sperme affluer sous ma main le long de la queue toujours droite comme un i. Mes lèvres entourèrent son sexe juste à temps: les premiers jets denses et tout chauds s’échouèrent sur ma langue. Greg ne parvint pas à se retenir: il laissa échapper quelques hurlements de jouissance qui firent dans l’amphi plus silencieux que jamais l’effet d’une bombe. Je n’y prêtais pas attention et le pompai une dernière fois le plus profondément possible, tout en extrayant de ma main les dernières gouttes de sperme de sa queue.


J’avalai tout, et me redressai, m’essuyant la bouche d’un revers de la main, puis passant ma langue sur mes lèvres. Je réalisai alors qu’au moins cinquante personnes me regardaient et hallucinaient. Greg était tout rouge, et remballait sa queue comme il pouvait, tout en évitant à tout prix mon regard, et Cécile se marrait carrément. J’étais très mal à l’aise, mais au fond, je n’en avais pas grand-chose à faire. Je regardai un peu dans toutes les directions, cherchant les regards les moins désapprobateurs, puis ne pouvant me retenir, criai: "Au suivant !", provoquant des explosions de rire chez Cécile et Greg…