n° 05350 | Fiche technique | 19677 caractères | 19677Temps de lecture estimé : 12 mn | 13/12/02 |
Résumé: C'est à son mariage qu'on lui présenta la tante de sa femme. Tante Julie était grande et dotée d'une belle et forte poitrine. Si on rajoute qu'elle s'empressa de communiquer son adresse au jeune marié... | ||||
Critères: fh fplusag extracon oncletante alliance grosseins fdomine intermast fellation cunnilingu uro conte humour | ||||
Auteur : Alexis Defond-Rossignol (Alexis vous propose sa contribution au thème de la tantine.) |
Épisode précédent | Série : Délires urbains Chapitre 02 / 02 | FIN de la série |
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Chère maître,
Je vous écris pour vous signifier mon intention de demander le divorce, je compte sur votre compétence pour me conseiller la meilleure procédure, la plus rapide, la moins onéreuse et la moins traumatisante pour ma future ex-épouse !
Je n’ai rien à reprocher à ma femme, sauf que… j’en ai trouvé une autre, une autre que j’aime davantage, et il se trouve que cette autre là est la propre tante de mon épouse ! C’est la vie !
Permettez-moi de vous narrer, en m’excusant à l’avance pour les mots crus, quelles ont été les circonstances de ma rencontre avec Julie D… circonstances qui ont à jamais changé ma vie.
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Annexe :
Je me serais bien passé du mariage, mais Christelle, ma future épouse y tenait, et sa famille également. Il a donc fallu se farcir la cérémonie, la robe blanche, la préparation au mariage avec débats obligatoires avec quelques futurs couples simplets et un curé coupé des réalités de ce bas monde, le riz que l’on gâche en le jetant sur la chaussé, le vin d’honneur, le banquet, les photos dans le parc, la pièce montée, et j’en passe. Bien sûr on me présenta un tas de gens, des oncles, des tantes et cousins, des marraines et de parrains, des amis, des collègues et des voisins. Je n’avais qu’une hâte, que tout cela finisse. J’en avais la nausée de tous ces mecs habillés en semi-pingouins, de ces bagnoles lavées et empapillotées pour l’occase, de ces bonnes femmes aux toilettes ridicules aux chapeaux absurdes et aux sacs à main minuscules, de ces sales gosses gesticulant dans tous les sens…
Et puis on me présenta. Robert et Julie !
Tilt ! J’ai fais tilt ! Il y a des femmes comme ça, le seul fait de les regarder et c’est un avis de tempête qui se prépare au niveau des roupettes !
Un joli visage, bien lisse, une belle peau, des yeux gris clair, une bouche… mon dieu sa bouche ! Grande brune, joliment coiffée, assez forte mais sans exagération, Elle était vêtue d’une robe décolletée dans lequel mes yeux avaient du mal à ne pas se perdre ! Du E ? Du F ? Je ne sais si elle s’aperçut des errements de mon regard, mais son sourire, cet immense sourire ne la quitta point ! J’avais rencontré une déesse le jour de mon mariage et ce n’était pas ma femme !
C’est deux heures après que Julie m’aborda de nouveau, seule cette fois !
Voilà qui ne la regardait pas, mais elle aurait pu aussi bien me parler de crochet ou de passementerie que je l’aurais écouté bouche bée !
J’attendais qu’elle me communique l’adresse, mais elle ne me la donnait pas, mon regard louchait de nouveau vers ce décolleté décidemment trop provocant. Sans cesser de sourire, elle eut alors ce geste de se caresser le haut du sein avec l’index, juste l’espace de quelques instants. Je bandais !
Je compris alors qu’elle attendait que je lui demande ! Elle me la griffonna, et tandis que je la rangeais avec précaution, elle me précisa :
Il s’écoula plusieurs mois, après ce mariage sans que trouve l’occasion d’honorer cette invitation, inconsciemment je redoutais de me laisser entraîner dans des aventures incontrôlables. Je n’en avais pas parlé à Christelle, qui de toute façon ne fréquentai pratiquement pas la tante en question.
Et puis ce jour là, c’était un mardi, j’avais prévu de passer la journée chez un client qui avait de gros problèmes. C’était le bordel dans les transports en communs et je n’avais même pas eu le temps de prendre mon petit déjeuner. Je téléphone pour confirmer le rendez-vous.
Ma hiérarchie n’avait pas besoin de le savoir, et je précisais au client que je passerais juste une demi-heure, prétextant que cette démarche serait imposée par le contrat de maintenance… en fait, il me faudrait simplement faire signer une feuille d’intervention, mais sinon ma journée devenait libre.
Je sors, me dirige vers le métro mais me souviens que ce n’est peut-être pas le jour, et changeant de plan, je vais à la recherche d’un bistrot pour enfin prendre mon petit déjeuner. C’est alors que l’image de la tante Julie m’est revenue ! Une image irrésistible, je n’avais pas de numéro de téléphone, je décidais d’y aller…
Déception, elle ne me remet donc pas !
Ouf !
Elle m’ouvre, elle est en robe de chambre, elle l’a revêtue de façon à ce que la naissance des seins soit visible, je suis persuadé qu’elle l’a fait exprès. J’ai conscience de m’embarquer dans un joli traquenard ! On s’embrase bisous-bisous sur les deux joues, j’aime sa peau, elle est douce, lisse, tendre, sensuelle…
Je lui expliquais !
Elle me prépare un chocolat, on parle un peu de tout et de rien, puis elle me verse mon petit déjeuner dans un bol, et s’assied en face de moi, à ce moment là, sa robe de chambre se mit à blouser et en fait, j’avais la conviction qu’en bougeant un peu je pourrais percevoir davantage de ses seins.
Je deviens rouge comme une écrevisse. Et là, que faire ? Jouer l’hypocrisie, ou entrer dans son jeu. J’opte pour la deuxième solution !
Je m’en voulu d’avoir sorti cette connerie ! Elle ne rectifie rien du tout de sa tenue mais change complètement de conversation !
Le pire c’est qu’elle n’avait pas tort, mais comment faisait cette sorcière pour percer ainsi ma personnalité ?
La panique ! Elle a réussi à redresser la situation a son profit !
Elle prit alors sa cuillère à café et la jeta volontairement par terre, puis d’une voix ingénue me dit alors :
Le jeu commençait à m’amuser et je me baissais pour ramasser la cuillère, au moment ou j’allais m’en emparer, elle posa son pied nu dessus m’empêchant d’agir !
Je n’ai jamais été fétichiste du pied, mais la vue d’un joli peton sait malgré tout me ravir et celui-ci était fort aimable, je le caressais avec un plaisir non dissimulé, constatant avec surprise que la peau y était douce et veloutée. Puis, très doucement elle relâcha la pression de son pied, me laissant l’accès à la cuillère, elle se baissa alors afin de s’en emparer tout en restant assise, l’échancrure de sa robe de chambre s’ouvrit alors me faisant découvrir la presque intégralité de son imposante et belle poitrine.
Ce disant, elle se réajuste, ne me laissant plus rien voir !
Punition, tu parles, si elle me propose de me mettre sur ces genoux et de me flanquer une fessée, ce sera tout sauf une punition, en espérant toutefois qu’elle ne soit pas trop brutale… J’attendais avec impatience.
Non ! Pas ça ! Mais que dire ? Cette pétasse n’est qu’une allumeuse, j’ai assez perdu mon temps ici.
Je m’approche, le bisou est chaste, je me dégage, elle ouvre alors son peignoir !
J’en reçois effectivement plein la vue ! Mais à quoi joue-t-elle ? Non, je ne reviendrais pas ! Mais cette image va me hanter mes nuits et mes jours, je récupère ma sacoche et me dirige vers l’entrée.
Elle est à présent complètement nue ! Je vais devenir fou, il faut que je m’échappe.
Je reviens vers elle, tremblant !
On s’est retrouvé dans les bras l’un de l’autre, je n’en pouvais plus de lui caresser le dos, les fesses, je n’attendais qu’une chose c’est qu’elle se dégage un peu afin que je puisse lui peloter les seins. Mais ça n’en prenait pas le chemin, par contre nos visages si prés l’un de l’autre s’invitèrent au baiser, il fut profond, baveux, généreux, fougueux, irrésistible et bandulatoire. Enfin elle s’écarte, me fout carrément la main à la braguette, constate la rigidité ambiante et me dézipe la fermeture-éclair, elle farfouille ensuite, me caresse mon sexe rigide à travers mon caleçon mais a du mal à l’extirper. Je lui propose de l’aider et je dégrafe la ceinture du pantalon. Je tente d’approcher mes mains de ses seins, mais voilà qu’elle s’accroupit et me gobe le sexe, elle me le suce avec une frénésie qui fait plaisir à voir !
Et j’en passe, je savais que certaines femmes aimaient les mots cochons pendant l’amour, mais elle, elle en abusait, après tout pourquoi pas, cela avait l’air de l’exciter, et ça ne fait de mal à personne si cela n’est pas dit dans l’intention de dégrader !
Elle me fait un signe avec la main, renonçant à parler la bouche pleine, ce geste doit signifier que si je jouis, et bien cela ne la dérange pas ! Et justement c’est ce qui se passe, je pars à grosses giclées et Julie avale tout !
Je me suis retrouvé quelques instants plus tard entre ses cuisses, elle avait pris sa douche mais les sucs de l’excitation la parfumaient d’une odeur enivrante, je léchais à qui mieux-mieux sa chatte humide, tandis qu’elle se tortillait les bouts de seins avec une violence incroyable, j’aventurais mes doigts dans le vagin en position de crochet, provoquant d’assez insolites floc-floc, puis me concentrais sur son clitounet érigé d’excitation. Sa respiration devenait haletante, et elle répétait en suffoquant des « Vas-y ! Vas-y !» ou des « C’est bon !, C’est bon !». Elle parvint à me dire dans un souffle !
Les draps qui se tirent, le corps qui se tend, un cri, un cri fulgurant, sans ses instructions je me serais précipité sur elle pour l’embrasser avec tendresse, mais elle voulait que je reste dans ses cuisses, loin de moi l’idée de vouloir contrarier ses habitudes, je léchais donc sa chatte avec gourmandise, quand il me sembla que l’humidité du lieu s’aggravait bougrement !
Je n’ai pas osé lui demander si elle urinait de plaisir où s’il s’agissait de cette fameuse éjaculation féminine provoquée par l’excitation du point G ! Mais cela était délicieusement pervers.
On s’est ensuite endormi, dans les bras l’un de l’autre. Je pouvais enfin lui peloter les seins à loisirs et je ne m’en rassasiais pas…. Et je n’en suis toujours pas rassasié !
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Voilà j’ai relu tout cela, au moins c’est argumenté ! Le client d’avant est parti, il ne reste plus que moi dans cette salle d’attente. Je ne sais même pas à quoi ressemble cet avocat, choisi au hasard des pages professionnelles de l’annuaire.
L’avocat est une avocate, je la suis, elle s’installe derrière son bureau, me fait un sourire, je lui tends ma lettre et le texte annexe : Je l’observe tandis qu’elle lit ma prose ! C’est une grande femme, une blonde à lunette, coiffé en chignon, elle est habillée d’un tailleur dont elle enlève la veste, son chemisier est boutonné chastement, mais je devine qu’en dessous des formes généreuses s’y profilent. Au fur et à mesure de la lecture, son visage se rosit, elle me jette des petits coups d’oeils furtifs l’air de penser « c’est bien lui qui a écrit ça ? » . Enfin, elle pose le dossier et avec une lenteur toute calculée, détache deux boutons de son chemisier, j’aperçois à présent la naissance de seins… et elle continue… je crois un moment qu’elle va retirer son soutien, non, elle le laisse ouvert, la tenue dégage un érotisme torride, ce soutien-gorge bleue en fine dentelle renfermant ces trésors ! As-t-elle conscience des risques qu’elle prend, je n’ai rien d’un violeur mais elle ne me connais pas, bah ! Il doit y avoir des alarmes ou un chien ou … mais la voilà qui se lève ! Je bande, où est-ce que je m’embarque à nouveau ?
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L’histoire n’a point de morale, elle ne dit pas si le narrateur a divorcé ou non, et elle ne dit pas non plus si le sexologue conseillé par l’avocat était, elle aussi une grande femme à forte poitrine. Un récit n’est jamais exhaustif.
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Alexis Defond-Rossignol (12/02)