n° 05541 | Fiche technique | 22217 caractères | 22217Temps de lecture estimé : 13 mn | 19/01/03 |
Résumé: Cet après-midi, elle sera enfin seule et elle espère que Michel pourra passer tout le week-end en sa compagnie. | ||||
Critères: fh intermast fellation cunnilingu pénétratio | ||||
Auteur : Christian 4 (Christian) Envoi mini-message |
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Arrivée chez elle, Catherine file prendre une douche et se changer. Elle ne tient en effet pas à ce que ses parents, et surtout, sa mère s’aperçoivent de son chemisier froissé et de ses cheveux en bataille. Sous le jet d’eau chaude, elle revit en pensée les merveilleux instants vécus avec Michel, sa main qui caresse le long sexe masculin, les doigts sur son abricot. Alors que la main posée sur son sexe, elle s’apprête à se caresser, la voix de sa mère la rappelle à la réalité. Il est l’heure de dîner et ses parents ne tolèrent aucun retard.
La soirée, comme d’habitude, est rythmée par la conversation de son père, qui se plaint encore et toujours de ses subordonnés.
Ce soir, elle doit se faire violence pour ne pas le contredire. Elle en a assez de ses éternels reproches à des gens qui, elle le sait, font de leur mieux pour satisfaire ce patron si exigeant. Le repas à peine avalé, elle prétexte un mal de tête pour s’enfermer dans sa chambre. Là, elle se déshabille et, contrairement aux autres jours, décide de dormir nue. Elle s’installe debout face à la grande glace et, sans doute pour la première fois, regarde son corps d’un œil nouveau. Ses seins, qu’elle trouvait trop gros, lui apparaissent d’une taille tout à fait normale, et ses jambes, trop maigres jusque là, lui semblent longues et parfaitement galbées. C’est heureuse qu’elle s’installe sous les draps et très vite, sa main retrouve le chemin de son sexe et elle s’offre une longue masturbation, retardant souvent le plaisir, osant même caresser son œillet, qu’elle considérait jusque là comme l’endroit le plus répugnant de son corps. Quand elle cède enfin au plaisir, elle enfouit son visage dans son oreiller afin de ne pas alerter ses parents.
Elle s’endort, repue et heureuse.
Les deux semaines suivantes lui ont paru une éternité. Pratiquement tous les soirs, elle s’est offert une séance de plaisir solitaire mais ses jouissances, loin de la calmer, n’ont fait qu’attiser son envie de revoir Michel.
À bientôt 24 ans, et malgré sa beauté, Catherine est toujours vierge et même si elle est sortie avec un ou deux copains, elle ne connaît que les baisers et quelques attouchements. Elle sait que son hymen a été rompu à cause de ses séances de cheval et ne craint donc pas la douleur de sa déchirure, elle attend donc avec impatience le jour du rendez-vous.
Enfin, le fameux vendredi est là. Cet après-midi, elle sera enfin seule et elle espère que Michel pourra passer tout le week-end en sa compagnie. À seize heures, la voix de Michel lui confirme qu’il est libre jusqu’à lundi et lui demande si elle désire toujours le revoir. Un "oui" enthousiaste lui répond et il annonce son arrivée d’ici une heure.
Heureuse, Catherine profite de ces instants pour se préparer. Elle se décide pour une chemise et une jupe noire qui tranche merveilleusement avec ses cheveux blonds. Elle termine de se coiffer quand la sonnerie de la porte d’entrée retentit. Pressée, elle court accueillir son futur amant et, à peine entré, se jette sur lui et l’embrasse amoureusement. Sous la violence de l’étreinte, leurs dents s’entrechoquent et ce n’est qu’à bout de souffle qu’elle consent à se séparer de lui. Ce n’est qu’à ce moment qu’elle le regarde vraiment et s’aperçoit de sa beauté. Elle lui sourit et, le prenant par la main, l’entraîne vers sa chambre :
Elle se jette sur le lit, entraînant Michel sur elle. Un nouveau baiser les unit de longues minutes puis Catherine, hardiment, passe une main sur la bosse prometteuse de Michel. Sans hésiter, elle sort le sexe pas encore tout à fait raide de son écrin et refait sur lui les caresses qu’elle a tant aimé lui offrir. Michel change de place et s’allonge à côté d’elle, la regardant faire.
Il soulève les reins et ôte son pantalon et son caleçon. Libre de toute entrave, il écarte les jambes et se laisse aller au plaisir que Catherine lui procure. Il s’est masturbé avant de venir et sait qu’il va pouvoir se retenir aussi longtemps qu’il le voudra. Il la laisse donc faire un long moment puis lui demande :
Timidement, elle descend son visage vers la verge dressée. Ses lèvres se posent sur la hampe et lui offrent de légers bisous, la faisant tressauter. Heureuse de l’effet produit, Catherine s’enhardit et sa langue lèche le bâton de chair sur toute sa longueur. Elle embrasse ensuite du bout de la langue le gland décalotté puis, se décidant, entrouvre les lèvres et le fait lentement pénétrer dans la bouche. Sa langue continue de jouer avec le gland, chatouillant le méat, tandis que ses lèvres se resserrent doucement autour du sexe. Michel, ravi, regarde son engin disparaître peu à peu et savoure comme il se doit la première fellation de sa jeune maîtresse. Le gland vient bientôt cogner contre la glotte de Catherine, lui arrachant un haut-le-cœur. Elle se rend alors compte que presque la moitié du sexe de Michel et hors de sa bouche. Elle y promène les doigts, tout en continuant à sucer le morceau qu’elle a réussi à avaler. Catherine s’évertue à donner du plaisir à Michel mais, après de longues minutes, elle ressent une douleur au niveau de la mâchoire. Elle lâche donc la queue tendue et s’excuse auprès de son amant.
Il entreprend de la déshabiller lentement, embrassant chaque parcelle de peau mise à nue, sous les soupirs d’aise de Catherine. Sous ses yeux apparaissent les seins, aux aréoles pâles et aux tétons déjà dressés. Puis il découvre son ventre tout plat sur lequel sa langue court de longs instants, de la naissance de la poitrine au nombril dans lequel elle s’enfonce, tirant un petit cri de surprise à Catherine. Arrive la jupe, il trouve et descend la fermeture éclair, dévoilant un fin slip blanc. La paume de sa main caresse presque négligemment le mont de Vénus, ne s’y attardant pas et il continue de baisser la jupe. Celle-ci aux chevilles, il fait le chemin inverse avec sa bouche, des pieds à l’aine, hérissant sous ses baisers la peau en chair de poule. Il atteint de nouveau le dernier rempart qui cache si peu le trésor de Catherine. Sa bouche se pose sur le fin tissu et embrasse délicatement la fente qui laisse deviner son humidité. Elle écarte alors les jambes, se livrant totalement à l’exploration de Michel. Ses lèvres dépassent sur les côtés et la bouche s’en empare, les aspirant et les mordillant. Les soupirs se transforment en gémissements et les reins se soulèvent, venant à la rencontre de la bouche qui torture ainsi son sexe. Michel continue malgré tout à prendre son temps et évite soigneusement les endroits trop sensibles. N’en pouvant plus, Catherine, dans un murmure, dit alors :
Quelque peu surpris par ce tutoiement et par les mots employés, Michel décide d’accélérer et d’un geste vif, déchire le slip, découvrant ce sexe presque imberbe, tant les poils blonds dévoilent plus qu’ils ne cachent l’intimité de Catherine dans toute sa beauté. Il reste un instant admiratif devant ces fines lèvres et l’entrée de cette grotte dont il sait qu’il sera le premier à franchir le passage. Sa bouche se pose enfin sur le bouton en érection et l’aspire entre ses lèvres. Le gémissement de Catherine se transforme en un long feulement et, de façon aussi soudaine qu’imprévue, elle jouit une première fois, surprenant Michel par l’abondance de son jus dont, d’ailleurs il se régale. Surprise elle-même par cette brusque jouissance, Catherine demande à Michel de la laisser récupérer un peu et, presque à regret, il se rallonge à ses côtés.
Michel s’installe entre les cuisses de Catherine et lui fait relever les jambes. Doucement, il lui caresse la fente avec le bout de son sexe. Impatiente, elle se saisit de la verge et la présente à l’entrée de son vagin :
Lentement, son sexe glisse à l’intérieur de l’étroit écrin, accueilli par un gémissement incessant. Michel savoure, comme Catherine, la lente progression de son membre dans ce sanctuaire encore inviolé. Les yeux dans les yeux, les deux amants se sourient, heureux du moment unique qu’ils sont en train de vivre. Puis leur regard se baisse et admire leurs deux sexes imbriqués. Lorsque enfin, les bourses de Michel viennent buter contre les cuisses de Catherine, il reste un instant immobile et lui dit :
À ces mots, Michel se penche vers elle et l’embrasse tendrement. De tendre, le baiser devient passionné lorsqu’il ressort lentement de son sexe puis l’investit de nouveau. Puis Catherine crie son plaisir de se sentir ainsi possédée. Ne se retenant plus, Michel accélère ses coups de rein, la pénètre à fond, déclenchant ainsi deux orgasmes successifs avant de sentir le plaisir s’emparer de lui. Il s’enfonce en elle une dernière fois puis sort son sexe et jouit en longs jets épais qui s’écrasent sur le ventre et les seins de celle qu’il vient de faire femme. Repus de plaisir, les deux amants restent de longues minutes allongés côte à côte, le souffle court, le corps en nage. Catherine, la première, émerge de cette douce langueur et se tourne vers Michel qui, les yeux clos, savoure encore la plaisir qu’il vient de ressentir.
Michel a du mal à croire ce qu’il entend : Catherine, jeune et belle femme de la "bonne société" lui propose ni plus ni moins de devenir son esclave sexuelle ! Il n’a pas l’âme d’un maître et n’a aucun fantasme de domination, malgré tout, l’idée de devenir initiateur ne lui déplaît pas.
Ému par cette preuve d’amour, Michel enlace Catherine et l’embrasse une nouvelle fois passionnément. Quand leurs lèvres se séparent, il la regarde, ou plutôt l’admire, étendue nue, totalement offerte à son désir. Désir qui se manifeste d’ailleurs sous la forme d’une nouvelle érection qui ravit Catherine. Elle glisse son visage à hauteur du sexe et le prend en bouche. Michel la fait venir sur lui en 69 et a sous les yeux la fente encore béante dans laquelle sa langue s’enfonce. À nouveau, il se repaît de la liqueur dont il aime tant l’odeur et le goût. Sa langue virevolte de l’entrée de la grotte au bouton qu’elle titille. Il décide alors de pousser un peu plus loin ses caresses et sa bouche abandonne la fente trempée pour s’occuper de l’anneau sombre caché entre les si jolies fesses. Délicatement, il en embrasse le pourtour, se délectant de l’odeur délicate. Ne rencontrant pas de résistance, il pose le bout de la langue au centre et appuie doucement. Sous ce nouvel assaut, Catherine a lâche le sexe de Michel et lui dit que cet endroit doit le répugner.
Comme rassurée, elle reprend sa fellation et Michel Observe même qu’elle cambre un peu plus les reins, s’offrant sans aucune retenue à la bouche de son amant. De ses mains, il écarte alors les fesses, dévoilant totalement l’œillet à son regard curieux. Sa langue appuie un peu plus fort et finit par franchir l’entrée secrète. Michel fouille alors l’étroit fourreau et, de ses doigts, reprend ses caresses sur le sexe qui ne semblait attendre que cela. Catherine le lâche une nouvelle fois et pousse un long cri en jouissant une nouvelle fois. Comme parcouru par une décharge électrique, son corps se tend avant de retomber, inerte, sur Michel. Le visage écrasé par le sexe au-dessus de lui, il sent le souffle court sur son sexe, à quelques millimètres de la bouche entrouverte. Il laisse Catherine reprendre ses esprits, heureux de lui avoir procuré ce nouvel orgasme. Elle se relève enfin et remercie Michel d’un nouveau baiser avant de proposer une douche et un bon petit repas afin, dit-elle, de se refaire une santé.
Catherine prépare à manger pendant que Michel, sous ses indications, met le couvert. Après la douche, il l’a décidée à rester nus et c’est dans le plus simple appareil qu’ils dégustent leur repas. Catherine couve Michel d’un regard où transparaît le plus grand des bonheurs. Lui-même éprouve un sentiment qu’il n’arrive pas à définir : ce n’est sans doute pas un amour aussi fort que semble être celui qu’elle a pour lui mais, plus le temps passe, plus il se rend compte du bien-être qu’il ressent en sa présence. Jamais encore, il n’a été aussi bien en compagnie d’une femme.
Dommage, pense t-il, que tant de barrières sociales les séparent. Comme si elle lisait dans ses pensées, Catherine dit :
Sans terminer sa phrase, elle se lève, fait le tour de la table et vient s’asseoir sur ses genoux, face à lui. Elle caresse doucement ses épaules, son torse puis sa langue, comme il l’a fait avec elle tout à l’heure, remplace ses doigts par sa langue et elle embrasse amoureusement le corps de son amant. Michel ferme les yeux et se laisse aller, savourant ces baisers. Catherine le fait se lever et l’invite à s’allonger sur le canapé. Elle reprend ses caresses, du cou au nombril, mordillant même les tétons qui s’érigent. Une main lui caresse les cheveux et l’autre le haut des cuisses, frôlant parfois le sexe qui a bien vitre retrouvé sa raideur. Peu à peu, la bouche descend et les lèvres frôlent le gland sur lequel elles déposent une multitude de baisers. Les gémissements de Michel lui indiquent qu’il apprécie ses initiatives. Catherine s’enhardit encore et vient embrasser les bourses, qu’elle masse avec douceur. Après de longues minutes de caresses, elle se relève et, le regardant d’un air mutin, lui dit :
Elle s’assied par terre et attend. Michel empoigne sa verge et la caresse lentement, tirant le prépuce au maximum. Les yeux écarquillés, Catherine le regarde faire, admirant les veines sur la hampe, la taille et la couleur du gland. Elle a l’impression de voir un sexe d’homme pour la première fois, ce qui est presque la vérité d’ailleurs, se dit-elle en pensée. Petit à petit, sa main se rapproche de sa fente et bientôt, excité par le spectacle que lui offre son amant, elle ne résiste pas à la tentation de se caresser elle aussi. Michel s’en aperçoit et l’invite à s’installer sur le canapé, face à lui. Face à face, ils se caressent en se regardant mutuellement. Leurs sexes ne sont qu’à quelques centimètres l’un de l’autre et parfois, s’avançant un peu, les doigts de Catherine frôlent la verge.
Comme elle, il apprécie de la voir se faire du bien, de voir ses fins doigts titiller son bouton. Il s’aperçoit cependant qu’elle n’ose pas enfoncer ses doigts en elle. Décidé à continuer son initiation, il lui dit :
Obéissante, elle utilise bientôt ses doigts comme un sexe dans son vagin et les fait aller et venir, son autre main se caressant la poitrine.
Elle les porte lentement à sa bouche et, du bout de la langue, en lèche un.
Il la regarde resserrer ses lèvres sur ses doigts et devine le mouvement de sa langue. Elle les ressort et lui présente, ils ne portent plus aucune trace de mouille.
Sa main retrouve le chemin de sa chatte et cette fois, sans aucune hésitation, elle plonge deux doigts au plus profond de son être et reprend sa masturbation, les yeux rivés à ceux de Michel.
Décidément plein d’inspiration, il lui pose un nouvelle question :
Elle ne répond pas mais son autre main abandonne sa poitrine et passe sous ses fesses. Elle découvre son œillet et entreprend de le caresser doucement.
Elle passe son doigt sur sa chatte trempée et retourne l’appuyer sur son anus. Une légère grimace trahit son appréhension.
Elle lui obéit et il voit avec plaisir la première phalange pénétrer ce cul vierge. Pendant ce temps, elle a redoublé d’ardeur sur son sexe et ses doigts vont et viennent de plus en plus rapidement, accompagnés d’un bruit de clapotis. Elle se branle ainsi un bon quart d’heure puis, à bout de force, elle pousse un cri et jouit longuement sur sa main. Vivement, elle sort les doigts de son sexe et les lèche avec une moue coquine qui réjouit Michel. Visiblement, Catherine, toute novice qu’elle soit, est une excellente élève !
Michel change de place et, s’installant entre les cuisses écartées de Catherine, la pénètre d’une seule poussée, accueilli par un "oui" de plaisir.
Il lui fait l’amour très tendrement, son sexe l’emplit totalement, lui tirant des gémissements qui ne s’arrêtent plus. Sa bouche mordille ses tétons, joue à les étirer. Sous la pénétration, Catherine parvient une nouvelle fois au plaisir, le corps en nage, les yeux révulsés, les doigts crochés dans le dos de son amant, elle jouit longuement. À son tour, Michel sent le plaisir arriver. Il sort de la chatte et asperge Catherine de trois jets puissants qui arrosent sa poitrine.
Repus, ils restent longtemps enlacés, cherchant à faire durer leur bonheur.
Plus tard, ils partent se coucher. Pour la première fois, Catherine va, pour la première fois, passer une nuit avec un homme. Heureuse, elle s’allonge à ses côtés, lui offre un dernier baiser puis ils s’endorment tendrement enlacés.