n° 05585 | Fiche technique | 17999 caractères | 17999Temps de lecture estimé : 11 mn | 25/01/03 |
Résumé: Le lendemain matin, Michel est réveillé par l'agréable odeur du café... | ||||
Critères: fhh fh pénétratio fsodo fmast intermast hmast voir fellation couplus extraoffre | ||||
Auteur : Christian 4 (Christian) Envoi mini-message |
Épisode précédent | Série : Les aventures de Catherine Chapitre 03 / 03 | FIN de la série |
Le lendemain matin, Michel est réveillé par l’agréable odeur du café. Il ouvre un œil, devant lui, Catherine, nue, porte un plateau sur lequel deux bols fument. Elle s’assied au bord du lit et lui indique de se servir. Le bol à la main, il l’invite à s’installer à ses côtés et ils boivent lentement leur café, côte à côte.
Curieuse, Catherine l’interroge sur ses expériences. Elle apprend ainsi que Michel a vécu une précédente histoire, qui a duré deux ans, et que, depuis la rupture, il n’a pas de liaison sérieuse mais qu’il a vécu des expériences un peu particulières. Ainsi, il a fréquenté un moment un club échangiste de la région et a même vécu quelques mois une histoire avec un couple d’une cinquantaine d’années. ébahie, elle a un peu de mal à le croire et le bombarde de questions sur ces relations à plusieurs. Il lui révèle que beaucoup d’hommes adorent voir leur épouse dans les bras d’un autre, ou d’une autre, et qu’en majorité, les femmes adorent avoir deux hommes à leur disposition. Michel lui raconte quelques soirées vécues à trois. Peu à peu, malgré son trouble, Catherine sent que ces récits l’excitent. Elle pose la main sur le sexe de Michel et le caresse lentement, tout en l’écoutant évoquer ces soirées où la femme s’abandonnait aux deux mâles, jouissant jusqu’à l’évanouissement. Intriguée, elle lui demande s’il regrette cette période :
Sur cette dernière remarque, elle empoigne plus fermement la verge de Michel et entreprend de lui redonner toute sa vigueur, ce qui ne tarde pas. Elle vient alors s’installer sur lui et s’empale sur le membre dressé. Heureux de son initiative, Michel lui laisse le soin de rythmer cette nouvelle chevauchée et se laisse baiser par Catherine, très entreprenante. Ses mains caressent les hanches et la poitrine de sa jeune maîtresse pendant que celle-ci se déchaîne sur son sexe. Il sent les muscles vaginaux serrer son membre et se dit qu’il est vraiment tomber sur une perle : en plus d’être jolie et amoureuse de lui, elle semble particulièrement douée pour les joies de l’amour !
Michel se redresse. Assis face à elle, il lui saisit les fesses et, à son tour, imprime le rythme de la pénétration. Catherine ferme les yeux et, le visage enfoui dans le cou de son amant, se laisse aller au plaisir de le sentir en elle. Leur étreinte dure de longues minutes, Michel se calme dès qu’il se sent au bord de la jouissance.
Peu à peu, les mains sur le derrière de Catherine écartent les fesses, livrant son œillet à la caresse curieuse de ses doigts. Son majeur ne tarde pas à explorer l’étroit conduit et cela a pour effet de faire monter un peu plus le plaisir de Catherine qui a de plus en plus de mal à se retenir de crier. Bientôt elle se laisse aller, son plaisir semble résonner dans toute la maison tant son cri est puissant. Michel continue un peu ses va-et-vient puis change de position. Il installe Catherine à quatre pattes et l’investit en levrette. La maintenant par les hanches, il donne de puissants coups de reins, ses couilles butant à chaque intromission contre les fesses. Dans cette position il peut à loisir admirer les fesses et en particulier, l’anneau sombre qu’il dévoile en écartant les deux globes. Son pouce prend la place qu’occupait le majeur tout à l’heure et s’enfonce sans trop de résistance entre les reins de Catherine, lui tirant un petit cri de surprise. Il peut sentir contre son doigt, à travers la fine membrane, son sexe aller et venir dans le vagin et entame de ce côté de lents va-et-vient. Ainsi prise par deux orifices, Catherine halète, le souffle court, les seins ballottant sous les coups de boutoir de son amant. Elle sent soudain la verge de Michel se retirer de son vagin ainsi que son doigt de son fondement. Frustrée, elle va pour protester quand elle sent quelque chose peser sur son anus. Elle se rend immédiatement compte qu’il s’agit du sexe de son amant et proteste :
Durant cet échange de paroles, Michel n’a pas cessé sa pression sur le muscle anal et il sent que ce dernier commence à céder. Son gland franchit la barrière et pénètre de quelques millimètres, arrachant un nouveau cri à Catherine. Il l’invite à pousser pour aider la pénétration, "comme quand tu vas aux toilettes !", précise t-il. Elle lui obéit et il sent le passage à nouveau s’ouvrir et l’accueillir. Les fesses écartelées lui permettent de suivre sa progression et quand le gland a totalement disparu, il le lui dit et précise que c’était le moment le plus délicat. Comme rassurée, elle se cambre un peu plus et ses muscles se détendent, permettant ainsi à Michel de s’enfoncer un peu plus. Après quelques minutes, ses bourses butent contre les fesses de Catherine et il lui annonce qu’il l’a prise entièrement. Il reste un peu immobile, la laissant s’habituer à sa présence.
Elle envoie sa main caresser sa fente et, dans le même temps, Michel se retire lentement et, presque sorti, réinvestit son cul d’une poussée ferme, accueilli cette fois par un "ah" de plaisir. Désormais rassuré, il entame de longs va-et-vient entre les fesses qu’il se surprend parfois à claquer, les faisant rougir et crier Catherine. Le boyau est étroit et son sexe est massé par les chairs, il ne fait rien pour tenter de retarder son éjaculation et le plaisir s’empare de lui. Dans un râle, il s’enfonce une dernière fois à fond et arrose les intestins de puissants jets de foutre.
Il sort enfin du cul de Catherine et se rallonge, le souffle un peu court. Elle s’installe tout contre lui, le regarde en souriant et lui dit :
Ne sachant que répondre, Michel l’attire contre lui et l’embrasse.
Il est plus de midi quand ils se lèvent enfin. Après une douche, Michel invite Catherine à déjeuner dans un restaurant où il a ses habitudes. Hésitante par la crainte d’être reconnue, elle accepte quand il lui dit que cet endroit est à plus de 30 Km et qu’il n’y a jamais croisé quelqu’un du village.
Le restaurant est situé en bordure d’un lac et ils déjeunent sur la terrasse, caressés par les rayons du soleil. À la demande de Michel, Catherine est vêtue d’une courte jupe et d’un chemisier sous lequel ses seins sont libres, "pour la première en public" a-t-elle précisé à son amant. Après le café, Michel l’emmène faire une promenade au bord de l’eau. Main dans la main, Catherine savoure ces moments d’intense bonheur. Jamais encore, elle ne s’est sentie aussi bien ! Ils marchent un long moment puis parviennent à une petite plage. Michel lui propose de s’arrêter un peu et de profiter de la chaleur du soleil. N’ayant aucune intention de lui refuser quoique ce soit, elle accepte et se retrouve assise, les fesses entres les cuisse de son amant, lui tournant le dos. Ils regardent évoluer les cygnes puis une main de Michel se pose sur un sein et reste immobile, un doigt appuyant légèrement sur le téton. Elle ferme les yeux, s’appuie contre lui et ne tarde pas à sentir le doigt pincer doucement ce téton qui réagit très vite en durcissant et pointant fièrement. Elle laisse échapper un léger soupir et le second sein subit à son tour le même traitement. Michel la caresse ainsi quelques minutes puis elle sent son chemisier s’ouvrir. La voici la poitrine à l’air, en pleine nature. N’importe qui pourrait arriver et la voir et, bizarrement, elle s’en fiche, savourant les mains de l’homme qu’elle aime sur sa peau.
Michel apprécie également les moments qu’il est en train de vivre. La joie perceptible de Catherine, sa soif d’amour, sa beauté, jamais encore il n’a rencontré quelqu’un comme elle. Peu à peu, il abandonne la poitrine et descend sur le ventre qu’il caresse avec tout autant de tendresse. Ses mains rencontrent bientôt le tissu de la jupe et c’est Catherine qui baisse la fermeture éclair et, soulevant les fesses, s’en débarrasse. La voici maintenant uniquement vêtue de son slip, Michel lui en fait la remarque :
Michel poursuit son exploration, joue à caresser la fente par-dessus le slip. Le tissu porte les traces de l’excitation de Catherine et elle a de plus en plus de difficulté à rester calme. Ses jambes sont écartées au maximum et sa poitrine se soulève de plus en plus rapidement. Elle lève les fesses et, saisissant l’élastique, baisse le slip à ses chevilles. Désormais libre de toute entrave, elle livre sa chatte aux caresses de son amant qui en profite pour y enfoncer deux doigts et la branler vigoureusement, lui arrachant soupir sur soupir. Tout en la masturbant, Michel s’empare de ses mains et les pose sur sa poitrine :
Elle pelote sa poitrine frénétiquement, étire ses tétons, masse ses deux globes, les soupèse. Ses râles s’amplifient, sans aucune pudeur, elle crie à Michel :
Un bruit de clapotis accompagne les va-et-vient de plus en plus rapides. De se main libre, il tourne la tête de Catherine vers lui et lui roule un patin. Puis, il lui murmure à l’oreille :
Surprise, elle tourne les yeux vers la direction indiquée. Sa stupeur est immense quand elle découvre à une vingtaine de mètres, un homme, le sexe à la main, qui se masturbe, les yeux fixés sur eux.
Michel n’a pas cessé ses caresses et le plaisir fait rapidement oublier à Catherine la présence de l’inconnu. Comme vaincue, elle ferme à nouveau les yeux et se concentre sur son plaisir. Michel comprend qu’elle accepte le voyeur et fait signe à l’homme qu’il peut se rapprocher discrètement. Ses doigts accentuent encore un peu plus leurs mouvements et le visage de Catherine se crispe sous les ondes de plaisir. L’homme est à un mètre d’eux et se caresse, les yeux rivés sur la chatte écartelée. Catherine pousse un nouveau cri et est terrassée par un orgasme d’une rare violence. Ses doigts s’accrochent aux cuisses de Michel, son ventre se tend et sa liqueur coule en quantité sur les doigts enfoncés dans son sexe. Elle met un long moment à reprendre ses esprits et Michel, voyant que son orgasme se calme, reprend ses va-et-vient. Catherine le supplie de cesser mais il ne l’écoute pas et rapidement, ses râles indiquent aux deux hommes que le plaisir a laissé la place à la raison. Les yeux clos depuis un moment, Catherine n’a pas vu se rapprocher l’homme. Ainsi, lorsque Michel lui prend à nouveau la main, la dirige t-elle vers sa poitrine. Surprise, elle sent sous ses doigts un sexe tendu et a un brusque mouvement de recul.
Est-ce les deux verres de vin à table, l’amour qu’elle ressent pour Michel ou l’étrangeté de la situation ? Toujours est-il que lentement ses doigts se referment sur la verge inconnue et entament une masturbation en règle. L’homme, heureux de la tournure des évènements, demande d’un signe à Michel s’il peut caresser la poitrine de Catherine. La réponse tient en un sourire et les deux mains empaument chacune un sein qu’elle malaxent avec vigueur.
Michel, qui commence à se sentir à l’étroit dans son pantalon, décide de varier un peu les positions. Il se lève, ôte ses vêtements, se rassied et installe Catherine, sur lui, face à face. Son sexe trouve facilement l’entrée du vagin dans lequel il s’enfonce lentement. L’homme reprend ses caresses sur la poitrine, le sexe raide à quelques centimètres des visages des deux amants. Elle le reprend, continue sa masturbation puis l’approche de ses lèvres et y dépose de légers baisers avant de l’engloutir, tirant un long gémissement à l’inconnu qui reprend ses caresses sur la poitrine offerte. Michel, lui, continue de pistonner le sexe de sa maîtresse et sent bientôt une vague de plaisir le submerger. Il sort du vagin et ses jets arrosent autant le ventre de Catherine que celui de l’homme qui, loin de s’en offusquer, y passe les doigts, récoltant le sperme, puis les porte à sa bouche et les lèche. À son tour, il sent qu’il va jouir et prévient Catherine. Elle sort le membre de sa bouche et le masturbe rapidement, le bout dirigé vers sa poitrine qui est alors aspergée par le sperme de l’homme.
N’en demandant pas tant, il se penche et lèche les deux seins avec gourmandise, les débarrassant des traces de son plaisir.
Après cet intermède, l’homme se rajuste et les quitte en les remerciant pour cette agréable expérience. Catherine se jette alors dans les bras de Michel et se met à pleurer :
Malgré ses explications, Catherine a du mal à se ressaisir. Michel se demande alors s’il n’est pas allé un peu trop loin.
Ils s’embrassent alors tendrement puis se rhabillent et retournent vers la voiture.
Catherine, songeuse, repense à tout ce qu’elle vient de vivre en moins de deux jours : elle a perdu sa virginité, elle s’est faite prendre entre les fesses, elle s’est exhibée devant un inconnu et l’a branlé et sucé pendant qu’il la pelotait ! Pour un week-end chargé, c’est un week-end chargé ! Elle regarde Michel : les yeux fixés sur la route, il lui donne l’impression de quelqu’un de solide, sur lequel on peut s’appuyer. Elle n’a plus aucun doute sur ses sentiments pour lui et est prête à se battre, s’il le faut, contre sa famille, pour lui faire comprendre qu’il s’agit là de l’homme avec qui elle veut vivre.
La soirée du samedi et la journée du dimanche se sont passées comme celle de vendredi. Ils ont fait l’amour jusque tard dans la nuit et se sont endormis dans les bras l’un de l’autre. Lundi matin, très tôt, Michel a regagné la ferme de ses parents, non sans avoir promis une bonne dizaine de fois à Catherine de se revoir le plus tôt possible.