n° 06359 | Fiche technique | 26341 caractères | 26341Temps de lecture estimé : 16 mn | 23/05/03 |
Résumé: François et Sophie vont faire un tour en ville | ||||
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Auteur : Zwico (Tout le plaisir, tous les plaisirs) Envoi mini-message |
Épisode précédent | Série : Loisirs d'été Chapitre 03 / 03 | FIN de la série |
François et Sophie n’auront pas attendu longtemps avant de se contacter. Le soir même, ils se téléphonent et conviennent d’un rendez-vous le lendemain en ville.
En ce jour d’été, il fait beau et plutôt chaud dans cette bonne vielle ville de La Rochelle, qui grouille de touristes en ce début de mois de juillet. Et ce n’est pas place Barentin, sur le bord du vieux port, qu’il y a le moins de monde, bien au contraire. Mais l’endroit est toujours pratique pour un rendez-vous, alors c’est là qu’ils ont choisi de se retrouver.
François est arrivé le premier, vêtu d’une chemisette et d’un short, look décontracté adapté à la saison. Sophie ne tarde pas à arriver, elle porte un chemisier d’été et une petite jupe légère qui descend au-dessus du genou. Ils commencent par se faire la bise, mais réalisent immédiatement qu’ils sont déjà allés bien plus loin. La bise se transforme alors en embrassade à pleine bouche, leurs langues recommençant à se mélanger comme la veille, le sperme en moins. Déjà quand il l’avait vu arriver, François s’était douté de quelque chose, et c’est pour en être certain que sa main vient lui peloter la poitrine.
Sophie fait son ingénue.
Et joignant le geste à la parole, elle place sa main contre les parties génitales de son ami, les recueillant dans le creux de sa paume pour les caresser du plat de la main.
Elle marque une brève pause, pensive, puis elle reprend.
Ils prennent alors la direction du quartier piéton en passant sous le porche au-dessus duquel figure une grande horloge. Tout en marchant, Sophie reprend la discussion.
François est un peu troublé qu’elle lui parle si tôt des rapports bi qu’il a eu devant elle, pas plus tard qu’hier. Mais bon, il faut bien continuer la conversation.
Décidément, Sophie est très forte pour avoir raison quand elle le veut. Il n’y a rien à redire là-dessus. François doit se rendre à l’évidence qu’il va devoir y passer. Question d’habitude, depuis une semaine, il en a vu d’autres.
Ils se rendent alors aux Galeries Lafayette, qui sont à deux pas, et vont directement au rayon des produits d’hygiène pour acheter de la mousse à raser, des rasoirs et un après-rasage pour peaux sensibles. Une fois leurs emplettes faites, ils ne peuvent s’empêcher de s’arrêter dans un rayon désert pour s’embrasser à nouveau. François lui caresse les seins, Sophie lui tripotant la bite à travers le short et le slip. La curiosité est trop forte, il n’y a personne aux environs, il laisse sa main redescendre vers la jupe, remonte le tissu et va au contact du sexe de son amie. Elle a bien dit vrai, elle a le cul à l’air. Cette idée entraîne immédiatement une forte érection qui devient bien vite douloureuse étant donné sa tenue serrée. Sophie s’en est rendu compte.
Tout en se rendant aux cabines d’essayage, ils traversent le rayon des vêtements d’été. Une robe attire tout particulièrement le regard de François, et pour cause : c’est une robe d’été en tulle, tellement légère qu’elle en est quasiment transparente. Une idée qui tombe à pic lui vient à l’esprit.
Une fois rendus dans la cabine, François se jette sur Sophie et commence à lui peloter ses seins en liberté sous le tissu du chemisier. Puis sa main droite descend, passe à nouveau dessous la jupe et commence à lui parcourir les fesses, puis le sexe. Pendant ce temps là, Sophie a ouvert la braguette du short de son ami. La bite de François jaillit comme propulsée par un ressort, se redressant fièrement vers le plafond. Sans plus attendre, elle se met à le masturber. Caresse qu’il lui rend à son tour, en lui introduisant deux, puis trois doigts, dans le vagin, tout en alternant cette pénétration avec des caresses du clitoris. François est très excité et se retrouve rapidement au bord de l’éjaculation, mais il préfère se retenir.
Sophie déboutonne son chemisier, de façon suggestive, tout en se caressant les seins. Puis, quand il est ouvert, elle le laisse tomber à ses pieds en le laissant glisser le long de son corps, se laissant ainsi caresser à nouveau par le tissu. Ceci fait, elle déboutonne sa jupe et la fait glisser, à son tour, le long de ses hanches. Elle est maintenant totalement nue, à l’exception de ses escarpins. François s’est assis sur le rebord de la cabine. Sophie lui tourne alors le dos, pour ramasser ses vêtements tombés au sol, se penchant en avant pour le faire. Il se retrouve alors avec les fesses et le sexe de son amie à quelques centimètres de son visage. Sans attendre, il se penche vers elle et parcourt goulûment avec sa langue, les lèvres du sexe de son amie. Celle-ci se laisse faire, écartant les jambes pour lui faciliter le passage, et ne tarde pas à jouir, aussi silencieusement qu’elle le peut, sous l’effet de ces caresses buccales.
Une fois remise de ce petit plaisir, Sophie prend la robe à essayer et l’enfile sans plus attendre. Même si elle peut paraître sage au niveau de la coupe, puisqu’elle arrive plus bas que le genou, cette robe ne l’est pas vraiment, surtout de la façon que Sophie la porte. Elle est en effet suffisamment transparente pour que l’on puisse deviner les contours de son corps et la forme de ses seins. Quand aux aréoles, elles sont parfaitement visibles puisqu’elles sont en contact direct avec le tissu. Les tétons pointent bien et, là aussi, il n’est pas difficile de s’en rendre compte. François est surexcité par le spectacle que lui offre son amie, tellement qu’il commence à se branler sans même s’en rendre compte. Sophie ne le laisse pas seul bien longtemps, elle se jette sur ce pieu de chair tout raide et se met à le sucer avec une évidente gourmandise. Ce traitement agit rapidement sur François, d’autant plus que par l’encolure de la robe, il peut voir les seins de son amie se balancer au rythme de ses mouvements et caresser le tissu. En même pas une minute, il est au bord de la jouissance et prévient Sophie. Elle garde, malgré tout, la bite dans sa bouche jusqu’à l’éjaculation, et reçoit le foutre de son ami jusqu’au fond de sa gorge. Heureuse et comblée, mais toujours aussi perverse, elle l’embrasse sans plus attendre, la bouche pleine de sperme. Ils restent ainsi à s’embrasser amoureusement, jusqu’à ce qu’ils aient fini de se partager le jus de François. Ils ont quand même passé pas mal de temps dans la cabine et Sophie se rhabille rapidement, ce qui est facile vu le peu de vêtements qu’elle porte. Pendant ce temps, François va à la caisse pour acheter la robe qu’ils ont essayé pour lui offrir.
A peine sont ils sortis du magasin, que François, complètement obsédé par cette nouvelle robe, n’a plus qu’une idée en tête.
Ils prennent alors la direction du parc Charrayer, la main dans la main, et y arrivent cinq minutes plus tard. L’endroit est idéal, car il y a des haies assez hautes sur le bord de certaines allées, il suffit d’aller derrière l’une de celles-ci pour être tranquille. Sophie retire rapidement son chemisier et sa jupe et enfile à la place la robe sans attendre. Elle est réellement très sexy dans cette tenue provocante et presque impudique. Elle s’en inquiète quand même un peu.
Ils vont alors à la salle de sport de François, traversant ainsi à nouveau toute une partie de la ville. Sophie étant nue sous sa jupe légèrement transparente, certains passants observateurs s’en rendent facilement compte et ne peuvent s’empêcher de la suivre du regard, ne pouvant résister à ce spectacle excitant. Elle s’en rend bien compte et prend de plus en plus de plaisir à déambuler dans les rues de la ville. Le plaisir de l’exhibition la gagnant de plus en plus, sa démarche se fait plus langoureuse et elle invite François à ralentir le pas pour donner aux autres plus de temps pour la mater. Quand ils arrivent à la salle de gym, elle ne peut s’empêcher de glisser deux mots à son ami.
Joignant le geste à la parole, François passe sa main sous la robe et va tâter le sexe de son amie. Il n’a aucune difficulté à y introduire trois doigts tellement elle est humide. Ils s’arrêtent au beau milieu de l’escalier qui monte au premier étage, où est située la salle de sport, et en moins de dix allers-retours de ses doigts dans sa chatte brûlante, il la fait jouir.
Sophie prend une allure de petite fille triste et lui répond tout en souriant.
Arrivés dans la salle de sport, ils vont directement jusqu’au casier de François, qui est bien évidemment dans le vestiaire hommes, mais ils n’ont pas le choix. Heureusement, conformément à ses prévisions, il n’y a pas grand monde dans les couloirs à cette heure-ci. Il sort deux serviettes du casier et en passe une à son amie. Etant donné la légèreté de sa tenue, Sophie a le temps de se déshabiller et de nouer la serviette autour de ses seins tandis que François n’a eu que le temps de retirer son short. Quelques instants plus tard, ils sont tous les deux en serviette, lui autour de la taille, et elle autour des seins, mais il y a un petit souci et François l’a remarqué.
Les douches sont collectives, mais pas mixtes. Ils décident d’aller dans celles des hommes, elles communiquent directement avec le vestiaire. Cela choquera certainement moins les autres clients qu’il y ait une femme dans les douches des hommes plutôt que le contraire. Ils vont tout au fond, histoire d’être le moins possible dérangés par ceux qui iraient aussi prendre leur douche. Sophie se saisit de la bombe de mousse à raser dans une main et d’un rasoir dans l’autre, bien décidée à commencer.
François s’assied donc sur le bord du lavabo, les jambes écartées. Sophie fait couler de la mousse dans le creux de sa main, puis elle l’applique sur l’ensemble des parties poilues de François : le pubis, les testicules et la base du pénis. Une fois que la mousse est bien étalée, elle commence à couper les poils au rasoir. Ce n’est pas facile car ils sont assez longs, mais en repassant plusieurs fois, elle finir par mettre la peau à nu pour de bon. Pendant cela, l’excitation gagne François au fur et à mesure qu’il voit son sexe retrouver un aspect tout lisse. Sophie s’en rend immédiatement compte et commence à le branler en même temps. La bite de François grossit rapidement dans sa main, ce qui est bien plus pratique pour procéder au rasage des bourses et du phallus. Quelques minutes plus tard, l’opération est terminée. Après rinçage et séchage, François peut enfin, pour la première fois, caresser son sexe lisse. La sensation de douceur le parcourt immédiatement, son sexe se redresse encore plus. Cela n’échappe pas à Sophie, qui en profite pour lui sucer la queue et lui lécher les couilles. L’effet de ses caresses et de celles de son amie sur sa peau toute douce est telle que l’excitation monte très vite. Il jouit quelques secondes plus tard, laissant gicler plusieurs flots de sperme, dont quelques uns atterrissent dans la bouche et sur le visage de Sophie.
Derrière eux se fait entendre un applaudissement. Quelqu’un les a regardés faire. De qui s’agit il ? C’est tout simplement leur amie Catherine. Elle s’était cachée derrière la douche suivante et les observait à loisir. Elle est vêtue d’un body de sport qui la moule bien. La transpiration achevant de faire coller le tissu à sa peau, on devine sans difficulté la forme de son sexe, le body lui rentrant même quelque peu dans la fente. François ne peut cacher sa surprise.
Sophie prend alors la parole.
François répond.
Joignant le geste à la parole, Catherine prend à son tour en main la bombe de mousse à raser et un rasoir neuf. Quand à Sophie, elle s’assied sur le rebord du lavabo tout en écartant bien les cuisses, offrant ainsi à l’autre femme une vue parfaite sur son intimité.
Evidemment, il n’y a pas grand-chose à raser puisque Sophie n’avait déjà laissé que le mont de vénus, mais Catherine prend quand même bien soin d’étendre de la mousse partout, plus pour le plaisir de la caresser que par nécessité. Catherine débarrasse ensuite Sophie des derniers poils de son sexe, le rendant ainsi intégralement nu, tout comme celui de François. Après rinçage et essuyage, Sophie admire son sexe dorénavant totalement imberbe.
Et joignant le geste à la parole, Catherine se penche sur le sexe de son amie et commence à le lécher tout en le caressant de ses mains. François toujours à côté des deux femmes, est de plus en plus excité par ce spectacle. Catherine est toujours habillée, alors qu’ils sont nus tous les deux, c’est cela qui l’excite le plus. Il a bien vu le dessin de son sexe à travers le tissu moite du body. Sa main se pose sur le dos de Catherine, puis glisse vers la hanche, l’autre main se place sur une fesse. Puis sa première main passe entre les deux fesses et va à la recherche de la fente de son amie. Quand il l’a trouvée, il la caresse à travers le tissu humide. Catherine en gémit de surprise et de plaisir, l’incitant à continuer. François approfondit ses caresses et va jusqu’à pénétrer légèrement le sexe de Catherine à travers le tissu, puis il essaye de trouver le clitoris, mais c’est moins facile. Finalement, il se décide à écarter le body pour accéder directement aux parties intimes de son amie. Ne résistant plus, le sexe en érection pour de bon, il se place derrière elle et la pénètre en levrette sans plus attendre. Excitée comme elle est, sa bite rentre en elle comme dans du beurre. François commence ses allers-retours tandis que Catherine continue de gouiner Sophie.
François met à profit sa position pour caresser le corps de Catherine à travers son body, ses tétons pointent et déforment le tissu, ce qui rend les caresses encore plus érotiques. Pendant ce temps, il observe sa copine qui se fait lécher et qui semble en tirer beaucoup de plaisir. Finalement, François ne prend que quelques minutes pour atteindre la jouissance. Il retire son sexe au dernier moment et gicle tout son sperme sur le dos et les fesses de Catherine. Le body, couvert de jus, sera bon pour le lavage. Sophie se lève et va lécher la bite de son copain pour la nettoyer et récupérer ce qu’il reste du sperme et de la cyprine qui sont dessus. Puis ensuite, toujours assez excitée, elle se charge de lécher le sexe de Catherine pour la nettoyer également. Catherine retire son body pour pouvoir prendre une douche bienfaisante après toutes ces émotions. En fait, ils se mettent tous les trois dans la même douche et se savonnent les uns les autres, n’hésitant pas à se masturber et se caresser mutuellement à volonté tant ils sont encore excités tous les trois. D’ailleurs, le sexe de François n’est pas redevenu complètement mou, toujours assez gros bien que n’étant plus en érection, les deux femmes le masturbent à tour de rôle tout en se caressant mutuellement. François, quand à lui, les pénètre de ses doigts tout en leur léchant les seins.
La douche a quand même une fin et il est temps de retourner aux vestiaires. Catherine les quitte pour aller dans le vestiaire femmes, où elle a son casier. François et Sophie se rhabillent rapidement, surtout elle, puisqu’elle n’a qu’une robe à enfiler pour être vêtue. François se pose une question.
C’est à ce moment, alors que François est en train de remettre son short à même la peau, que Catherine fait irruption dans le vestiaire des hommes.
François lui répond.
François répond.
Catherine rentre chez elle, tandis que François et Sophie poursuivent leur promenade dans La Rochelle. La tenue transparente de la jeune femme ne cesse d’attirer le regard des autres hommes, mais aussi des femmes, et tout cela l’excite pas mal. François aussi est tout émoustillé, et son sexe en liberté peut maintenant se gonfler à volonté dans son short. Sophie le sait et elle le prend dans sa main dès qu’ils sont seuls et le branle à travers le tissu, tout comme lui l’a fait à Catherine dans les douches.
Alors qu’ils sont face à la mer, en train de s’embrasser à pleine bouche et de se masturber mutuellement, lui sous la jupe, elle à travers le short, François jouit une dernière fois et s’éjacule dessus à l’intérieur du short. Le tissu est imbibé de sperme, François est épuisé. Sophie reprend la masturbation que son ami a abandonné sous le coup de l’émotion et se fait jouir à son tour quelques instants plus tard. Epuisés à force de jouir, repus de sexe, ils regardent le soleil descendre sur l’océan tout en continuant à se bécoter et se caresser sans relâche.