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Temps de lecture estimé : 7 mn
19/08/03
Résumé:  Le récit que je vais vous faire, a pour but de vous démontrer, qu'il n'y a pas que les \" blondes à forte poitrine \" qui ont du succès auprès des hommes.
Critères:  fh ffh grp hplusag inconnu plage piscine voir exhib fmast massage intermast cunnilingu pénétratio fdanus attache yeuxbandés
Auteur : Sandrine  (Une fille sensuelle)      

Série : Le plaisir

Chapitre 01 / 02
Le plaisir


Je me prénomme Sandrine, et je réside dans le midi de la France.


Le récit que je vais vous faire, a pour but de vous démontrer, qu’il n’y a pas que les « blondes à forte poitrine » qui ont du succès auprès des hommes.


Moi, je suis petite et menue, un mètre cinquante et un pour quarante et un kilos, je suis brune et à peu près aussi plate que Jane Birkin.


Pourtant je peux vous garantir que cela ne pose apparemment aucun problème à mes partenaires, je dis « mes », car je ne suis pas d’une nature très fidèle, mais mes vingt deux ans y sont peut être pour quelque chose.


Je suis une adepte du naturisme, que je pratique sur les plages mais pas en camp, car même si la nudité est agréable, mon goût prononcé pour la séduction, m’attire vers des tenues vestimentaires que je qualifierais de provocantes.


J’aime le regard des hommes cherchant à voir ce qu’on leur cache, c’est bien plus excitant quand un cadeau est entouré de son emballage.



L’histoire que vais vous raconter, s’est déroulée en juin de l’année dernière, c’était les premières grosses chaleurs et la plage n’était pas encore saturée de touristes.


Je me suis rendue sur ma plage naturiste préférée, pour deux raisons, la première était de soigner mon bronzage et la seconde de compter le nombre de mecs qui devraient se tourner sur le ventre pour cacher leur érection.


Je m’installe donc à un endroit quelque peu en retrait des familles avec des enfants, par respect pour ceux ci, il y a un âge pour tout, et je retire les deux seuls vêtements que je portais, c’est à dire un micro short en jeans et mon débardeur, je précise bien micro car j’ai le bas des fesses à l’air quand je le porte.


En moins d’un quart d’heure, j’ai déjà sept hommes qui sont venus poser leur serviette à moins de quinze mètres de mon emplacement comme si de rien n’était.


Mais il y a aussi un couple avec deux enfants, ce qui m’oblige à me déplacer vers l’intérieur des dunes complètement à l’écart de la plage, chose qui ne me rassure pas forcément, car on a beau aimer le sexe, on n’est jamais à l’abri d’un détraqué.


Ils ne sont que quatre à émigrer vers ma nouvelle position et deux autres n’arrêtant pas de passer faisant semblant de se promener mais ne manquant jamais l’occasion de jeter des regards dans ma direction. Je commence à me badigeonner d’huile solaire, insistant lourdement sur mes seins et mon ventre et faisant mine d’avoir des difficultés à m’en enduire le dos, et ça marche à chaque fois, un volontaire se propose presque toujours pour m’aider.



Il s’appelait Luc, et c’est déjà gonflé d’émotion qu’il vint me proposer son aide, que j’acceptai avec ce petit sourire naïf qui les fait tous craquer. Je me mis sur le ventre, et il commença à me masser les épaules avec douceur, descendant petit à petit vers le creux de mes reins, c’était divin, de plus je sentais occasionnellement son sexe dur effleurer l’arrière de mes cuisses, je mouillais comme une folle. Il m’a demandé si cela suffisait, et je lui répondais avec un clin d’œil qu’il restait de la surface à protéger, et il reprit son massage sur mes fesses, laissant appuyer ses doigts son mon petit trou qui palpitait de bonheur.

Il m’a éjaculé dessus sans même que je le touche et a continué son massage mélangeant l’huile et le sperme sur le bas de mes fesses. Ce petit jeu n’a pas laissé mes voisins indifférents, tous au garde à vous, attirant les regards d’une dame un peu corpulente qui sans complexe leur demanda si c’était elle qui leur faisait cet effet et sans attendre leurs réponses elle est venue s’étendre au milieu de trois d’entre eux en me faisant un clin d’œil. Elle s’est carrément caressée devant eux, et là c’était moi la voyeuse qui les regardait s’éjaculer dessus, c’était irréel.



Cette dame s’appelait Monique, je le sais car elle est venue me rejoindre moi et mon masseur que je congédiais en le gratifiant d’une pelle goulue.


Nous avons discuté ensemble pendant près d’une heure, avant de partir ensemble boire un verre, j’appris ainsi qu’elle était là en vacances pour trois semaines, qu’elle avait 46 ans, et qu’elle offrait régulièrement ce genre de spectacle en y prenant un véritable plaisir.


Effectivement, je pus me rendre compte qu’elle aimait s’exhiber, car même à la terrasse du café, elle laissait outrageusement déborder ses seins de sa robe de plage et vu le lieu ça passait encore inaperçu sauf pour deux petits vieux qui ne perdaient rien du spectacle.


On discuta de choses et d’autres, de sexe bien sûr, et cela comme si on se connaissait depuis des années. Elle me proposa de dîner avec elle, et après un repas quelque peu arrosé, elle me proposa d’aller chez un de ses amis qui possède une piscine. Je ne sais toujours pas pourquoi, mais j’ai accepté, et on a fait quelques kilomètres pour arriver dans une jolie petite villa au milieu de la pinède.



Cet ami s’appelait Robert, la cinquantaine, plutôt bel homme, pas franchement surpris de voir débarquer Monique accompagnée par moi. Elle fit les présentations, ne se privant pas de faire le récit de l’épisode de l’après midi, et il se contenta de dire, qu’un regard comme le mien ne pouvait qu’éveiller la gourmandise, alors que j’attendais quelques remarques plus salaces, et cela me plut aussitôt. Monique me dit :



On alla piquer une tête dans la piscine, dans le plus simple appareil, et c’est là qu’il commença à caresser Monique, qui s’était assise les cuisses grandes ouvertes sur un fauteuil gonflable, il la léchait avec une telle délicatesse et une telle gourmandise que je ne pouvais détacher mes yeux de ce spectacle, moi l’allumeuse, je me retrouvais dans la situation des mecs que je faisais bander quelques heures plus tôt. J’avais le feu au ventre, et sans même m’en rendre compte, je me caressais la chatte contre un de ces boudins que l’on met sous les bras pour se détendre. Et je crois que j’ai joui aussi bruyamment que ma voisine, ce qui ne manqua pas de faire rire les deux amants. La soirée se termina là, et en repartant, Robert me glissa à l’oreille que je pouvais revenir demain soir si cela me disait, et que cela lui plairait beaucoup de pouvoir me faire jouir, si cela bien sur ne me faisait pas peur.



J’avais allumé, un mec de cinquante ans, que Monique avait qualifié de lubrique, moi la crevette de 22 ans, dans quoi m’étais je lancé.



Le lendemain, vers 21 heures, j’étais chez lui, j’avais d’ailleurs eu du mal à retrouver l’endroit, tellement la maison était isolée. Après un cocktail de fruit, qu’il m’avait préparé, il me demanda si je lui laissais carte blanche pour me faire jouir, et je lui répondis qu’ici il n’y avait aucun risque de réveiller les voisins.


Il me prit dans ses bras, et m’emmena directement dans sa chambre, il pris soin tendrement de me déshabiller, ce qui fut trop rapide, vu la petite robe que je portais sans rien d’autre.


Il m’allongea sur le lit, et alla chercher une huile de massage.



J’étais nue, attachée, chez un mec encore inconnu la veille et ayant l’age de mon père, et bien au lieu d’être effrayée, je mouillais comme une folle.


Ses mains ont commencé à me parcourir le corps avec une douceur et une lenteur qui me taraudait le ventre, tout mon corps réagissait, et contrairement à mes autres amants, il faisait tout pour éviter d’exciter mes seins ou ma chatte et plus il s’en éloignait, plus je voulais qu’il s’en rapproche, c’était un vrai supplice.


Il s’arrêta quelques minutes, avant de revenir avec une autre crème qui sentait fort l’eucalyptus, il se contenta de m’en mettre sur la pointe des seins, sur mes grandes lèvres et sur les contours de mon petit trou. En moins de 2 minutes, ces trois endroits se sont mis à chauffer de façon insupportable, mes tétons étaient durs comme de la pierre, ma petite chatte palpitait toute seule et mon trou du cul semblait s’ouvrir et se refermer comme s’il était vivant.


Il ne me touchait pas et je criais de bonheur comme une hystérique, jamais mon corps n’avait réagi ainsi, j’aurais accepté les trucs les plus dégueulasses, pourvu qu’il accepte de me pénétrer pour calmer le feu que j’avais en moi. Il a repris son massage, mais là c’est moi qui l’ai supplié de me prendre. Sans se presser, il a passé un tissu humide et froid pour ôter cette crème et m’a lentement enfoncé quelque chose de froid et de dur dans le cul, j’ai eu un orgasme foudroyant( alors que je n’étais pas une franche adepte de la sodomie) et il a pesé sur mon corps pour enfin rentrer lentement son sexe dans le mien. J’ai eu l’impression que nos deux corps ne faisait plus qu’un, et quand il a commencé de profonds va-et-vient, j’ai pleuré de bonheur, je dis bien pleuré, comme si mon corps se relâchait pendant cette étreinte.


Jamais un mec ne m’avait donné autant de plaisir, moi qui pratique souvent le sexe comme un jeu que je dirige( préférable compte tenu du faible talent de la majorité des hommes), j’avais subi mon propre plaisir et j’en redemandais.


Et lui contre toute attente me répondit qu’il fallait savoir savourer les bonnes choses avec modération.




Et, depuis un an, tous les mois je le laisse jouer avec mon corps et bien qu’aucun sentiment amoureux ne nous attache, il est devenu une drogue dont je ne peux plus me passer.


Il est pervers, mais de mon plaisir, ce qui change tout de la définition, et chaque fois, il fait découvrir à mon corps des sensations nouvelles, que celui ci redemande jusqu’à plus soif.


Mais je vous confierai ces autres séances une autre fois si cela vous intéresse, tout en sachant que certaines ont été très hard, mais toujours dans le respect de ma personne.


Bisous à tous et à toutes.