n° 06799 | Fiche technique | 15691 caractères | 15691Temps de lecture estimé : 10 mn | 02/09/03 |
Résumé: On était donc en août, il avait prévu de me garder tout le week-end, pour que l'on puisse aussi sortir à l'extérieur. | ||||
Critères: fh fhhh douche voir exhib intermast fgode pénétratio | ||||
Auteur : Sandrine |
Épisode précédent | Série : Le plaisir Chapitre 02 / 02 | FIN de la série |
Rebonjour, vu les nombreux courriers que j’ai reçu, mon aventure vous a plu, je vais donc vous en raconter la suite, de ma relation avec Robert.
Tout d’abord, je tiens à préciser que le talent manuel de mon amant, lui vient de son métier, il est kiné, chose que j’ai appris récemment. Et ne pensez pas que je sois quelqu’un de particulièrement perverse, je n’ai effectivement pas énormément d’à priori sur le sexe, mais pour le plaisir, il faut une confiance et un respect réciproque des deux partenaires, pour aller jusqu’au bout de ses désirs et s’abandonner comme le dit si joliment Michel Fugain à « la petite mort »qu’est l’orgasme.
Robert, avec son expérience, m’a appris et expliqué qui j’étais vraiment, de mon rôle d’allumeuse forcenée que je pratiquais pour me cacher certains complexes, liés à mon physique de petite maigrichonne à la Kate Moss.
Aujourd’hui, je me sens belle, je m’assume telle que je suis, et je n’en suis que plus heureuse.
Mais trêve de blabla, ce n’est pas ce qui vous intéresse le plus je suppose, ma seconde séance avec Robert était presque similaire à la première à un point de détail près, c’est qu’un de ses amis était présent pendant la séance et mon amant tout en me faisant l’amour lui faisait des commentaires sur mon corps, ses réactions, et moi je jouissais de façon complètement impudique devant cet étranger.
Avant la troisième séance, Robert me téléphona pour savoir si je me sentais capable d’aller plus loin dans le plaisir, bien sur, il connaissait ma réponse, mais le fait de me le demander, prouvait une fois de plus le respect qu’il me portait.
On était donc en août, il avait prévu de me garder tout le week-end, pour que l’on puisse aussi sortir à l’extérieur.
Je suis donc arrivé chez lui le samedi midi, nous avons déjeuné ensemble et il m’a fait la visite complète de sa maison et particulièrement une pièce ou était rangé une multitude « d’objets à plaisir »comme il les appelle.
Il y avait de tout, des vibromasseurs de toutes formes et de toutes tailles, des menottes, et pleins d’autres petits gadgets dont je ne connaissais pas l’usage. Sa première question, a été, « tu en pense quoi? » Et ma réponse a été « j’espère que tu sais bien te servir de tout ça ».
Nous sommes ensuite partis faire les magasins, et tout y est passé, de la robe, au-dessous en passant par les chaussures, sans oublier les bijoux, et bien que messieurs vous ayez une sainte horreur de nous accompagner dans les boutiques, je peux vous garantir qu’une garde robe choisi à deux est bien plus osée que choisi seule et je ne vous parle pas de la séance d’essayage.
J’avais au retour, trois tenues complètes, une de collégienne avec des petites sandalettes des socquettes et une petite robe à fleur, une de bourgeoise avec un tailleur bleu gris des escarpins blancs et un chemisier en soie, et enfin une tenue de « salope »avec un ensemble cuir noir très court et moulant des petites bottines montantes et un ensemble de dessous en cuir clouté digne d’une maîtresse SM.
Nous sommes allés au restaurant, où j’ai ri comme un dératé, car non seulement il est cultivé, mais cerise sur le gâteau il est drôle, et je pense que tous nos voisins de table, ont jusqu’à notre départ pensé que j’étais une fille en compagnie de son père.
Quand nous sommes rentrés, aux alentour des 22 heures, il m’a demandé de choisir ma tenue, et moi de lui répondre, »en salope »,il refusa, « ça c’est une tenue de sortie », j’étais sidéré, « je vais me faire violer si je sors habillée comme ça », et lui de répondre »pourquoi pas »
Il avait le chic pour me déstabiliser, »ce soir ce sera bourgeoise qui veut s’encanailler ».
Je suis donc allé me changer au profit de cette tenue que je n’avais vraiment pas l’habitude de porter, et quand je me suis vu devant le miroir, j’avais l’air très classe, mais de dix ans de plus.
Cette fois, au lieu de m’emmener dans la chambre, on s’installa sur une chaise longue au bord de la piscine, et là je savourais le plaisir de l’effeuillage, qui fut lent et voluptueux. Il faisait glisser un par un mes vêtements, en m’embrassant dans le cou, sur les épaules, de ces baisers tendresses qui vous donne la chair de poule malgré la chaleur. Une fois nue, il m’a attaché à un petit cerisier au milieu de la pelouse, mes deux poignets accrochés aux branches et les deux chevilles fixées au sol les jambes légèrement écartées par des cordelettes et deux petits piquets de tente.
Il a sorti le jet d’eau et a commencé à m’asperger d’abord d’une fine brume mais intensifiant tranquillement la pression. C’était divin, la sensation de fraîcheur et ensuite la multitude de piques que me procurait la puissance de l’eau sur ma peau. Il n’a oublié aucune partie de mon corps, mettant la puissance du jet au maximum pour mes fesses, mes tétons et le haut de mon dos, réduisant juste un petit peu pour mon ventre mon visage et ma petite chatte. »Les fleurs pour rayonner ont toutes besoins d’être arroser »,il avait toujours cette petite phrase pour me valoriser, il a baisser l’intensité du jet pour m’en introduire le bout dans la fournaise de mon ventre et là sans me prévenir il a augmenter la pression, si je n’avais pas été attaché, je serais tombé tellement la puissance de l’orgasme m’a coupé les jambes. Il a recommencé cela une douzaine de fois, et à chaque fois j’avais l’impression d’avoir été électrocuté, j’emploi ce terme car après cette séance de jet, il est revenu avec un petit string sur lequel il à fixé un petit gadget qu’il a collé contre mon clitoris. Et là, il l’a mis en marche et s’est de toutes petites décharges électriques qu’il m’envoyait à espace régulier, et vu l’endroit ou il était appliqué je ne vous détaille pas les ravages engendrés, je criais réellement à chaque secousse et vu que j’étais toute mouillée, l’électricité faisait réagir tout l’intérieur de ma chatte. Oh ce n’était pas douloureux, mais ça contractait mon vagin et faisait durcir mon clitoris au rythme des décharges, ce qui est la réaction naturelle d’une femme pendant l’orgasme, mais là provoqué à cette cadence, c’est aussi épuisant que d’effectuer une course de vitesse.
Au bout de quelques minutes de ce traitement j’avais le cœur qui commençait à s’emballer, Robert m’enleva donc l’appareil pour que je puisse récupérer, j’étais complètement vidée et il a du me soutenir pour enlever les liens qui me retenaient au cerisier, afin que je ne m’écroule pas dans l’herbe. Il m’a étendu sur une serviette et c’est sa langue qui et venu caresser mon bouton d’amour, cette tendresse soudaine me ramolli le corps dans un bien être langoureux dont je n’aurais jamais voulu sortir. Il me fit l’amour avec lenteur, j’avais l’impression d’être sur un nuage, plus rien d’autre n’existait que nos deux corps qui s’unissaient, j’étais déconnecté de la réalité. Il a éjaculé dans mon ventre, et cela va peut être vous faire rire, mais je me suis endormi dans ses bras, alors que jusque là c’était quelque chose que critiquais beaucoup chez mes amants qui s’éteignaient après l’acte.
Je me suis réveillé à 11 heures le lendemain matin dans son lit, et c’est des simples bisous sur le front qu’il me souhaita le bonjour, je me sentais tellement bien, détendu, et quand j’ai fait ma toilette, je vis un visage rayonnant dans la glace, c’était le mien.
Cet homme par ses petits jeux savants, me faisait un bien fou, tant pour mon corps que pour ma tête, et bien qu’il n’en fis aucune demande, j’ai passé une heure entière à lui sucer le sexe, comme si cela était la meilleure sucrerie dont je me régalais. Par trois fois sa liqueur m’a envahi la bouche et je peux vous certifier que pas une goutte ne m’a échappé.
On s’est quitté tard dans l’après midi, et je lui suis promis que pour notre prochaine rencontre, c’est avec la troisième tenue qu’il devrait m’emmener sortir, et tant pis pour ce qui arrivera.
C’était donc en septembre, je voulais que cette fois là, se soit moi qui le surprenne, et bien croyez moi je me suis fait prendre à mon propre piège.
J’arrive chez lui vers les 19 heures, mais à ma grande déception, il y avait du monde chez lui, c’était 3 amis à lui qui venaient le débaucher pour assister à un match de rugby. Il a refusé leur invitation, prétextant un restaurant avec moi le soir, et il me glisse discrètement à l’oreille, ta tenue est dans la chambre.
J’y allais donc de suite, m’attendant à voir ses invités partis à mon retour, mais qu’elle ne fut ma surprise de les voir tous les 4 attablés autour d’un apéritif, je ne savais plus ou me mettre. « Ah on comprend mieux maintenant pourquoi tu ne viens pas avec nous , mais s’il n’y a que ça, venez ensemble », Robert accepta leur proposition, je pris donc la direction de la chambre en maudissant ses copains pour me changer, mais il m’interpella, « tu fais quoi ? », « je vais me changer, pourquoi ? », « tu es très bien comme ça ». J’en avais le souffle coupé, ma tenue était faite pour l’intimité, pas pour déambuler au milieu de la foule, « ne t’inquiète pas, tu as 4 gardes du corps », j’étais paniqué, nos jeux de couple, c’était une chose, mais là, sortir dans une tenue qui n’était ni plus ni moins qu’un appel au viol, ça devenait sérieux. Je me suis dégonflé, mais pour ne pas trop décevoir mon amant, je lui est dit que je mettrais cette tenue dans un sac, et que je la porterai pour lui au retour. »Non laisse là ici, tu la porteras pour nous 4 au retour », l’idée ne m’enchantait pas trop, mais je pense que j’avais échapper au pire.
Nous sommes donc partis à Toulouse voir le match, et je ne regrettais franchement pas mon choix, au vu de la foule qui était là.
Ses amis étaient finalement plutôt sympas, et même si le match ne m’a pas franchement passionné, leur compagnie était plutôt agréable, c’était des bons vivant et malgré leurs propos un peu macho, on a quand même bien rigolé.
Et c’est autour d’un méga cassoulet, que l’on poursuivi la soirée, je ne l’ai pas réalisé de suite, mais je crois que le rosé qui l’accompagnait, me saoulait à petit feu, et c’est carrément pompette que j’ai pris le chemin du retour.
Je chantais , riais à plein poumon, sans savoir vraiment pourquoi , et arrivé chez Robert, je me rappel avoir proposé le bain de minuit dans la piscine, j’avais juste oublié un petit détail, j’avais fait l’épilation totale de ma petite chatte et c’est avec une totale impudeur que je me suis retrouvé au milieu de ces 4 males dans la piscine.
La fraîcheur de l’eau m’ayant juste un peu dégrisé, je me sentais bien comme ça, et c’est le moment que choisi Robert pour me rappeler ma promesse, j’eu beaucoup moins d’hésitation pour m’exécuter,, me sentant d’avantage en confiance qu’au début de la soirée, c’était redevenu un jeu, et mon apparition tout de cuir vêtue fut salué de hourra et d’applaudissements, et c’est le sexe au garde à vous que je les vis sortir un par un de la piscine.
« On dirait que je vous plait comme ça », j’avais un peu de mal à marcher avec les talons, mais hormis cela, je me sentais la reine de la soirée et c’est vrai que de voir l’effet que je leur faisait me rendais aussi très fière.
Robert proposa aux autres de leur montrer ce dont j’étais capable, et voilà , c’était encore lui qui reprenait la main. Il connaissait le plaisir que j’ai d’être attaché, mais là, c’est sur le portail de la grille d’entrée qu’il me menotta, ayant prit soin au préalable de ne me laisser que les bottines, le porte jarretelle et les bas.
C’est un par un qu’ils sont venus me rendre hommage avec la bouche, c’était bizarre la différence avec laquelle chacun s’y prenais et la douceur de mon sexe lisse les encourageais à me farfouiller le ventre avec la langue.
J’avais mes mains derrière les barreaux de la grille et je poussais mon bassin à la rencontre de leurs caresses, et alors que je m’attendais à une étreinte, Robert est revenu avec une espèce d’œuf qu’il m’a introduit dans la chatte et qui a commencé à vibrer, il montrait aux autres comment on réglait les vibrations et chacun leur tour, ils sont venu jouer avec l’appareil pour me faire jouir. C’était divin cette sensation d’être rempli et cette vibration, comme si l’objet était vivant. J’ai eu ainsi 7 ou 8 orgasmes, ils m’ont détaché, mais m’ont laissé l’œuf dans le ventre, entre ça et les talons, j’avais une démarche de canard. Je leur ai servi le café ainsi, manquant à plusieurs reprise de m’étaler par terre et pour finir le tout, on me fit asseoir sur un petit gode posé tout droit sur une chaise, oh il n’était pas bien gros et vu la quantité de liqueur qui avait coulé de mon ventre son introduction fut très facile.
C’est plutôt quand ils ont remis les vibrations de l’œuf en route, que j’ai décollé, les deux objets vibrant l’un contre l’autre, une vague de plaisir m’a remonté tout au long de la colonne vertébrale, comme si une décharge électrique se dirigeait vers mon cerveau, et je me suis mise à beugler, j’emploi ce terme car en plus de crier, un filet de bave coulait sur mes joues, ce qui les a tous fait rire.
Cela va peut être vous surprendre, mais aucun d’entre eux, ne m’a fait l’amour, il y en a bien eu un qui a éjaculé, mais c’est par l’excitation et non pas en se masturbant.
J’ai mis moi par contre un certain temps a récupérer, et malgré l’heure tardive, ils se sont mis à jouer aux échecs, et de la même façon que Robert, malgré le spectacle que je venais de leur offrir, aucun propos scabreux ou déplacés ne fut émis à mon encontre, mais plutôt une franche rigolade et quelques remerciements.
J’ai revu en faisant les courses un de ces hommes, mais il s’est contenté de me faire la bise et de me souhaiter une bonne après midi.
Mais c’est vrai que depuis ce jour, j’ai appris qu’il valait mieux laisser les initiatives à Robert , plutôt que de m’engager vers des choses que je ne sois pas capable d’assumer.
Robert m’a raconté qu’une fois Monique l’avait défié qu’elle était capable de rentrer nue dans un vestiaire de rugby après un match, et qu’au lieu d’y prendre du plaisir, elle s’est faite violée et c’est sans parler du risque d’attraper le sida ou tout autres maladies. Il ne souhaitait pas que ce genre de déconvenue m’arrive aussi à moi, le sexe c’est du plaisir, pas de la barbarie.
PS: à tous ceux qui m’écrivent, garder une certaine correction afin que je sois pas obligé de modifier mon adresse email, et sachez que ces récits sont un cadeau que je vous fais, et en aucun cas un racolage pour faire des rencontres que je ne souhaite pas
bisous à toutes et à tous
Sandrine