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Temps de lecture estimé : 8 mn
04/09/03
Résumé:  Depuis le mois de Mars, une promotion à mon travail m'a donné beaucoup plus de responsabilité et moins de temps à la maison. Au bout de quelques semaines Béa m'a fait des reproches sur ce sujet.
Critères:  fh extracon collègues intermast fellation
Auteur : Marc

Série : Ma femme Béatrice

Chapitre 01 / 02
Ma femme Béatrice


Nous sommes maries depuis 4 ans. Béatrice a 32ans moi 37, elle a de longs cheveux châtains clairs. Ses formes pulpeuses ne laissent personnes indifférent et surtout pas moi. Béa aime le sexe et le revendique. Nous passions pas mal de notre temps libre sur le net, sur ce genre de site ou d’autres, surtout amateurs. Avec notre appareil photo numérique j’ai souvent pris Béa nue, dans des poses suggestives, se caressant avec ses doigts ou/et divers objets comme des godes. Malgré ses réticences nous en avons publiées certaines sur des sites amateurs. Depuis le mois de Mars, une promotion à mon travail m’a donné beaucoup plus de responsabilité et moins de temps à la maison. Au bout de quelques semaines Béa m’a fait des reproches sur ce sujet.



Elle était remontée, j’ai voulu la prendre dans mes bras mais elle a refusé.



Sur le moment je n’ai pas régi pensant que c’était une menace sur le coup de la colère. De plus plusieurs fois nous avions parlé de relation avec un autre couple mais Béa avait très vite décliné toute tentative dans ce sens.

J’ai essayé après cette discussion de rentrer plus tôt mais mes bonnes volontés n’ont durées que quelques jours.

Une dizaine de jours après cette altercation, il y a eu une soirée à mon travail, Béa m’a accompagnée. Elle était magnifique ce soir la dans sa robe arrivant à mi cuisses ample sous la taille, lui moulant sa poitrine généreuse , son dos nu laissant aucune ambiguïté sur le fait qu’elle ne portait pas de soutien-gorge. Notre arrivée, surtout la sienne, à été remarquée, pour ma part j’ai été accaparé par mes collègues et surtout par mes clients toute la soirée ne voyant que très peu Béa. J’ai juste remarqué qu’elle était souvent avec mon patron et qu’ils ont dansés ensemble. Nous sommes rentrés assez tard, sur le chemin du retour dans la voiture nous avons parlés.



Le reste de la route s’est fait dans le silence.

En arrivant Béa est allée se coucher de suite. Je suis resté seul dans le salon fumant cigarettes sur cigarettes ne sachant quoi penser de cette situation. Le lendemain au travail j’ai été distrait et en arrivant de déjeuner j’avais reçu ce mail de ma femme.


Mon chéri je veux juste te préciser que Jean, ton patron, s’est fait plus entreprenant que ce que je t’ai raconté hier. Voila ce qu’il s’est passé

Quand nous sommes arrivés tu n’est pas resté avec moi plus de 10 minutes. Tu m’as présenté à Jean et je ne t’ai plus revu. Lui, ton patron, s’est fait très gentleman avec moi et ne m’a plus quitté. Nous avons discuté un bon moment, il était plaisant et assez charmeur, me faisant une tonne de compliments qui m’ont, je dois dire, assez troublés. Apres quelques verres près du buffet, verres qui m’ont grisés, nous sommes allés dansés. Jean s’est fait bien plus insistant, il me collait me murmurant à l’oreille que j’étais belle, séduisante. Je sentais ses mains sur mon dos nu me caresser doucement. Il était charmant, drôle, attentionné tout ce que tu n’es plus avec moi depuis quelques semaines. Tout en dansant nous tournions et l’alcool aidant j’ai senti ma tête tourner, je lui ai dit que j’avais besoin de me rafraîchir.


  • — Ou sont les toilettes ?
  • — Venez suivez moi Béatrice.

Je l’ai suivi et me suis rafraîchi le visage aux toilettes, me penchant sur le lavabo. Jean me soutenait à mes cotés, une main sur mon épaule, l’autre autour de ma taille posée sur ma hanche. Penchée ainsi il avait une vue imprenable sur ma poitrine nue sous ma robe.


  • — Ça va mieux Béatrice ?
  • — Oui l’eau me fait du bien.

Je m’aspergeais encore le visage quand j’ai senti sa main glisser de ma hanche pour se poser sur mes fesses.


  • — Vous êtes si séduisante Béatrice.

Sa main me caressait les fesses a travers le tissu de ma robe.


  • — Jean vous croyez que cela va m’aider ?
  • — De quoi ?
  • — Votre main sur mes fesses.

Il ne m’a pas répondu et sa main a continué à me peloter les fesses. Dans le miroir je voyais son regard se poser sur mes seins puis tournant la tête se poser sur mes fesses.


  • — Vous êtes si désirable Béatrice.

Sa main se faisait plus insistante, je l’ai sentie glisser se posant sur l’arrière de mes cuisses et remontant sous ma robe.


  • — Jean non ce n’est pas bien.
  • — Allons Béa laissez vous aller. Votre corps appelle l’amour.
  • — On peut nous surprendre.

Sans un mot j’ai senti sa main remonter l’intérieur de mes cuisses pour arriver au tissu de mon string. La paume de sa main frottait mon sexe à travers le tissu de mon string, son pouce cherchant a ouvrir mes lèvres intimes. J’ai poussé un gémissement quand j’ai senti son pouce se poser sur mon bouton.


  • — Epilée..j’adore Beatrice.

(Vous aimez tous cela……)


  • — Jean on peut nous surprendre, je ne suis pas très bien encore.

Sa main a quitté mon entrecuisse, il m’a retourné vers lui et a poser son pouce curieux sur ma bouche.


  • — Regardes comme tu mouilles…

Il avait raison son pouce était baveux de mon jus. Il a forcé mes lèvres et j’ai senti son pouce dans ma bouche, pouce que j’ai léché devant lui. Il sentait mon odeur, mon excitation.


  • — Lèches le oui comme ca. Je sais que tu en meures d’envie, viens.

Il m’a pris la main et m’a amené dans un bureau au premier étage.


  • — On ne devrait pas Jean
  • — Suis moi viens

Je l’ai suivi. Une fois entrée je l’ai entendu fermer la porte à clef. J’attendais debout derrière lui, quand il s’est retourné tout près de moi ses bras m’ont enlacés. Sa main posée sur mon dos a glissée très vite sous le tissu, son autre main a déboutonné ma robe, découvrant ma poitrine. Sa main sur mes seins, ses doigts jouaient avec mon téton déjà dressé, le pinçait, tirait dessus. J’aurais voulu qu’il arrête mais je ne pouvais lui dire.


  • — J’aime tes gros seins. Me disait il

Son autre main est passée sous ma robe, ses doigts ont pris le tissu et l’ont remontés doucement. Je sentais mon string entrer dans mes chairs, séparer mes lèvres intimes.


  • — Non Jean il ne faut pas
  • — Chuttt laisses toi faire, tu vas aimer.

Sa bouche c’est posée sur la mienne, j’ai senti sa langue ouvrir mes lèvres puis chercher ma langue qu’il a aspiré, sucé. Sa main a quitté mes seins pour continuer a enlever tous mes boutons jusqu’a ce que ma robe, les pans ouverts, ne cache plus rien de mon corps. Il l’a fait glisser et ma robe a fini par terre. il m’a fait reculer, m’a fait prendre appui sur le bureau.


  • — Assis toi ma belle.

A ce moment il ne me restait que mon string. Il m’a embrassé tout en m’allongeant sur le dos au bureau, son corps ouvrant mes jambes. Ses lèvres sont descendues sur mon cou, mes épaules, se sont attardés sur mes seins, puis mon ventre pour s’arrêter sur mon sexe qu’il embrassait a pleine bouche.


  • — Tu mouilles comme une folle Béatrice, j’adore tes lèvres épilées. Ses doigts écartaient mon string et j’ai senti sa langue se poser sur mon sexe bouillonnant. J’ai de moi même levé mes fesses pour qu’il enlève ce dernier rempart déjà pris.
  • — Tu es superbe ouvre tes cuisses que je te voies bien.

Je l’ai écouté et j’ai écarté mes cuisses, mon sexe sous ses yeux. Sa tête entre mes cuisses je sentais sa langue fouineuse me lécher le minou, ses doigts m’ouvrant le sexe ruisselant, puis sa langue s’est posée sur mon clitoris qu’il a pris entre ses lèvres, qu’il a mordillé. Je m’entendais soupirer fort, gémir sous sa langue. Puis il a relevé mes jambes, posées sur ma poitrine, j’étais ouverte complètement devant ses yeux. Il m’a léchée comme un fou s’attardant sur mon clito et même parfois sur mon anus. J’ai senti deux doigts pénétrer mon sexe puis trois. Je retenais mes cris, j’ai joui là sous ses doigts, ma cyprine coulant sur mon sexe, entre mes fesses. Il m’a relevée, s’est assis et il c’est déboutonné la braguette.


  • — Viens me sucer maintenant.

Son ton se faisait dominateur, et cela ne me déplaisait pas.

Je l’ai une nouvelle fois écouté et me suis approchée et a genoux devant lui je l’ai sucé avec gourmandise. Cela n’a pas duré longtemps il a joui très vite dans ma bouche.

Je l’entendais gémir et ma parler parfois même m’insulter. J’ai avalé son sperme chaud en essayant de n’en perdre aucune goutte. Tu sais comme j’adore boire le sperme.


Je me suis rhabillée et suis passée une nouvelle fois aux toilettes pour me coiffer et me remaquiller un peu. Je suis redescendue seule, Jean m’a suivi quelques minutes après. Voila comment s’est passé ma soirée, une première pour moi mais je t’avais prévenu. Ce soir je ne serais sûrement pas là à ton retour du travail, mais ne t’inquiète pas je serais en bonne compagnie


Bises ta Béa


J’étais abasourdi, de suite j’ai téléphoné à la maison mais personne ne m’a répondu. J’y suis allé dans la minute même mais Béa n’était déjà plus la, juste un mot " a tout a l’heure mon chéri tu as de quoi manger dans le four".

j’ai passé la plus horrible nuit de ma vie, Béa n’est pas rentrée de la nuit et je ne l’ai revu que le lendemain soir……….


Une discussion s’imposait…..