n° 06844 | Fiche technique | 9530 caractères | 9530Temps de lecture estimé : 6 mn | 05/10/03 |
Résumé: Comment ma femme me trompe avec mon patron... | ||||
Critères: fh extracon cocus collègues fépilée fellation cunnilingu anulingus 69 pénétratio fdanus hdanus tutu | ||||
Auteur : Marc |
Épisode précédent | Série : Ma femme Béatrice Chapitre 02 / 02 | FIN de la série |
Suite de mon récit 6808
Je n’ai pas dormi de la nuit. Béa n’est pas rentré et j’ai passé toute la nuit à réfléchir sur la situation que je vivais. Je l’avais cherché, Béa m’avait prévenu et je n’avais rien fait pour l’en empêcher, bien au contraire. Je l’imaginais dans les bras de Jean, mon patron. Je l’imaginais dans ces toilettes le suçant avec la fougue que je lui connaissais et je pouvais, malgré la jalousie, sentir l’excitation monter en moi. J’aurais tellement voulu être là, la voir, elle, si belle, son corps parfait, sa bouche sensuelle ouverte à un autre sexe que le mien. Mais je n’étais pas présent et n’avais que ce mail comme exutoire. Le lendemain matin je suis parti, la maison silencieuse. La matinée s’est passée et c’est encore après le déjeuner qu’un mail de Béa est arrivée.
Bonjour mon chéri, as- tu passé une bonne nuit ? Pour ma part elle a été excellente. À midi, juste après t’avoir envoyé mon premier mail, Jean est arrivé à la maison. Je ne pensais pas le voir si tôt et ne portais qu’un petit tee shirt et une toute petite culotte. Il est vrai que j’étais assez gênée quand je l’ai vu, me remémorant la nuit dernière, mais il m’a vite enlevé tous remords.
Dans ses bras un bouquet de fleurs magnifiques, que tu as du voir dans la cuisine.
De suite il s’est collé à moi pour m’embrasser fougueusement. J’étais surprise mais je me suis laissé faire. Sa langue cherchait la mienne, puis la trouvant, il a commencé à la sucer délicieusement. Ses mains ne restaient pas inactives et je les sentais sur mes cuisses, remontant doucement jusqu’à se poser sur ma culotte. De suite un frisson a parcouru tout mon corps et je me suis senti complètement aller sous ses caresses. Il a regardé autour de lui et me prenant la main m’a amené sur notre canapé.
Je me suis assise, lui accroupi à côté. Il m’a fait m’allonger et m’a embrassée tendrement. Sa main s’est posée sur ma culotte, remontant mon tee- shirt. Puis écartant le tissu, j’ai senti ses doigts écarter mes grandes lèvres, puis les petites pour m’introduire un doigt curieux. Ma minette était déjà toute trempée et je m’entendais gémir sous ses doigts.
Toujours allongée, ses mains ont fait glisser mon petit string. Puis prenant mes chevilles il a remonté mes jambes, me pliant en deux, mes pieds derrière la tête, mes fesses levées, mon sexe lisse, ouvert sous ses yeux j’ai senti sa langue se poser sur mon sexe. Jean m’a léchée, sucée ainsi, de longues minutes. Jouant avec mon bouton, buvant ma liqueur, parfois il me parlait.
Je ne lui répondais que par des gémissements.
Il a relevé mes fesses un peu plus et j’ai senti sa langue se poser sur mon anus.
J’étais un peu gênée, il n’y a que toi qui as eu droit à cette faveur mais je ne lui ai pas répondu, il a donc continué à tourner autour de mon intimité. Je sentais mon anus s’ouvrir de plus en plus sous sa langue. Quand un doigt a pénétré mon petit trou, sa langue jouant avec mon bouton je n’ai pu retenir un râle et j’ai joui une première fois.
Je sentais toujours son doigt entre mes fesses et sa langue laper la cyprine que mon sexe libérait. J’avais un peu honte de mouiller autant, je sentais ma liqueur couler entre mes fesses.
Son doigt est sorti de mes fesses et il s’est occupé de ma minette et c’est avec trois doigts qu’il a commencé. Tu sais Marc quel diamètre mon sexe peut supporter. Je sentais ses doigts me gratter l’intérieur. Il les ressortait me les faisant lécher.
Je suçais avec gourmandise ses doigts imprégnés de mon jus.
Puis à nouveau il me pénétrait avec trois puis quatre doigts, son pouce titillant mon bouton. À un moment positionnant son pouce dans sa paume c’est toute sa main que j’ai senti dans mon sexe, ses doigts fouillant mon vagin, allant presque me toucher le col. Mon corps frissonnait, c’était une jouissance que je ne pouvais contrôler et je me suis senti jouir une deuxième fois. Sa main dans mon sexe me faisait un effet jamais connu auparavant si fort, si bon…
Il s’est déshabillé et debout sur le côté du canapé devant moi m’a pressé sa tige. Je la voyais devant moi à cinq centimètres de mon visage. Allongée, avec au- dessus de moi cette queue épaisse, longue ma main la prise et l’apportée à mes lèvres. Il était dans une mauvaise position, doucement il s’est allongé sur moi, tête-bêche, son sexe maintenant dans la bouche je le pompais avec gourmandise. D’une main je lui caressais les bourses de l’autre je le branlais doucement, je la sentais, grosse, dure, me déformer les joues, et lui d’un mouvement de bassin faisait des va et viens, la faisant coulisser entre mes lèvres baveuses. Je sentais une nouvelle fois ses doigts sur mon sexe, ses mains ouvrant mes cuisses puis écartant mes fesses, mon anus offert, mouillé de mon jus, je sentais sa langue le lécher puis l’ouvrir pour y introduire un doigt.
Un deuxième doigt a suivi le premier, mon anus les aspirant tous les deux.
Son sexe toujours dans ma bouche son bassin s’est avancé.
Je n’avais jamais fait cela, te le refusant. Mais je ne sais pas pourquoi ma langue s’est posée sur son petit trou et j’ai commencé à le lécher. Son odeur musquée ne me dérangeait pas et c’est avec un grand plaisir que ma langue a joué avec son anus, mes mains écartant ses fesses, un de mes doigts c’est fait plus curieux et j’ai de suite senti que cela lui plaisait. Je l’ai alors pénétré aussi, faisant attention de ne pas le blesser avec mon ongle. Il me pénétrait toujours les fesses, ressortant de temps en temps pour y mettre sa langue. Tout en lui suçant le sexe mon doigt curieux imprimait de longs va et viens entre ses fesses. Je l’ai senti se crisper, et un long jet chaud de sperme au fond de ma gorge. Il c’est longuement vidé dans ma bouche et sur mon visage sortant son sexe de son étui buccal pour le faire parcourir dégoulinant sur mon visage. Son sperme était épais, visqueux, collant, un goût salé.
Il s’est relevé, moi aussi, ma langue léchant mes lèvres. Puis il m’a fait lécher ses doigts imprégnés de mon jus, de mon odeur et m’a embrassé avec fougue sa salive se mélangeant à ma cyprine et à son sperme, chose que tu détestes. Il m’a pris la main et m’a fait lécher mes doigts qui l’avaient pénétrés.
Je l’ai fait en le regardant droit dans les yeux. Il m’a fait me lever, je portais toujours mon tee- shirt
Il m’a suivi m’a fait mettre à quatre pattes sur notre lit et il m’a prise ainsi. Son sexe me remplissait entièrement, je le sentais cogner au fond de mon vagin. Son pouce figé dans mes fesses il m’a fait jouir sur notre lit deux fois de suite avant de se vider dans la capote qu’il m’a versée sur le corps et le visage après. Jamais tu ne m’as fait jouir comme Jean. Il est vrai que son sexe est gros et long mais sa façon de me prendre, de me parler me rendent folle. Il voulait me prendre encore une fois mais je savais qu’a 14h tu lirais mon mail et que tu viendrais à la maison. Nous sommes donc partis tous les deux avant que tu n’arrives mon chéri. Voilà, tu voulais tout savoir, tu sais presque tout parce que l’après midi et la nuit ont été encore plus folles, figure-toi qu’il m’a amenée dans sa garçonnière….. Imagine. Mais ne t’en fais pas trop je te raconterais tout ce soir à ton retour.
Pendant la lecture de ce mail, j’avais une érection comme jamais. J’étais malade de jalousie, mais aussi malade d’excitation. J’étais pressé d’être à ce soir même si je ne savais pas comment j’allais réagir et surtout lui dire……..
Suite dans le numéro 3