n° 06854 | Fiche technique | 13357 caractères | 13357Temps de lecture estimé : 9 mn | 07/10/03 |
Résumé: Une nouvelle séance de photos sans Alex, où je ne suis pas modèle | ||||
Critères: ff jeunes couleurs frousses fépilée sport essayage odeurs rasage cunnilingu fdanus ecriv_f | ||||
Auteur : Suzy Sioux |
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Je finis le topo. Il me promet de me rappeler.
Une heure après le téléphone sonne.
Je contacte Alex, lui raconte ma trouvaille et convenons d’un rendez-vous à 14 heures, le temps de récupérer la grande Isabelle. Elle m’attend en bas de chez elle. Elle est superbe, une grande liane à la peau dorée/cuivrée. Elle porte une jupe courte en strech et une chemise en coton blanc sur une brassière en lycra. Une vraie sportive. Elle monte à côté de moi dans la voiture et on se fait la bise. Je lui explique que je suis l’assistante d’Alex pour ce boulot. Je trouve les modèles, l’aide à préparer la séance et je suis chargée du maquillage.
D’un œil expert et professionnel je la détaille. Ses cuisses sont fermes et ses muscles joliment dessinés. Sa peau est magnifique lisse et brillante et sa couleur dorée tire sur le cuivre. Elle n’a presque pas de seins, mais je distingue ses pointes sous la brassière. Son visage est rond, deux beaux yeux rieurs, une bouche magnifique qui gagnerait à être maquillée. Ses cheveux sont très noirs, courts (2 ou 3 cm) et raides, bien aplatis par du gel. Elle respire la bonne santé, une fille saine.
Nous arrivons au studio, Alex nous attend. Je ne l’ai pas vue depuis 3 mois, elle est toujours aussi belle (voir Suzy aime l’art). En noir, comme d’habitude, elle porte un jean et un chemiser sous lequel se niche un joli soutien-gorge en satin, noir aussi. Je suis surprise par sa sobriété.
Très professionnelle, Alex tend la main à Isa et se présente. Elle me fait une bise très chaste, et me félicite pour ma découverte.
Nous entrons dans le studio et Alex nous explique l’esprit des photos. Elle nous montre les vêtements : justaucorps, débardeurs, shorts, cyclistes, brassières. Les maillots de bain c’est pour demain. Elle prépare ses appareils et indique un paravent derrière lequel Isa pourra se changer. Je lui explique que le maquillage se fera après qu’elle ne soit en tenue.
Pendant l’attente Alex me montre discrètement quelque unes de ses dernières photos. La vue de ces clichés provoque en moi une montée de sève. Cette fille est vraiment la reine de l’objectif. Soudain Isa entre dans le champ. Elle a passé un cycliste et une brassière. Elle est adorable. Je la fais asseoir pour la maquiller. Pas grand chose, au demeurant, un peu de poudre pour qu’elle ne brille pas, un petit trait autour de ses yeux mais un très beau rouge à lèvres.
Elle commence à poser, elle bouge, gracile, une vraie gazelle. Entre deux prises je lui passe un peu de gaz pour éponger la sueur qui coule sur sa poitrine et ses aisselles. Je ne peux m’empêcher de respirer son odeur, assez forte et parfumée … une pointe de poivre et de cannelle. Elle semble subjuguée par la voix d’Alex, les photos s’enchaînent vite.
On fait une pose pour boire un thé. Elle reste dans sa tenue, un short court et moulant et le tee-shirt coordonné.
Le ton d’Alex est sans appel.
Isa passe un nouveau justaucorps, blanc, et reprend la pose. Elle est accroupit, et porte un ballon à bout de bras au-dessus de sa tête. Cette image, à priori juvénile et sportive, me trouble. L’étoffe colle au corps de la belle métisse, la chaleur a dressé ses tétons, rendus encore plus visibles par la sueur qui commence à rendre transparent son vêtement.
«Ca ne va pas !» Alex nous montre la dernière image sur son PC. Regardez, nous dit-elle . Elle grossit la photo à hauteur de l’entrejambe d’Isa. Le pubis est très visible sous le blanc. Pis, quelques poils dépassent sur les cotés. Alex me fait un clin d’œil et se tourne vers Isabelle
Pour bien expliquer son point de vue, Alex passe ses doigts sur l’écran. On dirait qu’elle le caresse. Isa, gênée, tire sur le body pour mieux cacher sa pilosité, mais elle sait que rien n’y fera. Alex me demande «Vous qui êtes bien rasée, pouvez-vous aider mademoiselle ? ». Je souris à Isa, si tu veux, je peux arranger ça. Elle me regarde, implorante.
Je la prends par la main et la guide vers la salle de bain où je sais trouver le matériel nécessaire. Honteuse, Isa s’assied sur le rebord de la baignoire, tandis que je prépare la mousse, le rasoir et un peu d’eau tiède.
Un nuage de parfum de fille envahit la pièce. Je retrouve l’odeur que j’ai respirée en l’épongeant. Cette fois elle est plus dense, plus sensuelle. Je ferme les yeux et dilate mes narines pour mieux m’imprégner de son arôme exotique. Elle s’excuse à nouveau «Je sens un peu fort, mais entre la chaleur et … l’excitation des photos, j’ai un peu mouillé. »
Je souris.
J’apprécie avec envie ses tétons durcis par l’ambiguïté de la situation. Ses pointes sont très foncées, d’un brun presque noir, et très visibles, posées sur ses deux œufs au plat cuivrés. Elle doit faire un tout petit 85a, c’est adorable, on dirait des seins de petite fille. En revanche, son sexe est touffu, aussi foncé que ses cheveux d’un jais profond. Je pose ma main sur cette motte chaude, la caresse. Je la retire pour prendre des ciseaux afin de préparer le travail, mais je ne peux m’empêcher de respirer mes doigts. Je lui demande d’essayer le plus petit des maillots de bain afin de voir comment tailler ce buisson qui parfume l’atmosphère. Je passe les ciseaux sur les bords pour dégrossir sa toison, puis baisse ce string, que je trouve déjà bien humide. Elle a ce sourire gêné qui me plaît tant. Je me remémore l’histoire de Mikaël « C’est étrange non, cette situation me fait penser à une histoire que m’a racontée Mikaël ». À ces mots, elle s’apprête à dire quelque chose mais s’arrête.
J’étale la mousse à raser sur les cotés. L’image est saisissante, deux haies d’un blanc mousseux dessinent un triangle de broussailles sombres. Nos regards se croisent et reviennent à cette jungle odorante qui nous obsède.
Le rasoir glisse doucement, dévoilant sa peau plus claire. Je m’applique et écarte ses cuisses. Ses lèvres apparaissent enfin, sombres, gonflées et brillantes. À chaque coup de lame, elle ferme les yeux, le rythme de sa respiration s’accélère, le mien aussi d’ailleurs. À chaque coup de lame, mes doigts se rapprochent de sa fente que je frôle d’un ongle. Je la rince et passe une nouvelle couche de mousse, afin de mieux nettoyer l’intérieur de ses cuisses et d’ôter les dernières traces de pilosité sur ses babines qui m’attirent. Je l’aide à repasser le string afin de vérifier la perfection de mon travail. Mon doigt suit les coutures, que sa peau est douce. Elle ose enfin parler.
Ne pouvant résister à son sourire, je défais un à un les boutons de mon vieux 501. J’adore être nue sous mon jean, alors, elle découvre immédiatement ma vulve imberbe. Elle tend une main tremblante et m’effleure du bout des doigts.
Je me recule, dépose une noix de crème apaisante sur mes doigts et commence un lent massage de son aine. Mon massage prend un caractère de plus en plus évident, je ne peux résister à l’envie de lui donner du plaisir. Mes doigts caressent ses lèvres qui s’ouvrent lentement, ses chairs sont d’un rose qui jure avec le noir de l’extérieur, elles brillent de rosée. Ainsi offerte, elle accueille en gémissant mon index qui s’enfonce en elle. Mon doigt est rapidement bloqué par une membrane de chaire, elle est vierge. Je le retire pour le lécher en la regardant, son goût est épicé, je n’ai jamais connu un arôme si riche. Ne voulant pas forcer cet hymen si troublant, c’est ma langue qui se glisse dans sa fleur dont le parfum exhale toutes mes papilles. Je goûte ce sexe, le boit, ma langue s’agite dans cette moiteur tropicale. Elle se tord en fondant dans ma bouche. Ses ondulations sont calées sur les mouvements de ma langue qui force son con de petite fille.
Mon index a reprit sa course et s’invite entre ses deux fesses dorées, à la découverte de sa vallée obscure. Elle s’avance un peu pour faciliter mon exploration. «Viens là, je ne suis pas vierge de partout …». Elle est passée au tutoiement en acceptant que je fouille son arrière train. Sans forcer, j’entre dans son antre chaude et obscure. Un long souffle m’apprend qu’elle est habituée et apprécie cette caresse. Elle pose ses pieds sur mes épaules pour mieux s’offrir. Son cercle est souple et se laisse facilement visiter par un second doigt. Très attirée par cette odeur, je commence à aspirer son clitoris avec mes lèvres, tout en limant consciencieusement son petit trou du cul. Je devine son plaisir venir dans ma bouche, elle contracte son anus autour de mes doigts. C’est étrange et excitant de le sentir se serrer. Elle prend ses tétons entre ses doigts, les triture pour les allonger. Ses gémissements s’amplifient et son orgasme explose en un jet de cyprine qui remplit ma bouche. Elle éjacule, c’est fou. Ma bouche déborde de sa liqueur chaude et onctueuse. J’entends Alex sur le pas de la porte et me précipite pour l’embrasser. Je veux partager, avec elle, ce nectar. Alex me rend mon baiser et en buvant le jus d’Isa.
A ses yeux, je vois qu’elle est aussi troublée que moi, par ce parfum si précieux.