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Temps de lecture estimé : 15 mn
31/12/03
Résumé:  Pour suivre ses études, notre protagoniste est obligé d'aménager chez sa tante.
Critères:  h fh fplusag jeunes oncletante cousins cérébral revede voir exhib nudisme hmast fellation anulingus fdanus
Auteur : Guillaume      

Série : Mes années d'études

Chapitre 01 / 03
Ma nouvelle vie


Voilà le début de l’histoire que je vais vous raconter. Après avoir obtenu mon bac, j’ai continué mes études. J’ai été accepté à l’université de Brest, qui est à environ 600 km de chez moi. Bien évidemment il m’était impossible de faire l’aller-retour tous les jours. Heureusement ma famille est d’origine bretonne, et j’ai une tante qui habite Brest même. Elle habite avec sa fille, Marie, de 20 ans au 12ème étage d’un immeuble dans un petit coin tranquille de la ville. Elle avait divorcé depuis quelques années déjà et n’avait pas retrouvé de compagnon. C’est tout naturellement que Yvonne m’a proposé de vivre avec elle et Marie. C’est une proposition que je n’ai pas pu refuser, car si j’étais bien content de partir de chez moi, je dois bien avouer que vivre seul à 18 ans me faisait un peu peur.

La rentrée était prévue pour mi-septembre. Alors c’est début septembre que je suis venu m’installer chez elle. J’avais une certaine appréhension d’aller vivre avec elle. C’est vrai quoi, elles ont sûrement leurs habitudes, leur tranquillité, et leurs intimités. Je n’avais pas envie que ma présence change leurs manières de vivre. Ça a été la première chose que je leurs ai dit une fois que j’étais installé. Très chaleureusement, elles m’ont affirmé que j’étais ici chez moi, et que je faisais parti de la famille, donc je ne dérangerais jamais.


Je vais peut-être maintenant vous présenter un peu plus en détails Yvonne et Marie. Je vais commencer par ma tante. Yvonne, âgée de 48 ans, est infirmière dans l’un des centres hospitaliers de Brest. Elle ne mesure pas plus d’un mètre soixante, elle à de beaux yeux verts. Bien qu’il s’agisse de ma tante j’ai remarqué ses atouts féminins. Tout d’abord elle a une très jolie poitrine, et des fesses somptueuses. Elle fait beaucoup de marche à pied, c’est sans doute ce qui donne ce joli résultat. Ces autres passions sont la musique, l’art floral et sortir avec ses amies. Marie quant à elle est à peine plus grande que sa mère, de longs cheveux bouclés, des yeux marron. Sa généreuse poitrine attirait toujours mon regard, depuis que je suis en âge d’apprécier les formes féminines. Après vous avoir parlé de ses seins je vais vous parler de ses fesses. Ses sont des fesses de bretonnes, ou autrement dit des fesses plates. Et a part sortir avec ses copains je ne lui connais aucune autre occupation. Elle fait des études pour devenir professeur de physique-chimie. Bien que Marie et Yvonne soient de belles femmes, je n’ai jamais eu de pensées malsaines ou fantasmer sur l’une des deux, à l’exception de la masturbation dans le lit.


Elles m’ont installé dans la chambre d’ami qui était jusque là un bureau. Il restait encore quelques affaires, mais Yvonne m’avait dit quelles disparaîtrons bientôt. La première chose qui m’avait surpris, c’était l’absence de clés sur les portes. Mis à part la porte d’entrée aucune porte ne pouvait être verrouillée. Chez moi c’est très différent. À chaque fermeture de porte on entendait juste après le bruit de la clé dans la serrure. Ici même la salle de bain n’a pas de clé. Je me suis dit qu’à deux dans un appartement on doit savoir où est l’autre, ce qui n’est pas forcement le cas dans une famille de cinq personnes comme chez moi.

J’ai très vite trouvé mes marques après quelques jours passés chez elles. Je restais tous de même sur mes gardes lorsque je me déshabillais. Je faisais bien attention à me mettre contre la porte pour empêcher toute intrusion. Idem pour la salle de bain je faisais le tour de l’appartement pour savoir où était chacune d’entre elle, évitant ainsi des situations embarrassantes pour l’une d’elle et moi.

Marie eut la gentillesse de m’introduire dans son cercle d’ami. C’est plutôt une aubaine pour moi qui suis assez timide. Ma nouvelle vie s’annonçait bien. Je m’étais fait de nouveaux amis, les cours à la fac étaient assez faciles, et je me sentais comme chez moi chez ma tante. Et je dois bien avouer que j’ai baissé ma garde, provoquant ainsi de petits moments cocasses. Comme ce moment où je suis entré dans la chambre d’Yvonne qui était en train de se changer. C’était la première fois que je voyais ma tante en petite tenue. Bizarrement, j’ai eu la sensation d’être plus embarrassé qu’elle. Elle m’a regardé avec un air le plus naturel possible, comme si elle n’avait pas conscience de ce qu’elle portait. Cet incident n’en est qu’un parmi tant d’autre. Je ne compte plus le nombre de fois où Marie s’est levée en petite culotte et tee-shirt pour prendre son petit déjeuner. Ça semblait tellement normal que j’essayais de ne plus y prêter attention. Jusqu’au mois de mars avril ce n’était que de petits incidents, laissant entrevoir un sein, une cuisse, une culotte ou un string. Mais jamais je ne voyais cela d’un regard érotique.


Les beaux jours commençaient à revenir et ce genre d’incident arrivait de plus en plus fréquemment. Un jour j’ai vu une chose tellement ahurissante que je me croyais en train de rêver. Je quittais ma chambre pour rejoindre la cuisine, quand Marie sortit de la salle de bain, entièrement nue. Sa généreuse poitrine montait et descendait, cadencé par le rythme de sa démarche. Mes yeux se sont ensuite posés sur son sexe poilu. La vue de ce corps fut accompagné par une réaction dans le mien. Ça n’était plus ma cousine qui était devant moi, mais une femme, avec ses plus beaux avantages. En une demi seconde j’ai senti mon sexe à l’étroit dans mon caleçon et mon jeans. Puis ce corps a disparu au fond du couloir derrière une porte blanche. Je suis resté sans bouger pendant plusieurs secondes, en me repassant la scène plusieurs fois. « Elle ne m’a pas vu, et ne devait pas savoir que j’étais là » me suis-je dis. Pour signaler ma présence je fis exprès du bruit. Et c’est une Marie habillée qui est venu voir qui pouvait bien faire autant de bruit.



Là dessus je suis allé dans ma chambre, refermé la porte, et j’ai déboutonné mon jeans pour laisser sortir mon sexe qui ne demandait que ça. Je me suis allongé sur le lit, et j’ai attendu que la pression décroît. En fermant les yeux mon esprit vagabonda.


Je me voyais dans le salon avec Marie, regardant la télé comme ça arrive souvent. Je m’imaginais m’approcher d’elle et lui déposer un baiser. Elle n’aurait eu aucune réaction de rejet, bien au contraire. On se serait allonger sur ce canapé. Je me voyais déjà lui ôter son pull et son tee-shirt pour ainsi voir de très près son imposante paire de seins. Elle en aurait profité pour passer ses mains dans mon dos, sous mes vêtements, pour découvrir mon torse. Mes mains se seraient occupé de ses seins. Je les aurais caressés, pétris, léchés, j’aurais mis en bouche ses tétons comme un nouveau peut le faire. Et comme pour vérifier si je la méritais, Marie aurait glissé sa main dans mon pantalon, et aurait tenté une estimation approximative de la taille et l’épaisseur de mon membre. Elle pourrait même me chuchoter : « Hum je suis impressionnée ! . Ainsi je me serais installé entre ses jambes, et nous aurions frotté nos sexes l’un à l’autre par-dessus nos vêtements. Je me serais décider à lâcher ses seins pour descendre vers son sexe, non sans oublier de caresser la moindre partie de son corps. D’une vitesse folle, j’aurais dégagé tous les morceaux de tissus qui cassaient à mon regard son sexe de femme. Ave de petits coups de langues bien placés, et des caresses aux endroits adéquates, elle se serait laissé entraîné au septième ciel. Pour me retourner l’ascenseur, elle m’aurait fait asseoir sur le bord du sofa, et d’un coup de main expert, aurait libéré mon gourdin. Très sensuellement, en me fixant du regard et les deux mains sur mes genoux, elle aurait goutté à cet organe qui s’offrait à elle. Sa bouche chaude alternerait entre mon membre, et mes deux boules. Et c’est en fermant les yeux que je me serais laissé aller au fond de sa gorge. Marie n’aurait pas bronché, et goulûment elle avalerait toute la déferlante de spermes sortant de mon gland.

Au moment où j’allais saisir mon sexe, pour accompagner un plaisir physique au plaisir mental, une sorte d’alarme me rappela qu’il s’agissait de ma cousine. Et l’excitation est retombée presque aussitôt. J’ai rangé mon sexe et je me suis mis au boulot.


Quelques jours plus tard, Yvonne est venue me voir pour avoir une discussion avec moi. Elle avait un ton grave dans sa voix. Pendant un instant je me demandais ce que j’avais bien pu faire pour la mettre dans un état pareil. M’avait-elle surprise dans une de mes séances de masturbation devant les films érotique de la 6 ? En avait-elle assez de ma présence ? Avais-je fait une énorme connerie sans m’en rendre compte ? Toutes ces questions, et bien d’autre ont traversé mon esprit. Nous sommes allés dans la cuisine, autour d’un verre de jus d’orange pour moi et d’un café pour elle, pour discuter.



J’en étais sûr, j’avais fait quelque chose qui lui a déplu.



On aurait dit qu’elle avait insisté sur les mots « cousine et moi, ta tante » pour me rappeler qu’il s’agissait de membre de ma famille, et que le naturisme n’avait rien de sexuel.



Au fur et à mesure que la discussion avançait, je me rendais compte d’une chose. J’allais sûrement revoir Marie nue. Cette seule pensée fit affluer le sang dans mon sexe qui gonflait de plus en plus. J’en ai même omis le fait que Marie ne serait pas la seule à être nue, Yvonne aussi.

Yvonne finit sa tasse de café, et alla de sa chambre pour en ressortir une minute après. La seule différence entre son entrée et sa sortie de la chambre était sa tenue. Ou devrais-je dire son absence de tenue. À son tour ma tante m’offrait le spectacle de sa nudité. Dans un premier temps, je soutenais son regard, et dès que ses yeux ont quitté ma direction, les yeux ont immédiatement fixé sa poitrine. Elle avait une poitrine plus petite que sa fille. Sans renier le fait que ce soit une jolie femme, ma tante, elle subit, comme tout le monde, les effets de la gravité. Ses seins sont plus descendus et moins fermes, en tout cas en apparence. Avant que son regard ne revienne dans ma direction, j’ai tourné la tête. Après tout maintenant je vais avoir le temps de détailler la moindre partie des corps de ses deux femmes. C’est à ce moment là qu’un bruit de serrure se fit retentir. Marie est entrée, et à la vision de sa mère sans aucun vêtement a fait cette réflexion :



Surprise, Marie regarda dans la direction d’où provenait cette voix. Elle eut l’air soulagé quand elle s’est aperçue qu’il ne s’agissait que de moi.



Sur ces mots, les deux femmes de la maison ont gagné leur chambre respective pour vaquer à leurs occupations.

Le soir Yvonne partit travailler. Il ne restait que Marie et moi dans cet appartement. Marie était sur son lit un bouquin de maths entre les mains et un crayon dans la bouche, habillée d’un long tee-shirt et les jambes dénudées. Je n’ai pas réussi à savoir si elle portait une culotte, un string, ou alors rien du tout. J’ai entamé un début de conversation.



En laissant tomber son crayon de sa bouche et en posant son bouquin près d’elle, elle me répondit.



Au fils de cette discussion, j’ai appris que Yvonne avait découvert une petite plage, assez difficile d’accès, pendant l’une des ses longues balades, à quelques kilomètres de Brest. C’est sur cette petite plage qu’elles se rendent pour faire un bronzage intégral. Jusqu’à présent personne ne les avait surprises sur ce petit bout de sable. J’ai aussi voulu savoir comment cela se passait avec ses petits copains. Aucun n’était au courant. Marie s’arrangeait toujours pour prévenir sa mère de son arrivé avec ses petits copains ou ses amis. Elle m’a indiqué que le naturisme n’avait rien à voir avec l’exhibitionnisme et le voyeurisme. Jamais elle ne pourrait avoir un rapport sexuel avec sa mère en face d’elle. Elle ne pourrait pas non plus voir sa mère faire l’amour. À la fin de cette conversation, je suis retourné dans ma chambre pour me coucher.

En me réveillant, ce samedi matin, je me suis rendu comme d’habitude dans la cuisine prendre mon petit déjeuner. Un splendide soleil était déjà haut dans le ciel. On se serait bien cru au mois de juillet. En me rendant dans cette cuisine, j’ai aperçu la porte-fenêtre du séjour ouverte. J’ai voulu jeter un coup d’œil histoire de voir si quelqu’un se trouvait sur le balcon. À ma grande surprise, Marie et Yvonne étaient assises devant une petite table, sans vêtements sur le dos. Un parasol laissant entrer les rayons de soleil sur cette terrasse mais pas les regards indiscrets des voisins en vis-à-vis.

C’est le plus naturellement possible que je fis la bise à ces deux femmes nues. En me penchant pour les embrasser j’avais une vue imprenable sur chacun de leurs seins. Inéluctablement mon regard s’est attardé sur ces deux poitrines libres. L’érection du matin avait à peine disparue, qu’un autre vint la remplacer. À mon tour je me suis assis autour de cette table pour profiter du soleil. La discussion qui a suivi fut l’une des plus dure à tenir de toute ma vie. Lorsque je m’adressais à l’une d’entre elles, je devais faire attention à la regarder dans les yeux. Bien que mon sexe, comprimé dans mon caleçon et mon jeans, m’ordonnait de baisser le regard de quelques centimètres. Pour occuper mon esprit et mon regard, je me suis préparé un petit déjeuné. Le petit déjeuné terminé, Yvonne ramassa tous les plats, verres, et tasses dans un plateau. Quand elle s’est levée, son sexe était à hauteur de la table. Pour la première fois je voyais son sexe. Je suis resté bloqué sur cette touffe de poils. J’ai eu le temps de réaliser qu’elle s’était épilée le maillot, et avait désépaissi ce qui aurait été une véritable forêt noire. Elle s’est retournée pour se rendre à la cuisine, offrant à Marie et moi le spectacle de ses fesses rebondies. Je les ai regardées s’éloigner avec une irrésistible envie de les caresser. Ses fesses se balançaient de droite à gauche, de haut en bas avec tellement de grâce et de beauté.



Avais-je été pris sur en flat grand délit de voyeurisme par ma cousine ?



Elle quitta la table avec un large sourire, toute fière de sa petite blague. L’érection qui m’avait pris au début du petit déjeuner était toujours présente. Et ce n’est pas la vision des fesses de Marie qui la calma. Secrètement, je voulais essayer dès le début, la vie sans habits. Mais que faire si une érection me prend ? Comment je vais réagir ? Comment elles vont réagir ? Je vais essayer de glisser la question discrètement à Marie un de ces prochains jours. De façon à calmer mon appendice oppressant je suis allé me cacher dans ma chambre. Mais impossible de penser à autre chose. Ces deux corps de femmes persistaient dans mon esprit. Et quand je fermais les yeux, ce sont les fesses d’Yvonne, la poitrine de Marie ou bien le sexe de la première que je revoyais. Quand bien même je voulais penser à autre chose, il m’était impossible totalement le petit déjeuner de ce matin. De plus l’érection persistante m’empêchait d’oublier. Ça n’était plus possible de garder ce sexe gonflé par le sang. D’un coup rapide, je sortis mon gourdin, et commença à l’astiquer doucement. Yvonne serait la première à subir mes assauts virtuels.

Je l’aurais volontairement plaquée le torse sur la table quand elle rassemblait les plats au petit déjeuner. Ainsi ses fesses m’auraient été présentées. Yvonne, dans un soupir d’extase, m’aurait dit de ne pas oublier de lubrifier avant de la prendre. Alors je me serais mis à genoux, les mains sur les fesses, écartant chacune d’elle d’un côté. Marie ne faisait pas parti de ce fantasme, du prochain peut-être. La tête sur la table, Yvonne laisserait sortir de long soupir d’enthousiasme lorsque ma langue chaude effleurerait le haut de sa raie. Doucement je descendrais vers son petit trou. Ma langue aurait pénétré cette petite rondelle qui ne demanderait que ça. Pour préparer le passage de mon sexe démesurément grand, j’aurais passé mon majeur dans la sève dégoulinante de sa belle chatte. J’aurais même fait entrer ce doigt au plus profond de son sexe. Après plusieurs coups de langue sur, dans, et autour de son anus, et après une bonne humidification de mon doigt par la sève visqueuse produite dans l’intimité d’Yvonne, j’aurais retiré mon doigt de son minou, et j’aurais placé mon majeur à l’entrée de ses fesses. Et très doucement, mon doigt aurait doucement avancé dans cette cavité sombre. M’apercevant que mon doigt coulissait sans problème, j’aurais tenté t’introduire un second doigt. L’anus de ma tante n’étant pas suffisamment lubrifié, j’aurais laissé couler un filet de bave de ma bouche sur cet anus que je possédais par deux doigts.


Il était vrai que pendant que j’imaginais cette scène érotique, la bave dans ma bouche ne manquait pas. Je continuais à astiquer mon membre. J’allais de plus en plus vite. Je décalottais mon gland de plus en plus. C’est fermement que je serrais mon sexe pour me donner du plaisir. Ce même sexe qu’il n’allait pas tarder à pénétrer l’un des orifices d’Yvonne, du moins dans mon imaginaire.


Cette bave aurait suffit à facilité la circulation de mes deux doigts dans cet anus, de plus en plus distendu, par mes caresses. Impatience, Yvonne m’aurait demandé de la prendre maintenance. Sans attendre une seconde, je me serais levé, et aurait placé mon sexe à porté de ses fesses. Comme pour marquer son impatience de recevoir mon membre, elle aurait saisit ce monstre, et l’aurait guidé à l’entrée de son orifice que j’avais passé tant de temps à travailler. Yvonne n’aurait inséré en elle juste mon gland, et après elle m’aurait laissé imposé la cadence. Afin de ne pas trop bouger à chacun de mes coups de reins, Yvonne se serait fortement agrippée au rebord de la table. J’aurais glissé une main entre la table et sa poitrine, profitant de ses belles mamelles. Ma seconde main se serait plantée sur son sexe, une façon de la stimuler encore plus. Ses petits cris et soupirs de jouissance, m’aurait fait accélérer à l’intérieur d’elle. Elle pourrait crier « je suis à toi » ou encore « humm comble-moi de partout ». J’aurais retiré mes doigts humidifiés plantés dans son sexe, pour les porter à sa bouche. Elle les aurait sucés, avec beaucoup de sensualité, comme s’il s’agissait de mon sexe. Je sentais que j’allais venir.


La fréquence du mouvement de ma main sur mon sexe avait nettement augmenté. Dans mon imaginaire je jouissais dans les fesses de ma tante, qui ne demandait rien d’autre, et en réalité un long jet de liquide blanc sorti de mon gland pour retomber sur mon short. À cet instant précis, une certitude me vint à l’esprit. C’était trop tard. Ces femmes n’étaient plus des membres de ma famille, elles n’étaient plus ma tante et ma cousine, mais des objets de désir, des fantasmes. Le moment de plaisir solitaire que je me suis octroyé venait de formaliser ce changement de statut.