n° 07095 | Fiche technique | 28239 caractères | 28239Temps de lecture estimé : 17 mn | 09/02/04 |
Résumé: Guillaume est de plus en plus attiré par sa tante et sa cousine, et s'essaye au naturisme. | ||||
Critères: h fh fplusag jeunes oncletante cousins plage cérébral nudisme strip vidéox hmast entreseins fellation préservati pénétratio fsodo conte | ||||
Auteur : Guillaume (jh d'une vingtaine d'année aimant écrire des histoires) |
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J’ai essuyé comme j’ai pu le sperme qui est retombé sur mon short. En essuyant cette tache je me suis rendu compte qu’à tout moment quelqu’un pouvait entrer dans cette pièce, vu qu’il n’y a pas clé. Ma tante ou ma cousine aurait pu me surprendre en flat grand délit de masturbation. Heureusement personne n’était rentré. Et maintenant que j’étais soulagé, je pouvais me remettre à travailler. Très vite c’est la poitrine imposante de Marie qui revint trotter dans mon esprit. En ce moment chez moi l’esprit et le physique sont très lié. Une nouvelle érection s’est manifestée dans mon pantalon. À peine cachée, revoilà mon sexe sorti, la main le tenant, prêt à débuter une nouvelle séance de plaisir solitaire. Ces seins occupaient toute mon attention. Ils sont beaux, on dirait des melons. Même sans présence de soutien-gorge, sa poitrine reste haute, elle ne s’effondre pas contrairement à d’autres poitrines que j’ai eu l’occasion de voir, à l’instar de sa mère. Les deux tétons pointent vers l’extérieur du sein. Au milieu de ce décolleté, j’avais déjà repéré un endroit où j’aurais bien gardé au chaud mon gourdin. Et puis dans ma tête, je repris mon fantasme de tout à l’heure.
Yvonne et moi, nous aurions jouie, je me serais retiré d’elle. Alors elle serait allée se remettre de ses émotions. Moi ça aurait été allongé sur la table du balcon, que je m’en serais remis. Marie qui n’avait pas assisté à la scène précédente se serait discrètement faufilée sur le balcon. J’aurais été en train de savouré le petit moment passé en compagnie d’Yvonne. Marie aurait doucement caressé mon sexe qui n’était pas encore en forme. Puis elle aurait posé des baisers autour de mon membre, elle aurait gobé mes boules, l’une après l’autre. Ça aurait été à ce moment que je me serais aperçu qu’il s’agissait de Marie. Avec un large sourire, elle se serait occupé de mon membre jusqu’à retrouver une forme digne de ce nom. Et pour arriver à ses fins, Marie caresserait très sensuellement mon sexe quand elle lécherait mes boules, et elle caresserait mes boules quand elle sucerait mon gland. Une fois que Marie se serait aperçue que mon épée avait atteint son maximum, elle se serait rapprochée un peu, un sein dans chacun main. J’aurais senti la douceur et la chaude sensation de ses seins sur mon membre épais. Elle aurait comprimé ses seins l’un contre l’autre, faisant ainsi prisonnier mon sexe. Ses mains monteraient de haut en bas, entraînant cette généreuse poitrine qui agirait directement sur mon sexe. Mon gland se serait décalotté près de son visage, laissant apercevoir, sur mon bout rougi, une goutte blanche qui se serait écoulé du bout du gland, et aurait fini sa course entre ses seins.
J’ai continué à imaginer cette scène pendant tout le temps où je me caressais le sexe. Et au moment ou je jouissais, dans mon fantasme un jet blanc aurait été expulsé de mon gland. Ce premier jet de semence masculine aurait atterri sur la joue et le bord des lèvres de ma cousine qui aurait apprécié ça. Toutefois elle aurait continué de secouer ses seins pour vider ma pine de tout ce foutre. Le second, troisième et quatrième jets de spermes n’aurait pas eu la force de monté sur le doux visage de Marie et seraient retombés directement sur ses seins. Même si j’avais réellement joui, je finissais mon film. Ma cousine se serait redressée, et aurait étalé le sperme sur ses seins en les massant. Le passage de sa langue sur ses lèvres m’aurait permis de constater qu’elle aimait le goût de ce liquide. Elle aurait finalement disparu dans la salle de bain.
En début d’après midi, Yvonne, Marie et moi sommes partis en voiture pour nous rendre sur cette petite plage. Un quart d’heure plus tard nous nous sommes arrêtés sur un parking donnant sur une forêt. Avec les serviettes de plages nous avons emprunté un petit chemin boisé. Pendant cette marche, mon regard se fixait sur les fesses de ma tante, prisonnière dans un short moulant aux fesses, laissant distingué sous celui-ci une culotte. Après quelques minutes passées à marcher, le chemin sur lequel nous étions bifurquait. Un étroit passage donnait sur le récif, d’ici on apercevait la mer. L’autre chemin, beaucoup plus large, s’enfonçait dans les bois. Ma tante et sa fille prirent le petit chemin, par conséquent je les ai suivies. Les traces se terminaient sur un massif de rochers. Mais cela n’arrêta pas les deux femmes. Elles escaladèrent les rochers, et après quelques figures périlleuses, nous sommes tombés sur une toute petite plage. Je dirai qu’au maximum dix personnes pourraient si installer sans être les uns sur les autres. Cette plage est complètement cachée par le récif. Effectivement peu de personnes doivent connaître cet endroit, et mais s’ils le connaissent, il est très difficile d’accès.
Marie fut la première à allonger sa serviette. Elle portait une petite jupe légère, avec un débardeur dont on apercevait une partie de ses seins tellement ils sont gros. Elle enleva son débardeur, présentant sa poitrine comprimée dans un soutien-gorge de bonnet D. Puis c’est la jupe qu’elle fit tomber. Cette dernière glissa sur les cuisses, mollets et fini sa course sur les pieds de ma cousine vêtue que d’un ensemble de sous-vêtements blanc en dentelle. C’est un véritable spectacle de strip-tease auquel je participais en ce moment. Marie n’avait pas terminé son effeuillage qu’Yvonne commença le sien. Pendant que Marie libérait ses seins de cette armature de dentelles et de fils de fer, Yvonne enleva son tee-shirt. Je pense que sur mon visage on aurait pu distinguer l’expression d’un enfant face à deux énormes bonbons, les regardant l’un après l’autre, sans oser les toucher de peur qu’ils ne disparaissent. Mais la seule chose qui disparaissait sur cette plage était les vêtements sur le corps de ma tante et ma cousine. Marie venait de se débarrasser de sa culotte quand Yvonne quittait à la fois son short et sa culotte. Marie s’est allongé sur sa serviette, les seins pointant vers le ciel. Yvonne préféra rester assise pour dégrafer son soutien-gorge.
A mon tour, je commençais à me mettre à l’aise sur cette plage. Quoiqu’il en soit, je ne retirais que mon tee-shirt et mes chaussures. Il m’était impossible de retiré mon short, sans montrer aux deux femmes près de moi l’effet qu’elles me font. Malgré le soleil, un vent frais viens refroidir nos corps. Par curiosité j’avais décidé de goûter la température de l’eau. Ma démarche jusqu’à la mer fut dérangée par une érection que je tentais de dissimuler.
Le chemin jusqu’à la mer était plutôt court, je plus j’approchais de cette mer, plus un vent froid soufflait sur mon torse de jeune adulte. Lorsque je sentis l’eau froide s’écouler sur mes pieds je fus tétanisé. Un grand frisson me traversa tout le corps, faisant dégonfler mon pénis, et sortir la pointe de mes tétons. J’ai donc décidé d’aller m’allonger sur ma serviette. Il s’avéra que ça n’était pas une mauvaise idée. Caché derrière des lunettes de soleil je pouvais à ma guise mater Marie et Yvonne. Le plus intéressant à regarder était le changement de position. En effet lorsque Marie ou Yvonne se levait pour évacuer le sable de leurs draps de bain où passait de la position allongée sur le dos à la position allongée sur le ventre je focalisais sur leur sexe. Durant l’heure et demi que nous avons passé sur cette plage, je connaissais pratiquement tout de leur intimité. Bien évidemment il me restait quelques secrets à découvrir plus caché à l’intérieur.
Le temps s’est rafraîchit et les filles ont décidé de partir. Il est vrai qu’il doit faire plus vite froid quand les parties sensibles sont en contact avec ce vent frais. Nous nous sommes rhabillés avant de partir. Forcément j’ai été le plus rapide. Et voilà nous étions repartis pour escalader ces rochers et marcher dans ce bois. Nous avons repris la voiture pour rentrée.
Malheureusement nous n’étions pas les seuls à rentrée sur Brest. Nous voilà coincés dans un bouchon. J’étais à l’arrière de la voiture, et pour faire passer le temps j’ai presque machinalement passé ma main à l’intérieur de mon short pour caresser mon sexe droit comme l’obélisque de Paris depuis pas mal de temps. Pendant dix petites secondes je ne me suis pas rendu compte qu’à tout moment Marie pourrait se retourner et me voir la main dans le short. Mais il était trop tard je n’arrivais plus à m’arrêter. La discussion entre Yvonne et Marie, et l’autoradio couvraient le bruit du frottement de ma main contre le short. Pour m’exciter ce n’était pas les images qui me manquaient. Le début de mes caresses me tirait un peu sur le gland. Mais après avoir pris un certain rythme je ne ressentais plus que du plaisir. Quelques minutes plus tard je connaissais une nouvelle fois dans la journée un moment de bonheur extrême. Ma semence coula sur ma main, le bas de mon ventre et principalement à l’intérieur de mon caleçon. Je me suis essuyé ma main souillée comme j’ai pu. La chose à laquelle je n’avais pas pensé c’est que la forte odeur du sperme allait rapidement s’étendre dans un espace clos comme dans cette Citroën.
Peu de temps après mon moment de plaisir, Marie se mis à renifler comme si une odeur lui piquait le nez.
Yvonne se mit elle aussi à renifler. Marie n’avait sans doute pas assez d’expérience pour reconnaître la forte odeur du sperme. Mais pour Yvonne c’était autre chose, il s’agit d’une femme expérimentée, elle allait sûrement la reconnaître.
Marie allait de nouveau insister sur cette mystérieuse odeur, mais Yvonne la pria de changer de discussion. Je me sentais mon visage devenir e plus en plus rouge. Je craignais que Marie ne se retourne une nouvelle fois ou qu’Yvonne ne me regarde dans le rétroviseur. Et elle le fit. Nos regards se sont croisés pendant trois ou quatre secondes. Maintenant j’en étais persuader, elle savait d’où provenait cette odeur. Et c’est sans dire un mot que j’ai fini le trajet.
Ce samedi soir, Marie rejoignait son groupe d’ami en boite de nuit. Il ne restait qu’Yvonne et moi dans cet appartement. Toute la soirée j’ai tenté d’éviter Yvonne pour ne par revenir sur l’épisode de la voiture. J’étais en train de jouer sur mon ordinateur quand Yvonne vint frapper à ma porte au alentour de 22h30.
Elle est entrée et s’est assise sur mon lit. Pour venir me voir, elle avait mis un peignoir.
Une nouvelle fois mon visage virait au rouge et elle reprit.
Heureusement elle n’a pas imaginé que je me masturbais derrière son dos.
Elle me coupa.
Et une nouvelle fois j’ai agit sur un coup de tête. J’ai posé mes mains sur ma braguette et j’ai défait les boutons. J’aurais sûrement sorti mon sexe et le branler devant les yeux de ma tante si elle n’avait pas posé sa main sur les miennes, signifiant qu’elle me croyait.
Elle fit un hochement de la tête pour me prévenir qu’elle avait compris.
Elle repartit en fermant la porte.
Quelques jours plus tard je suis rentré vers minuit après avoir passé un bon moment avec des amis. Marie une nouvelle fois de sortie avec ses amis et ne devrait pas rentrer avant le petit matin. Yvonne travaillait ce soir. Je me préparais pour me coucher. J’avais donc enlevé tous mes vêtements et j’allais me glisser sous la couverture quand j’ai eu envie de me lever et me balader dans cet appartement totalement nu. Il est vrai que c’est agréable de vivre ainsi. On a un sentiment de liberté. J’ai visité toutes les pièces en tenue d’Adam. Arrivé dans la chambre de Marie, j’ai eu une envie de fouiller un peu dans cette chambre pour connaître des secrets. Mais je n’ai rien trouvé de particulier. J’ai fouillé son tiroir à sous-vêtements. Dedans était caché un journal intime. Je me suis longtemps demandé si j’allais le lire. Mais au dernier moment je m’interdis de le faire. Dans ce tiroir il y avait principalement des culottes. Des culottes en coton ou en dentelle. Peu de strings étaient présents dans ce tiroir.
Ensuite je suis allé dans la chambre d’Yvonne et j’ai effectué la même opération. J’ai fouiné un peu partout, regardé sous les pulls, les chemisiers, et également dans le tiroir à sous-vêtements. Dedans je regardais culotte par culotte. J’en ai trouvé des très sexy comme cette culotte jaune en soie ou en satin avec un petit nœud sur le devant et ces petits mots « A quoi tu penses ? ». Je l’ai prise et à l’intérieur de celle-ci j’ai frotté mon sexe en érection, et je l’ai reposée.
Après avoir traîné plus d’une heure dans l’appartement complètement nu, j’ai finalement décidé de me coucher.
Le lendemain matin, un rayon de soleil me réveilla. Nous étions dimanche 1er juin. Je me suis levé pour ouvrir complètement les rideaux afin de laisser pénétrer le soleil. Je me sentais parfaitement bien nu. À ce moment précis, j’ai décidé de ne pas agir comme d’habitude. Je ne me suis pas habillé pour sortir de ma chambre. Je souriais déjà du petit coup de théâtre que j’allais faire en débarquant dans la salle à manger ou la cuisine ainsi vêtue. Un son de discussion provenait dans la sale à manger. C’est donc vers cette pièce que je me suis dirigé. Donc tout naturellement, je me suis entré dans cette pièce, les bras levés en m’écriant « Voilà je me mets à la mode maison. ». Alors que je m’attendais à voir deux têtes se retourner, c’est quatre paires d’yeux qui m’ont fixé. Marie et Yvonne étaient sur les côtés de la table, et deux femmes d’une trentaine ou d’une quarantaine d’années étaient face à moi, les yeux à hauteur de mon sexe, exceptionnellement au repos. Moi mis à part, toutes les personnes dans cette salle à manger était habillé. Ces deux femmes ont eu l’air aussi gêné que moi, quant à Yvonne et Marie, elles tentaient de dissimuler un fou rire. Tout honteusement je retourna rapidement dans ma chambre pour ne plus en sortir.
Ce n’est qu’une heure plus tard, après le bruit de fermeture de la porte qu’Yvonne et Marie sont venues dans ma chambre. Dans la plus simple tenue, elles m’ont déposé un baiser sur la joue. Marie m’a félicité pour mon courage, et Yvonne à expliquer à Monique et Nicole, ses deux collègues de travail présentes ce matin, le pourquoi j’étais dans cette tenue.
Sans même me demander Marie à pris mon tee-shirt et me l’a enlevé. Son action m’a tellement fait rire que je me laissais faire. Yvonne s’attaqua à mon jeans, ouvrit ma braguette et baissa mon pantalon, exposant mon sexe à l’air libre. Ma tante fut un peu surprise quand elle a glissé sa main dans mon pantalon, et s’est aperçue de l’absence de sous-vêtement et que sa main était en contact avec mon sexe. Sur son visage un léger sourire s’est dessiné, sans toutefois cacher sa gêne.
Donc nous avons passé la journée totalement nus dans cet appartement. J’arrivais à dissimuler mes érections, soit sous la table, soit en me retournant …
Je dois dire que j’ai tout de même eu des érections en présence de ma tante ou ma cousine. Dans la majorité de cas, elles se rendaient compte de rien. J’ai tout de même quelques anecdotes à raconter. J’étais assis sur le fauteuil, un regard lubrique sur Marie. Yvonne essayait d’ouvrir un bocal de haricots verts. Ni arrivant pas elle est venue vers moi en me disant : « Puisque tu es en forme, Guillaume, tu peux m’ouvrir ce bocal ? ». Ou encore la fois où nous étions tous les trois en train de regarder un film. Durant une scène érotique de ce film, une érection m’est naturellement venue. J’ai senti les yeux de Marie et Yvonne se poser sur mon membre grandissant suivi de peu de temps par un éclat de rire. Je me suis joint à cet élan de bonne humeur.
La dernière semaine de juin, Marie était absente. Elle était partie à Metz à l’occasion d’un stage, dans le cadre de sa formation. J’ai donc passé une semaine en tête-à-tête avec Yvonne. Durant cette semaine je ne devais pas rentrer le mardi soir. En effet je devais passer la soirée avec une amie espérant des rapports plus profonds avec elle. Mais hélas mes plans sont tombés à l’eau. Un peu déprimé, je suis entré à l’appartement. En entrant j’ai entendu de petits soupirs que l’on entend que pendant une étreinte. Un moment je pensais qu’Yvonne regardait un film porno, mais la télé était éteinte. Les sons provenaient de sa chambre. Ensuite j’ai pensé qu’elle se masturbait.
Dans l’entrebâillement de la porte, en toute tranquillité, je pouvais observer Yvonne, les jambes écartés. Un jeune homme gigotait entre ces jambes. Cet homme devait avoir entre 25 et 35 ans maximum. Il me paraissait assez grand. De là où j’étais, je pouvais voir son sexe entrer et sortir de la chatte d’Yvonne que j’avais tant envie de prendre moi aussi. Un jour Marie m’avait confié qu’elle ne pourrait jamais regarder sa mère faire l’amour. Moi cela ne me posait aucun problème. Au contraire, je ne pouvais détourner mon regard de ces deux êtres. À travers cet homme, je réalisais mon fantasme. Sur le sol, je distinguais la tenue d’infirmière d’Yvonne. Une tenue qu’elle ne met jamais à la maison.
Donc il est inutile d’être un génie pour comprendre à quoi ils ont joué. J’ai aussi reconnu la culotte jaune dans laquelle j’avais frotté mon gland. D’une certaine façon mon sexe avait caressé le sien. L’homme entre ces cuisses prenait un malin plaisir à malaxer ses seins. Yvonne s’exprimait de plus en plus fort par de longues expirations. Sa main vint se perdre dans les fesses de son jeune amant. Il se laissait faire tout en poussant de petits cris. Je n’avais qu’une seule envie prendre la place de cet intrus. À cet instant précis je détestais ce type. C’est moi qui fantasmais sur cette femme, c’est moi qui me branle pratiquement tous les soirs en rêvant de posséder sa chatte, son petit trou ou sa bouche.
Après quelques coups de reins de plus en plus rapide et d’éclat de bonheur, cet inconnu ralentissait les pénétrations dans ma tante jusqu’à s’arrêter totalement. Le salaud ! Il venait de jouir dans ma tante. Et vu la tête rouge de cette dernière elle a aimé ça. L’homme est resté immobile dans Yvonne pendant quelques secondes sans bouger. Les deux avaient l’air de savourer ce petit moment de plaisir. Puis ce salaud s’est désaccouplé de mon fantasme dans un bruit de succion. Un claquement de caoutchouc se fit retentir dans la chambre. Un préservatif !Il avait mis un préservatif Curieusement je me sentais soulagé. Et oui ce salaud n’avait pas pollué ce joli minou par son sperme.
Mais hélas mon soulagement n’a duré qu’une poignée de secondes. Yvonne se saisit de la capote humide et pleine. Malgré le mépris que j’avais pour cet homme je dois bien avouer qu’il avait correctement rempli ce préservatif. Elle pinça le réservoir et tendit son bras au-dessus de sa tête. Elle lâcha la base de la capote et ne la tenait que par le réservoir. La base de cette dernière est tombée à quelques centimètres de la bouche de ma tante. Un torrent blanc déferla du haut vers le bas. Yvonne attendait ce torrent, bouche ouverte, et fut surprise quand la déferlante de semence toucha ses lèvres. Moi et cet illustre inconnu ont été hypnotisé par le geste d’Yvonne. L’homme n’a même pas pu s’empêcher d’exprimer sa surprise en lâchant un « Oh la cochonne ! ».
Yvonne, avec du sperme dans la bouche sur les lèvres et le mentons, eut un éclat de rire, propulsant un peu de cette semence sur sa poitrine, ses jambes et sur son amant. Cet éclat de rire fut contagieux, car l’homme a lui aussi ri aux éclats. Pour se reposer, le jeune amant s’est allongé près d’Yvonne. Elle se débarrassa du morceau de latex en le balançant à travers la pièce. Et il atterrit à quelques centimètres de moi. Je pouvais voir qu’il était vide. Elle avait tout avalé goulûment. Visiblement Yvonne n’en avait pas assez car elle partit à l’assaut de son amant. Elle l’embrassait sur le torse, ses mains se baladaient sur son corps. De là où j’étais, j’avais une vue superbe sur les fesses d’Yvonne. Elle était à genoux pour embrasser le corps de son apollon, les fesses en l’air tourné dans ma direction. Ma seule envie était d’entrée dans cette pièce, ouvrir ma braguette et avec délicatesse entrer tout mon sexe à l’intérieur d’elle. Je bouillonnais derrière ma porte. Je ne pouvais pas me soulager car cela aurait fait trop de bruit. Ma tante caressait maintenant le sexe de cet homme qui reprenait forme. Une caresse buccale accéléra la mise en forme du sexe. Tout le gourdin de cet homme disparaissait dans la bouche de ma tante.
Elle s’est finalement retirée et s’est allongée. Mais l’homme ne le voyais pas de cet œil là. Il l’a mise à quatre pattes et Yvonne se laissa faire. Yvonne ouvrit un tiroir près de son lit et en sorti un préservatif. J’avais pas pensé à fouiller ce tiroir la dernière fois. Peut être y avait-il autre chose que des capotes. L’homme se saisit du préservatif, l’ouvrit et se le déroula sur le sexe prêt à posséder ma tante par son anus. Elle prit du même tiroir un tube qui devait être du gel car l’homme s’en mis sur le préservatif et sur un doigt. Ce doigt est allé ensuite se promener autour du trou interdit de ma tante. Puis le sexe en érection s’est approcher de ce petit trou. Doucement je vis ce gros bâton disparaître dans ma tante. Au même moment Yvonne poussait de légers cris. Impossible de savoir s’il s’agissait de cris de douleurs ou de bonheur. Je ne pouvais participer à ce tête-à-tête, mais je pouvais toujours filmer cette scène. Rapidement j’ai filé dans ma chambre pour chercher mon camescope.
Quand je revins à ma place le rythme des coups de reins avait peu augmenté. J’ai allumé ma caméra et pris la scène en route. Les seins d’Yvonne se balançaient de gauche à droite cadencés par les assauts du vigoureux jeune homme. L’œil dans l’objectif de ma caméra, je distinguais mal la scène. Mais les cris d’extase d’Yvonne en disaient long sur le plaisir qu’elle prenait.
Malgré la jalousie que j’avais pour ce type, je dois bien accorder que ça doit être un bon coup. En tout cas Yvonne ne s’en plein pas. Ses mains, sur le lit, agrippaient la couverture. L’homme accéléra la cadence et la pénétration de sa verge dans le petit trou de ma tante. Que ne donnerais-je pas pour être à sa place !
Il était sur le point de jouir. Les mains fermement plaquées sur les seins de ma tante, il donnait ses derniers coups de reins avant la jouissance tant attendue. Une de ses mains est venue se planter dans le sexe détrempé d’Yvonne. Deux ou trois doigts n’ont eu aucun mal à s’insérer de cette petite fente. Je ne perdais rien du spectacle qui m’est offert. Dans un cri de bête l’homme arrêta tous mouvements. Puis repris de petit coup de rein pour se vider totalement jusqu’à la dernière goutte.
Par contre Yvonne n’a pas eu l’air d’être complètement satisfaite. Elle ne poussa pas de cris plus hauts que les précédents. L’homme s’en rendit compte, alors il se retira de son anus qui venait de lui donner tant de plaisir, allongea ma tante sur le dos, lui écarta les cuisses et plongea sa tête dans son entrecuisse.
Quel enfoiré il lui fait la totale ! Tout ce que je rêvais de lui faire, cet homme lui faisait. Plutôt que de filmer cet inconnu, j’ai préféré zoomer sur la tête de ma tante qui se régalait de ses caresses intimes. Les yeux fermés, la bouche ouverte laissant involontairement sortir des cris, la tête en arrière, il fallait être aveugle pour ne pas voir qu’elle aimait cette langue qui fouillait son sexe que je désirais tout autant que ce salaud.
Après un bon quart d’heure et des cris de plus en plus fort d’Yvonne, le jeune homme vint se blottir dans les bras de ma tante. Ils se sont embrassés une dernière fois et n’ont plus bougés. Lorsque j’ai coupé ma caméra, j’ai pu apercevoir que dans l’excitation l’homme avait du oublier de retirer sa capote. Elle était toujours sur son pénis, mais celui ci n’était plus du tout en érection.
A suivre…