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n° 07024Fiche technique48385 caractères48385
Temps de lecture estimé : 28 mn
31/01/04
Résumé:  Passé, présent tout se mélange... initiation, spécialisation, etc
Critères:  hh lingerie travesti intermast fellation hsodo init
Auteur : Domi Dupon  (Homme du bon côté de la cinquantaine)            Envoi mini-message

Série : Banale Story

Chapitre 04 / 05
Cuisses de grenouille au lycée


Bien que les premiers chapitres n’ont pas eu un accueil délirant, j’itai jusqu’au bout de mon récit. À moi de le reprendre ensuite en tenant compte des critiques mais que vous ayez aimé ou détesté, écrivez-moi pour m’expliquer… merci




PAS CHICHE 10


CUISSES DE GRENOUILLE



Ce même samedi quelques heures plus tard : Lou et moi étions attablés dans un restaurant que je lui avais indiqué. Situé à une quarantaine de bornes de Lyon, en pleine cambrousse et en bordure d’un étang de la Dombes, on y dégustait les spécialités régionales ( entre autre cuisses de grenouilles ou poulet de Bresse aux morilles. J’te raconte pas ! D’ailleurs c’est pas vraiment le but). Lou ouvrit les hostilités dès l’apéritif. Ce matin, au dej’, j’avais dû lui résumer la partie de mon récit dont le sommeil l’avait privé. Maintenant, avant même l’arrivée de l’entrée il demandait la suite.



Comprendre comment le petit Claude est devenu la charmante jeune personne que j’ai en face de moi.



La serveuse, accorte comme toutes les serveuses, venait de poser devant nous un plat de grenouilles dégageant de lourdes effluves de fritures. À faire relever un mort ! Religieusement, nous dévorâmes de concert et jusqu’à la dernière patte, arrosant ce met délicieux d’une petite roussette du Bugey pas craignos. Lou, la dernière bouchée avalée, ne me laissant aucun répit reprit :



Un carpe farcie aux épinards et aux oignons, mijotant dans son vin blanc. Pendant quelques minutes, seuls les bruits de mastications perturbèrent le silence. Nous restâmes muets… comme des carpes ( désolé, Cécilia! L’humour de Lou déteint…). L’estomac bien calé, légèrement euphorique à cause de l’absorption conséquente d’alcool, je repris mon récit :



Gavés, nous avions refusé le plateau de fromage. Attendant le dessert, Lou avait allumé un cigare. À travers la fumée, je percevais son regard brillant : j’étais sûre que je l’excitais, que si je passais la main sur sa braguette j’allais trouver un machin tout dur. Mais nous étions dans un rest’o classe …



Oups ! Bonjour le ridicule ! je sentis le rouge me monter aux joues ! Lou ricanait dans sa barbe. Perdu dans ces images surgies de mon passé, j’avais complètement oublié où nous étions aussi je n’avais pas vu la serveuse avec les assiettes de dessert ! Elle attendait pour servir. Depuis combien de temps se tenait-elle plantée là ? Elle avait sans doute entendu mes dernières phrases. Mais très professionnelle et toujours accorte, elle nous servit comme si de rien n’était.



Lou m’entraîna dans un tour d’étang –promenade digestive, paraît-il . Avec mes mignonnettes chaussures à talon haut, mon tailleur cintré, c’était génial. Les ornières, le pied ! Heureusement, le terrain était sec. Le calvaire cessa dès que Lou eut trouvé ce qu’il cherchait, à savoir, un coin retiré, à l’écart du passage Nous installâmes nos corps repu dans un creux de terrain. Lou m’enlaça. Aussitôt, je pensai que j’allais subir un assaut champêtre, ce qui n’avait rien pour me déplaire ! Fausse joie !



Crois-le si tu veux, doulce Cilia, il fut très gentil : j’eus droit à ma galanterie champêtre. Je suis rentrée chez moi comblée avec un tailleur bon pour le pressing.




PAS CHICHE 11


AU LYCEE



Enfin seule! J’avais besoin de me retrouver avec moi-même et peut-être avec toi, Cilia. Lou était sympa, de bonne compagnie. Il s’était révélé, à mon goût, bon amant bien que je n’aie pas grande expérience pour juger puisque seulement cinq hommes avaient partagé ma couche depuis que je vivais en femme. Et encore en comptant ce bellâtre à grosse queue qui m’avait surtout fait mal. Lou ne baisait pas, il m’avait fait l’amour tendrement. Le repas, du moins la discussion que nous avions eue me restait sur l’estomac. J’étais de retour dans mon passé, à l’aube de la période la plus trouble de celui-ci et ça me mettait mal à l’aise. Après une rapide douche quasiment froide, j’enfilai mon peignoir/robe de chambre/ couverture réchauffante sur mon corps nu. J’extirpai de ma cachette secrète une bouteille d’alcool de framboise. Je m’en versai une bonne lampée dans un verre à whisky et je m’affalai dans mon canapé. Chauffant l’alcool entre mes mains, je fermai les yeux et mon esprit reprit son vagabondage sur l’onde de mon passé.


J’avais interrompu mon histoire alors que je jouais avec la lingerie de ma mère. C’était la partie sans réel souci de mon adolescence. Durant ma dernière année au lycée publique, j’avais pris conscience de ma féminité et cela commençait à être visible dans certains aspects de mon comportement; aspects pour certains cultivés : je me laissais pousser les cheveux, j’étais toujours très regardant sur mes vêtements; pour d’autres inconscients, une certaine manière de me déplacer, d’agir ou encore, indépendants de ma volonté, ma peau sans la moindre trace de poil dont la texture fleurait bon la pêche et ma voix qui ne muait pas vraiment. Au lycée, je fréquentais les mêmes gens depuis plusieurs années, cela ne me posa aucun problème. Malheureusement, je me fis lamentablement étendre au bac. Je recommençai une seconde terminal, comme interne dans une institution catho ( pour des raisons inintéressantes n’ayant rien à voir avec la religion). Là, ce fut le désastre. Au mieux, ils m’appelaient La fille ou Claudine, au pire petit P.D.. Les brimades, les vexations, le harcèlement psychologique (comme on dirait aujourd’hui) étaient mon quotidien. Haine et mépris encore renforcés par l’excellence de mes résultats – ben oui, je m’étai remis(e) au boulot. Mon blindage était beaucoup moins résistant qu’aujourd’hui. Si la journée je parvenais à donner le change, mes soirées étaient pénibles. Heureusement dans cet Institut assez huppé, je bénéficiai d’une chambre/box individuelle. Heureusement, la surveillance stricte exercée dans l’établissement m’évita toute agression physique, que ce soit dans les douches, vestiaires ou autres lieux propices à ce genre d’action.


Malheureusement, je bénéficiai d’une chambre individuelle et la surveillance exercée était stricte. J’étais dans un état nerveux lamentable et il n’était pas rare que le soir, une fois seul(e) dans ma chambre, je me répande en pleurs. Il n’était pas rare non plus que, pour me réconforter, je mette ma culotte fétiche ( les bas totalement filés depuis longtemps avaient pris le chemin de la poubelle). Les vacances de Noël s’étaient achevés depuis quelques jours, j’avais retrouvé avec horreur toutes les vicissitudes de cette vie en internat. Assis(e) dans mon lit, éclairé(e) par la clarté lunaire, je pleurais à chaudes larmes, comptant les jours qui me séparaient des prochaines vacances, quand le pion me surprit. J’avais oublié la ronde. Durant la nuit, le pion de service en effectuait une toutes les deux heures. Il entra et s’approcha de mon lit. Maxime, il s’appelait Maxime. Il n’était guère plus âgé que moi. Grand, mince, très brun et très poilu avec des cheveux courts, il portait moustache et barbe extrêmement bien taillées. Je l’aimais bien car, outre qu’il me montrait une certaine sympathie et me parlait avec courtoisie, il était toujours impeccablement habillé. Alors qu’il était près de minuit, contrairement à d’autres surveillants, il portait encore une chemise blanche toute fraîche sur un pantalon de ville. Gentiment, s’asseyant au pied du lit, il m’interrogea sur la cause de mon chagrin. Je bafouillai que je m’ennuyais de mes parents, de mes sœurs. Il se pencha vers moi et, dans un geste que j’estimai rassurant, passa la main dans mes cheveux en prononçant des paroles apaisantes. Sous cette douce caresse, mes pleurs s’espacèrent, ma respiration devint plus régulière. Quand je fus calmé(e), il se leva pour s’en aller. C’est à ce moment que le hasard s’en mêla ( quoique aujourd’hui ayant perdu beaucoup de ma naïveté, je me demande si le hasard n’avait pas bon dos !) , un geste malencontreux, le drap s’envola, j’eus le corps découvert jusqu’aux genoux. Evidemment, je portais ( tu l’as deviné Cé) ma culotte à volants. Je remontai immédiatement le drap mais Maxime avait de bons yeux et de bons réflexes : il interrompit mon geste et bloqua le drap bien en dessous de ma culotte. Je me crispai, prêt(e) à éclater de nouveau en sanglots, attendant soit des paroles moqueuses, soit des remontrances. Rien de tout ça ! Il se rassit sur mon lit mais nettement plus haut. Sa main se posa sur ma cuisse en lisière de la dentelle. Ses doigts se saisirent du volant et en apprécièrent la douceur.



En se dirigeant vers la porte, il lança ces derniers mots :



Après son départ, je pleurai un bon coup ! Gentille Cé, il faudra t’y habituer, j’ai la larme facile ! J’avais peur des éventuelles conséquences, du scandale si on nous surprenait. Mais très vite, les perspectives offertes par l’intervention surprise et surprenante de Maxime me ragaillardirent. J’avais un homme à ma disposition. Un homme qui n’était pas le copain de ma sœur ! Il avait des tas de choses à m’apprendre. S’il voulait le rôle du grand méchant qui gère tout, je le lui laissais volontiers. Mon côté femelle me disait que je n’aurais pas grand peine à le manipuler vu l’affolement qu’il avait manifesté à la fin de notre « entretien ». Ce soir-là, je m’endormis, plutôt satisfait(e), en me remémorant ces dernières paroles : je reviendrai demain soir. J’y comptais bien !


Dans mon canapé, je ne m’endormais pas : revivre cet épisode m’avait troublé. Ma main s’était introduite sous ma doudoune, elle y avait rencontré un pieu bien dur dont elle ne pouvait que tester la résistance. Le malaise ayant cédé la place à une excitation perverse, je ne voulais pas me laisser aller immédiatement, je désirais poursuivre cette vicieuse évocation. Si je jouissais maintenant, elle n’aurait plus la même saveur. Heureusement, je n’étais plus l’adolescent(e) qui déchargeait au moindre contact. Mon verre réapprovisionné en framboise dans la main droite, la gauche sur mon sexe, le flattant de manière bonhomme pour entretenir son ardeur sans plus, je replongeai…


La journée du lendemain se déroula dans l’attente. L’image de Maxime dans mon box recevant mon jus sur son visage courroucé ne quitta pas mon esprit. Je dus gérer mes bandaisons quasi constantes. Par deux fois, je réclamai pour aller aux toilettes afin de pouvoir soulager ma tension. C’est dire si j’entendis peu de chose des cours ce jour-là. Plus l’heure de me retrouver dans ma chambre approchait, plus l’excitation montait. Neuf heures, l’heure où chacun, après ses ablutions du soir, regagnait ses pénates. Enfin seul(e) ! Encore deux heures, deux longues heures ! Le croisant, au réfectoire, il m’avait murmuré : - Après ma ronde de 11 heures.

Je me déshabillai. Mon obsession d’une éjaculation prématurée était telle, que je me masturbai encore une fois dans un mouchoir en papier. Entièrement nu(e), je m’allongeai sur mon lit. Et j’attendis, comme ça, immobile, sans rien faire. Les images, idées, envies qui défilaient dans mon cerveau empêchaient tout autre activité. D’ailleurs, avant que ne sonnent dix heures, je fus obligé(e) de me branler pour la quatrième fois de la journée, mes fantasmes ayant provoqué une trop forte érection. À onze heures moins cinq, Maxime pénétra dans mon box. Sa ronde avait été vite expédiée. Prudent, il utilisa son passe pour fermer ma porte à clé.


Le simple fait qu’il fut entré avait donné des couleurs à mon pénis. Il s’en aperçut.



De la poche droite de sa veste, il sortit une culotte en satin rouge, sacrément vulgaire.



D’abord, lèvres closes, je déposai de petits baisers humides sur le gland, la hampe, les couilles. Je sortis, ensuite, ma langue pointue de sa cachette; je titillai avec vivacité le gland, la hampe, les couilles. Je m’attardai longuement sur le méat tentant, sans succès, d’introduire l’extrémité de ma langue entre ces minuscules lèvres cramoisies. Cela lui plaisait car je la voyais se redresser, se gonfler fièrement. Langue aplatie, je léchai consciencieusement le gland, la hampe, les couilles. Je capturai, ensuite, le gland entre mes lèvres, j’entamai une faible succion. La bite poussa pour essayer de me pénétrer plus profondément mais je gardai mes lèvres contractées autour de cette tétine improvisée.



Mais pourquoi, il ne se tait pas cet abruti ! Quand mes index parvinrent à distendre l’anneau et à s’engager dans le conduit, la bite s’activa de plus en plus énergiquement. Elle prenait ma bouche pour un vagin. Deux mains m’agrippèrent par les cheveux, me plaquèrent contre la toison pubienne alors que la bite, gland collé à ma luette, tressautait spasmodiquement. Un liquide visqueux cogna le fond de ma gorge, il me remplit peu à peu le larynx. Je ne pouvais plus respirer. J’allais étouffer. Il fallait que je me dégage ! L’autre taré me maintenait plaqué contre son pelvis. De toutes leurs forces, mes mains repoussèrent les cuisses. Il comprit enfin et se retira. Je repris mon souffle. J’avais la bouche pleine de son foutre. Fade, mais avec un petit goût sucré, un goût de caramel ! Je le mâchai, remâchai puis l’avalai. Après, je fis, en bon(ne) élève ce que j’avais appris en espionnant ma frangine et son jules: je repris la bite en bouche pour la nettoyer, pour enlever jusqu’à la dernière goutte de foutre. Et l’autre ignare pendant que j’astiquai sa queue répétait comme une litanie.



Quand j’eus fini mon nettoyage, je me relevai. J’espérais pour le moins qu’il me rendit la pareille. Il remit de l’ordre dans sa tenue.



Cécilia, ma doulce, toi qui a du sucer beaucoup d’hommes, tu sais bien, que lorsqu’on a avalé leur semence, ils sont en notre pouvoir. C’est pourquoi avec une assurance dont je ne me serai pas cru capable, je lui rétorquai :



Tout en maugréant, après un instant d’indécision, il m’obéit. Ses mains s’insinuèrent d’entrée sous le satin, écartèrent mes globes et s’occupèrent de mon p’tit trou, entièrement vierge. À grands coups de langue, il lapait le devant de la culotte. Partant très bas entre mes cuisses entrouvertes dont elle léchait l’intérieur, elle s’arrêtait à l’élastique après avoir exploré mes bourses et mon sexe. J’avais l’impression qu’elle l’enveloppait. Dans ces conditions, malgré mes quatre éjaculations précédentes, je ne pus résister longtemps surtout qu’un doigt vint violer pour la première fois( encore une) l’intégrité de mon cul. Et pour la première fois, mon anneau se contracta de plaisir autour d’un bâton. Le satin se remplit de mon foutre. Maxime, et je dus lui reconnaître ce mérite, continua son léchage, jusqu’à ce que ma jouissance s’achève. Quand tout fut fini, je lui rendis bas et culotte en ironisant :



Le dernier coup tomba alors qu’ayant déverrouillé la porte, il s’apprêtait à sortir :



Il était arrivé conquérant, il repartait la queue entre les jambes. Hi, hi, c’est le cas de le dire !


Je remplis une troisième fois mon verre de framboise. Je le levai à cette première victoire sur cette partie de la gente masculine qui se croyait tout permis. Je le bus d’un trait. Ouvrant largement ma doudoune, je permis à ma tige de respirer. Je la masturbai longuement les yeux fermés, me remémorant cette langue large qui me léchait à travers le satin. Quand j’eus joui divinement sur mon ventre, je récoltai quelques gouttes de ce nectar sur un doigt que je portai à ma bouche. Toujours pas de goût de caramel, mais seulement un arrière goût de framboise. Ma dernière pensée, avant de m’endormir terrassée par les effets conjugués de mes débordements sexuels et alcoolisés, ma tendre Cécilia, fut pour toi : je me délectai à l’idée de te raconter comment ce gros lourdaud de Maxime m’avait fort adroitement dépucelé(e).