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n° 07240Fiche technique54597 caractères54597
Temps de lecture estimé : 32 mn
06/04/04
Résumé:  Le studio de photographe qui devait nous apporter les clichés d'une collection de sous-vêtement s'est désisté et je m'improvise mannequin pour sauver la situation.
Critères:  fhh prost travail volupté exhib photofilm facial fellation préservati pénétratio fdanus fsodo init ecriv_f
Auteur : Sandra  (Nouvelle auteur débutante)      
Une inoubliable séance photos


Je m’appel Sandra, j’ai 38 ans. Je travaille pour une agence de communication spécialisée dans la réalisation de catalogues de mode. Un boulot aux horaires un peu fous et toujours plein de rebondissements (délais réduits, informations modifiées, images à transformer etc). Le travail est toujours fait dans l’urgence et très souvent avec le system D.

J’en veux pour preuve ce fameux soir durant lequel j’ai du m’improviser mannequin.


Il est 17 heures en ce jeudi soir et nous sommes en bouclage, c’est à dire en phase de finition du catalogue. Tout est prêt pour lancer les opérations d’impression à l’exception de quatre pages consacrées à la présentation d’une nouvelle collection de sous-vêtements hommes/femmes. L’atelier de fabrication qui devait nous fournir les photos de ses différents modèles est en retard.


Vers 18 heures, monsieur D (Patrick), le patron de l’atelier en question nous téléphone pour nous informer que suite au retard qu’il a pris, le studio de photographie qui devait lui faire les prises de vues ne peu plus assurer cette prestation. Stéphane, notre commercial en charge de ce client, lui propose alors de nous apporter sa collection à l’agence avec un mannequin et de lui faire les photos avec notre appareil numérique. Patrick accepte.


Stéphane se précipite vers le resto rapide pour aller nous chercher de quoi manger car la soirée s’annonce longue. De mon côté, j’en profite pour me consacrer à mon passe temps favoris : tchatcher sur internet.

Pendant mes discutions avec des "habituels", je suis contactée par un inconnu. Il semble polit, pas agressif ni incorrect, alors je lui réponds. Rapidement notre conversation en vient au sexe. Il me parle de ses préférences sexuelles et m’interroge sur les miennes.


Si ma timidité freine généralement mes attentions, l’invisibilité et l’anonymat d’internet me libèrent au contraire de tous ces carcans de préjugés éducatifs.

Je m’autorise donc à divulguer certains de mes petits secrets, mes fantasmes et même de mes pratiques en solitaire.


Après une vingtaine de minutes, je remarque que mes bouts de seins pointent dessous mon chemisier comme s’ils voulaient s’en échapper. Une chaleur douce et progressive envahie mon ventre. L’homme me dit qu’il se masturbe tout en me répondant et me demande si je me caresse. Comme ce n’est pas le cas je lui réponds que non. En fait, même si mon jean est toujours à sa place, je dois bien avouer que ma main a glissé dans mon entre-jambe.


Je ne sais pas jusqu’où cela aurait pu aller si Stéphane n’était arrivé à cet instant…


Je ferme immédiatement le tchat avec un petit pincement au cœur (et ailleurs…) De devoir quitter comme cela mes amis et cet inconnu.

Stéphane dispose ce qu’il ait allé acheter sur une table à côté de mon bureau. À peine avons-nous entamé notre hamburger que Patrick apparaît dans le cadre de la porte.

Gentiment, il nous commande de manger tranquillement pendant qu’il déballe et installe ses affaires.


Observant les manipulations de Patrick, Stéphane lance une remarque coquine au sujet de la mise en place d’une petite culotte sur le mannequin de plastique. Patrick émet un petit rire en me regardant ce qui ne manque pas de me faire légèrement rougir. Par la force des choses, la conversation qui s’en suit reste en dessous de la ceinture. Mais l’occasion m’est donnée de défendre la gent féminine lorsque Patrick sorts de ses cartons quelques beaux spécimens de shortys, de caleçons et un string ficèle noir qui ne doit pas cacher grand chose des attributs de ces messieurs.

Une fois tout sortis et préparé, Patrick s’approche de notre table sur laquelle il pose un carton.

En sortant de sa poche un petit canif qu’il utilise aussitôt pour ouvrir le paquet, il nous dit que c’est une petite surprise en remerciement de notre dévouement. Stéphane et moi découvrons alors six bouteilles de champagne bien calées dans la paille. Patrick demande à Stéphane d’aller chercher des verres et débouche l’une des bouteilles.

Malgré un mariage de très mauvais goût que forme les frites et le champagne, nous délaissons cruellement notre verre de soda pour ce délicat breuvage.


Il est 19 heures 30, j’avale ma dernière cuillère de cette minuscule glace (hé oui je suis gourmande) et file chercher l’appareil numérique. Après avoir vérifié la présence de la carte de stockage, du bon chargement de la batterie, je le confie à Stéphane qui a plus l’habitude que moi de prendre des photos. Le mannequin que Patrick a apporté est en réalité un bustier, c’est à dire qu’il n’a ni tête ni jambes entières, celles-ci s’arrêtent aux genoux. Mais cela n’a pas d’importance, Patrick désir simplement prendre ses modèles en gros plan.


Les petites culottes et les soutiens-gorge défilent devant l’objectif et les verres de champagne devant notre nez, quand un problème survient. Plusieurs ensembles sont noirs ou bleu marine ou en dentelles si fine qu’ils en sont transparents. Hors, le mannequin est noir. Patrick court jusqu’à sa voiture mais revient les mains vide. Catastrophe ! Dans sa précipitation, et sachant qu’il avait un bustier dans le coffre, il n’a pas pensé à vérifier ce détail de couleur. Stéphane et moi plaçons les halogènes du bureau devant le bustier pour l’éclairer au maximum, nous décrochons du mur deux affiches afin de les placer de dos (face blanche) sur les côtés afin de refléter d’avantage la lumière mais rien y fait. Les détails de la dentelle ou les petits décors ne ressortent pas assez. Un peu abattu par tant d’efforts restés sans récompense, nous nous asseyons et noyons notre désespoir dans le champagne. J’exagère un peu, nous ne sommes pas saouls mais personnellement je sens bien que mes joues doivent être un peu rose et que je suis plutôt de bonne humeur malgré les problèmes.

Sur un ton plaisantin, Stéphane me propose de porter les ensembles. Si l’idée me porte à rire, Patrick lui semble intéressé. Mon refus semble lui tomber dessus comme une condamnation à mort.


Je propose alors, histoire de racheter mon refus de tout à l’heure, de poser les vêtements sur l’une des affiches que nous avions décrochée. Mais, posée à terre l’angle de vue n’est pas idéal. Nouvel échec et, nouveau verre de champagne. Après quelques minutes de réflexion, je me lève et demande à Stéphane de m’aider à accrocher l’affiche contre le mur mais de dos. Puis je farfouille dans mon tiroir pour en sortir des épingles. Je saisis une petite culotte, la place contre le mur et la fixe à l’aide de mes épingles. Puis je leur demande leur avis. Bien qu’il ne semble pas très convaincu, Stéphane s’approche l’appareil à la main. Malheureusement cela n’est toujours pas satisfaisant. Le fait de placer la culotte à plat contre le mur, mélange les tissus du devant et du derrière… évidemment. Pendant que Patrick insiste une nouvelle fois pour que j’enfile ses modèles, je glisse une feuille de papier dans le petit slip.


L’idée n’est pas mauvaise en soit, mais elle ne convient toujours pas. L’épaisseur du tissu maintien la feuille à distance du mur ce qui crée une ombre parasite. Bien sure je peux tenter de l’effacer en retouchant l’image par la suite, mais on ne peut pas dire que ce soit très pratique et le résultat ne sera sans doute pas très beau. De plus, le tissu n’est pas suffisamment tendu et la culotte semble toute déformée. Bref, devant cette nouvelle défaite, je m’assois dans mon fauteuil un peu désespérée. Stéphane me tend mon verre qu’il remplit une fois de plus de champagne. Je m’en saisie et le bois presque en entier tellement j’ai soif. Il faut dire qu’avec les halogènes que nous avons installé, la température est soudainement montée en flèche. Enfin je dois admettre également que le champagne doit y avoir une part de responsabilité. Je m’interroge ; combien de verre ais-je bus ? Je regarde sur la table et j’aperçois avec stupeur trois bouteilles. Pas étonnant d’avoir si chaud… En revanche je me sens pleine d’énergie, et je ne veux pas m’avouer vaincue. L’heure tourne et je peste d’être obligée de rester si tard.


C’est Stéphane cette fois qui, beaucoup plus sérieusement, me propose de jouer les mannequins. Ayant trouvé un allié, Patrick revient également à la charge et me propose de me donner la somme qu’il comptait donner au studio de photographie qui lui avait fait faux bon. À son tour Stéphane argument une fois de plus en m’assurant qu’il m’obtiendrait une faveur financière de la part de notre patron. Puis il avance un argument qui me fait rire ; se transformer lui aussi en mannequin et enfiler les modèles pour homme. Je repense alors au ridicule petit string que nous avons aperçu auparavant et rit de plus bel. Pourtant, je me surprends à penser que cela me plairait bien de voir Stéphane en string. Il est plutôt beau garçon, 1m85, environ 80 kg, blond les yeux marron, une carrure assez large bien qu’il ne soit pas très musclé. Voyant mon hésitation, Stéphane me ressert un peu de champagne et m’encourage encore. Finalement c’est Patrick qui réussit à me convaincre. Il m’offre trois modèles de mon choix si j’accepte. En y réfléchissant, je me souviens que Patrick ne souhaite photographier que les sous-vêtements et non la personne qui les porte en entier, donc on ne verra pas mon visage sur les photos. Je bois la dernière gorgée de champagne qui reste dans mon verre et… j’accepte. Mais je pose la condition sine qua non que Stéphane fasse également le mannequin, ce qu’il accepte.


Naturellement, c’est à moi de commencer. Patrick me donne un premier ensemble en satin noir et je file dans le bureau voisin et là, commencent les problèmes. Le premier est de trouver un bureau ouvert. Nous ne fabriquons pas de produits miracles ou hautement secret, nous ne détenons aucune fortune ou d’objets de grandes valeurs et pourtant, tout le monde dans cette agence prend grand soin de fermer chaque soir son bureau à clef. Le second est que retranchée dans les toilettes, que je constate que la porte ne ferme pas à clef. Pas du tout décidée à me contorsionner dans l’étroitesse d’un WC, je me résous à me changer ainsi en prenant le risque d’être surprise. Un risque pas très grand finalement puisque nous sommes les trois seules personnes présentent dans les locaux. Dernier problème enfin, et pas des moindres, c’est qu’à aucun moment nous nous sommes inquiété si la taille des modèles me correspondait. Hors, si les culottes étaient à ma taille, il n’en était pas de même pour les soutiens-gorge. Du 80B au 85C, rien ne correspondait à mon 85D. Déjà en culotte et torse nu, j’enfile sans le refermer mon chemisier et rejoins les hommes. Je demande à Patrick s’il possède des tailles plus grandes mais malheureusement non. Il tente de me rassurer en m’assurant que cela mettra plus en valeur ses modèles et que cela lui convient très bien. En fait, nous n’avons pas d’autre solution. Je retourne dans les toilettes et enfile le petit soutien-gorge. Mes seins sont compressés et gonflés mais, même si je sens bien que je ne pourrai pas le supporter toute une journée, il me paraît assez confortable.


De retour dans le bureau, le regard de Stéphane me fait comprendre que quelque chose ne va pas au niveau de la culotte. Aussitôt je baisse la tête et, dans un premier temps, je ne remarque rien. Mais je réalise très vite ce qui le choc. Je ne suis pas du genre à me faire le maillot, aussi suis-je habituer à voir des poils dépasser quelque peu de l’échancrure. Patrick s’en aperçoit également, il semble gêné, mais il ne peut tout de même pas me reprocher cette particularité de mon intimité. Stéphane s’approche de moi, il me demande de me placer dans la lumière et commence les prises de vues. Ayant l’habitude de voir de genre de photos, je prends presque instinctivement les bonnes positions. Ce n’est pas très compliqué étant donné que l’on ne voit que la culotte, mais quand même, il faut la mettre en valeur.


Après quelques essayages, et afin de gagner un peu de temps, je propose à Stéphane d’aller à son tour se changer pendant que je commence à transférer les images sur mon.

Quelques minutes plus tard il réapparaît, en shorty bordeaux et en tee-shirt.

Je lui demande pourquoi il a gardé son tee-shirt, il me répond que pour prendre en photo le bas il peut bien garder le haut. La véracité de sa répond me vexe un peu car j’espérais bien le voir torse nu. Le transfert des photos terminé je déconnecte l’appareil et m’avance devant Stéphane. Tout en cadrant la vue sur le vêtement, je ne peux pas m’empêcher de prendre un peu plus de temps que le nécessaire pour me rincer l’œil. La bosse qui déforme le tissu est de bonne taille et laisse présager des dimensions prometteuses dans d’autres circonstances…


La séance photos se poursuit à toute allure, tout comme la consommation du champagne. Après trois ou quatre ou cinq essayages je ne sais plus, la coordination entre Stéphane et moi commence à défaillir. Nous ne savons plus très bien si c’est à mon tour d’aller me changer ou au sien ou si je dois transférer ou prendre les photos.

Nous ne sommes pas saouls, mais les va-et-vient que nous faisons tous les deux dans la précipitation nous fait perdre un peu le bon sens de l’organisation.


Bref dans la confusion, arrive l’instant où, alors que je suis en train d’enfiler un tanga rouge, Stéphane entre dans les toilettes. Je tente de remonter le petit vêtement rapidement afin de dissimuler mon intimité mais le passage des genoux retarde l’ascension. Stéphane s’avance en me proposant son aide que je refuse en me retournant. Il se colle à moi et me prend dans ses bras en prenant bien soin de poser ses mains sur ma poitrine. J’essais de me dégager mais il me tien trop fort. Je lui demande de me lâcher mais il persiste et m’enserre d’avantage. Je m’immobilise alors et lui demande ce qu’il compte faire. Rien me dit-il, je voulais juste savoir si tu étais aussi douce que jolie. L’une de ses mains glisse le long de mon ventre et atteint mon entre jambes. Le contact de ces doigts intrus me fait frissonner et me paralyse un instant. Puis, reprenant mes esprits, je me saisis de son bras et l’écarte afin de me libérer. J’enfile rapidement le haut de l’ensemble et sort rapidement des toilettes.


De retour dans le bureau où nous attend Patrick, je me dirige vers mon ordi afin de vérifier si les images étaient copiées. Comme il en reste une en cours de chargement, je me ressers un verre de champagne, histoire de faire baisser l’adrénaline dont le taux était sérieusement monté lors de ces précédents attouchements. Stéphane nous rejoint dans un string qui, au vu de la déformation du tissu, ne doit pas non plus être à sa taille.


Dès la dernière image transférée, je débranche l’appareil photo et le tends à Stéphane. Me revoilà à poser devant l’objectif. Soudain je m’aperçois que dans ma fuite, je ne me ’étais pas rendu compte de l’étroitesse du soutien-gorge que j’avais enfilé. Ce petit balconnet ne couvre même pas mes auréoles et mon téton de droite est au bord du liseré. Je saisis ce dernier entre mes doigts afin de le tirer par-dessus mes seins mais il se repositionne tout aussi impunément. Je tente de nouveau ma chance et là, il m’échappe des doigts. L’élasticité faisant, le balconnet glisse sous mon sein qui s’en dérobe totalement. Cela ne manque pas de déclencher un éclat de rire chez ces messieurs et, devant l’insolite de la situation, de moi-même. Le champagne ayant fait fuir ma timidité, je reste là, devant eux, tentant désespérément de remonter le tissu au-dessus de ma poitrine. Je ne me sens pas particulièrement excitée et pourtant, j’observe que mes tétons ont relevé le nez, comme un petit veau cherchant à téter et j’ai bien du mal à les contenir dans le balconnet. Je réussis après quelques secondes, à les capturer. Je prends quelques positions pendant lesquelles Stéphane s’applique à me photographier. Soudain, je place mes mains sur ma nuque sans réaliser que cela fait remonter ma poitrine qui, de part la petite taille du soutien-gorge se dévoile au grand jour. Cette fois s’en est trop et je mets fin à la séance et me dirige vers la sortie. Mais Stéphane me rappel en me tendant l’appareil. Je lui dis que je vais d’abord me changer mais il prétexte que l’heure tourne pour me faire changer d’avis. Je tire cette fois-ci de toutes mes forces pour réajuster une fois de plus les balconnets sur ma poitrine, et m’empares du numérique. Je m’accroupis et le place à hauteur de mes yeux pour prendre la première photo. Comme précédemment, ce geste rehausse ma poitrine qui se dévoile une fois de plus. Je pose l’appareil au sol et bougonne en tirant fortement sur le tissu.



Je regarde Patrick comme pour lui demander un petit break mais il confirme l’état d’urgence dans lequel nous nous trouvons. Je le juge un peu présomptueux car tout de même, je fais cela pour lui rendre service. Je remonte une dernière fois le soutien-gorge qui miraculeusement semble cette fois se maintenir. Malheureusement, dès la photo suivante, il glisse à nouveau sous mes seins. Lassée de cette défaillance, je fais comme si de rien n’était et poursuit mes prises de vues.

C’est alors que j’observe sur le petit écran de l’appareil, que le string que porte Stéphane est lui aussi sur le point de laisser voir ce qui semble le déformer de plus en plus. Je cherche alors un prétexte pour faire déplacer Stéphane. C’est Patrick qui, sans le vouloir, m’apporte la solution en m’indiquant qu’il souhaite également présenter l’arrière du string.



A peine commence-t-il à déplacer sa jambe, que soulevé par le mouvement et surtout par le durcissement de la verge, son gland s’échappe de dessous le tissu. Stéphane le dissimule immédiatement de ses mains, et fait volte-face. Une fois de plus je me rince l’œil en observant ses fesses bien galbées sur lesquelles il n’y a pas un seul poil.



Sans contrôler si effectivement les photos sont bonnes ou non, je le laisse nous exhiber ses fesses encore un instant.



Après avoir replacé son engin dans le string, il me fait face à nouveau. J’actionne le zoom pour voir la chose de plus près. Stéphane le remarque à l’objectif qui lui aussi s’allonge.



A cet instant, je repense à l’homme avec qui je parlais en début de soirée et l’imagine à la place de Stéphane, le sexe à la main.



un peu vexé Stéphane tire ses épaules en arrière et gonfle son torse. Sous la pression ainsi provoquée, la totalité de sa verge bondit sans prévenir hors du string. Patrick éclate de rire.



Sachant qu’il ne peu plus rien y faire, Stéphane reste ainsi debout devant moi qui en profite pour immortaliser cet instant.



Stéphane fini par fuir dans les toilettes pour aller se changer.


Patrick s’effondre de rire et je ne tarde pas à faire de même. Puis il me tend d’une main un ensemble en me précisant qu’il s’agit du dernier et un verre de champagne de l’autre. Je m’en saisie et vais m’assoire derrière mon bureau afin de transférer les images que nous venons de prendre sans oublier de boire mon verre.

Dès que Stéphane nous rejoint, je file prendre sa place aux toilettes afin de revêtir ce dernier ensemble.


A mon retour, je porte un corset noir à lacets dorés, tout en dentelles très fines et un string très étroit en dentelle noire bordé d’un liseré doré également. L’un et l’autre ne cachent rien de ce qui se trouve en dessous. Malgré mes efforts pour dissimuler des poils récalcitrants quelques-uns restent apparents. Patrick en fait la remarque à Stéphane. Celui-ci me demande alors de les faire disparaître, ce que je tente de faire. Je sens leurs regards concentrés sur mon entre cuisse et cela me donne quelques frisons dans le bas du ventre, je commence à prendre du plaisir à m’exhiber ainsi devant eux. Je retire mes mains et attends leur verdict. Stéphane constate que c’est un peu mieux et jette son regard sur le petit écran de l’appareil. Puis, avant que je n’ai eu le temps de faire quoi que ce soit, il s’approche de moi et glisse ses doigts entre ma peau et le tissu pour tenter de dissimuler les derniers poils voyant. Je ne bouge pas. Je ressens ce nouveau contact comme une décharge électrique. Mes seins se gonflent ainsi que mes tétons. J’ai l’impression que mes lèvres intimes se dilatent et, sans pouvoir me retenir, un suintement de cyprine s’échappe de mon sexe. Profitant de l’occasion, Stéphane enfonce un peu plus loin ses doigts qui effleurent ma fente ainsi humidifiée. Il se rend compte alors de l’état dans lequel je me trouve. Nos regards se croisent et deviennent complices. Je me recule brutalement en lui assurant que je pourrais les faire disparaître en retouchant la photo.


Il se replace devant moi et commence les prises de vues. Comme précédemment, Patrick lui demande de me prendre de dos afin de présenter l’arrière du string. Je me demande bien ce qu’il va voir car il s’agit d’un string ficèle et cette dernière est complètement enfoncée dans mes fesses. Que cela ne tienne, je me retourne pour lui présenter mon postérieur entièrement dénudé.


Presque trois heures et demi après la première photo, voilà la séance enfin terminée. Patrick nous annonce qu’il est extrêmement pressé et qu’il doit se rendre à un rendez-vous. Il me demande alors de me mettre immédiatement sur mon ordi pour mettre en page les photos pendant que lui commence à replier ses affaires et les porter dans sa voiture. Je lui propose d’attendre tout de même que je lui rende l’ensemble que je porte mais il insiste pour que je me mette au travail sans plus attendre en ajoutant qu’il aimerait une sortie papier pour les présenter à ces collaborateurs dès le lendemain. Je m’exécute donc et vais m’installer derrière mon bureau.


Les photos sont pas trop mal, pour des amateurs nous nous en sommes bien sortis Stéphane et moi. Ce dernier est venu s’assoire à côté de moi. Prise par la délicatesse de certaines retouches, je ne m’aperçois pas tout de suite qu’une main s’est posée sur ma cuisse. C’est lorsque celle-ci se met à remonter ma jambe que je réalise sa présence. Je la retire aussitôt mais elle s’invite à nouveau peu de temps après. Même réaction de ma part et j’hésite à lui retourner une gifle afin qu’il comprenne ; mais au fait, qu’il comprenne quoi ? Que je suis excitée mais que je ne veux pas qu’il me caresse, que mon sexe est trempé mais que je n’ai pas envie. Je reprends ma souris et poursuis mon travail. Plusieurs minutes s’éculent lorsque je sens sur ma cuisse sa main se reposer. Je ne sais quoi faire ; Déconcentrée, mon regard se dévie de l’écran et arrive sur mon verre de champagne ; Je prends un temps de réflexion mais mon esprit ne réfléchit plus à rien ; je m’empare de mon verre et le vide avant de le reposer sur le bureau ; nouvelle hésitation ; cette main qui remonte doucement vers mon entre-jambe me rappel l’homme avec qui je parlais en début de soirée. Je l’imagine en train de se masturber sur les mots que je lui adressais et qui décrivaient mes expériences solitaires. Perdue dans mes rêves, je ne sens pas les doigts de Stéphane glisser sous le string. Ce n’est qu’une fois sur ma fente que je prends conscience de leur indécente progression. Je saisis ma souris et fait mine de reprendre mon travail. En réalité, mes clics restent sans effets car appliqués dans le vide. Ma main la guide dans une course sans but. Nous regardons tous deux l’écran placé devant nous mais nos pensées semblent avoir trouvé une autre préoccupation. Stéphane me caresse le sexe, ses doigts surfent sur ma fente, j’ai très envie qu’ils s’y enfoncent, j’écarte ma cuisse. Stéphane parcourt maintenant de haut en bas mes lèvres ainsi ouvertes ; offertes.


Perdus entre le quatrième et le cinquième ciel, nous n’avons pas entendu revenir Patrick qui nous trouve dans cette posture délicieusement impudique.



Stéphane retire immédiatement sa main de mon sexe et se lève en proposant à Patrick de prendre sa place. Ce dernier s’assoit donc à ma droite tandis que Stéphane prend une chaise pour venir à ma gauche.

Les deux hommes observent mon travail de retouche d’image qui a essentiellement pour but, la disparition de mes poils intimes débordant des petites culottes. Patrick lance les premiers commentaires.



Les deux hommes sont pris d’un four rire complice.



Sur l’écran apparaît ma jolie paire de seins, complètement visible puisqu’en effet, il s’agit du fameux balconnet que l’on peut apercevoir roulé en dessous. La photo est prise de très près et on distingue très nettement les détails de mes auréoles et la petite fente de mes tétons. Je sens bien que les deux hommes se régalent devant cette image et cela m’excite beaucoup. Sur la photo suivante, le balconnet à repris sa place. Mes seins sont complètement comprimés et débordent disgracieusement.



Stéphane pose alors sa main sur mon sein.



Je sens bien que Patrick meurt d’envie de toucher lui aussi, alors je ne sais pas ce qu’il me prend mais je me tourne légèrement vers lui et redressant mon dos pour faire pointer ma poitrine vers lui je réponds :



Patrick se laisse tenter et pose sa main sur mon sein.



Je le laisse profiter de cet instant quelques secondes puis me remets au travail.

Les photos choisies et les retouches terminées, je commence à les placer dans la mise en page que j’avais préparé l’après-midi.

Patrick se lève et nous propose un verre de champagne. Contrairement à Stéphane, je décline son offre en prétextant un début d’état fébrile. Stéphane s’approche de moi en posant sa main sur ma cuisse et me dit tout bas :



Sa main s’aventure un peu plus près de mon entre-jambes.



Le problème c’est que je n’en ai plus vraiment la force, ni l’envie d’ailleurs… Du reste, je ne fais rien pour stopper l’ascension de sa main qui arrive maintenant contre mon sexe.


Patrick revient s’assoire et tend le verre de Stéphane juste devant moi. Par réflexe je recule ma tête et mon dos, laissant voir la présence de la main de Stéphane sur mon sexe que Patrick ne manque pas de remarquer. Sans rien dire, il porte son verre à ses lèvres pour boire une gorgée avant de le reposer. De là où il se trouve, il voit sans nul doute que Stéphane est en train de glisser ses doigts dans mon string. Paralysée par l’envie, l’excitation et la peur de ce que pense Patrick, je ne bouge pas. Quelques secondes passent quand une main se pose sur mon épaule. C’est celle de Patrick qui j’en ai bien peur (ou bien envie…), souhaite manifestement profiter lui aussi de ma docilité serte inhabituelle mais bien réelle. Doucement elle glisse jusqu’à mon coup pour lui offrir quelques délicieuses caresses, puis descend tout aussi lentement sur mon sein. Voyant cela, Stéphane suspend la progression des siens et se contente de caresser mon sexe. J’ai bien du mal à me concentrer et pourtant j’en arrive à la dernière page. Patrick s’enhardit et glisse ses doigts entre mes seins, puis passe sa main toute entière entre le tissu et ma chair. Je les regarde à tour de rôle.


Moi - "Ca va ? Vous ne vous embêtez pas trop de me regarder travailler ?"

Stéph - "Ne t’inquiète pas pour nous et puis ce n’est pas plus agréable de travailler comme ça ?"

Moi - "C’est un peu gênant quand même"

Pat – "C’est vrai que ce n’est pas très facile, mais ont peux te mettre à l’aise si tu veux ?"


Je ne trouve qu’une grimace à la fois moqueuse et consentante en guise de réponse. C’est Patrick qui prend l’initiative. Il se tourne tout d’abord sur sa chaise pour me faire face et dénoue les lacets de mon corset avant de les détendre à chacun de leurs croisements. Je sens alors l’emprise du vêtement se relâcher progressivement de haut en bas, libérant bientôt mes seins. Devant ce spectacle, Stéphane se lève en repoussant sa chaise avant de mettre un genou à terre, face à moi, et entreprend de me retirer mon string. Mon excitation m’interdit toute résistance, je me soulève légèrement afin de libérer la ficelle d’entre mes fesses, je m’avance aussi afin de mon corset me soit retiré. En un instant je me retrouve entièrement nue, assise devant mon ordinateur, en essayant de finir ma mise ne page.


Aussitôt dénudée, je suis à nouveau sous l’emprise des mains de mes voisins. N’ayant plus aucun barrage à leur envies, les doigts de Stéphane passent délicatement sur ma fente avant d’en écarter les lèvres et de s’enfoncer dans mon intimité. Ceux de Patrick en revanche ont cédé leur place à une bouche humide et tiède dont la langue titille furtivement à chaque survol mes tétons. Mon corps est envahi de délicieux frissons, j’abandonne définitivement ma souris pour enlacer la tête de Patrick. Je réalise que Stéphane tente de faire pénétrer son doigt plus loin dans ma caverne à délices, je décide donc de lui ouvrir plus amplement l’entrée et écarte largement mes jambes. Son doigt s’enfonce généreusement pendant que son pouce découvre mon bouton d’amour. Quelques minutes se passent. Un deuxième doigt s’aventure à son tour, suivi rapidement d’un troisième ; Je gémis. J’aimerais lui dire que je trouve ça bon mais ma bouche est contre celle de Patrick qui m’entraîne dans un long et délicieux baiser où nos langues se mêlent et se caressent.


Patrick saisit ma main et la pose sur son sexe que je sens au travers de son pantalon. Je le caresse, l’enserre, je cherche du bout des doigts la fermeture éclair, ça y est je l’ai trouvée, je la descends et tente d’y faire glisser ma main, mais seuls mes doigts y parviennent. Patrick vient alors à mon aide, il dégrafe la boucle de sa ceinture, fait sauter le bouton qu’elle dissimule, et tire sur son pantalon qui tombe à terre. Ma main pénètre dans son slip, saisie son sexe et entame un lent va-et-vient. Il semble apprécier ma caresse, son bassin accompagne le rythme de ma main. Petit à petit Patrick se rapproche, alors que l’une de ses mains masse mes seins, l’autre vient se poser sur ma nuque. À chaque aller et retour sur sa verge je la sens m’attirer vers elle, bientôt je la vois, juste là devant moi, les centimètres qui l’en éloignent de ma bouche sont bientôt restreints à des millimètres. Son gland touche mes lèvres, je les ouvre, sa queue pénètre à l’intérieur de ma bouche, j’avance ma tête afin de la prendre en entier, puis je referme mes lèvres et pose ma langue sur cette délicieuse intrus. Doucement Patrick se retire de moitié et s’enfonce à nouveau. Le va-et-vient et lancé, ma langue ne cesse de caresser son sexe à chacun de ses mouvements. Ma main quant à elle malaxe doucement ses bourses.


Stéphane se relève et commence à baisser son pantalon, Patrick se retire alors et me prend par le bras pour m’attirer vers le coin du bureau.



Je me précipite vers mon sac à main pour en sortir deux préservatifs. (Ce n’est pas qu’il m’arrive ce genre de plan tous les jours mais je ne laisse jamais passer une bonne occasion alors…)


Je retourne près du bureau sur lequel Patrick m’invite en me tenant par la taille à me coucher sur le ventre. Je m’exécute, Stéphane, qui a eu le temps de se débarrasser de ses vêtements se place devant moi, et me présente un sexe dressé comme une colonne de marbre et, comme il l’avait laissé deviner, de bonne taille. Je le saisis et le branle doucement, Stéphane se rapproche d’avantage, son sexe et contre ma bouche qu’une fois de plus j’ouvre sans hésiter. Plus longue que celle de Patrick, je ne peux pas l’avaler en entière. Cela ne m’empêche pas de lui prodiguer une délicieuse fellation.


Patrick, resté derrière moi, m’écarte les jambes à l’aide de son pied. Puis il se colle contre moi et je sens son sexe, dur et chaud contre mes fesses. Il s’amuse un instant à le frotter contre, puis il le glisse entre mes cuisses. Je sens sons gland contre ma chatte, je cambre les reins. La pression de son sexe s’accentue, mes lèvres s’écartent, la poussée est continue et sa queue pénètre en moi, je la sens m’envahir jusqu’au contact de ses bourses contres mes lèvres. D’exquises sensations s’emparent de mon corps. Il reste ainsi quelques secondes puis adopte immédiatement un rythme rapide de va-et-vient. À chaque pénétration, ses bourses viennent se cogner contre mes lèvres et mon clito, ce qui ne manque pas d’augmenter mon plaisir. Cette excitation croissante motive mes intentions concernant le sexe de Stéphane. À mon tour, j’adopte un rythme de masturbation buccale accéléré. Stéphane ne s’en plaint pas bien au contraire si s’en croit ses gémissements. Sa queue est douce et chaude, d’un bon diamètre je la sens parfaitement glisser d’avant en arrière sur ma langue toujours active. Les mains de Stéphane se posent sur ma tête, elles accompagnent mes mouvements en la serrant légèrement.


Nous gémissons tous les trois dans un même plaisir. Petit à petit les mains de Stéphane appuient de plus en plus, son sexe ne ressort plus que de moitié de ma bouche pour finalement rester au fond de ma gorge. Un grand coup de rein de Stéphane me soulève la tête de plusieurs centimètres, ses mains m’obligent à rester captive, j’ai l’impression d’étouffer. Heureusement il relâche son emprise presque tout de suite avant de se contracter à nouveau dans un sursaut. Ma langue caresse son gland et détecte parfaitement au travers du plastique le liquide chaud que Stéphane vient de déverser à l’intérieur. Il se retire, se penche et m’embrasse avant de m’exhiber son sexe noyé dans sa jouissance. Patrick n’est pas très loin d’exploser également, si ses coups de reins restent puissants leur cadence en revanche diminue très nettement. Soudain il s’immobilise un instant puis se retire et s’enfonce brutalement tout au fond de ma chatte. À cet instant mon plaisir est à son maximum, j’ai chaud, tout mon corps brille de transpiration, ma chatte est si trempée que j’image sans mal qu’une jolie tache se soit formée sur la moquette juste en dessous de nous, mon ventre est parcouru de milliers de frisons. Patrick renouvelle son dernier mouvement et vient écraser ses bourses contre mon sexe, un râle se fait entendre.


La température de mon vagin monte dans la zone rouge, je jouis, délicieusement je prends un plaisir immense à me faire défoncer ainsi. Après deux autres profondes et brutales pénétrations, Patrick s’immobilise enfin. Il se couche sur moi, je sens le souffle de sa respiration sur mon bras. Puis il se relève et se retire, il me semble sentir de l’air frais envahir mon sexe libéré et vide. Je me retourne assise sur le bureau, je regarde Patrick juste devant en train de retirer son préservatif blanchis de plaisir. Un filet de sperme tombe sur la moquette. Je regarde alors entre mes pieds et distingue très nettement une tâche brune. Patrick s’essuie avec les serviettes du resto rapide qui étaient restées sur la table, puis remets de l’ordre dans sa tenue, se sert un verre de champagne qu’il boit aussitôt.



Il s’approche de moi, ramasse le string et son corset, me serre contre lui en passant son bras autour de ma taille et m’embrasse.



Patrick sort du bureau rapidement et nous laisse, Stéphane et moi, nus, au milieu de la pièce.



Je ne sens pas vraiment à l’aise de me remettre au travail dans cette tenue, ou plutôt sans tenue, mais après ce qui venait de se passer et devant le retard délicieusement pris, j’accepte sa proposition.


Stéphane me rejoint quelques minutes plus tard avec mes vêtements à la main et en shorty.



Prise par notre conversation et surtout par mon travail, je ne me rends même pas compte que je suis toujours à poil. Mais Stéphane, qui s’est assis à côté de moi, me rappel cet état de fait en posant sa main sur ma cuisse. Sans le regarder je souris, et plus sa main monte le long de ma cuisse, plus mon sourire s’élargit. Mais il ne faut pas exagérer, aussi, je demande à Stéphane de retirer sa main, ce qu’il fait.


Il est 1 heure trente lorsque j’achève enfin la mise en page de la rubrique consacrée à cette collection.



Stéphane repose sa main sur ma cuisse.



Un peu lasse, bercée par l’alcool, abasourdie par l’heure tardive, je n’ai qu’une envie, que cette soirée se termine pour enfin rentrer chez moi me coucher. Je n’ai plus la force de parlementer alors, je me lève.



Il se lève à son tour, saisit mes vêtements posés sur le bureau et semble chercher quelque chose.



Il s’empare de mon tee-shirt et s’approche de moi. Je lève les bras sur lesquels il le fait glisser. Stéphane se tient tellement près de moi que je sens son ventre effleurer le mien. Ses mains accompagnent mon tee-shirt dans sa descente, me caressant des poignets aux aisselles. Après avoir passé ma tête au travers de l’encolure afin qu’il finisse de recouvrir mon buste, un blocage se fait sentir au niveau de ma poitrine. Stéphane glisse ses mains contre mon corps pour atteindre le bas du vêtement. L’un après l’autre, chacun de ses doigts caresse mes tétons. Nos regards se croisent, il me lance un sourire coquin auquel je réponds d’un même sourire.

Il saisit le bas du tee-shirt et le tire doucement. De nouveau, ses doigts frottent les uns après les autres mes tétons. Je ferme les yeux et contracte instinctivement mon ventre. Son geste est si lent qu’il me donne l’impression d’avoir vingt doigts à chaque main. Le dernier étant passé, j’ouvre les yeux pensant être libérée de toute sensation érotique. Erreur, le frottement du coton sur mes bouts de seins électrise mon corps, je referme les yeux.



Je regarde alors mes seins et constate qu’ils pointent leurs bouts de façon tout à fait indiscrète.



Je passe ma main entre nos ventres et la pose sur son sexe que je trouve en pleine remise en forme.



Stéphane baisse son shorty d’où apparaît un sexe rubicond et tendu à l’horizontal.



Je ne réponds pas et me tourne vers mes vêtements pour prendre ma culotte. Je la lui tends. Après avoir remonté son shorty, il attrape ma culotte mais la repose sur le bureau en m’expliquant que c’est lui qui m’habille et donc dans l’ordre qu’il choisit.


Il prend mes mi-bas et me soulève un pied pour y enfiler le premier. L’autre suit dans la foulé avec une petite différence. En reposant mon pied il prend soin de m’écarter les jambes afin de passer son bras entre, et ainsi avoir une main de chaque côté de mon autre pied. Je ne prête pas attention à cette manœuvre, pensant qu’il veut simplement être plus à son aise pour m’enfiler mon autre mi-bas. D’autant plus qu’il y arrive effectivement beaucoup mieux sur ce pied là. Mais, pauvre de moi, je n’avais pas réalisé que dans cette position, son visage est juste devant mon sexe. Il ne lui faut pas longtemps avant d’en profiter. Subitement, sa bouche vient se plaquer contre ma chatte et je sens aussitôt sa langue me lécher la fente. Je tente de me reculer mais il me retient. J’attrape sa tête pour la tirer en arrière mais il l’appuie si fort que je n’y parviens pas. Ces quelques secondes lui donnent l’occasion de titiller furtivement mais à plusieurs reprise, ma perle d’amour. Cela déclenche en moi un début de défaillance dans ma défense ce qui lui permet d’accentuer son action. Huuummm sa langue revient sur mon clitoris, cette fois j’abandonne totalement mon offensive, pire encore, mes mains ne tentent plus de reculer sa tête mais bel et bien de la maintenir contre mon ventre.


De délicieuses secondes s’écoulent avant que mes jambes ne cèdent au plaisir qui m’envahit. Stéphane me retient, où plutôt amortit ma chute car il me laisse m’agenouiller devant lui. Face à face, nos bouches se rejoignent, nos langues s’emmêlent. Des doigts viennent caresser mon sexe, mouillé de salive et d’excitation. Je trouve alors normal que d’échanger cette caresse en plongeant ma main dans le shorty pour en sortir le sexe qu’il emprisonne. Resté accroupi, Stéphane met fin à notre baiser pour s’agenouiller à son tour. Son sexe est à présent bien droit et quelques perles étincelantes trahissent son excitation. Cette vision m’excite énormément et je ne peux pas résister plus longtemps. Je me penche en avant et saisie cette queue si douce et chaude. J’approche ma bouche de cette jolie gourmandise et commence à la lécher. Avec beaucoup de plaisir, consacre plusieurs minutes à cela, ce qui semble enchanter Stéphane qui gémit de plus en plus. Puis, je fais descendre ma bouche le long de cette colonne de chair et débute mes allers et retours. Stéphane me repousse, en me redressant, je vois dans son regard qu’il n’y tient plus et me dit que je l’excite trop qu’il veut me prendre dès maintenant.


Je m’allonge sur le dos, replie un peu mes jambes que j’écarte comme pour lancer une invitation sans aucune équivoque. Stéphane s’approche, passe ses mains sous mes cuisses pour les relever et les placer contres ses hanches. Je sens aussitôt son sexe contre le mien. La poussée s’intensifie doucement, mes lèvres intimes s’ouvrent, la pénétration commence, d’abord le gland, humide, chaud, à la fois doux et dur. Voilà, il est entré, je le sens s’enfoncer en moi suivi de la verge qui le pousse dans les profondeurs de mon intimité. Malgré la présence de cette merveilleuse intruse en moi, je me sens un filet de mon sirop couler entre mes fesses. Stéphane se retire puis s’enfonce à nouveau et reste en moi sans bouger. Puis il recommence.


Moi qui aime être un peu bousculée, je me surprends à vibrer de plaisir à chacun de ses mouvements, rarement je me suis trouvée aussi excitée, si bien que lorsqu’il un doigt sur mon anus, je m’abandonne à ses intentions. Très doucement, son doigt force le passage et pénètre dans mon petit trou. Dans un accord parfait, il ressort en même temps que sa queue avant que tous deux ne se renfoncent chacun de leur côté. Cela me met dans un état que je ne contrôle plus. Plusieurs aller et retour me sont offerts avant que je ne sente un deuxième doigt s’inviter entre mes fesses. Stéphane accélère le mouvement de son sexe en moi, je gémis. C’est à cet instant qu’il décide de jumeler ces deux doigts et de les enfoncer dans mon cul. Je n’ai pas souvent pratiqué la sodomie, aussi je m’étonne une fois de plus de la facilité avec laquelle ses deux compères s’introduisent. Le rythme de leurs mouvements s’harmonise aussitôt à celui du sexe de Stéphane. Cette double pénétration me monte jusqu’au plaisir suprême, je jouis brutalement dans un flot de cyprine qui coule sur les bourses de Stéphane et le long de mes fesses. Stéphane se retire soudainement, me laissant sur ma faim car mon plaisir est encore bien présent. Cette coupure crée un manque de sensation très fort que je ne peux pas contenir.



Stéphane retire entièrement son sexe et ses doigts. Malgré l’absence de douleur, je ressens cela comme une torture. Il place son sexe contre mon anus et l’introduit d’un coup, jusqu’au fond de mon cul. Cela arrache de ma gorge un gémissement de plaisir et de soulagement. Aussitôt il engage un va-et-vient profond et rapide. Ses bourses viennent frapper mes fesses à chaque pénétration. Je commence à ressentir l’échauffement que crée le frottement des mes épaules sur la moquette, heureusement que j’ai mon tee-shirt, mais cela n’est rien en comparaison du plaisir que Stéphane me procure en me défonçant de la sorte. Ses coups de reins se font moins rapides mais tout aussi profonds, je sens qu’il est sur le point de jouir et il me vient alors l’envie de boire son breuvage et je réalise que je ne lui ai pas demandé de mettre de préservatif. Mais je lui fais confiance, et l’envie de le boire s’amplifie.



Surpris mais pas désintéressé, Stéphane se retire et se place à cheval à hauteur de ma poitrine et se branle énergiquement. Je relève ma tête, ouvre grand ma bouche et tend ma langue juste sous sa queue. Ses râles me font comprendrent qu’il arrive au bord de l’explosion. Un puissant jet se foutre s’écrase contre mon palet, je ne bouge pas, un second recouvre le fond ma langue et glisse lentement dans ma gorge, je l’avale sans refermer mes lèvres. Un troisième tombe dès sa sortie sur ma langue et coule par côté tombant sur le haut de mes seins. Une grosse goutte pointe sur le gland, je referme alors ma bouche et avale le sperme qui se trouve à l’intérieur, puis avance et recule sur cette queue moite de plaisir. À bout de force, je repose ma tête à terre libérant son sexe.


Stéphane s’appuie sur ses mains posées de part et d’autre de ma tête. Nous respirons tous les deux très fort et très rapidement comme si nous manquions d’air. Quelques minutes passent en silence. Stéphane se relève et me tend la main pour m’aider à me relever. Tandis qu’il s’assoit sur le fauteuil, je rassemble le peu de forces qu’il me reste pour me rendre aux toilettes, afin de me laver un peu. Puis je regagne mon bureau où Stéphane se rhabille. J’enfile rapidement ma culotte, ma jupe et mes chaussures, puis, enfin, envois les fichiers à notre éditeur via internet. Nous éteignons les lumières, fermons les locaux, Stéphane m’accompagne jusqu’à ma voiture devant laquelle il m’embrase une dernière fois. Nous nous quittons.


A l’heure où je tape ce récit, Partick vient de me téléphoner pour m’inviter à prendre le chèque qu’il m’a promis et choisir les modèles d’ensembles que je désir. Cet appel m’a rappelé cette fameuse soirée durant laquelle j’ai pris un tel plaisir que j’ai eu envie de la faire partager.

Bien sure ce ne sont que des mots, mais ayant moi-même déjà pris du plaisir… en lisant des histoires érotiques, j’espère que le récit de ma petite aventure en procurera à d’autres lecteurs.


Je ne manquerais pas bien sure, de raconter ce qui pourrait se passer chez Patrick lors de ma visite, si cela présente un intérêt particulier…


Sandra