Revebebe - Fiche technique

n° 07240	Lire ce texte	49457 caractères 8713 mots Temps de lecture estimé : 35 mn	06/04/04
Résumé: Le studio de photographe qui devait nous apporter les clichés d'une collection de sous-vêtement s'est désisté et je m'improvise mannequin pour sauver la situation.
critères: init fhh prost travail exhib photofilm facial fellation préservati pénétratio fdanus fsodo
Auteur : Sandra (Nouvelle auteur débutante)

Une inoubliable séance photos

Note générale = 14.01 / 20
(158 notations)

Note des inscrits = 11.17 / 20
(4 notations)

Note des non-inscrits = 16.23 / 20
(154 notations)

0 Originalité

0 Ecriture

0 Humour

0 Excitation

0 Atmosphère

0 Sentiments

Période de recueil des lectures = du 01/10/22 au 20/06/25

668 Lectures partielles

113 Lectures entières

17 %

Intervenant	Date	Note	Appréciations
Evaluations des inscrits
017 (846 notations)	17/04/04	Bon - 14	Un trio de qualité top. Un bon récit travaillé et avec le zeste d'originalité.
popeye (90 notations)	10/07/06	Très bon - 16	Bien amene, bon scenario.
Mirthrandir (1705 notations)	28/02/08	Médiocre - 06	L'idée semble correcte, mais c'est tellement mal écrit que j'ai fini par décrocher en cours de lecture. Médiocre tel quel, mais sans doute améliorable...
crinoline (4538 notations)	24/11/15	Assez bon - 12	'Bien sure ce ne sont que des mots'...oui, mais des mots pleins de fautes, pour décrire, entre autres, une pipe postsodo non protégée... moyen tout ça, et certainement pas inoubliable ce texte.
Evaluations du public (celles avec un commentaire approuvé)
	14/04/04		je pense que c'est l'histoire la plus sensuelle et la plus hérotique que le site peut avoir: une longue attente donne un vertain attrait sans pour autant etre longuet, la description détaillé n'interomp a aucun moment l'imagination...franchement bravo
midogi	02/11/04		J'ai trouvé que c'était bien long avant, je n'étais plus excité ,j'adhère pas ,l'idée est pourtant bonne
	24/07/07	Excellent - 18	j'aime beaucoup la progression très lente des évènements, ça ressemble de près à la réalité, entre envie et retenue, puis tout lache et le palsir gagne