n° 07284 | Fiche technique | 16803 caractères | 16803Temps de lecture estimé : 10 mn | 19/04/04 |
Résumé: Jacques est resté coincé par les inondations | ||||
Critères: fh école fellation cunnilingu 69 pénétratio fsodo | ||||
Auteur : Bertrand D (Rêveur solitaire) Envoi mini-message |
Épisode précédent | Série : Inondations Chapitre 02 / 06 | Épisode suivant |
Le message de Claire, la veille a rassuré Jacques. Il s’est étonné de n’avoir pu la rappeler : une panne quelconque ou les conditions atmosphériques. Le coup de fil de ce matin l’a totalement tranquillisé.
Lui, ne s’est pas aventuré à quitter Nîmes. Comme la plupart des élèves et professeurs de l’extérieur, il a écouté les conseils donnés à la radio. Le problème était de trouver un lit. Dans la salle des profs, ils sont plusieurs dans son cas. L’entraide joue à fond et les anciens trouvent rapidement une place chez un ami. Mais lui ne connaît pas grand monde. À l’écart dans un coin, une autre isolée, comme lui s’interroge. C’est Alice, une prof d’éducation physique, nouvelle comme lui. Ils se sont parlés le jour de la rentrée, mais depuis ils n’ont pas eu beaucoup l’occasion de se rencontrer.
Non, je vais essayer de trouver un endroit où coucher. Et toi non plus, tu n’habites pas Nîmes ?
Non, je suis chez mes parents dans un village, mais la route est coupée. Je les ai prévenus que je ne rentrais pas.
Il faut essayer de se débrouiller seul, remarque-t-il.
Je crois que je vais aller dans la salle des agrès, on y range le matériel de sport, c’est une pièce sans fenêtre, mais tant pis ! L’avantage, c’est qu’il y a des tapis en mousse. Si tu n’as rien, je t’invite.
Et tous deux rejoignent le gymnase. La pièce est assez vaste, mais sent le renfermé.
Et tous deux partent sous le vaste parapluie d’Alice. Ils se serrent l’un contre l’autre. Jacques sourit, cela le change de Claire. Alice est aussi grande que lui, et sûrement plus musclée. De dos, avec son mètre soixante quinze on doit la prendre pour un mec. Mais pas de face, elle a vraiment de magnifiques pectoraux en forme d’orange qui donne envie de les presser.
La salle est pleine et le patron leur trouve une table au premier dans une petite salle.
Ils s’installent près d’un radiateur, la température est douce, mais ils sont mouillés. Sous son K-way, Alice est en tenue de sport, survêtement et baskets. Sans complexe, elle quitte ces dernières, les met à sécher puis se penchant légèrement en arrière sur sa chaise elle pose les pieds contre le chauffage.
En réalité, il aimerait bien l’imiter, mais il n’ose pas.
Ils attendent un petit moment. Jacques est un peu timide, mais Alice se charge de faire la conversation. Rapidement il se met au diapason. Ils échangent leurs impressions sur le bahut. Il s’aperçoit vite que bien que nouvelle, elle s’est intégrée, est au courant de tous les potins.
Et le repas se déroule, Jacques rassuré par le message de Claire, se sent bien. D’autant qu’Alice a voulu offrit une bonne bouteille comme il payait le repas. Et tous deux sont très gais.
Après avoir mangé ils regagnent le lycée. La porte est encore ouverte compte tenu de la situation. Ils regagnent le gymnase et leur « logement ». Le lit est vite constitué, mais pas de couverture.
Et elle en sort deux. Jacques, bien qu’un peu éméché, est gêné de se changer devant elle, mais par contre Alice se dépouille, lève haut et bas, quitte son soutien-gorge, avant de mettre les habits secs. Au passage, il a pu admirer les seins qu’il devinait sous les habits : ils sont magnifiques, plus gros que ceux de sa femme. Ils s’allongent côte à côte.
Et elle remonte son haut de survêt. Et il a alors tout loisir pour admirer ces merveilles. Ses yeux sont fixés sur ces appâts. Elle sourit, passe le bras derrière sa tête :
Il pose une main sur un mamelon : il est souple, et le bourgeon est proéminent. Entre le pouce et l’index il le saisit et le fait rouler doucement. Alice lui prend la nuque et amène sa bouche tout contre. Il tête avidement, sa main allant s’occuper du jumeau. Sa compagne, les bras écartés ronronne doucement. Elle caresse les cheveux, profitant en égoïste du plaisir prodigué.
Elle se redresse, se déshabille, allonge son compagnon et vient, à cheval sur lui, présenter sa poitrine en offrande à sa bouche. Elle les lui tend, l’un après l’autre, parfois l’écrase sur le visage. Jamais Jacques n’avait été à pareille fête, ce n’est pas sa femme qui s’offrirait comme ça. Ses mains glissent le long des flancs, passent sous la culotte et viennent empaumer les fesses. Sa compagne sent ce contact côté pile et une raideur sympathique côté face. Elle frotte ses cuisses contre ce gourdin.
Elle bascule sur le côté et entreprend de dépiauter son compagnon. Il participe et enlève le dernier rempart d’Alice. Ils sont bientôt nus, l’un contre l’autre. Elle part en reconnaissance du corps de son partenaire. Ses mains glissent le long du torse puis saisissent l’attribut masculin. Elle le manipule, le branle, puis approche les lèvres pour en connaître le goût. Elle pivote et amène son bassin à hauteur du visage de Jacques. Il comprend l’invitation mais est néophyte dans cet exercice, jamais il n’a eu l’occasion de le pratiquer. Les rares fois où il a fait l’amour, c’était avec des professionnelles et une fois avec une copine. Mais depuis son mariage, pas question de proposer ça à sa femme ! Elle pousserait des hauts cris.
Il se sent absorbé, avalé par une bouche vorace. La langue tourne autour du gland, Alice lui fait l’amour avec la bouche. Alors il se lance. Sa langue attaque la vallée déjà humide, redescend jusqu’au bouton, revient plus haut jusqu’à l’entrejambe et s’aventure même plus en arrière. Cette dernière initiative à le don d’enchanter sa partenaire. Avec ses cuisses elle serre sa tête pour l’engager à continuer. Puis les écarte pour qu’il puisse mieux la sucer. Il aventure une, deux puis trois doigts dans la fente. Ils glissent facilement. Il sent le plaisir monter, surtout quand brutalement elle lui plante un doigt mouillé dans le cul. Alors, en représailles, il utilise le même procédé, et ceci sans rencontrer de difficultés. Mais il sent la sève monter et s’arrache à cette ventouse merveilleuse.
Allongée sur le dos, les membres écartés, elle l’attend. Il s’agenouille, met son dard en place, prend appui sur ses bras et s’enfonce dans un véritable pot de miel. Relâchant ses bras, il s’allonge sur deux coussins moelleux, ses lèvres viennent pendre possession de la bouche. Sa langue trouve une complice et attaque un ballet nouveau pour lui. Jamais il n’avait été à pareille fête. Son bassin accélère le mouvement. Repliant ses jambes sur ses hanches elle le freine. Et guide la cadence en ouvrant ou fermant ses genoux. Bientôt, sentant venir son plaisir, elle lâche la bride à son fougueux cavalier. Et tous deux connaissent simultanément le bonheur.
Le couple bascule sur le coté, encore uni, se déboîtant lentement. Allongé à côté d’Alice, il est bien. Certes un sentiment de culpabilité le taquine : Bah, Claire n’en saura rien.
Sa compagne reste silencieuse un instant, puis lui demande :
Quand j’ai entendu ça, ça m’a fait sourire. Au fond, je me suis dit « Si l’occasion se présente, pourquoi pas l’essayer ». Alors, ce soir, tu penses, j’ai pas loupé l’occasion !
Jacques a voulu l’interrompre à certains moments, puis il a écouté. Il reste sans voix. Alice a raison, il est coincé, à peur du sexe. Et surtout ce qu’elle dit pour Claire. Elle l’aime, mais si elle découvre le plaisir, il est foutu.
Tu sais, il n’y a pas de femme frigide, il n’y a que de mauvais amants ! Reprend-t-elle. Je suis sûr que tu n’avais jamais bouffé le cul d’une femme, qu’on t’avait jamais fait une pipe, sans parler du reste. Si tu veux je te donne une leçon particulière gratuite.
Ces paroles démolissent son ego. Et pourtant, elle a raison sur tout. L’offre est tentante, pourquoi la refuser ?
Il se réfugie dans ses bras. Maternellement, elle lui caresse les cheveux. Mais le contact de ce corps réveille en lui des envies plus charnelles. Sentant son désir, elle l’embrasse à pleine bouche. Il la laisse mener le jeu, apprécie toutes les subtilités de cette langue, y répond du mieux possible. Elle prend ses mains et les pose sur ses seins. Comme pour un apprenti elle guide ses doigts, lui montre comment traiter sa poitrine.
Elle guide la tête entre ses jambes.
Suivant les conseils, sa langue glisse le long de l’aine, s’approche des lèvres encore sèches. Il y supplée avec sa salive, remonte au bouton. La pointe bien affûtée le déniche et le sort de son écrin. Son nez vient remplacer sa bouche qui retourne au con bien ouvert. Et là, il constate qu’une légère humidité, comme une rosée vient humecter l’endroit. Il se fait insistant, et bientôt un murmure vient approuver son action. Il insiste, remonte et tente de mordiller la fraise. Sa main ne reste pas inactive, un, deux puis trois doigts viennent se planter dans la gaine bien graissée. Aucun commentaire mais un gémissement continu variant suivant les différentes phases. Dégainant sa main, Jacques entame une feuille de rose, allant de la pastille arrière jusqu’au bourgeon. La pointe de sa langue se fait inquisitrice, pénètre dans chaque cavité, recueille le suc qui à présent coule à flot. Le pouce se plante dans le cul et les autres doigts dans le con. Il prend en tenaille la cloison et agite son poignet.
Négligeant sa demande il s’arrête brutalement, retourne sa compagne, soulève le bassin. Le cul surélevé, la tête entre les bras joints, elle est prête au sacrifice. Il se plante alors dans l’antre qu’il a si bien préparé. Et il la pistonne, variant la cadence, attentif aux réactions d’Alice. Elle a perdu le contrôle, la direction des opérations, elle n’enseigne plus, elle subit. Il se redresse, enduit sa main du liquide qui coule et lentement, l’un après l’autre enfonce trois doigts dans le cul sans élever de protestation. Dégageant sa queue, il la présente à la place de sa main et s’enfonce sans résistance dans un conduit déjà largement ouvert. La saisissant par les hanches, il s’en sert pour planter son bélier au plus profond du boyau et reprend son va-et-vient. Soulagé par la première étreinte, il parvient à tenir la cadence plusieurs minutes et ne consent à prendre son plaisir qu’après avoir entendu crier la suppliciée.
Puis c’est l’écroulement des deux amants. Encore imbriqué, il la serre dans ses bras, prenant les seins à pleines mains. Doucement, à l’oreille il lui murmure :
Et elle sourit. Lentement ils se décontractent, se séparent, s’allongeant côte à côte, heureux.
Tout d’abord en considérant que cette nuit ce n’était qu’un moment de plaisir et non pas une liaison. Tu es marié, je suis libre, restons amis.
Ils sont allés se doucher, puis ont fini la nuit, tranquilles, serrés l’un contre l’autre. Au matin, Jacques s’est réveillé seul. Alice était au réfectoire prendre une collation bien méritée.