n° 07352 | Fiche technique | 28775 caractères | 28775 4872 Temps de lecture estimé : 17 mn |
11/06/04 |
Résumé: Un jeune homme dévergonde sa belle-soeur dans un jeu pervers | ||||
Critères: f fh extracon alliance fépilée magasin caférestau voiture fsoumise voir exhib noculotte fmast rasage | ||||
Auteur : Sylvie et Laurent (Sylvie&Laurent) |
DEBUT de la série | Série : Valérie. Chapitre 01 / 02 | Épisode suivant |
Fin 1999, je viens de quitter la province pour habiter Paris avec ma compagne. Je viens de créer ma société d’informatique. C’est l’âge d’or dans le domaine de la prestation de service et ma société, bien que n’ayant que 18 mois d’existence, commence à rapporter de jolis bénéfices. Cela ne durera pas et depuis la situation s’est bien dégradée. Mais ceci est un autre problème dont je ne parlerai pas ici. Ma compagne Sylvie m’a donc suivi et nous habitons un appartement dans le XIVème arrondissement. Sylvie est une jeune femme blonde aux cheveux longs et frisés, elle mesure 1m65 pour 56Kg. Sa poitrine est ferme mais mince 85B, ses principaux atouts, ce sont ses jambes, magnifiques et ses fesses. Sa silhouette est mise en valeur par ses magnifiques yeux bleus que fait ressortir sa peau couleur d’ivoire. Elle aime mettre en valeur ses atouts et nous vivons une parfaite entente.
Sylvie a une sœur, Valérie qui habite Montpellier, son style est fondamentalement différent de celui de Sylvie. Sa taille et sa corpulence sont à peu près identique mais elle est brune aux cheveux courts. Ses yeux sont d’un bleu plus soutenu que ceux de Sylvie et surtout sa peau est bien plus mate. De plus, son allure générale est bien différente. Autant Sylvie est affable, souriante et ouverte (parfois un peu trop d’ailleurs, mais c’est une autre histoire), autant Valérie est froide, renfermée, presque hautaine. Il faut dire que son métier d’assistante sociale lui donne l’aspect d’une maîtresse d’école du XIXème siècle. En plus, étant affublée d’une grande myopie elle ne quitte jamais ses lunettes, ce qui renforce encore un peu son austérité. Valérie vient tous les quinze jours nous rendre visite. Sa sœur travaillant le samedi, elle en profite pour faire les magasins et passe le samedi soir et le dimanche avec nous. Souvent, j’allais moi-même la chercher à la gare le samedi matin car elle était chargée et cela lui évitait de prendre le métro.
Ce jour-là, lorsqu’elle est arrivée, elle a semblé contrariée, elle ne parlait pratiquement pas. Comme nous n’avions pas de grandes affinités, je ne l’ai pas forcée à se confier non plus. Arrivée à la maison, surprise, au lieu de partir faire les magasins, elle me dit préférer rester à la maison. Cela change mes plans car je m’apprêtais à passer la journée seul. Je fais contre mauvaise fortune bon cœur et lui dis que cela ne me pose pas de problème. À midi, je lui prépare même le repas et nous déjeunons ensemble devant la télé. Arrivés au dessert son téléphone portable sonne, elle bondit puis prend son appareil et court s’enfermer dans la chambre d’amis. Au bout de 30 minutes, je ne la vois toujours pas revenir. Comme je l’ai attendue pour le dessert, je m’impatiente et écoute à la porte, j’entends des gémissements ! Que fait-elle au juste ? Je tape à la porte et entends un oui étouffé. Je rentre ne sachant dans quel état je vais la trouver. Je la trouve en fait en pleurs sur son lit ! Je dois avouer que je ne m’attendais pas à çà. Du coup, je suis surpris et ne sait que faire, je m’approche d’elle et lui demande ce qui ne va pas. Elle me raconte alors ses ennuis. Elle avait emprunté la voiture d’une amie mais a eu un accident avec. Le problème c’est que la voiture n’était pas assurée ! Les dégâts n’étaient que matériels mais entre la voiture et celle de la personne avec qui elle avait eu l’accident, ils se montaient à plusieurs dizaine de milliers de francs (environ 45000). Le mari de son amie demandait donc à Sylvie de payer l’intégralité des dégâts. Comme elle n’avait pas l’argent, Valérie avait refusé, prétextant qu’il n’avait qu’à assurer sa voiture. Il s’était mis dans une colère noire et commençait à la menaçait. Ma situation financière étant assez florissante, je lui propose donc d’y avancer l’argent, sans en parler à sa sœur. Elle accepte tout de suite, me promettant de me rembourser dès qu’elle pourra. Cependant, une assistante sociale ne gagne que peu d’argent, et bien que les premiers mois, elle a réussi à me donner 2000F par mois, très vite, elle en devint incapable.
Un jour, alors que nous passons tous les trois devant un magasin de moto, je lui fais remarquer que j’aimerai bien me payer le dernier modèle mais qu’il me manque des liquidités. Elle devient rouge de honte et ne dit plus rien, jusqu’au soir. Le lundi suivant, elle me téléphone et s’excuse de me mettre dans l’embarras, elle me dit qu’elle ne sait comment me rembourser et qu’elle n’arrive plus à dormir à cause de cette situation. À la fois, gêné pour elle mais aussi embarrassé par cette situation, je lui dis être prêt à faire un effort, sans arrière pensées à ce moment là. Elle me répond aussitôt que ce serait trop gentil de ma part et que si je voulais bien différer une partie des remboursements, elle serait mon « entière débitrice ». Je la laisse sur cet accord qui est le commencement de l’évolution de notre relation.
En effet, durant les quinze jours qui suivent, je n’arrête pas de penser à cette expression « entière débitrice ». Je me mets à imaginer des scénarios scabreux la nuit. Le samedi suivant, je n’ose cependant pas lui parler le premier et nous n’échangeons que des banalités. Au bout d’un moment, elle se lance tout de même :
Je lui réponds que c’est vrai mais que ça me coûte énormément et qu’il faudrait qu’elle soit gentille avec moi à l’avenir. J’ai dit cela avec un rire, comme une boutade mais en fait, j’attends sa réaction :
Je suis interloqué, je ne m’attendais pas à ça. Déjà, je ne pensais pas m’asseoir sur 37000F (somme qu’elle me doit encore), mais je ne pensais pas non plus qu’elle me proposerait, implicitement, d’obéir à mes moindres dèsirs. Serait-je capable de lui demander tout ce qui passe par mon esprit lubrique, je ne pense pas mais rien que cette possibilité provoque en moins un début d’érection. En gardant un sourire qui cache l’aspect lubrique de mes propos, je lui réponds :
Notre conversation en reste là. Je suis content mais persuadé également que je n’oserais jamais mettre en pratique le droit que je viens d’acquérir.
L’après midi, elle part faire les magasins. Comme il commence à faire beau sur Paris et que je n’ai rien d’autre à faire, je propose de l’accompagner et nous voilà partis dans les boutiques. Nous arrivons alors dans un magasin de vêtements. Valérie porte très souvent des pantalons ou des longues jupes et regarde donc dans ces rayons. Pour ma part, je suis, comme tous les hommes, attirés par des tenues comportant moins de tissus. Aussi, lorsqu’elle me prèsente son choix, une jupe longue, j’ai dans les mains, une mini robe bleu, elle me dit :
Subitement, elle s’arrête, elle réfléchit puis prend la jupe que je lui tendais en me disant :
Voilà comment le jeu pervers a commencé, sans que je rappelle explicitement ses engagements à Valérie (j’en aurai, je pense, été incapable). Elle a implicitement commencé à répondre à mes dèsirs dès que je les exprimais. Il n’y avait pas de rapport de force entre nous, elle pouvait refuser à tout moment et je ne pense pas que j’aurai osé m’y opposer.
Valérie revient donc avec sa robe bleue à bretelles. Elle s’arrête à mi-cuisses. C’est une des premières fois que je la vois porter une tenue si légère (je l’ai déjà vue, l’été, mettre des robes ou jupes, mais longues, quant à ses jambes, je n’ai pu les admirer que lorsqu’elle mettait des shorts, larges d’ailleurs). Elle me demande si la tenue lui convient, je lui réponds :
Elle s’exécute et nous finissons l’après-midi en flânant à droite et à gauche. J’en profite pour admirer ses longues jambes fermes. Cependant, nous en restons là et le week-end se finit calmement.
Le week-end suivant, j’ai eu le temps de réfléchir à la situation et à la façon dont Valérie à réagit. J’avoue que je suis surpris par la façon plutôt active dont elle a pris les choses en main. Je crois déceler une pointe de plaisir dans l’acceptation de ce jeu, l’avenir me confirmera cette expression. Malheureusement pour moi, le temps s’est dégradé en cette mi-mai et le samedi il pleut à verse. Mes idées lubriques vacillent sous les gouttes.
Valérie arrive à l’heure à la gare, je suis venue la chercher directement. Elle est habillée d’un pull noir et d’une longue jupe bordeaux. Elle porte des bottes et doit, à mon avis, avoir une paire de collants. Cette fois-ci, je prends les devants :
Je l’emmène dans un grand magasin de vêtements, près de Montparnasse. Nous nous dirigeons vers la partie habillement féminin. Rapidement, je trouve ce que je cherchais, à savoir une jupe droite noire, toute simple. Je la montre à Valérie qui semble presque surprise que je n’ai pas choisi quelque chose de plus voyant. Elle se dirige vers les cabines d’essayage. Je lui dis de partir devant et j’en profite pour passer dans le rayon lingerie avant de la rejoindre.
Lorsque je rentre dans le salon d’essayage, Valérie est en train de se changer, elle ressort vêtue de la jupe que je lui avais choisie. Le simple raccourcissement de celle-ci affine la silhouette de Valérie, on dirait vraiment une autre femme. Pourtant, la jupe arrive juste au-dessus des genoux mais le fait qu’elle porte des bottes lui donne une allure que je trouve tout à fait à mon goût.
Et je lui tends ce que j’ai récupéré au passage au stand lingerie, à savoir une paire de Dim-up. Elle sourit en les regardant, secoue légèrement la tête puis s’enferme dans la cabine. Lorsqu’elle ressort, son allure n’a évidemment pas changé mais le fait de savoir qu’elle porte des bas et non des collants la rend, à mes yeux bien plus belle. Elle en profite pour acheter un chemisier et deux tee-shirts sur lesquels je ne dis rien de spécial puis nous nous dirigeons vers une brasserie pour déjeuner.
Arrivés à table, nous commençons par échanger quelques propos anodins puis très vite, elle me dit :
Elle rougit légèrement et continue :
Elle sourit en me regardant mais ne bouge pas. Je reste là à me demander si elle va s’exécuter ou non. Devant son immobilité, j’en conclus que non. J’en suis profondément déçu. Elle renie sa parole si vite ! Enfin, je n’ose rien dire car je la considère, malgré tout libre de ses choix, exécrant la contrainte. Comme le serveur nous amène l’entrée, nous passons à autre chose et discutons de la pluie et du beau temps. À la fin du repas, alors que nous sommes au café, elle s’excuse et part aux toilettes. Je dois dire que comme nous n’avons pas discuté de ça depuis ma demande, je n’attends rien d’elle. Je suis persuadé qu’elle a repoussé ma demande et est partie assouvir un besoin naturel simplement.
Au bout d’un moment, elle revient et s’assoit en face de moi, nous finissons notre café et partons. Elle ne m’a rien dit, je suis là à me demander ce qu’elle porte maintenant sous sa jupe, j’essaye de deviner en regardant les formes mais bien que sa jupe soit suffisamment moulante, je ne puis présager à coup sûr de ce qui s’y trouve dessous. Nous continuons à parcourir les magasins sans rien acheter, puis, vers le milieu de l’après-midi, nous allons prendre un verre dans un café de Saint-Germain. Nous commandons et tout à coup, sans que je m’y attende le moins du monde, Valérie me lance :
Complètement décontenancé, je lui lance :
En disant cela, je m’attends à ce qu’elle me donne sa culotte qu’elle à dû rouler dans son sac mais elle ne bouge pas et me dit :
Je fais donc sciemment tomber mon mouchoir et me penche. Une fois ma tête arrivée sous la table, je me tourne vers les jambes de Valérie. Elle les entrouvre légèrement, et là, je me retrouve en face de ce que je n’aurais jamais imaginé voir quelques semaines auparavant, ou du moins pas d’aussi près, le sexe de ma belle-sœur. Sa toison, très brune, est peu fournie et proprement coupée. Elle recouvre par contre son sexe et je n’arrive pas à distinguer clairement les lèvres. Je ne sais pas combien de temps je reste là, pantois, j’ai perdu la notion du temps, sûrement que cet instant ne dure que quelques secondes. Toujours est-il que lorsque je me relève, mes joues sont rouges pivoines et que j’ai du mal à dire quoi que ce soit. Heureusement, Valérie prend la parole :
Et sur ce, nous quittons la brasserie pour continuer notre ballade.
Peu de temps après, Sylvie nous appelle pour nous annoncer qu’elle ne rentrera pas dîner avec nous. Elle ne rentrera que dans la soirée. Cela nous laissera le temps d’aller se faire un resto-ciné avant qu’elle ne rentre.
Avant, nous avons l’après-midi devant nous et plein de choses à faire. Pour commencer, un petit jeu à commencer à trotter dans ma tête et je m’empresse d’en parler à Valérie :
Avec un sourire espiègle, elle me répond :
Sur ces paroles intrigantes, je lui dis que je suis d’accord pour parcourir autant de magasins qu’elle veut mais qu’en contrepartie elle devra, à chaque fois qu’elle voudra rentrer dans une nouvelle boutique, remonter sa jupe d’un demi-centimètre. Encore une fois, elle écoute sans rien dire, puis brusquement, s’arrête devant un grand magasin, et juste avant de passer la porte, remonte d’un geste rapide légèrement sa jupe. Je souris intérieurement, l’après-midi comme la soirée promette d’être chaudes. Tout à coup, une idée me passe par la tête, je demande à Valérie de m’excuser et m’absente quelques instants pour passer un coup de fil. Lorsque je la retrouve, elle semble intriguée, mais comme je ne lui dis rien, elle n’ose rien demander. L’après-midi se passe et la jupe de ma belle-sœur s’est dangereusement raccourcie A présent, il ne lui reste que quelques centimètres (millimètres ?) sous les fesses. Par moment, lorsqu’elle s’assoit par exemple, on peut distinguer le haut de ses bas en dentelles.
La proximité de la vue de sa toison me provoque alors une érection difficilement tenable.
Arrive 18h30, et là, tout à coup, je la prends par le bras et lui dis :
Je lis une certaine angoisse en elle, son esprit vagabonde, elle doit se demander ou je l’entraîne et surtout si le jeu ne va pas aller trop loin. Cependant, elle me suit sans rien dire.
Nous arrivons alors dans un cabinet d’esthéticiennes que Sylvie fréquente parfois. Valérie semble de plus en plus étonnée. Elle l’est encore plus lorsque je dis :
La surprise de Valérie. Va-t-elle dire oui, refuser, sortir outrée ? J’angoisse un peu mais plus le temps passe, plus je me dis qu’elle a du accepter. Au bout d’une petite demi-heure, elle revient et nous sortons sans rien nous dire.
Comme l’heure avance, nous décidons d’aller prendre un apéritif avant d’aller dîner. Aussitôt arrivée, je me lance :
Valérie patiente avant de répondre.
Je suis surpris de sa réponse car je ne la voyais pas du tout comme ça. Ma belle-sœur est peut-être bien plus ouverte que ce que je pensais.
Alors là, encore une surprise, je ne m’attendais pas à ça. Nous recommençons alors notre jeu du précédent café, je me penche, et là, Valérie ouvre plus franchement les cuisses (elle a du prendre de l’assurance). Devant moi, je peux admirer son sexe entièrement galbe, je n’ai jamais vu cela, le contraste avec la couleur de ses bottes et de ses bas est frappant. De plus, ses lèvres me semblent plus ouvertes que le midi. Il me semble même qu’elles sont légèrement humides mais je ne peux le dire avec précision. Je tente ma chance :
La suite du dîner est calme, nous échangeons nos points de vue sur l’amour et un tas d’autres sujets, puis Sylvie nous téléphone pour nous dire qu’elle va sortir du travail vers 1h du matin. Je lui propose de passer la chercher en voiture. Comme il commence à être tard (23h), elle accepte car ne se voit pas prendre les transports en commun, à une telle heure. Après avoir été récupérer ma voiture, nous nous dirigeons donc vers la Défense ou Sylvie travaille. Valérie ne s’est pas changée, elle a toujours sa micro-jupe (maintenant) noire, ses bas et ses bottes. Par contre, la température de ce mois de mai ayant progressé, je lui ai demandé de mettre en haut un petit tee-shirt noir à bretelles qui met en valeur ses seins. Par sécurité, elle à tout de même pris un sweet plus épais et plus discret. Sylvie doit penser que la soirée est sur le point de se terminer mais elle se trompe car je lui ai réservé une dernière surprise.
En effet, nous sommes partis avec beaucoup d’avance pour aller chercher sa sœur. Sur le trajet, nous longeons donc le bois de Boulogne du côté des boulevards extérieurs. Pendant, ce temps, j’ai entamé une conversation débridée avec Valérie :
Valérie commence alors un doux ballet avec ses mains, elle s’effleure la pointe des seins que je perçois poindre sous le mince tissu. Sa main droite caresse ses jambes, s’attarde à la lisière de ses bas, à l’intérieur de ses cuisses, ses jambes s’entrouvrent. Délicatement, elle écarte ses lèvres qui n’ont aucun mal à s’ouvrir. Avec son majeur, elle remonte le long de ses lèvres jusqu’à titiller son bouton d’amour. Tandis que sa respiration se saccade, ma vitesse ralentit, j’ai de plus en plus de mal à rester concentré. Je me dirige vers une des contre allées bien connues en ces temps-là (depuis, elles ne sont plus accessibles et l’ambiance y est retombée). Les yeux mi-clos, Valérie me demande où nous allons, je lui dis de ne pas s’inquiéter et de continuer.
Nous nous arrêtons au bord de la route, rapidement, plusieurs hommes entourent la voiture, Valérie sursaute :
J’oublie de dire que si je suis effectivement un habitué, c’est du côté voyeur car jamais nous ne sommes venus ici avec Sylvie.
Valérie se détend et reprend ses caresses, j’ai laissé le moteur tourner car malgré mes déclarations, je ne suis guère rassuré. La voiture est littéralement assaillie de dizaines de paires d’yeux lubriques. La plupart des hommes ont le sexe à la main, d’autres se caressent à travers leurs pantalons. Il y a des jeunes, des vieux, des blancs, des noirs, des beurs… Certains se penchent carrément sur le capot pour se trouver en face du sexe de Valérie. D’autres, ceux qui sont à l’arrière doivent juste fantasmer mais ne doivent rien voir d’autre que le dos de ma belle-sœur.
Celle-ci a reprit ses caresses où elle les avait laissées, par contre, elle a posé ses pieds sur le tableau de bord et reculé le siège. Ses cuisses sont maintenant grandes ouvertes et son sexe béant engouffre par intermittence deux doigts de Valérie, ceux-ci ressortent dégoulinants puis s’en vont titiller le clitoris gonflé de désir. De son autre main, elle a fait sortir un de ses seins et caresse son téton durci par ce contact. Elle halète maintenant franchement en poussant de petits cris aigus. Je n’y tiens plus, jusqu’à présent, je n’ai pas voulu la toucher mais un tel débordement de plaisir m’enivre et je commence à caresser l’intérieur de sa cuisse en remontant à la lisière des bas. Je m’attarde sur le périnée et à la frontière du sexe et des cuisses (c’est l’endroit qui pour moi, est le plus doux chez une femme). Mes doigts sont timides mais lèchent maintenant le bord de ses lèvres complètement ouvertes. La main droite de Valérie est toujours contre son sein sorti, sa main gauche s’active en tournant de plus en plus vite autour de son clitoris et sans crier gare, elle saisit ma main, recourbe deux de mes doigts et se l’engloutit dans son vagin. Sa brusquerie de la manœuvre m’a surpris mais surtout, je n’aurai jamais osé aller aussi loin en elle si elle n’avait pris les devants. Mes doigts sont littéralement aspirés par son sexe qui se contracte, Valérie pousse contre ma main pour les enfoncer encore plus loin, je sens tous ses muscles se raidir et un râle sortir de sa gorge. Elle à joui sous mes doigts comme jamais ça ne m’était arrivé.
Doucement, elle reprend ses esprits, je reprends le contrôle de ma main qui est dégoulinante de liquide vaginal. Valérie rajuste sa tenue tandis que les sexes disposés autour de la voiture se répandent. Je suis stupéfié par la quantité de sperme couvrant les vitres et sûrement la carrosserie. La série de décharge à du commencer depuis un petit moment.
Certains n’étant pas arrivé au bout de leur plaisir et sentant que nous allons partir commence à s’énerver, un brouhaha commence à s’élever et j’entends des mains contre les poignées de portes, je démarre sur des chapeaux de roues. Certains voyeurs se lancent à notre poursuite et le plaisir engendré par l’exhibition se transforme vite en stress. Je suis obligé de prendre quelques sens interdit et de griller quelques feux pour échapper à certains. Quelques-uns sont en moto et, bien que je leur fasse signe de nous laisser, continuent de nous suivre. Pour couper court, je m’engage dans un parking payant et ressort aussitôt par une autre sortie. Après vérification, personne ne nous suit, nous pouvons respirer et nous diriger vers une station de lavage car je me vois mal aller chercher Sylvie avec une voiture couverte de sperme.
La soirée s’est donc terminée tranquillement, chacun dans sa chambre. Cependant, ce soir-là, Sylvie à été à la fête et à bien dû se demander ce qui m’avait mis dans une telle forme.
A suivre…