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n° 07821Fiche technique21161 caractères21161
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Temps de lecture estimé : 13 mn
01/10/04
Résumé:  Un jeune homme entraîne sa belle-sœur dans un jeu pervers.
Critères:  f fh extracon alliance sexshop voir exhib noculotte fist
Auteur : Sylvie et Laurent  (Sylvie & Laurent)      

Série : Valérie.

Chapitre 02 / 02
Suite des aventure avec ma belle-soeur


Après avoir passé un samedi assez chargé, notre journée de dimanche a été des plus calme. Sylvie et sa sœur Valérie ont papoté toute la journée de choses et d’autres. Valérie a par contre passé sous silence notre escapade.

Nous avons donc raccompagné Valérie à son train qui la ramené vers sa province ensoleillée.

Quinze jours plus tard, ma belle-sœur revient nous voir. Auparavant, elle m’avait demandé de venir la chercher à la gare. Je lui avais alors demandé de venir habillée de la même façon que la précédente fois. À savoir, tee-shirt noir à bretelles, mini-jupe noire et bottes. La température, en ce début de moi de juin, ayant bien progressée, j’ai admis le fait qu’elle se passe des bas qu’elle portait pourtant si bien.


Le samedi matin, je me retrouve en train d’attendre ma belle-sœur sur le quai de la gare. Valérie est une jeune femme d’1m65 environ. Elle est mince, avec une poitrine fine (sa sœur, qui lui ressemble sur ce point, fait du 85B). Ses cheveux sont noirs de geais, courts. Ses yeux bleus foncés, sont surmontés de lunettes lui donnant à la fois un aspect sévère et sérieux. Lorsqu’elle descend du wagon, j’ai l’impression que sa présence illumine le quai. Ma récente aventure avec elle a tout de même bien changé Mon opinion. Rapide bonjour puis, après avoir échangé les banalités d’usage, Valérie enchaîne d’emblée en me demandant ce que je lui ai préparé comme aventure aujourd’hui.

Il faut en effet savoir qu’après un accord passé entre nous, Valérie devait être mon « entière débitrice » et exécuter tous mes désirs. Je savais, depuis le dernier samedi passé ensemble, qu’elle avait pris goût à cette perversion et qu’elle souhaitait même parfois que j’entreprenne d’aller plus loin que ce que je proposai.


Avec un petit sourire, je lui dis qu’elle devra attendre l’après-midi pour savoir ou je compte l’amener aujourd’hui. J’adore la faire languir et savoir qu’elle doit s’imaginer des tas de trucs durant ce temps m’excite au plus haut point. Arrivée à la maison, je lui dis que je la trouve très belle dans cette tenue qui la met particulièrement en valeur mais que la marque de sa culotte était très visible sous cette jupe moulante. Valérie me gratifie alors d’un grand sourire et, d’un coup, remonte sa jupe et descend sa culotte, elle l’accroche au bord de la chaise s’assoit et ouvre largement les jambes en me lançant un :



Je suis tout bonnement ébahi. Je ne la pensai pas capable d’une telle chose. Je n’arrive pas à croire que j’ai devant les yeux cette femme, assistante sociale, que je prenais pour complètement coincée quelques temps plus tôt.

Tout en disant cela, Valérie ouvre légèrement son sexe et me lance :



Je suis stupéfait. Moi qui pensai mener la danse me retrouve embarqué dans une spirale bien dangereuse. Car je comptai rester fidèle à Sylvie malgré tout. Ma notion de la fidélité peut faire sourire mais je n’avais jamais envisagé d’avoir une relation avec ma belle-sœur. Même si j’avais pratiqué des attouchements sur elle il y a quelques semaines, je ne voulais pas que cela dégénère.

Je lui réponds donc, avec un grand sourire, que cela ne fait pas partie du programme envisagé. Je la sens déçue mais elle ne dit rien.

A midi, nous prenons notre repas ensemble, et durant tout le temps, Valérie frotte sa jambe contre la mienne. Ce geste, qui pourrait paraître anodin me trouble. Tout d’abord parce qu’elle ne m’avait pas habitué à tant de familiarité mais surtout car je me sens vraiment dépassé. J’ai l’impression que la situation m’échappe. Je reste donc le plus neutre possible et ne réponds pas à ces discrets appels.

Une fois le repas terminé, je reprends (du moi je le crois) le cours des événements et entraîne Valérie dans le quartier que j’avais repéré auparavant. Nous nous dirigeons donc vers la rue de la gaîté, prés de la gare Montparnasse. Valérie semble intrigué car elle ne connaît pas le quartier. Elle semble donc d’autant plus surprise lorsque je la fais rentrer dans un sex-shop.

A l’intérieur, la lumière est tamisé, au milieu s’étale des revues et vidéos dont certaines sont franchement glauques. Deux clients arpentent les allées, d’une démarche peu assurée. Le patron semble aussi passionné qu’une vache regardant passer un train. J’avais pourtant espéré que la présence d’une jolie jeune femme dans son échoppe éveillerait, au moins de la curiosité à défaut de convoitise. Peut-être est-il simplement blasé.

Après avoir parcouru du regard les différents accessoires, j’entraîne Valérie vers le coin des gadgets féminins. Je montre les différents gabarits et type à ma belle sœur en lui demandant si elle a déjà vu de tels objets et si certains lui plaisent plus que d’autres.



Je rougis un peu, décidément la discussion dérape vite.



Je vais alors vers le comptoir et demande au patron si on peut essayer ses jouets. J’avais imaginé qu’il me dirait oui immédiatement, c’est ce que j’avais lu dans pas mal d’histoire. Là, le patron semble hésiter et me dit que, oui, on peut essayer en salon privé si on achète. Je tique un peu mais lui dit qu’OK je vais acheter un des modèles plus des autres accessoires que j’ai déjà choisis. Le gérant me sert donc mes achats et me loue (oui, il faut payer pour ça, contrairement à ce que j’avais lu ailleurs) pour aller en salon privé. Bien que la réaction (après tout compréhensible car marchande) du vendeur m’ait un peu énervé, je n’en montre rien à Sylvie et non descendons vers une salle sombre. Nous nous retrouvons dans une pièce très Kitch, parme, avec une lumière tamisé, un lit bas, une télé diffusant des films pornographiques en boucle et une odeur d’antiseptique très forte. Bref rien de très encourageant mais cet aspect glauque à quelque chose d’excitant. Valérie s’assoit sur le lit, écarte en grands les cuisses en remontant les pieds sur le lit et me dit tout de go :



Je lui tends alors le premier objet, il s’agit d’un cylindre métallique d’une vingtaine de centimètre sans aucune particularité. Je m’attendais à ce que Valérie soit embarrassée avec cet accessoire que je lui tends mais elle le prend et, avec une rapidité et une aisance qui me laisse pantois, le fait pénétrer à l’intérieur de son intimité. Elle entreprend un lent va-et-vient et sort parfois l’instrument afin de se caresser le clitoris. J’ai l’impression que la manipulation d’un tel objet ne lui est pas étrangère contrairement a ce qu’elle m’a dit.

Sa respiration commence à devenir haletante et ses yeux se ferment parfois. Elle sort alors l’engin et me dit tout de go :



Encore une fois je ne réponds pas à sa proposition à peine déguisée et lui dit que j’ai un autre objet à lui faire essayer. Je sors alors les boules de geisha que j’avais conservées. Valérie à l’aire cette fois totalement surprise, ne connaissant à priori pas du tout cet objet ni son utilité. Devant sa perplexité, je lui montre bien l’objet et l’invite à lui montrer son utilisation. Pour ce faire, je m’accroupis devant elle. J’ai alors comme vision les jambes de ma belle sœur, totalement ouvertes, gainée de bas noir, et au milieu ce sexe glabre, légèrement ouvert et totalement humide. L’épisode précédent a laissé des traces d’excitation bien visible ! Je résiste à l’envie d’embrasser goulûment ces lèvres qui ne sont qu’à quelques centimètres de moi et me concentre sur ma tâche. Le chapelet est composé de trois boules de même diamètre, relié par une cordelette blanche. J’introduis délicatement la première boule. Les lèvres se sont ouvertes puis refermés sur celle-ci en émettant un bruit de succion des plus plaisant. Je vois maintenant son sexe fermé laissé échapper la cordelette. Je glisse alors la deuxième boule, elle rentre plus facilement que la première mais Valérie ne peut cette fois retenir un petit soupir. La dernière est littéralement avalée par ses entrailles, ce qui arrache un petit cri très aigu à Valérie. Ses lèvres suintent littéralement de cyprine et je ne peux m’empêcher de poser un baiser, si ce n’est chaste, du moins léger sur ses lèvres si accueillantes. Lorsque je me lève Valérie soupire en me disant :



A contrecœur, Valérie se lève et rajuste sa jupe :



Nous sortons de l’échoppe sans attirer un seul regard du patron. Le seul client restant nous a par contre lancé un regard lubrique plein d’envie.

Ensuite, nous marchons lentement dans la rue en nous dirigeant vers les quais de Seine. Arrivés en bordures du fleuve, je prends Valérie par la taille et nous nous promenons comme deux amoureux. Je suis troublé car cette posture me donne l’impression de tromper Sylvie. Malgré ce que nous venons de vivre avec sa sœur, mon cœur est toujours tourné vers elle. Mais pour l’instant, ce n’est pas mon cœur qui me dirige mais un autre organe dévoré par un appétit comme jamais.

Nous nous dirigeons vers un banc sur lequel nous nous asseyons. Quelques secondes puis je me lève et tel le touriste standard et propose de prendre Valérie en photo. Les deux trois premiers clichés sont softs puis je viens lui glisser à l’oreille que j’aimerai que sa pose soit plus lascive et que je voudrai admirer son entrejambe. Elle s’exécute et les deux clichés suivants sont d’une toute autre nature. On peut y voir une jolie brune présentant un fort contraste. En haut, on voit Valérie, cheveux courts coupés au carré, une paire de lunettes classique surmontant de profonds yeux bleus. Le tout surmontant un tee-shirt noir à bretelle qui dénude ses épaules mais reste chaste. Le bas de la photo est par contre lui totalement différent. Une paire de bottes finit d’habiller deux longues jambes pas trop fines gainées de bas noir. Ses jambes sont largement écartées et l’on peut voir la lisière des bas, haut sur les cuisses présenter un sexe totalement épilé. Ses abords sont humides et son centre laisse échapper la ficelle montrant qu’à l’intérieur siège un objet à fournir du plaisir. Je garde encore maintenant cette image gravée dans ma mémoire seule puisque je n’ai jamais eu le courage de faire développer la pellicule (Ah, si le numérique avait existé à ce moment là).

Je viens me rasseoir à côté de ma belle sœur et lui demande de me décrire ses impressions. Elle me dit que la sensation est étrange. Que parfois, elle ne ressent rien mais que soudain, les boules bougent et s’entrechoquent et que là cela lui lance des décharges électriques telles qu’elle doit se mordre les lèvres pour ne pas crier. Elle me lance :



Je me sens pris à mon propre jeu. J’avais pensé innocemment rentrer chez moi et attendre sagement le retour de Sylvie ce soir sans rien de plus. Je comptai jouer avec le désir de ma belle-sœur mais sa réflexion me donne un sentiment de culpabilité. Je lui propose donc de rentrer car l’après-midi touche à sa fin et sa sœur ne va pas tarder à rentrer.

Arrivé en bas de notre immeuble, nous montons les escaliers pour aller à mon appartement (j’habitai alors au troisième étage). J’avais prévu de faire passer Valérie devant moi et de lui demander de remonter sa jupe pour pouvoir admirer sa croupe mais sa dernière réflexion m’a tellement troublé et désemparer que je préfère laisser retomber la pression jusqu’au retour de Sylvie.

Toutefois, je n’avais pas du tout prévu ce qui aller se passer une fois la porte franchie. Valérie passe devant moi, sans rien dire, je me retourne pour fermer la porte et lorsque je rentre dans le salon, je la trouve allongée par terre, les jambes écartées en grand, elle me lance :



Cela n’est pas du tout ce que je voulais. Malgré la tournure qu’a prise notre relation je comptai rester « fidèle » à Sylvie et ne compte pas coucher avec sa sœur dans notre appartement. Je reste donc debout, sans bouger ni parler.

Valérie tire sur la ficelle et les trois boules s’échappent en laissant échapper trois « floc » qui montre à quel point son sexe est lubrifié. Elle me lance un :



Bien que mon sexe soit tendu au possible, je résiste. Valérie ouvre plus encore ses cuisses, enlève son tee-shirt me laissant ainsi voir ses magnifiques petits seins, en me jetant un :



Me dit-elle en glissant ses deux mains vers son sexe. Ses deux index la pénètrent simultanément et écartent ses lèvres. Pendant ce temps, ses deux pouces enserrent son clitoris et joue avec en le triturant. Ses deux majeurs caressent eux le bas de ses lèvres en s’attardant parfois sur le périnée. Je n’avais jamais vu (et n’ai d’ailleurs jamais revu) une telle façon de se masturber. La petite coquine a dû expérimenter longtemps sa technique pour en arriver là. Cela a pour effet d’ouvrir en grand son sexe. Pour couronner le tout et pour mettre à mal encore un peu plus ma résistance, Valérie commence à gémir et pousse par intermittence de petits cris suraigus. Ses index, parfois aidés des majeurs, entament un va-et-vient parfois lents, parfois ultra rapide. Son sexe engloutis alors 4 doigts simultanément ! Devant mon impassibilité, Valérie se tourne alors d’un coup et se retrouve sur le ventre, sa jupe est entièrement relevée au-dessus de ses fesses. Elle la fait d’ailleurs rapidement passer au-dessus de sa tête et se retrouve alors nue hormis ses bas noirs et ses bottes.

Ses mains ont repris leur travail mais la position qu’elle a prise fait que je n’ai plus une vision aussi clair de ce qui se passe. Ses fesses remontent vers moi et là, alors que je suis sur le point de craquer, je lui demande de s’arrêter.



Jamais je n’aurai cru ma belle-sœur capable de tenir de tels propos. Elle, si discrète, sortir de telles obscénités dans une telle position ! J’en suis abasourdi. Voulant malgré tout la faire cesser, j’essaye de retenir ses mains à l’aide de mon pied mais Valérie plaque son sexe sur celui-ci et mon gros orteil est littéralement happé à l’intérieur de ses lèvres, elle se frotte violemment sur mon pied. J’essaye de le dégager mais je ne fais que m’enfoncer un peu plus. Comme Valérie s’est carrément reposée sur lui, j’arrive même à la faire avancer entièrement sur le parquet en la poussant avec mon pied. J’arrive malgré tout à m’extraire, je suis partagé entre l’excitation et la colère de la voir n’en faire qu’a sa tête (quoique ? Est-ce alors sa tête qui dirige ?). Je m’agenouille entre ses jambes, la prends par la taille et la retourne d’un coup. Je plonge deux doigts directement dans son intimité, je la regarde dans les yeux et lui lance, avec un mélange de défit et de désir :



Cette invitation m’enhardit, sa chatte lisse est littéralement trempée, mouillée comme je ne n’ai jamais vu, de la cyprine glisse le long de ma main et coule même sur mon poignet. Je glisse alors un troisième puis rapidement un quatrième doigt à l’intérieur. Je ne pensai pas qu’un sexe féminin puisse accueillir une telle masse en dehors d’un accouchement. Mon va-et-vient devient moins profond puisque bloqué par mon pouce mais cela n’empêche pas Valérie de se tordre de plaisir sous mes doigts. Tout à coup me vient une idée mais non, ce n’est pas possible. Enfin, après tout, elle m’a dit de faire ce que je voulais, alors je commence à presser mon pouce contre ses lèvres. J’avais imaginé que le processus serait long (s’il aboutissait) mais en fait ma main entière est littéralement happée par le sexe maintenant béant de Valérie. Mes doigts s’agitent à l’intérieur, parcourant son intimité au plus profond.

Valérie qui avait remonté ses mains derrière la tête se jette alors sur ma braguette et cherche à ouvrir mon short. Bien que l’envie soit terrible, je glisse en arrière et me mets à embrasser son clitoris tout en conservant ma main à l’intérieur. Son bouton est gonflé terriblement, il ressemble carrément à un petit pénis. Il glisse sous ma langue tandis que Valérie gémit de plus en plus fort et se frotte littéralement à mon visage.

Tout à coup, elle se raidit et pousse un hurlement comme je n’en ai entendu. C’est un cri a la fois grave et comportant des notes aiguës. Il est d’une telle intensité que tout l’immeuble doit entendre et doit croire que quelqu’un est en train de mourir ! Au même instant un jet de liquide m’inonde littéralement la main. Là encore je n’avais jamais eu et n’ai jamais rencontré depuis un tel phénomène. Même dans les plus gros orgasmes de Sylvie, jamais elle n’a répandu une telle quantité de liquide. On a l’impression qu’elle vient d’uriner par terre.

Tandis que je me recule et sort ma main, je sens tous les muscles de Valérie se relâcher, elle à l’air extenuée mais ravie. Elle se relève et avec un sourire tendre et coquin, se penche vers moi. Je meurs d’envie de me laisser aller sous ses caresses mais l’heure ayant tournée, Sylvie est sur le point de rentrer. Je n’aimerai pas avoir à expliquer le pourquoi de notre position comme dans un mauvais classique de boulevard. Je me relève et entreprends de nettoyer le plancher en vitesse. J’éponge le liquide en espérant qu’aucune trace ne restera. Pendant ce temps, Valérie part se rhabiller dans la salle de bain.

Au même moment, j’entends la clé dans la porte, Sylvie est en train de rentrer. Je suis mort de peur car je crains qu’elle ne devine ce qui s’est passé. Elle ne fait cependant aucune remarque et elle se met à parler à sa sœur de choses et d’autres. Dans ma tête, je suis encore tout chamboulé, je cours donc m’enfermer aux toilettes et tout en écoutant mon amie et sa sœur parler, je me masturbe deux fois de suite sur la cuvette des toilettes. Le reste de la soirée comme du week-end sera bien plus conventionnel. Je ne reverrai pas Valérie en tête-à-tête et nous n’échangerons que des banalités.


Cette aventure a été le sommet de notre relation. Sylvie ayant, peu de temps après, changé de travail était libre le samedi, de ce fait, elle passait ces après-midi avec sa sœur. Notre relation s’est donc normalisée. Les quelques conversations que j’ai eues avec ma belle-sœur en tête-à-tête depuis ont été des plus banales. Et puis, elle a rencontré un homme avec qui elle vit maintenant et nous n’avons plus jamais évoqué cet épisode de notre vie qui reste tout de même à jamais gravé dans mes souvenirs.