n° 07376 | Fiche technique | 12341 caractères | 12341Temps de lecture estimé : 8 mn | 03/07/04 |
Résumé: Une série de 4 nouvelles sur la rencontre passionnée d'un français en voyage d'affaire, avec une beauté asiatique. | ||||
Critères: fh asie hotel cunnilingu pénétratio | ||||
Auteur : FCTyler |
DEBUT de la série | Série : Taiwan Tour Chapitre 01 / 02 | Épisode suivant |
« Mesdames et Messieurs, c’est votre commandant de bord qui vous parle. Il est maintenant 9h35, et nous sommes arrivés à l’aéroport SKS de Taiwan. La température est de 35°C. Nous espérons que vous avez effectué un agréable vol et blablabla… »
35°C ! Je me dis que la semaine va être dure ! En voyage à Taiwan pour affaire, je devais visiter un important fournisseur pour ma boîte.
La semaine devait se diviser en deux parties : discussions sur les prochaines commandes et sur les tarifs, visite d’usine, et rencontre avec les ingénieurs. Puis, plus agréable, visite touristique de l’île pendant trois jours.
Tout est prévu dès mon arrivé, un chauffeur m’attend et m’amène directement à l’usine, où m’attend mon premier rendez-vous.
La journée enchaîne les discussions techniques, les délais de livraison… En fin de journée, je me sens complètement à plat, le décalage horaire de 6 heures a raison de moi. Heureusement, il est l’heure de rentrer à l’hôtel.
Il m’emmène dans le bureau du PDG, où celui ci discute avec une femme assise dans un confortable fauteuil me tournant le dos.
Moi, qui suis sensible à la beauté asiatique, je suis complètement saisi.
Il semble qu’elle n’en finisse pas de se lever. Beaucoup plus grande que ses compatriotes, un ample pantalon et une fine chemise au manche courte donne à chacun de ses mouvements une impression de fluidité et de grâce.
Son visage est celui d’une poupée de porcelaine. Le teint légèrement halé, ses yeux sombres sont ceux d’un chat. Ses cheveux sont coiffés à la mode japonaise : relevés sur sa tête et attachés de deux baguettes. Son grand sourire est franc, et illumine son visage. En un instant je suis sous le charme.
Son regard est direct. Elle me fixe en souriant.
Le PDG coupe cet instant magique.
Scott et Ming me raccompagnent à l’accueil où mon chauffeur m’attend. Après une dernière salutation, je m’apprête à quitter le bâtiment quand Ming m’interpelle.
D’un air légèrement troublé, elle me demande en français
J’oublie ma fatigue et le décalage horaire.
Sur ces mots, nous nous quittons. Durant le trajet, je me demande la raison de ce changement de programme. Et elle m’a parlé en français, comme pour cacher ce petit programme à Scott.
Arrivé à l’hôtel, je me précipite à la douche, et à peine dix minute plus tard, je m’effondre endormi sur le lit.
…
La sonnerie du téléphone retentit… je suis un peu perdu, mais décroche machinalement le combiné.
Merde, il est presque 9h20… j’essaye de rattraper le coup avant que l’oiseau ne s’envole !
Je raccroche, me lève d’un bond et m’habille rapidement : Pantalon en toile, chemise légère et mocassin. Je claque la porte et en moins de 5mn je suis en bas de l’hôtel.
Ming est en bas et tout le monde n’a d’yeux que pour elle. Grande tel une statue grecque au milieu du hall, sa pureté irradie autour d’elle et tous : Hommes ou femmes ne peuvent que tourner les yeux vers elle, qui, totalement inconsciente de trouble qu’elle provoque, me regarde en souriant.
Ses cheveux sont maintenant détachés et retombent gracieusement sur ses épaules et bas dans son dos. Un chemiser léger met en valeur sa poitrine et sa taille fine. Elle a échangé le pantalon ample contre une courte jupe qui dessine le galbe de ses hanches et la perfection de ses jambes, décidément si longue.
Bêtement, je suis intimidé de m’approcher d’elle… Il faut que je me calme et retrouve mon sang froid !
Je croyais connaître la ville comme ma poche, et commençait à m’y ennuyer. Ming me fait découvrir des quartiers dont je ne soupçonnai pas l’existence. Caché au cœur de la ville, ils sont fréquentés essentiellement par des étudiants. Elle m’emmène manger dans un restaurant où un groupe acoustique joue en fond sonore de vieux standards de blues. Le repas est léger et raffiné… mais tout me semble lointain et irréel, hormis la présence de cette femme.
Les conversations sont diverses, et ne retombent jamais dans le professionnel. Nous parlons de Paris, du Canal de l’Ourcq, de la Dordogne qu’elle adore ainsi que des châteaux de la Loire. Et nous parlons aussi de nous : de nos ex, de mon travail trop masculin pour des rencontres. Ming est très courtisée, mais beaucoup d’hommes ne supporte pas d’être accompagnés d’une femme les dépassant d’une bonne tête. Dans la culture asiatique, sexe faible n’est pas qu’une image et la femme doit être soumise. Ming m’avoue aussi son faible pour les Européens et plus précisément pour les Français.
Nos regards sont alors plus profonds, nos mains plus proches, et nos jambes s’effleurent sous la table. L’attirance est clairement réciproque, et vite après le café nous décidons de sortir.
Nous marchons silencieusement dans les rues animées, et nous rapprochons d’un point de vue surplombant le fleuve. La nuit est claire, je la regarde, et attiré tel un papillon vers la lumière, mes lèvres s’approchent des miennes qu’elle happe pour ma perte.
…
La porte de ma chambre d’hôtel claque derrière nous… Nos langues dansent un ballet passionné. Ming s’est jeter sur moi, et sans quitter ma bouche, elle entreprend d’enlever ma chemise, je sens un bouton craquer. Ses mains glissent sous le tissu et caresse ma peau et ma poitrine, puis revienne à mon visage.
Je la prends par la taille et la fait pivoter. À son tour, elle est dos au mur et tout en embrassant son cou, je glisse mes mains à sa poitrine. Je saisis les bords de son chemisier et l’ouvre d’un geste : Vive les boutons pressions. Son soutien blanc en dentelle mets en valeur ses seins, que je couvre de légers baiser. J’abaisse un bonnet pour découvrir un téton sombre et dressé. Mes lèvres s’en saisissent et Ming pousse un gémissement de plaisir.
Ses mains me pressent contre son sein dont je me délecte. Mes mains font tomber le chemisier à terre, et lentement je m’agenouille devant cette déesse. Elle ferme les yeux comme un acquiescement à l’offrande que je vais lui apporter. Je fais glisser le zip de sa jupe qui coule le long de ses jambes. Je me retrouve face à un string blanc me cachant l’objet de ma convoitise. Au travers le tissu, j’embrasse son mont vénus, et donne de petit coup de langue vers son clito. Je sens son odeur intime et comme une décharge d’adrénaline, je me mets à dévorer son sexe.
Elle relève une jambe pour me laisser plus de champs. Tout en attirant ma tête contre sa vulve, elle ondule d’avant en arrière pour soulager son désir sur ma bouche, mon nez, mon menton. Le string n’est plus qu’un fil trempé entre ses lèvres que j’aspire et pénètre avec ma langue.
Soudain, elle se fige et ses jambes enserrent ma tête au point presque de m’étouffer contre sa vulve. Un long gémissement monte de sa gorge, très aiguë comme une plainte et je sens les contractions de la jouissance agiter son ventre. L’étau se desserre, elle attire ma tête, son jouet vers le haut et tout en me relevant nous nous embrassons, mon visage barbouillé de sa cyprine.
Elle m’entraîne par la main vers le lit. Toujours debout nous nous embrassons longuement. Mes mains caressent son corps, ses fesses, glissant sous la ficelle du string, jouant avec ses deux globes alors qu’elle frotte son ventre contre mon sexe tendu sous mon pantalon. Elle s’écarte un peu et tout en me regardant, elle défait ma ceinture, baisse la fermeture et rapidement se saisi de mon sexe. La douceur de sa caresse me fait gémir, et devant mon plaisir, Ming se mord la lèvre inférieure, puis se saisit de ma bouche. Je laisse mon pantalon tomber et me débarrasse de mon caleçon. Un peu en équilibre, elle en profite pour me pousser légèrement en arrière et tombe ainsi à la renverse sur le lit. Elle rit de me voir ainsi allonger, la queue dressée.
Ming, toujours les yeux rivés dans les miens, une moue coquine aux lèvres, se défait langoureusement de son string. Son sexe apparaît alors finement dessinée.
Féline, elle s’approche de moi, monte sur le lit a quatre pattes. Ses seins pointe vers mon sexe, et elle en profite pour le caresser un peu de ses tétons. Puis elle continue sa progression jusqu’à ce que nos bouches se retrouvent et reprennent un long baiser.
Sa main reprend une douce caresse de mon sexe, puis le dirige vers sa fente. Tel un gode, elle s’amuse à se caresser doucement avec ma queue. Elle glisse mon gland entre ses lèvres, le frotte contre son clito, le ressort et recommence. Elle gémit tout en m’embrassant. Je me contente de caresser son dos, ses fesses, flatte son anus, sans aller plus loin.
Finalement, elle se laisse doucement descendre sur mon sexe, et je vais au plus profond d’elle. Je me sens enserrer dans un doux et étroit fourreau. Ming se redresse, se cambre légèrement en arrière et ses seins pointe fièrement sous mes yeux. Elle pose ses mains sur mes cuisses, écartant un peu plus ses jambes, et commence à onduler doucement son ventre d’avant en arrière. Mon sexe frotte contre son Point G, et je la sens son sexe se contracter par les premiers spasmes de l’orgasme.
Dans un cri de plaisir, elle s’abat sur moi, sa tête dans mon coup.
Je me saisi de ses fesses, la soulève un peu, puis me mets à faire de rapide et amples va et viens. Nos ventres frappent l’un contre l’autre, couvert par sa jouissance qui ne semble pas finir. Souhaitant l’accompagner, j’accélère encore et le rythme devient si violent que le lit cogne fort contre le mur. Ming pousse de cri, et dit des mots que je ne comprends pas, mais que je suppose être une supplique à continuer, alors, je passe le point de non-retour et lance mon ventre à la rencontre du sien. Je sent ma queue taper au fond de son vagin, et puis au bout de quelques secondes, un jouissance me submerge, partant de mes reins et montant jusqu’à ma tête. Ming et moi nous écroulons l’un contre l’autre, terrassé par cet orgasme.
… à suivre.