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Temps de lecture estimé : 9 mn
16/08/04
Résumé:  Après sa rencontre avec Ming, Eric découvre l'ile et son folklore
Critères:  fh asie jardin caférestau fellation cunnilingu pénétratio fdanus
Auteur : FCTyler      

Série : Taiwan Tour

Chapitre 02 / 02
Le salon de thé


Je me réveille, il fait jour et le lit est vide. Je crois bien que le décalage horaire à eu raison de moi. J’ai dormi comme une souche. Pas très galant pour une première nuit d’amour !

Un mot est posé sur la table de chevet :


« Eric, je dois préparer notre excursion. Prends ton temps, je passerai te prendre vers 10h… à moins que tu ne dormes encore ! Je t’embrasse. Ming. »


Je regarde l’heure : 8h45. J’ai donc tout mon temps. Mon voyage s’annonce encore plus passionnant que prévu. Je repense à cette première nuit avec Ming, à ses formes sculpturales, à sa fougue, à sa façon de jouir… et je m’imagine milles scénarios érotiques. Mon sexe se dresse, exprimant son accord tacite. On s’est toujours bien entendu !


Lavé, habillé, je prends un rapide brunch et attends Ming à la réception.

Ponctuelle, le scénario de la veille au soir se rejoue, l’actrice à seulement changer de garde robe. Un T-shirt à la mode moule ses seins, et une courte jupe dessine ses hanches, dévoilant ses jambes. Elle a rattaché ses cheveux en natte. Elle porte ses lunettes de soleil sur le haut du front.

Ming s’avance vers moi, et sans aucune gêne m’embrasse à pleine bouche devant tout le monde. Mon naturel timide est mis à rude épreuve.



Une voiture de sport est garée devant l’hôtel. Les kilomètres défilent… Ming me parle de l’histoire de Taiwan, de cette culture chinoise forte et précieusement conservée… Nous arrivons dans un village de montagne et visitons un temple bouddhiste magnifiquement préservé. Nous déambulons dans le jardin, puis nous asseyons sur un banc de pierre, qui dévoile un large point de vue sur les montagnes embrumées. Ming se love contre moi, et nos lèvres se trouvent, puis nos langues.



Malgré ces mots, elle m’embrasse fougueusement et pose sa main sur mon sexe. Elle me masse mon érection de plus en plus forte. Fou de désir, je caresse ses seins libre sous le Tshirt. Je sens la pointe dur sous mon pouce, et je les fait rouler sous mes doigts. Dans ma bouche, Ming gémit. Prenant encore plus de risque, mon autre main remonte l’intérieur de sa cuisse. Sa peau douce m’électrise, et ma main continu son chemin vers la chaleur de son ventre. Imperceptiblement, elle écarte ses jambes pour laisser ma main monter au plus haut. Mon index finit par toucher le tissu moite. De deux doigt, je masse lentement de haut en bas son sexe, et le fin tissu pénètre entre ses lèvres intimes. Je sens son clito sous mon majeur, j’insiste dessus. Ming pousse un cri… et presque au même moment, j’entend des pas dans le gravier. En un sursaut, nous reprenons une attitude plus innocente. Mais à l’hilarité des 3 jeunes filles une fois qu’elles nous ont dépassé, je doute que nous avons fait illusion.

Rouge de honte, Ming éclate de rire. Nous nous levons pour continuer notre visite. Mais, Ming se ravise et me fait face. Elle me prend la main, et tout en me regardant droit dans les yeux, entreprend de sucer les doigts qui, quelques secondes auparavant, caressaient son intimité.



Notre visite continue , égrenée d’embrassades dans les alcôves et d’étreintes dans les allées désertes. Il est presque 17h, et nous marchons maintenant dans le village. Ming m’entraîne vers un temple bien plus petit, qui une fois à l’intérieur s’avère être un salon de thé. Une hôtesse nous accueille, habillée d’un costume traditionnel : une longue tunique de soie multicolore.

Ming lui dit deux phrases, et la femme nous fais signe de la suivre. Nous longeons donc la salle principale où des familles partagent le thé. Au bout de la pièce, notre hôtesse fait glisser une porte, et nous parcouront un long couloir richement décoré, ignorant plusieurs portes menant à des pièces plus intimes. Au bout du couloir, nous nous arrêtons devant une lourde porte à deux vantaux en bois sculptés. Les portes s’ouvrent sans un bruit, et je note au passage que certains décors sont… suggestifs !


Une autre porte en papier de riz coulisse et nous entrons dans une large pièce décorés traditionnellement.

Une large table basse carrée est au centre, des coussins sont posés tout autour. D’un mot, la femme nous quitte refermant d’abord la cloison coulissante, puis la porte sculptée. Ming ferme la porte avec un loquet en bois, et m’explique :



Ming se dirige derrière un paravent situer à l’angle opposé. Une fois nu, je passe la tunique qui est en fait une sorte de peignoir en soie blanche. Je m’agenouille ensuite devant la table, et attend.

Ming réapparaît, vêtue également d’une tunique, par contre beaucoup plus courte. Elle s’arrête à mi cuisse et me permet d’admirer ses magnifiques jambes. Ming porte un plateau qu’elle dépose sur la table à ma droite. En s’accroupissant, la tunique remonte et me dévoile ses fesses nue.

Elle entame alors le cérémonial du thé. Elle verse une première fois de l’eau bouillante dans les minuscules tasses pour les chauffer et rincer, puis les rempli d’un thé de couleur sombre et à l’odeur puissante.

Je la regarde faire, nous n’échangeons pas un mot. Le moment est magique.

Elle me montre comment déguster le thé, doucement. Le liquide est brûlant, âpre mais avec un note parfumée très agréable. Nous le dégustons en silence en nous regardant dans les yeux.

Puis Ming pose sa tasse et fait glisser sa tunique. Nue, elle reprend alors la dégustation du thé, un petit sourire aux lèvres. La chaleur de la pièce cumulée au thé bouillant rend sa peau brillante. Assise en tailleur, je vois son sexe légèrement ouvert, laissant apparaître le rose nacré de son intimité. Je commence à bander fortement, à tel point que mon sexe sort du peignoir. Ming s’approche alors de moi, et pose sa tasse a côté de la mienne. Elle m’embrasse alors, et nos langues brûlantes se trouvent et tournent ensembles. Ming me force à m’allonger et commence à m’embrasser le cou, le torse, ouvre mon peignoir et descend vers mon ventre.

Elle prend mon sexe dans sa main, et me prends dans sa bouche. La sensation de sa bouche encore brûlante du breuvage est unique. Sa langue tourne autour de mon gland, elle m’aspire, caresse le frein. Je suis au supplice.

Elle calme le jeu, en déposant de petits baisers sur toute ma verge. Puis elle reprend sa tasse, boit une nouvelle gorgée, et immédiatement, reprend sa fellation. Je ressent comme une brûlure, presque insupportable, mais mon sexe grossit encore, et les sensations semblent multipliées. Je sens sa langue encore plus douce. Elle reprend ce manège plusieurs fois. Je ne suis plus qu’un sexe, et mon esprit n’est tourné que sur les sensations incroyables que me prodigue ma concubine. Au bord de l’explosion, Ming s’arrête encore une fois, prend une grande gorgée de thé, mais au lieu de l’avaler, la garde en bouche. Elle fait pénétrer mon sexe entre ses lèvres close, et je ressent alors une chaleur et une douceur encore plus forte que les précédentes. Sa langue tourne, et je sens le liquide chaud tout autour. C’est plus que je ne puis en supporter, je joui alors dans sa bouche. Ming avale le thé et ma semence. Elle me sourit, et se recule. Elle me ressert un thé, puis reprend sa place.


Après quelques secondes, je reprends un peu mes esprits. Ming sirote son thé, comme si de rien n’était. Elle a accompli son devoir. Mais je ne l’entend pas de cette oreille, sans même me rhabiller, je me lève et m’approche d’elle.



Je l’embrasse à pleine bouche. J’ai la saveur bien particulière du thé et de mon sperme dans sa bouche. Le mélange est douceâtre. Elle se laisse tomber en arrière et nous nous retrouvons l’un sur l’autre dans les coussins. Je quitte sa bouche pour descendre bien vite à son ventre, à son sexe. Sa chatte est trempée, toute à mon plaisir, elle en a oublié le sien. Mais très vite, je lui rends sa caresse.

Ma langue la fouille et explore les recoins de son intimité. Elle a écarté ses cuisses au maximum et ses doigts écartent ses lèvres pour me permettre d’aller au plus loin. Elle coule littéralement. Je me relève à mon tour, la regardant dans cette pose indécente. Je me ressert une tasse de thé, prends une gorgée et redescends à son sexe. Ma langue brûlante va à la rencontre de son clito. Son sexe me paraît presque frais, par contre Ming pousse un cri lorsque je la touche. Je n’en continue pas moins mon manège. Je reprends cette caresse plusieurs fois et je m’enivre de ce doux nectar de sa cyprine et du thé.

Je prends ses fesses par dessous et la soulève un peu. Je descend alors ma langue de sa fente à son anus. Ming gémit de plus belle. Elle se caresse le clito, et glisse deux doigts dans sa fente. Comme en transe, elle cherche l’orgasme, le plus vite et le plus fort. Je prends une dernière fois la tasse, et au lieu de la boire, verse le liquide devenu tiède sur son sexe et entreprend de le lécher de son sexe à son cul. Cette dernière caresse achève Ming dans un orgasme puissant.


Par contre, mon sexe lui est tendu au maximum et je ne veux pas en rester là. Ming reprenant à peine ses esprits, je lui fait changer de position. Je pousse tasses et théière, et place Ming à plat ventre sur la table basse. Ses tétons se durcissent instantanément au contact froid de la table. Je la prend par les hanches, et sa croupe s’offre à ma vue. Devant une tel beauté, je ne peux résister à l’embrasser. Ma bouche entre ses fesses, ma langue allant de son anus à son sexe la réveille, elle pousse ses fesses sur mon visage.

Je me redresse et place ma verge à l’entrée de son vagin. D’un mouvement ample, je la pénètre de toute ma longueur. Nous poussons un même cri de plaisir. Une fois de plus, nous perdons pied, avec un frénésie totale je la pistonne autant qu’elle se projette à l’encontre de mon sexe. Le claquement de ses fesses contre mon ventre est bruyant, mais totalement couvert par nos cris de plaisir. La vue de mon sexe entrant et sortant de sa chatte me rend fou. Je vois son anus encore dilaté par mon exploration buccale. Je pose une main sur sa fesse et fait glisser mon pouce dans son sphincter qui m’accueille aussitôt. Ming en perd le rythme, en deux coup de reins je la remets sur la bonne voie. Je cale le rythme de nos ventre sur celui de mon doigt. Je sens mon plaisir monter, venir de très loin. Ming est complètement allongée sur la table, le visage de coté, sa respiration haletante fait une trace de buée. Ses seins pressés sur la table bougent au rythme de mon va-et-vient. Seul ses cuisses tiennent bon la position. Je sens le plaisir m’atteindre de plein fouet. Je continue à la pistonner pour autant. Je sens les spasme de son anus autour de mon pouce, signe de sa jouissance. Je joui longuement en elle, puis m’écroule dans les coussins.


Une minute passe, égrené par notre respiration. Puis Ming se love à mes cotés et pose sa tête sur mon épaule. Elle rit doucement.



Nous rions ensemble. Ma main joue avec la pointe de ses seins.



Ming se lève un peu et me regarde droit dans les yeux. Je sens qu’elle me jauge. Sa parole n’est pas légère. Je sais que cette soumission ne peut aller au delà de certains interdits, mais que cela laisse quand même énormément de territoires à explorer. Je sais que je devrai l’explorer à ses limites, sans pour autant les franchir.

Elle lit tout cela dans mes yeux, alors approche son visage du mien et murmure un dernier mot avant de m’embrasser.



à suivre…