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Temps de lecture estimé : 8 mn
22/08/04
Résumé:  Une après midi excellente, passée en bonne compagnie, et qui se finit...
Critères:  fh copains école volupté massage intermast humour
Auteur : Lyat  (JH de 24 ans, étudiant, aimant la vie, les femmes, ...)            Envoi mini-message

Série : Une jeunesse bien cool

Chapitre 02 / 03
Après midi parisienne


Cela fait maintenant plus de trois ans que je suis avec Sophie. Le belle jeune fille, qui au début de notre relation était joueuse et ouverte côté jeux coquins, a fait place à une jeune femme assez rigide et ne voulant surtout pas sortir du train-train habituel. Fellations sur le lit ou debout, branlettes, cunnis, missionnaire et levrette. Après, c’est tout. Etant très endurant, la plupart du tout je dois me finir tout seul car elle a déjà bien jouis et elle ne supporte plus ma pénétration ni mon rythme car elle est toute irritée. En bref, ce n’était plus ça. Que de belles promesses à l’origine… Et très peu de fantaisies : string uniquement les « jours de fête » (sorties, réceptions chez des copains), jamais en jupe ni courtement vêtue, sous-vêtements style Petit Bateau.


Malgré tout, je lui restai fidèle car notre relation ne s’arrêtait pas uniquement à cela. Nous partagions tant et cela valait ces petites brimades. Des copines très jolies m’avaient déjà fait des avances, mais je les avais décliné poliment, expliquant ma fidélité à Sophie.


Progressivement, cela empira. Plus une semaine sans deux ou trois prises de tête ou engueulades. Puis encore plus souvent. Quelques trêves adoucissaient le climat tendu, mais la reprise était rapide. Nous partagions tant de choses pourtant… Etant d’un naturel franc, je lui dis tout ce que j’avais sur le cœur… mais le plus souvent elle acquiesçait sans vraiment écouter ni vouloir comprendre…


Enfin, un jour je me décidai à tout lui dire, de A à Z et de faire un break entre nous. Evidemment, elle s’exclama que c’était n’importe quoi, que nous nous entendions très bien et pris le tout très mal. Elle partit de chez moi en pleurs sous le regard attristé de mes parents qui étaient dans le salon au rez-de-chaussée.




J’étais moi-même bien triste par tout ça, mais cela me semblait nécessaire. Deux jours plus tard, j’eus l’agréable surprise d’avoir un coup de fil de Laure sur mon portable me proposant de me faire une journée avec elle sur Paris pour me changer les idées. OK, Jeudi alors ! Ce qui me laissait 4 jours…


Laure était un copine de boulot que Sophie m’avait présentée et avec laquelle je m’entendais très bien. Trop bien même peut-être comme me le fit remarquer mon frère et ma sœur quand elle venait à la maison.


Je reconnais que j’étais très attiré par elle, car elle me correspondait tout à fait pour le caractère, les activités, les centres d’intérêts. Elle était très différente de Sophie, mais beaucoup plus proche de moi. 1,70m environ, les cheveux bruns coupés au carré, un superbe sourire et un regard joyeux. Je craquais vraiment sur ces expressions de visage.


Notre relation était tout à fait normale jusqu’au jour où je lui proposais une journée ensemble lors d’une conversation MSN. Sophie était partie au ski. Laure était en vacances et un peu désœuvrée, et moi-même ayant un peu besoin de sortir, n’étant pas parti avec Sophie pour cause de préparation à des concours. Mais une journée de détente n’a jamais tué personne. Et j’en avais bien besoin. Donc, pour en revenir à MSN, je lui proposais une folle journée parisienne : Big Fish, puis ensuite expo au Museum d’HN et balade dans le parc. Elle me dit que cela la gênait par rapport à Sophie…je lui répondis que cela serait notre petit secret…je continuai à ce petit jeu ambigu… pour finalement être l’attrapeur attrapé ! Elle finit notre discussion sur deux trois phrases plus qu’ambiguës et me laissa sur ma faim jusqu’au jeudi prévu. Le mercredi soir, j’avais un mail m’expliquant qu’une réunion de boulot lui tombait dessus et qu’elle devait y aller absolument. Et voilà ! Histoire à l’eau et pas moyen de remettre ça… Que j’étais énervé. Je la menaça de toute sorte de sévices à notre prochaines rencontre, mais elle m’expliqua alors calmement que ce style de jeu ne la branchait pas du tout. Dommage, me disais-je, moi j’aime bien un peu de temps en temps…


Puis plus rien…


Un autre plan pour se faire un ciné moi, elle et Sophie pris l’eau lamentablement… Décidément… Grrr….


Et finalement ce coup de fil inespéré !




Je n’avais pas trop envie de me lancer dans quoique ce soit avec elle… du moins pas en ce moment… Mes oraux approchaient rapidement, ma préparation stagnait, j’avais pas mal de problèmes à gérer. Pas besoin d’en rajouter en sortant avec une des meilleurs amies de mon ex.


Le jour venu, je me préparais, et arrivai au rendez-vous 5 minutes en avance comme d’habitude. Mince ! C’est vrai qu’elle est toujours en retard…Tant pis, j’endurais alors le quart d’heure en retard réglementaire de la miss. Quand je la vis sortir de la bouche du métro, mon attente valait bien cette peine ! Lunettes de soleil dans les cheveux détachés, superbe sourire, pull légèrement décolleté mauve et pantalon moulant noir mettant en valeur ses belles jambes.


Bises de rigueur et hop ! C’était parti. Ciné dans le quartier de St Michel pour voir un Burton qu’elle n’avait pas encore vu, restaurant japonais, puis cap sur le Museum d’histoire naturelle. L’exposition sur les Mammouth visitée, nous nous dirigeâmes vers le pars pour profiter du beau temps. Nous discutâmes de tout et de rien, de ma récente rupture, des études, d’elle, de moi… Il commençait à faire un peu froid, et nous nous dirigeâmes vers un café proche pour nous réchauffer et boire un coup. Un café, puis deux bières pour moi et un petit whisky, offert par le patron qui était un ami. Un café et un Monaco pour Laure qui disait ne pas tenir du tout l’alcool. L’alcool, justement, me détendait un peu et me faisait partir dans un peu tous les sens dans la conversation. Je lui parlais des superbes salles de cours dans lesquelles j’étudiais à la Sorbonne, du Grand Amphi, de l’amphi Richelieu… Elle me dit qu’elle adorerait les visiter, mais qu’elle ne pouvait certainement pas.



Je la pris par la main et régla la note puis on se dirigea vers la Sorbonne. L’entrée ne fut qu’une formalité et je lui fis visiter alors toutes les salles que je connaissais. Elle en était enchantée !


Enfin, nous trouvâmes un petit coin tranquille au chaud où nous échouâmes, un café à la main.


On discuta alors de ma nouvelle condition de célibataire. Elle aussi l’étais et je lui demandais en riant depuis combien de temps pour elle et ce qui était le plus difficile.


Cela faisait deux ans qu’elle était célibataire. Je la coupais en lui disant que je n’étais pas prêt à endurer deux ans d’abstinence ! (ça c’était vrai, mais l’effet de l’alcool y était pour quelque chose à mon avis pour que je le dise à haute voix). Elle fit une moue dubitative et m’expliqua qu’on faisait comme on pouvait et quand on ne trouvait que des abrutis…



Je lui caressai et pris son visage de ma main droite.



Elle eut un petit réflexe de recul, puis se laissa faire. Sa bouche s’ouvrit et nos langues s’entremêlèrent, d’abord doucement, puis avec de plus en plus d’intensité.


Après quelques minutes je me dégageai alors et la regardai dans les yeux. Ceux-ci semblaient être un peu embués par un début de larmes.




Aucune réaction négative, mais plutôt un petit soupir encourageant des plus prometteurs. Je lui embrassais le cou tout en continuant de m’activer doucement mais sûrement dans sa petite culotte. L’espace étant limité, je lui défis deux boutons. Mes doigts glissaient sur ses poils pubiens, puis arrivés près des grandes lèvres, commencèrent les caresser de l’extérieur. Je sentis des petits tressaillements le long de son corps. Son plaisir devait être long… Progressivement, mes doigts agiles s’approchaient de sa minette que je devinais toute mouillée par mes petits jeux digitaux. Ses petites lèvres dépassaient largement et dès que mes doigts les rencontrèrent, les yeux de Laure se révulsèrent accompagnés d’un petit gémissement. Je continuais consciencieusement mon ouvrage, m’attaquant à l’intérieur de son petit minou, jouant avec ses lèvres, titillant par moment son clitoris, changeant de rythmes et de techniques. Sophie raffolait de mes séances où je la masturbais longtemps. Elle disait que j’avais des doigts de fée et une technique comme elle n’en avait jamais rencontré. Et apparemment Laure appréciait aussi.


Sentant sa jouissance venir, je lui prodiguais avec toute mon attention un final dont elle se souviendrait longtemps.


Et en effet, sa main m’agrippa avec force la cuisse, plantant ses ongles dans mon pantalon, ses yeux se révulsèrent et elle émit un long gémissement. Heureusement que j’avais eu le réflexe de la bâillonner en l’embrassant à pleine bouche. On était pendant les vacances et dans un coin tranquille, mais tout de même des élèves et des profs pouvaient passer dans le coin et nous entendre !


Je sortis alors ma main de son pantalon et la porta à mes narines pour sentir ses effluves qui étaient… hum… délicieuses. Puis je suçai alors mes doigts tout en la regardant revenir à elle. Je lui fis un petit clin d’œil !



D’un coup nous nous retournâmes car la porte à battant venait de s’ouvrir brutalement. C’était un de mes profs qui me jeta un coup d’œil et vit deux jeunes l’un à côté de l’autre tendrement enlacés.



Je partis à sa suite, laissant Laure seule dans les couloirs de la Sorbonne… Pfff, quel manque de pot décidément ! ! . . .