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n° 07721Fiche technique13275 caractères13275
Temps de lecture estimé : 8 mn
20/09/04
Résumé:  La revanche de la dernière fois avec Laure...
Critères:  fh copains école voir exhib lingerie fetiche intermast fellation cunnilingu jeu
Auteur : Lyat  (JH de 24 ans, étudiant, aimant la vie, les femmes, ...)            Envoi mini-message

Série : Une jeunesse bien cool

Chapitre 03 / 03
La revanche


Après avoir laissé lamentablement Laure, contre mon gré, dans les couloirs de la Sorbonne, je ne savais trop comment allait continuer cette si nouvelle relation… Les débuts étaient prometteurs, mais j’aurai compris qu’elle me tienne rigueur de la conclusion un peu… baclée de notre première journée.

Je lui téléphonais donc le soir même pour m’excuser et l’inviter par la même occasion à boire un verre quand elle serait disponible.

Elle me dit de passer la prendre à la sortie de sa salle de cours, à son école, à 17h30 mardi.



Pffff bravo, pensais-je, qu’est ce qu’elle peut bien mijoter ? Je verrai bien…

Déjà, je pensais lui offrir un petit cadeau que j’adore : une chaîne de pied. Je trouve ça si sensuel… Et c’est un des premiers cadeaux que j’offre à mes copines… Pour le reste du programme, c’était plutôt un flou très artistique… impro certainement… j’aime bien ça.


Le jour même j’allais à un de mes magasins préférés où j’achète tous mes bijoux et ceux de mes copines. J’y vais souvent accompagné, et ça fait toujours sourire malicieusement la vendeuse de me voir arriver avec une nouvelle amie…

J’ai choisi une jolie chaîne en argent, assez simple, mais très fine et sensuelle. L’argent allait bien avec son teint de porcelaine. Paquet-cadeau et zou !


Cinq minutes avant la sortie, j’attendis devant la porte, et je vis un petit renflement où je pourrai me dissimuler si par hasard Sophie venait à passer. Je ne tenais pas du tout à ce qu’elle me voit. Et puis mince, c’était bien Laure, sa meilleure copine, qui m’avait dit de l’attendre, au risque de voir Sophie. Elle se débrouillera si besoin, j’allais l’attendre devant la porte !

17h30. Bizarre. Aucun bruit ne provenait de la salle… Je tendis davantage l’oreille… Rien. La petite garce m’avait bien eu ! Ca commençait bien !

A cet instant une main me tapota l’épaule. Je me retournais alors et une bouche m’étreignit sauvagement et furieusement avant même que j’eus le temps de déterminer la personne. Laure ! Nous nous embrassâmes alors fougueusement. Mes mains parcourent ses doux cheveux et passèrent dans son dos pour la caresser tendrement. Hum… quel délice…

Elle relâcha son étreinte et me dit



Elle me prit la main et voulu monter l’escalier proche.



Nous grimpâmes les marches quatre à quatre, sans trop savoir où elle m’emmenait. Au dernier étage, elle se dirigea vers le fond du couloir, l’air sûre d’elle. Arrivé au fond du couloir, un petit renflement nous permettrait de ne pas être vu…

Elle me prit par les épaules, me déséquilibra et me jeta presque au fond, et, avant même que je n’ai pu réagir, elle déboutonna mon jean.



Je ne pus finir la phrase car elle avait déjà baissé mon pantalon et jouait avec mon caleçon.



Ellle avait un grand sourire et elle commençait à agiter un peu le contenu de mon caleçon.

La voir ainsi… hum qu’elle était belle et désirable… J’avais à peine eu le temps de la regarder. Elle s’était habillé de toute beauté ! ! Petit cache-cœur noir bien décolleté qui me permettait d’admirer un superbe paysage, jupe noire et … des collants ou des bas ! Argg ! Ma deuxième marotte…

Elle me regarda avec un petit air suppliant de petite fille sachant qu’elle va faire une bêtise ; ce qui ne l’empêchera pas de la faire… Sa main pénétra mon caleçon et son contact avec mon sexe me fit frissonner. Enfin, elle baissa le sous-vêtement la gênant dans son entreprise et commença à me branler doucement, puis plus vivement.



Je n’eus encore pas le temps de répondre qu’elle approcha ses lèvres de ma verge et les passa sur toute la longueur, sortant la langue une fois arrivée au gland. Que c’était bon.

Elle continua conscieusement et en s’appliquant sur sa fellation qui était véritablement divine. Elle modulait son ardeur, ses coups de langue et ses jeux de lèvres, qu’elle avait pulpeuses et très belles. À cela, elle ajouta pour me mettre vraiment à bout tout un jeu de mimiques, d’expressions de visage totalement… chavirantes !

L’esprit vraiment ailleurs, je réussi à mettre mes mains sur ses épaules pour la prévenir de l’imminence de ma jouissance. Elle continua de plus belle. Le monde aurait pu s’écrouler autour de moi, je n’aurai même pas fait attention tant j’étais aux anges ! Finalement, après avoir essayer de retarder pour en profiter au maximum, ma résistance fut anéantie et vaincue et mon orgasme me parut durer une éternité. Le temps s’était ralenti autour de moi. Laure de son côté essayait d’avaler tout sans rien perdre ce qu’elle arriva presque exceptée une goutte coulant à la commissure droite de ses lèvres.

Terrassé par un tel orgasme, comme je n’en avais jamais eu jusque là, je m’effondrais presque par terre. Je me rhabillai assez vite. Elle, de son côté, était grand sourire et apparemment semblait très contente de son effet!



Elle se jette sur moi pour me chatouiller en me traitant de gros mufle ! On continue de bien rigoler et de s’amuser comme des gamins encore quelques minutes, en s’embrassant.



Je lui pris la main et nous retournâmes dans le couloir où un long banc semblait nous attendre.



Elle me regarde, l’air un peu intrigué. Je m’agenouille devant elle et lui tendis mon petit paquet, qu’elle déchire tout de suite.



Je lui prend la main et l’embrasse, puis attrape la chaîne. Ma main commence à descendre le long de sa jupe, doucement. Je la sens frissonner un peu. Mes doigts continuent leur descente et courent maintenant sur ses collants (ou est-ce des bas, je ne le sais encore). Mes lèvres ont suivi de peu mes doigts et parcourent ses jambes. J’arrive à sa cheville gauche, que je masse doucement, lentement, en prenant le temps. Puis je lui attache enfin sa chaîne. Je continue d’embrasser ses jambes gainées.

Je la regarde alors droit dans les yeux. Qu’elle est belle, pleine de charmes et de vie. Resplendissante.

Mes mains remontent un peu le long de ses jambes. Je remonte également afin de l’embrasser et de la prendre dans mes bras. Heureux. Je crois que nous le sommes vraiment. Mes mains redescendent et se glissent sous sa jupe.

Wooah ! Des bas ! Hum… j’adore vraiment trop et son petit air malicieux me fait penser qu’elle devait le savoir…

Je joue sous sa jupe à effleurer son entrejambe, le haut des cuisses, à bien la caresser sur sa culotte qui devient de plus en plus humide. Joueur, je la lui retire en la regardant droit dans les yeux. Elle ne semble pas trop chaude à vrai dire… mais elle avait allumé un feu qui semblait lui échapper…

Je la porte à mon visage pour la sentir… hum, quel délice… Puis, je me recule un peu. Là, son visage prend une drôle d’expression, mélange de curiosité, de mécontentement, de frustration…



Le regard que je lui lance lui fait comprendre que c’est moi qui dirige là. Elle commence à s’exécuter, doucement. Ses mains détachent son cache-cœur, me laissant découvrir un soutif noir en dentelle très joli. Elle se caresse lentement, faisant descendre ses mains. Avec le bout des doigts, elle effleure ses bas en remontant doucement vers son entrejambe et relevant sa jupe. Je peux voir alors son joli fruit, presque défendu, bien taillé avec une pilosité de brune peu fournie, mais pas épilé. Très joli ! Puis, elle passe légèrement sur son pubis, ses grandes lèvres. Je la vois un peu tressaillir alors. Elle glisse son index entre ses petites lèvres et commence à gémir. Ses yeux se ferment pour apprécier davantage. Moi, je suis aux anges : voir Laure, à demi-nue au milieu d’un couloir, se donnant du plaisir, en bas et avec une chaîne de pied… Quel dommage de n’avoir rien pour immortaliser cette image…

De sa main droite elle écarte largement ses grandes lèvres pour que sa main gauche joue avec ses petites lèvres, son clitoris et l’entrée de son vagin. Son minou est maintenant tout trempé. Décidant que je l’avais suffisamment laissé jouer toute seule, je me rapprochais en silence. Je crois que de toute façon elle n’était plus là. Doucement à quatre pattes, j’arrivais à quelques dizaines de centimètres de son abricot.

Elle remonta sa main gauche vers sa bouche qu’elle ouvrit alors pour goûter à son nectar. Profitant de l’occasion, ma bouche prit la place de sa main absente. Elle grogna quand ma langue à plat remonta alors tout le long, en tournoyant par moment. Arrivé à son clitoris, je l’agaçais du bout de la langue, jouant avec, l’aspirant un peu, le suçotant. Mes mains ne restèrent pas inactives et lui caressèrent les jambes, le ventre, sa poitrine toujours prisonnière.

Comme j’adore le faire, je pris tout mon temps, pour la faire languir, la faire doucement, mais sûrement, monter petit à petit, pour la faire me supplier de la terminer. Par moment, je remontais l’embrasser, lui faisant partager son nectar si précieux et bon.

Enfin, je décidai de la finir en beauté. Je pénétrai son intimité de mon index droit, tandis que j’avais libéré sa poitrine de ses entraves et entreprenait de lui caresser avec ma main gauche. Ma langue continua à être joueuse, mais se fit plus précise, plus adroite, plus régulière et plus appuyée, tandis que mon index prenant un rythme proche de celui de ma langue.

Quelques secondes suffirent alors pour la voir se redresser, les yeux révulsés, gémir de plus en plus fort et crier un bon coup, en se laissant retomber.

Son cri ayant peut-être alerté quelqu’un, je me rassis vite à côté d’elle et l’embrassai fougueusement, sans trop la laisser se remettre de ses émotions, et l’enveloppant de mes bras pour ne pas trop exposer sa poitrine au cas où…

Enfin remise, elle me dit :



Qu’elle était belle quand elle riait. Encore plus belle que quand elle jouissait. J’étais sous le charme. Elle se rhabilla, pris ses affaires puis nous nous dirigeâmes vers l’escalier.

Arrivés à la porte vitrée qui sépare le couloir du palier, nous rencontrâmes Marie, une copine de Sophie et Laure très jolie avec des traits de visages très fins, qui nous regarda marcher bras dessus bras dessous en souriant, tout heureux que nous étions. On discuta un peu, puis partîmes chacun de son côté.

C’est alors que je crus entr’apercevoir un clin d’œil de Marie adressé à Laure…

Nous avait-elle observé ? Mystère. . .