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Temps de lecture estimé : 9 mn
26/08/04
Résumé:  Ayant rencontré la femme de mes fantasmes, je la pousse à profiter de tous les plaisirs
Critères:  fh fhh couplus collègues lingerie init
Auteur : Xavier  (Relation Adultérine à 40 ans)

Série : Découverte de l'Adultère

Chapitre 01 / 03
Première fois


Cela fait maintenant plus de 6 ans que j’ai osé déclarer ma passion à Stéphanie. Je dis bien « osé » parce que, entre la première fois où je l’ai aperçue et ma déclaration, 18 mois de réflexions, d’approches et de tâtonnements m’ont été nécessaires.


Cette première fois, c’était en été, ses jambes m’avaient fasciné. Stéphanie traversait la passerelle devant les fenêtres de mon bureau. Le claquement des hauts talons sur le parquet avait attiré mon attention. Elle était en mission d’intérim et folle de joie d’occuper ce poste à seulement quelques kilomètres de chez elle. Elle rayonnait et, avec sa jupe à mi-cuisses et ses talons aiguilles, elle ne passait pas inaperçue. Elle avait ce charme terrible des femmes ayant dépassé la trentaine et malgré ses deux enfants, elle avait su garder intacts tous ses atouts.

A partir de ce jour, j’ai cherché à l’approcher, discrètement, à petits pas. Sa classe et son allure maintenaient à distance la plupart des dragueurs et je ne voulais surtout pas, passer pour l’un d’eux. Alors je restais discret tout en lui montrant que j’existais.


Puis, vint ce jour de février où, saisissant mon courage à deux mains, je décidais de la complimenter sur son look, par messagerie électronique interposée. Rien de bien méchant mais selon sa réaction, je prenais le risque de détruire tous mes travaux d’approche. Et le résultat n’en fut pas loin !! Elle attendit la fin de la journée pour débarquer dans mon bureau et me demander des explications. Je réussis à trouver les mots justes pour dédramatiser l’affaire et lui faire comprendre que ce n’était qu’un jeu. Soit, elle me disait non et tout était fini, soit, elle acceptait de jouer et de me laisser ma chance. Par bonheur, elle décida qu’elle voulait bien voir la suite des évènements. Et tout s’accéléra.


Dans les jours qui suivirent, nos conversations s’étoffèrent en prenant une orientation plus personnelle. Elle m’avoua sa folie pour la lingerie et les hauts talons. Je buvais du petit lait. Elle accepta un déjeuner au restaurant pour sceller notre liaison. Pour ne pas trop en faire ( elle le reconnut plus tard ), elle s’habilla sobrement : tailleur rouge bcbg avec mini-jupe et veste portée directement sur un body en dentelle et des collants gris. Nous fîmes plus amplement connaissance pendant le repas, en discutant de nos vies respectives.


Puis, de retour à la voiture, elle prit le volant en ayant d’abord retiré sa veste pour plus de commodité. J’ai pris ce geste pour une invitation en me délectant de la vue de ses seins, dans la corbeille du balconnet. Sur la route, je pris à mon tour l’initiative de poser ma main sur le haut de sa cuisse. Et ce fut le déclic qu’il manquait à notre histoire. Elle rangea rapidement la voiture sur le bas-coté et, malgré quelques réticences de sa part, nous finîmes par échanger un baiser passionné. Ses dernières barrières tombaient et je pus me régaler de son corps tant rêvé.


Pendant de longues minutes, je ne me suis pas privé de caresser ses jambes et ses cuisses, peloter ses gros seins, suçoter ses tétons hyper réactifs et l’embrasser comme j’en avais tellement envie. Elle gémissait sans discontinuer, le corps traversé de spasmes de plaisirs. Ce jour là, je me suis bien gardé de réclamer quelques caresses en retour, ne voulant pas l’effaroucher.


Durant les semaines qui ont suivi, j’ai continué ma découverte de son merveilleux corps tout en posant les jalons de notre relation. Sans que je ne réclame rien, elle troqua rapidement ses collants pour des bas, souvent accrochés à un porte-jarretelles, même sous des jupes courtes. J’eu droit au slip fendu, aux bas coutures, au redresse-seins, à l’épilation de sa chatte ( qu’elle refusait à son mari ), à l’absence de culotte au travail… et tout ceci de sa propre volonté. Elle est rapidement devenue une vraie bombe sexuelle et nombreux sont mes collègues à fantasmer sur Stéphanie.


Malgré ses ardeurs affichées lors de notre premier rendez-vous, j’ai réussi pendant environ un mois à repousser ses caresses trop précises. Pendant cette période, je me suis réservé le droit exclusif de la caresser, de la lécher, de lui donner du plaisir. Je refusais systématiquement toute initiative de sa part afin de lui prouver que je pouvais être différent des autres hommes.

Bien sûr, j’ai fini par me laisser violer et je peux vous avouer que, la première fois qu’elle a eu ma queue dans la bouche, elle a pris autant son pied que moi.


Elle suce divinement bien, enroulant sa langue autour du cylindre, suçotant les bourses, enfonçant mon pieu le plus loin possible dans sa gorge. Une vraie professionnelle. Et aujourd’hui, elle va même jusqu’à avaler toutes mes giclées alors qu’elle refuse de le faire à son mari ( il paraît que nous n’avons pas le même goût et que le mien est plus agréable ). Tant mieux pour moi.


Depuis le début de notre liaison, j’ai toujours insisté sur le fait qu’elle était libre de son corps et que je n’étais pas un second mari. Je suis complètement fou d’elle et je ne peux plus me passer de sa présence mais je n’ai pas le droit de lui imposer quoi que ce soit. Elle est sublime, les hommes se retournent immanquablement sur son passage, elle n’a pas le droit de ne pas en profiter, nous n’avons qu’une très courte vie. Si, elle ressent le désir de voir un autre homme, je suis tout à fait d’accord pour qu’elle le fasse. Au contraire, je l’ai même incitée à le faire, allant jusqu’à lui préparer le chemin et en la conseillant.


Malgré toutes ses réticences, elle a fini par essayer de comprendre ce que je ressentais. Elle a commencé par être plus attentive aux hommages reçus des autres hommes. Puis, elle a accepté l’idée de se retrouver dans des bras autres que les miens et ceux de son mari. Voulant profiter à fond de ses dispositions, je lui ai demandé de m’indiquer quels étaient les hommes qui l’attiraient, parmi ceux qu’elle côtoyait. Elle me parla alors de Christian, qui lui tournait autour et qui lui avait déjà proposé un déjeuner au restaurant, proposition qu’elle avait laissée sans suite.


Bien sûr, je l’ai incitée à accepter à condition qu’elle me raconte dans les moindres détails la suite. Quelques jours plus tard, le repas en tête-à-tête fut organisé. Christian se révéla d’une compagnie très agréable, très prévenant et toujours charmeur. Il avoua à Stéphanie son admiration pour elle et son désir de lui faire l’amour. Après le repas, sur le parking, il l’avait enlacée et embrassée. Stéphanie était d’abord restée passive mais elle avait fini par répondre à ses baisers en enroulant sa langue autour de la sienne. Puis, dans la voiture, ils s’étaient caressés par-dessus leurs vêtements, s’échauffant mutuellement. Mais, voulant garder la direction de leur relation, j’avais ordonné à Stéphanie de refuser les caresses trop précises sexuellement. Elle reconnut par la suite que cela l’avait beaucoup excité.


Je lui avais alors demandé si elle voulait aller plus loin et faire l’amour avec lui et, en souriant, elle me répondit qu’elle préférait être avec moi. « Pourquoi pas les deux en même temps » avais-je demandé ? Et à ma grande surprise, elle m’avait répondu « Pourquoi pas ».


Je n’ai pas laissé passer cette occasion de réaliser un fantasme et nous avons convenu qu’elle dirait à Christian qu’elle acceptait de se donner à lui uniquement s’il jurait le silence et ne posait aucune question. Bien sûr, il a dit oui mais il ne savait pas ce que Stéphanie lui préparait.


Et aujourd’hui, c’est le grand jour. Je les attends dans l’appartement généreusement prêté par un de mes copains. Je suis arrivé depuis une petite heure. J’en ai profité pour mettre un peu d’ordre et tamiser les lumières, pour que l’ambiance ne soit pas trop glaciale.

Des coups sont frappés à la porte. Je vais ouvrir et ils entrent dans la chambre. Je lis la surprise sur son visage mais il ne dit rien. Ma maîtresse rayonne de beauté comme d’habitude. Sous son manteau, elle porte un haut moulant en voile presque transparent sur un soutien-gorge en dentelle qui met en avant ses seins, une mini en cuir noir, des bas coutures de la même couleur et des escarpins vernis qui lui rajoutent au moins dix centimètres. En plus, elle a accentué le maquillage sur les yeux et les lèvres. Elle fait très pute et j’adore cela.

J’ouvre la bouteille de champagne pendant que Stéphanie s’assoit dans le fauteuil. Je vais ensuite rejoindre Christian sur le canapé. Je lis dans ses yeux que la situation l’excite et ses longues jambes se desserrent peu à peu. Nos regards masculins plongent sous la jupe et nous apercevons déjà la couleur plus claire de ses cuisses.

Encore un verre et en me rasseyant, je découvre le voile noir de son slip. La jupe est maintenant relevée au-dessus des bas et les cuisses bien écartées. Elle est époustouflante. Je sens que Christian est subjugué par le spectacle et il manque de s’étrangler lorsque Stéphanie passe le bout de ses doigts sur ses seins. Elle agace les tétons avec ses ongles rouge sang en se vautrant dans le fauteuil. J’ai envie de lui sauter dessus mais je me retiens.

Ma maîtresse passe sa langue sur les lèvres. Nous sommes tétanisés par son exhibition mais nos pantalons sont déformés par notre désir.

A la façon qu’elle a de tirer sur ses nichons, je devine qu’elle veut autre chose. Je dis alors à Christian « Tu n’as pas envie de lui bouffer la chatte » ?

Il ne réagit pas. Je sens que comme moi, il resterait des heures à la regarder et qu’il ne tient pas du tout à interrompre le spectacle. Je pose ma main sur son épaule pour l’inciter.

Subitement, il se jette à ses pieds en enfouissant sa tête entre les cuisses de Stéphanie. Elle lève les jambes pour les reposer sur les épaules de son nouvel amant. Elle pousse des petits cris en appuyant sur sa nuque. Je me lève alors et fais le tour du fauteuil pour mieux voir ce qu’il lui fait.

Il a écarté le voile de son slip et sa langue va-et-vient entre les lèvres. Il la lèche goulûment et je vois bien qu’il adore cela. Il remonte vers son bouton pour le faire grossir. Il l’aspire voracement et elle gémit plus fort. Il a glissé un doigt profondément dans sa chatte et elle s’empale dessus.

Je passe mes mains sur ses seins. Je les malaxe durement. Ils sont gros et les tétons pointent de plus en plus. Je me baisse pour les mordiller.

Stéphanie accélère alors ses coups de reins. La bouche de Christian s’active sur son clitoris et la mienne sur ses tétons. Elle pousse un cri strident et elle laisse éclater sa jouissance.

Elle peine à reprendre son souffle. Elle repousse la tête de Christian pour qu’il lui accorde une pause. Il laisse alors sa bouche glisser le long de sa cuisse, sur sa jambe. J’en profite pour faire la même chose sur l’autre jambe. Ma langue glisse sur le voile du bas, lèche son genou, mordille la cheville et je viens mordiller son pied. La bouche de Christian a suivi le même chemin et nous nous retrouvons tous les deux à ses pieds. Elle aime ça et son excitation ne tarde pas à renaître.

Stéphanie nous ordonne d’arrêter et de nous rasseoir sur le canapé. Nous obéissons et elle vient s’agenouiller devant nous. Elle pose ses mains sur nos braguettes tendues et nous demande de l’aider. Je retire rapidement mon pantalon et ma chemise. Je me rassois et elle extirpe ma queue de mon slip. Elle me caresse les couilles.

Je sens que Christian hésite. Je lui dis « dépêche-toi » et il se décide enfin. Stéphanie baisse elle-même son slip et sa bite lui saute au visage.

Elle caresse doucement nos queues dressées vers elle. Elles sont dures comme du bois et nos glands sont luisants de plaisir. Ma maîtresse se penche sur ma queue et ses lèvres se posent sur elle. Que c’est bon !

Elle me lèche le gland amoureusement tout en pelotant les boules de Christian. Elle me fait pénétrer au plus profond de sa gorge. C’est divin !

Puis, elle se tourne vers Christian et elle agit de la même façon. Je regarde sa bouche prendre la queue et je durcis davantage. Stéphanie la bécote, la lèche, la suçote. Il ferme les yeux. Elle lui aspire la bite comme une professionnelle de la pipe. Sans arrêter de le sucer, elle cherche mes yeux du regard. Elle me regarde intensément comme pour me dire qu’elle m’aime.

J’attrape alors un préservatif sur la table et je le tends à Christian. Il se retire à regrets de sa bouche et se couvre de latex.

Stéphanie se redresse, lui tourne le dos et se laisse descendre lentement sur son pieu. Il lui ouvre le ventre. Elle suffoque de plaisir et s’empale le plus loin possible. Elle le fait ressortir puis le reprend au plus profond de son ventre. Elle me dit que c’est trop bon. Il l’attrape par les cuisses pour qu’elle adopte son rythme. Il la besogne à grands coups de reins.

Je prends beaucoup de plaisir à les regarder baiser. Stéphanie me demande de m’approcher et elle me reprend dans sa bouche. Christian la pilonne profondément et, à chaque coup, ma queue s’enfonce très loin dans sa gorge.

Elle pousse des grognements de plaisir. Elle s’agrippe à mes hanches pendant qu’elle se fait défoncer. Dans une ultime ruade, Christian lâche la purée dans son ventre. Les contractions de sa bite provoquent l’orgasme de ma maîtresse et elle m’éjecte de sa bouche pour mieux s’envoyer en l’air.

N’y tenant plus, je gicle mon foutre sur son visage, son cou, ses seins.

Quel pied ! L’après-midi ne fait que commencer…