Une Histoire sur http://revebebe.free.fr/
n° 07735Fiche technique10970 caractères10970
Temps de lecture estimé : 7 mn
22/09/04
Résumé:  Ayant rencontré enfin la femme de mes fantasmes, je la pousse à profiter de tous les plaisirs
Critères:  fhh fplusag couplus inconnu magasin exhib lingerie chaussures cunnilingu fsodo
Auteur : Xavier  (Relation Adultérine à 40 ans)

Série : Découverte de l'Adultère

Chapitre 02 / 03
Le magasin de chaussures


Je fais suite à mon premier envoi signé « Adultère » ( 7489 ).

Cela fait un drôle d’effet de se dire que des dizaines de lecteurs ont découvert ma liaison avec Stéphanie alors que dans notre entourage, personne n’est au courant. Je suis divorcé depuis plusieurs mois mais elle, elle est mariée et tout doit rester secret.

Ce qui ne nous empêche pas de mettre en pratique nos fantasmes car tout est véridique. J’ai juste changé les prénoms.


Voici d’ailleurs une histoire qui nous avons vécu, il y a quelques mois.

Pour ceux qui ne m’auraient pas encore lu, je vous rappelle que nous avons tous les deux la quarantaine, que Stéphanie est idéalement proportionnée avec ses longues jambes, son 95c, ses tenues très affriolantes qui font tourner la tête de la majeure parie des hommes qu’elle croise. Bien qu’elle soit restée fidèle pendant presque vingt ans, nous sommes tombés amoureux fous l’un de l’autre, et bien décidés à vivre pleinement notre passion.

J’avais repéré, dans une petite rue d’une grande ville de la banlieue parisienne, un magasin de chaussures qui ne payait pas de mine au premier abord, mais dont la vitrine était remplie de très jolis modèles. Stéphanie et moi partageons la même passion des talons aiguilles. J’y étais passé plusieurs fois et j’avais constaté qu’il n’y avait qu’un seul vendeur, d’une trentaine d’années à peine. Après être passé tous les deux un midi devant la boutique, juste pour vérifier que le jeune homme lui plaisait, j’ai alors proposé à Stéphanie un scénario qu’elle devrait suivre à la lettre, pour le lendemain.

Je lui ai imposé la tenue à porter : un tailleur assez bcbg veste-jupe un peu ample et courte, hauts talons, bas gris, porte-jarretelles ou guêpière, pas de corsage, maquillage un peu poussé… Nous arrivons devant le magasin vers 14 heures pour être tranquilles. J’entre d’abord, me dirige vers le rayon hommes en précisant au vendeur que je ne fais que regarder. Quelques minutes plus tard, elle entre à son tour et elle demande à essayer plusieurs modèles vus en vitrine. Pendant que le vendeur part les chercher en réserve, elle s’assoit dans un fauteuil situé au fond du magasin. Je m’arrange pour être à l’opposé et pour que ma présence ne puisse pas les gêner.

Le vendeur revient avec les 3 boîtes demandées. Il se met à genoux et ouvre la première pour présenter à Stéphanie la première paire. Il lui tend la chaussure droite. Elle se penche alors pour glisser son pied à l’intérieur en prenant bien soin de laisser les pans de sa veste s’écarter. Elle passe de longues secondes à ajuster la bride autour de sa cheville pour prolonger sa position courbée. Le jeune homme reste figé à loucher sur son décolleté, sur ses seins gonflés dans la corbeille du balconnet. Avec un grand sourire, Stéphanie lui demande d’essayer l’autre pied en tendant la jambe vers le vendeur. Il hésite un moment puis, il pose sa main sur le mollet et enfile l’autre escarpin. Dans le mouvement, la jupe a glissé vers le haut et la lisière soyeuse des bas, est apparue. L’homme est scotché et ne sait pas quelle attitude adopter

Stéphanie se lève pour se regarder dans le miroir. Les talons sont vertigineux et accentuent la cambrure de ses reins. Il lui dit que ce modèle est mis en valeur par ses jolies jambes…

Elle revient vers le fauteuil pour essayer une autre paire. En s’asseyant, la veste s’ouvre largement sans qu’elle ne la remette en place. Le jeune homme a de plus en plus de mal à quitter sa poitrine des yeux. La paire suivante est aussi à lanière et pour l’accrocher à la cheville, il prend tout son temps en passant délicatement ses doigts sur les mollets gainés de voile gris. Son regard s’est engouffré sous la jupe. Stéphanie pousse son exhibition à écarter innocemment les jambes. Il reste figé sans réaction, sans doute en apercevant la dentelle du string.



Stéphanie se dirige à nouveau vers le miroir. Elle est vraiment superbe. Du coin de l’œil, elle regarde le visage du vendeur, il est écarlate, il est à point. Elle revient s’sseoir, sûre de son charme.

Ce sont des bottes qu’elle veut essayer à présent. Les doigts du jeune homme glissent sur ses pieds, ses chevilles, ses genoux et frôlent ses cuisses en remontant la fermeture. Ses yeux exorbités sont plantés entre les cuisses.



Stéphanie se renverse dans le fauteuil, en écartant les jambes et en remontant sa jupe bien au-dessus de la lisière de ses bas. Son minuscule string en dentelle cache à peine le renflement de ses lèvres.



Elle passe un ongle verni sur le tissu mouillé du string, puis d’un geste, elle écarte la culotte arachnéenne pour montrer son joli sexe parfaitement épilé. Béat devant cette chatte impudiquement exposée, il ne bouge plus, la bouche ouverte. Tenant écarté le voile du string de sa main gauche, elle passe son index très lentement sur sa fente, de bas en haut, arrêtant une fraction de seconde sur le clitoris tendu, écartant délicatement ses lèvres intimes.



Il ose enfin poser une main timide sur sa cuisse, caressant son bas, et remontant sur la peau nue, infiniment douce de l’intérieur de la jambe. Subjugué, attiré comme un aimant, irrésistiblement, il avance son visage et bientôt il pose sa bouche sur le fruit juteux qui lui est offert. Sa langue remplace le doigt mutin qui se retire et il goûte alors à la suavité de la chatte, gorgée d’excitation. Stéphanie l’encourage à la manger, à la dévorer et il s’applique à laper son sexe, à aspirer et à sucer le clitoris sorti de sa gangue. S’enhardissant enfin, il enfile un premier doigt dans son cratère brûlant puis un second. Elle gémit, soupire, son plaisir est croissant.

Je profite alors pour m’éloigner de la porte que j’avais bloquée et me rapprocher du spectacle.

Stéphanie a ouvert les pans de sa veste pour venir se tripoter les seins et pincer les mamelons qui roulent sous ses doigts. J’entends le clapotis des doigts qui vont et viennent dans le vagin.



Il mordille le clitoris de ma maîtresse et je m’aperçois alors, qu’avec toute la mouille qui a coulée dans la raie, le vendeur en a profité pour enfoncer un doigt dans son anus.

Soudain, elle serre fort les cuisses contre les tempes de l’homme en appuyant sur son crâne, et gémissant encore plus fort, elle jouit sous sa bouche…

Après quelques courtes secondes, Stéphanie ouvre les yeux et relâche l’étau de ses jambes.



Sans lui laisser le temps de respirer, elle lui demande de se lever et de venir debout entre ses cuisses. Elle défait elle-même la ceinture et baisse son pantalon. Ma maîtresse empaume sa queue et elle commence par passer le gland sur ses mamelons pointus. Puis, en se penchant, elle pose ses lèvres sur le gland. Elle ouvre ses lèvres charnues et sensuelles et elle enfourne le sexe de l’homme dans sa bouche chaude et moelleuse. Je sais d’expérience que lorsqu’elle est excitée, Stéphanie suce voracement et qu’il faut beaucoup de sang-froid pour ne pas gicler. Aux gémissements du vendeur, elle sent que le plaisir est en train de monter rapidement. Elle relève alors la tête, lâche la queue enduite de salive, au grand désarrois de l’homme..



Elle se retourne et à genoux sur le fauteuil, ma maîtresse lui présente sa croupe, écartant la ficelle du string. Il jette un regard circulaire dans le magasin, se rendant compte seulement maintenant de l’endroit où ils se trouvent. Je lis un moment de panique à l’instant où nos yeux se croisent. Je lui souris en lui disant de ne pas s’inquiéter car je suis avec la femme.

Il reste incrédule, la bite toujours tendue vers la croupe de ma maîtresse. Je lui tends un préservatif.



Il réagit enfin et se couvre rapidement du plastique. Le vendeur s’approche de Stéphanie et glisse son sexe gonflé dans sa chatte trempée, en poussant un râlement de bonheur.



Il s’arrête de limer et, sans réfléchir plus longtemps, il se retire et pose sa queue sur la rondelle. Il force le passage étroit mais bien lubrifié se retrouve la queue plantée entre les fesses de ma maîtresse. Elle gémit de plus en fort mais continue de l’encourager à la défoncer. Je n’en reviens pas, je n’avais pas prévu qu’elle prendrait cette initiative. Je m’approche encore.

Stéphanie est superbe ainsi, cambrée, offerte, la croupe tendue pour absorber cette queue, avec ses bas et les bottes neuves et cet homme qui lui pétrit les fesses. Il me regarde alors, au moment où je dégrafe ma braguette. Il accélère son pilonnage, sa jouissance doit être proche.

Je présente ma bite gonflée devant la bouche de ma maîtresse. Elle l’engouffre goulûment mais les coups de reins du jeune homme l’empêchent de me sucer convenablement. Je vois alors sa main plantée entre ses cuisses, se triturant le clitoris. L’homme accélère encore son rythme et explose dans le cul de Stéphanie en lui arrachant des cris de plaisir. Je gicle moi aussi de longs jets de sperme sur son visage, ses lèvres, son menton, ses cheveux…

J’ai les oreilles qui bourdonnent. C’était un fantasme que nous tenions absolument à réaliser et enfin, nous l’avons fait. Stéphanie se redresse et se tourne vers le vendeur pour le complimenter. Celui-ci, un peu penaud, a jeté le préservatif et est en train de se réajuster. Nous remettons de l’ordre dans nos tenues et, au moment de sortir, l’homme nous rejoint avec la première paire essayée par ma maîtresse. Il la lui tend en lui faisant promettre de revenir prochainement.


Inutile de vous préciser que nous sommes devenus des clients réguliers de ce magasin.